Ce que subit le système capitaliste n’est pas une crise et, pour faire face à la situation catastrophique que subissent les milieux populaires, il ne suffit pas aux prolétaires d’employer les méthodes réformistes classiques
Nous n’assistons pas à une crise grave mais à l’achèvement de l’effondrement de 2007-2008, aggravé par la multiplication des dettes privées et publiques, par l’accroissement encore plus grand du surcroît de capitaux, cause de la chute de 2007 et accru par les arrosages financiers massifs des Etats et des banques centrales.
A l’opposé d’une crise classique, comme le système en a subi plusieurs dizaines y compris celle de 1929, ce qui arrive au capitalisme depuis 2007 et qui se poursuit depuis la fin 2019, n’est pas un moyen d’éclaircir les nuages amoncelés en laissant des nuées tomber et des éclairs frapper. Au contraire, loin de laisser les grandes entreprises en faillites les subir et même chuter définitivement, le système empêche artificiellement toute chute de trust ou de grande banque, de grand financier ou assureur, ou de bourse, quitte à dépenser des sommes colossales en pure perte. Il y est parvenu pendant treize ans quitte à dépenser des sommes colossales sur le dos de l’argent public.
Ce que subit le système capitaliste n’est pas une crise et, pour faire face à la situation catastrophique que subissent les milieux populaires, il ne suffit pas aux prolétaires d’employer les méthodes réformistes classiques
Nous n’assistons pas à une crise grave mais à l’achèvement de l’effondrement de 2007-2008, aggravé par la multiplication des dettes privées et publiques, par l’accroissement encore plus grand du surcroît de capitaux, cause de la chute de 2007 et accru par les arrosages financiers massifs des Etats et des banques centrales.
A l’opposé d’une crise classique, comme le système en a subi plusieurs dizaines y compris celle de 1929, ce qui arrive au capitalisme depuis 2007 et qui se poursuit depuis la fin 2019, n’est pas un moyen d’éclaircir les nuages amoncelés en laissant des nuées tomber et des éclairs frapper. Au contraire, loin de laisser les grandes entreprises en faillites les subir et même chuter définitivement, le système empêche artificiellement toute chute de trust ou de grande banque, de grand financier ou assureur, ou de bourse, quitte à dépenser des sommes colossales en pure perte. Il y est parvenu pendant treize ans quitte à dépenser des sommes colossales sur le dos de l’argent public.