Entre 750 millions et 1,35 milliard de dollars. D’après le magazine Wired, c’est ce que coûteraient les conséquences psychologiques des conflits armés engagés par les Etats-Unis.
Le chiffre, extrait d’une étude du National Bureau of Economic Research, a le mérite d’attirer l’attention sur une réalité mal connue. Ils seraient 6.000 vétérans américains à se donner la mort chaque année, soit 20% des suicides relevés aux États-Unis.
Depuis plusieurs années maintenant, l’armée américaine prend la mesure du phénomène, et tente de le juguler. Malgré les scanners cérébraux portables, les traitements médicaux à base d’ectasy ou le diagnostic précoce des signes de dépression, ils sont 26% de soldats au retour d’Irak ou d’Afghanistan à présenter un syndrome de stress post-traumatique (PTSD).
Au-delà du chiffre, l’étude confirme un lien jusque-là pressenti mais non établi : ce sont les soldats régulièrement impliqués dans des échanges de tirs, témoins de morts parmi des alliés ou des civils, qui sont les plus exposés à ces problèmes psychologiques, et au suicide.
Entre 750 millions et 1,35 milliard de dollars. D’après le magazine Wired, c’est ce que coûteraient les conséquences psychologiques des conflits armés engagés par les Etats-Unis.
Le chiffre, extrait d’une étude du National Bureau of Economic Research, a le mérite d’attirer l’attention sur une réalité mal connue. Ils seraient 6.000 vétérans américains à se donner la mort chaque année, soit 20% des suicides relevés aux États-Unis.
Depuis plusieurs années maintenant, l’armée américaine prend la mesure du phénomène, et tente de le juguler. Malgré les scanners cérébraux portables, les traitements médicaux à base d’ectasy ou le diagnostic précoce des signes de dépression, ils sont 26% de soldats au retour d’Irak ou d’Afghanistan à présenter un syndrome de stress post-traumatique (PTSD).
Au-delà du chiffre, l’étude confirme un lien jusque-là pressenti mais non établi : ce sont les soldats régulièrement impliqués dans des échanges de tirs, témoins de morts parmi des alliés ou des civils, qui sont les plus exposés à ces problèmes psychologiques, et au suicide.