la crise serait donc un rideau de fumee, un mensonge de plus des bourgeois qui s empiffrent sur notre dos ?
Mais ont ils besoin de se cacher ces profiteurs ?
Un bernard Tapis, licencieur, magouilleur, etale sa "reussite"et fait la une des medias, chante,fait du theatre etc..
Qui a part les salaries d Addidas, se souvient qu il a failli renverser des grevistes au volant de sa porsche, quand ceux ci refusaient d etre jetes a la rue.
La bourgeoisie ne cache pas le resultat de l exploitation, elle s en vante et au contraire renforce par ce biais sa foie en l avenir social de sa classe et surtout affirme sa force et sa domination.
L economie fait semblant de fonctionner en ce moment.
les patrons nous occuppent dans les boites, la bride est desserree, les employes s accrochent a leur emploi, la maitrise n a plus d objectif de production reel.
La bourgeoisie gagne du temps et elle est preoccupee par le manque de credit et la desaffection syndicale.
Elle sait que les travailleurs peuvent a tout moment se lever et elle anticipe deja la contre offensive.
La periode des annees 80/90/2000 a bloque tout espoir reformiste : les licenciements, la precarite, la degradation des conditions de travail, ont aneanti l idee de progres social.
Seul des minorites de salaries peuvent meme pretendre a un confort equivalent a celui de leur parent.
La majorite des travailleurs veulent une boue de sauvetage mais n imagine pas faire la croisiere sur un navire aussi incertain.
Combien de jeunes salaries pensent qu ils vont profiter d une retraite, d un emploi permanent, d un logement confortable.
Les syndicats representaient aussi cet espoir, mais aujourd hui ils sont denonces comme complices d un monde qui regressent.
La crise cardiaque en 2007 du vieux monde, se refletent aussi dans ces tendances pour les exploites a croire ou pas dans la capacite de la societe a les faire survivre ou au contraire a les menacer dans le peu qu ils ont.
Mais le fait d embrouiller le fonctionnement du capitalisme est une maniere de retarder au maximum la prise de conscience des opprimes sur les buts fondamentaux de leurs
luttes a venir.
la crise serait donc un rideau de fumee, un mensonge de plus des bourgeois qui s empiffrent sur notre dos ?
Mais ont ils besoin de se cacher ces profiteurs ?
Un bernard Tapis, licencieur, magouilleur, etale sa "reussite"et fait la une des medias, chante,fait du theatre etc..
Qui a part les salaries d Addidas, se souvient qu il a failli renverser des grevistes au volant de sa porsche, quand ceux ci refusaient d etre jetes a la rue.
La bourgeoisie ne cache pas le resultat de l exploitation, elle s en vante et au contraire renforce par ce biais sa foie en l avenir social de sa classe et surtout affirme sa force et sa domination.
L economie fait semblant de fonctionner en ce moment.
les patrons nous occuppent dans les boites, la bride est desserree, les employes s accrochent a leur emploi, la maitrise n a plus d objectif de production reel.
La bourgeoisie gagne du temps et elle est preoccupee par le manque de credit et la desaffection syndicale.
Elle sait que les travailleurs peuvent a tout moment se lever et elle anticipe deja la contre offensive.
La periode des annees 80/90/2000 a bloque tout espoir reformiste : les licenciements, la precarite, la degradation des conditions de travail, ont aneanti l idee de progres social.
Seul des minorites de salaries peuvent meme pretendre a un confort equivalent a celui de leur parent.
La majorite des travailleurs veulent une boue de sauvetage mais n imagine pas faire la croisiere sur un navire aussi incertain.
Combien de jeunes salaries pensent qu ils vont profiter d une retraite, d un emploi permanent, d un logement confortable.
Les syndicats representaient aussi cet espoir, mais aujourd hui ils sont denonces comme complices d un monde qui regressent.
La crise cardiaque en 2007 du vieux monde, se refletent aussi dans ces tendances pour les exploites a croire ou pas dans la capacite de la societe a les faire survivre ou au contraire a les menacer dans le peu qu ils ont.
Mais le fait d embrouiller le fonctionnement du capitalisme est une maniere de retarder au maximum la prise de conscience des opprimes sur les buts fondamentaux de leurs
luttes a venir.