L’enfance, le haut lieu de la violence sociale dans la société bourgeoise
30 juin 2012, 14:55, par Robert Paris
La psychologie de l’enfant, dites-vous, est un domaine à part entière, mais quine relève qu’à la marge de la problématique du marasme de l’Ecole publique.
Tout à fait d’accord.
Nous avons déjà traité ailleurs des problèmes de l’école mais ce n’est nullement le but e ce texte.
Nous avons parfaitement conscience des difficultés des enseignants et j’ai moi-même vu des enseignants craquer, y compris en étant directement victimes des enfants eux-mêmes.
Mais le système n’étant produit par des enfants, ce n’est pas eux qui sont à incriminer.
Le système n’est pas non plus produit par les parents ou les enseignants mais par les classes dirigeantes.
Je ne suis pas certain que vous soyez prêt à l’admettre.
Etudes ou pas études, c ’est en fonction des intérêts des classes dirigeantes que cela se décide.
A une époque, peu nombreux faisaient des études. Cela a changé mais pas pour le bien de la population, même si elle a pu en profiter.
Ce n’est pas non plus l’intérêt des enfants qui motive les classes dirigeantes en un moment où elles savent ne plus avoir d’emplois à leur offrir ensuite...
La psychologie de l’enfant, dites-vous, est un domaine à part entière, mais quine relève qu’à la marge de la problématique du marasme de l’Ecole publique.
Tout à fait d’accord.
Nous avons déjà traité ailleurs des problèmes de l’école mais ce n’est nullement le but e ce texte.
Nous avons parfaitement conscience des difficultés des enseignants et j’ai moi-même vu des enseignants craquer, y compris en étant directement victimes des enfants eux-mêmes.
Mais le système n’étant produit par des enfants, ce n’est pas eux qui sont à incriminer.
Le système n’est pas non plus produit par les parents ou les enseignants mais par les classes dirigeantes.
Je ne suis pas certain que vous soyez prêt à l’admettre.
Etudes ou pas études, c ’est en fonction des intérêts des classes dirigeantes que cela se décide.
A une époque, peu nombreux faisaient des études. Cela a changé mais pas pour le bien de la population, même si elle a pu en profiter.
Ce n’est pas non plus l’intérêt des enfants qui motive les classes dirigeantes en un moment où elles savent ne plus avoir d’emplois à leur offrir ensuite...