Le tribunal de grande instance de Lyon a interdit mardi à la Caisse d’Epargne Rhône Alpes Sud (CERA) d’avoir une organisation du travail fondée sur le "benchmark", c’est-à-dire la mise en concurrence permanente des salariés, qui compromet "gravement" leur santé, a-t-on appris mercredi.
La Caisse d’Epargne Rhône-Alpes a fait appel de cette décision, la qualifiant dans une déclaration à l’AFP de "particulièrement injuste et disproportionnée".
Fin 2007, la direction de la CERA avait mis en place ce système de gestion des performances des salariés, consistant en une évaluation permanente des uns par rapport aux autres au sein de chaque agence, et aussi des agences entre elles.
La part variable de la rémunération de chaque salarié dépend directement des résultats du "benchmark" puisqu’elle est fonction des résultats de son agence.
Le tribunal de grande instance de Lyon a interdit mardi à la Caisse d’Epargne Rhône Alpes Sud (CERA) d’avoir une organisation du travail fondée sur le "benchmark", c’est-à-dire la mise en concurrence permanente des salariés, qui compromet "gravement" leur santé, a-t-on appris mercredi.
La Caisse d’Epargne Rhône-Alpes a fait appel de cette décision, la qualifiant dans une déclaration à l’AFP de "particulièrement injuste et disproportionnée".
Fin 2007, la direction de la CERA avait mis en place ce système de gestion des performances des salariés, consistant en une évaluation permanente des uns par rapport aux autres au sein de chaque agence, et aussi des agences entre elles.
La part variable de la rémunération de chaque salarié dépend directement des résultats du "benchmark" puisqu’elle est fonction des résultats de son agence.