L’étonnement, premier pas de la démarche scientifique
1er mai 2015, 07:16, par Robert Paris
Schopenhauer oppose l’étude des sciences et l’étude de l’homme dans « Le Monde comme volonté et comme représentation » :
« Excepté l’homme, aucun être ne s’étonne de sa propre existence…. Quant au contenu des sciences, ce n’est proprement que le rapport des phénomènes entre eux, conformément au principe de raison et en vue du pourquoi, qui n’a de valeur et de sens que par ce principe. »
Il oppose sciences et philosophie :
« Le propre de la philosophie, c’est qu’elle ne suppose rien de connu, mais […] tout lui est également étranger et problématique, non seulement les rapports des phénomènes, mais les phénomènes eux-mêmes »
Schopenhauer oppose l’étude des sciences et l’étude de l’homme dans « Le Monde comme volonté et comme représentation » :
« Excepté l’homme, aucun être ne s’étonne de sa propre existence…. Quant au contenu des sciences, ce n’est proprement que le rapport des phénomènes entre eux, conformément au principe de raison et en vue du pourquoi, qui n’a de valeur et de sens que par ce principe. »
Il oppose sciences et philosophie :
« Le propre de la philosophie, c’est qu’elle ne suppose rien de connu, mais […] tout lui est également étranger et problématique, non seulement les rapports des phénomènes, mais les phénomènes eux-mêmes »
Et il oppose l’homme au reste du monde…