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C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique
jeudi 1er mars 2018, par
Avertissement : nous exposons ici une thèse nouvelle de certains scientifiques, qui n’a pas encore eu le temps d’être confirmée ni infirmée, et qui change complètement notre point de vue sur le noyau de la Terre. Celui-ci ne serait pas seulement réchauffé par la concentration par gravitation des atomes lourds et instables au plan nucléaire et qui le réchaufferaient par des décompositions radioactives de ces noyaux instables mais aussi le siège de fissions se développant de manière exponentielle, à la manière d’une centrale nucléaire naturelle et spontanée.
Pourquoi y a-t-il de plus en plus de volcanisme, de tremblements de terre, et un sol plus chaud ? Pas à cause de l’effet de serre mais parce que le noyau de la terre se réchauffe par accumulation de chaleur lie aux fissions radioactives au centre de la planète.
Que sait-on du noyau terrestre ?
– Le centre de la Terre est un gigantesque cœur de 2 400 km de diamètre (à 5 150 km de la surface). Il est composé de fer et d’éléments à l’état de traces. C’est le "noyau interne" (ou "graine" de fer solide). La température s’élève à 6 000 °C. La pression est 3 600 000 fois plus forte qu’à la surface. Soumis à ces pressions et ces températures extrêmes, le fer adopterait au cœur de notre planète, à l’image du diamant, une structure en cristal.
– Cette graine baigne dans un immense océan de fer en fusion, le noyau externe. D’énormes tourbillons au sein de ce liquide (courants de convection) génèreraient le champ magnétique. L’instabilité de ces tourbillons provoquerait les modifications du champ magnétique.
Remarquons tout d’abord que nous n’avons aucun moyen de mesure directe de la température du noyau terrestre et que les seules températures reconnues le sont par des raisonnements indirects qui donnent des résultats divergents :
La remontée de chaleur par convection formant des "cellules de Bénard"
Entre 3800 et 5500 pour les uns, 6500 pour les autres, la température du noyau terrestre n’est pas vraiment connue…
Probablement aussi chaude que la surface du soleil !
Des chercheurs du CEA viennent de montrer que la température qui régnait au centre de la Terre était sensiblement plus élevée que les valeurs admises jusqu’à présent.
Pour calculer plus précisément cette température, les chercheurs ont soumis un échantillon de fer aux conditions physico-chimiques et thermiques extrêmes qui règnent au cœur de la Terre, dans le noyau terrestre situé à 2900 km de profondeur.
Jusqu’à présent, les résultats expérimentaux et les prévisions théoriques concernant la température du noyau étaient en désaccord. Pour résoudre cette divergence, les chercheurs ont comprimé de minuscules grains de fer entre deux pointes de diamant, atteignant une pression de deux millions d’atmosphères. Parallèlement, ces particules de fer ont été chauffées à l’aide d’un faisceau laser.
En utilisant la source de rayon X du Synchrotron européen, les chercheurs ont réussi à mesurer l’évolution physique des particules de fer jusqu’à une pression de 2,2 millions d’atmosphères et une température de 4800°C.
Par extrapolation, les scientifiques ont alors pu calculer qu’à la pression régnant dans le noyau - 3,3 millions d’atmosphères, la température du fer devait atteindre environ 6000°C, ce qui est en accord avec les prévisions théoriques.
Les chercheurs du CEA et du CNRS, dont les travaux ont été publiés le mois dernier dans « Science ". Comment, en l’absence de moyen de mesure directe, estimer la température qui règne au plus profond du noyau terrestre, cette zone constituée essentiellement de fer liquide ? Un indice : ce noyau possède lui-même un... noyau, appelé la graine, lui aussi constitué de fer, mais à l’état solide. Cette graine grossit très lentement par solidification du noyau liquide environnant. A la limite graine-noyau, à 5.150 kilomètres de profondeur et avec une pression correspondant à 3,3 millions de fois celle de l’atmosphère, la température doit donc être proche de celle de fusion du fer à cette pression. Pour déterminer cette température de fusion, les chercheurs ont comprimé de minuscules grains de fer entre deux pointes de diamant (afin de recréer cette pression gigantesque) tout en les chauffant progressivement avec un rayon laser. Ne leur restait plus alors qu’à observer à quelle température les grains de fer passaient de l’état solide à l’état liquide, ce qui ne pouvait être fait qu’indirectement en les bombardant de rayons X. Le résultat tient en 4 chiffres : 6.000 °C
Mais cette température provient-elle d’un équilibre ou d’une augmentation ? A quelle dynamique obéit-elle ?
C’est le noyau de la Terre, dont les matériaux radioactifs émettent de l’énergie nucléaire, énergie qui tente difficilement d’émerger en passant par le magma puis l’écorce terrestre, qui réchauffe la planète et pas l’effet de serre atmosphérique
Aussi bizarre que cela puisse paraître, on en sait plus sur les étoiles et les galaxies lointaines que sur ce qui se passe au centre de la Terre, dans le noyau en fusion. Les théoriciens divergent fondamentalement à la fois sur le fonctionnement de ce noyau, sur sa dynamique, sur ses caractéristiques : pression, température, magnétisme, etc… Comme on n’a jamais pu enregistrer l’évolution de ce noyau, impossible pour le moment d’être sûrs de la manière dont ce noyau évolue, en particulier comment évolue sa température.
Ce que l’on sait, c’est que la chaleur de ce cœur ne provient pas de celle des matériaux en fusion à l’origine de la Terre, énergie épuisée depuis belle lurette en surface comme en profondeur. On sait que ce sont les décompositions nucléaires spontanées des atomes d’uranium, thorium et potassium, éléments radioactifs à longue durée de vie, qui émettent l’énergie nucléaire, augmentant la température et mettant en fusion ce noyau au point qu’il serait d’une température équivalente à celle de la surface des étoiles, ce qui n’est pas rien : plusieurs milliers de degrés !!!!
D’autre part, l’évolution de la production de cette énergie dépend de la part de chacun des éléments radioactifs car ils n’ont pas la même durée de vie, l’uranium étant ainsi plus rapide à se décomposer. Il faudrait connaître par exemple la part du potassium pour estimer s’il est possible que le noyau chauffe actuellement ou se refroidisse. Et encore cela dépend du type d’uranium : la demi-vie de l’uranium 235 est de 700 millions d’années alors que celle de l’uranium 238 est de 4,5 Ga !
Mais tout cela ne nous dit pas quelle est finalement la température et les nombres cités par les scientifiques varient considérablement entre 5000 et 7000 degrés… Quant à réfléchir à l’évolution de cette température, on ne s’y attelle pas facilement, vu la difficulté de mesurer, directement ou indirectement, quoi que ce soit.
Le seul moyen de raisonner sur ce cœur de la planète a consisté à discuter des pressions qui peuvent y régner et des états de la matière de ce noyau, en discutant des températures que cela suppose. Une discussion très indirecte et qui ne permet certainement pas de discuter d’évolutions des températures de ce noyau terrestre.
Rappelons tout d’abord que l’on entend par noyau terrestre une boule interne d’un rayon de 1220 kilomètres dont on ignore en réalité dans quel état de la matière elle existe (solide, liquide, plasma,…). Combien y a-t-il de couches diverses de ce noyau, dans quels états sont-elles, tout cela est encore en discussion, et les débats sont bien loin d’être tranchés.
Un des éléments du débat est l’existence d’un magnétisme induit par ce noyau terrestre qui contient une part considérable de fer. Cela suppose en effet que le noyau de fer subisse une rotation qui produit le champ interne de la Terre… En effet, il est impossible que le fer conserve une aimantation permanente vues les hautes températures qui dépassent largement le seuil : point de Curie. Il faut donc que le noyau ferreux soit entouré de fer en fusion et produise un effet d’aimant auto-entretenu par un mécanisme de dynamo dû à la rotation du noyau solide dans le liquide. Cela suppose aussi de hautes températures pour maintenir du fer en fusion malgré des pressions énormes… Mais tout cela dépend aussi de la taille du noyau solide. Est-elle constante ? Ce qui le détermine, c’est la température. Si la chaleur s’accumule au centre, le noyau fond et diminue, modifiant la rapidité du mouvement du noyau solide et l’effet magnétique produit. C’est ce qui semble se produire justement… Ce qui en décide, c’est à la fois l’état des fissions radioactives, le pourcentage de noyaux instables qui se décomposent et la capacité de la chaleur de s’évacuer vers la surface via le manteau et la croûte…
Quelle énergie a réussi à alimenter le champ magnétique terrestre, sachant que celui-ci existe depuis 3,2 milliards d’années alors que la graine solide n’existerait que depuis 2 milliards d’années maximum (en tenant comptant du refroidissement de la boule en fusion originelle) ? Il faudrait que l’on trouve dans le noyau terrestre également du potassium radioactif, ce qui expliquerait aussi le réchauffement actuel par les désintégrations radioactives naturelles dans le noyau…
Avons-nous des raisons de penser que le réchauffement terrestre ait pour origine le noyau de la planète ?
Une des raisons est le fait que les phénomènes dont l’origine est la chaleur de ce noyau semblent de plus en plus actifs : volcanisme, terrestre et sous-marin, tremblements de terre et tsunamis… Là encore, la mesure d’une évolution n’a rien de facile et on peut difficilement dire si les magmas d’aujourd’hui sont plus actifs que ceux d’hier….
Quel rapport, d’ailleurs, le réchauffement de la Terre pourrait bien avoir avec l’évolution de la température du noyau et ses décompositions radioactives ?
Eh bien, il faut d’abord constater que les zones d’où partent ces augmentations de températures semblent bel et bien liées aux failles de l’écorce terrestre par lesquelles la chaleur interne de la Terre trouve son chemin vers l’extérieur….
Un des exemples est le volcanisme de la zone polaire nord. Il semble que la fonte du Groenland ait bel et bien une origine non atmosphérique mais due à la hausse des températures souterraines liées à la hausse de la température du noyau… En effet, il s’avère que le glacier fond par en dessous !
Un autre exemple est la zone d’apparition de masses d’eau chaudes au sein du Pacifique et qui donne naissance périodiquement au phénomène dit « El Ninõ » auquel on attribue une part importante du réchauffement terrestre.
Notons d’abord que l’origine du démarrage des épisodes « El Niño » a été cherché, sans succès, dans des causes climatiques (courants marins, changements de pression ou de température de surface, mouvements atmosphériques et autres…). Cela signifie que son origine n’est pas à la surface de la Terre ni à base climatique. C’est donc bel et bien de la tectonique des plaques et des mouvements magmatiques, c’est-à-dire fondamentalement de changements ou de mouvements démarrant au centre de la Terre, que ce phénomène, qui cause une augmentation de température en surface, découle. S’il est plus fort qu’auparavant, c’est que la chaleur du centre de la Terre l’est également…
Quelle raison y aurait-il que les matériaux radioactifs (noyaux d’atomes lourds et instables) du centre de la Terre émettent des radiations et de l’énergie de manière toujours identique et quelle raison que la chaleur du centre s’évacue vers la surface de manière constante ? Aucune ! Il est tout à fait possible que le centre perde plus de chaleur ou qu’il en accumule plus. On n’a aucune raison physique de croire que la chaleur du noyau soit à l’équilibre ni que la dynamique du noyau reste sans cesse égale à elle-même. Il peut y avoir des à-coups, comme en témoigne El Niño ou des changements lents sur des temps longs, comme en témoigne l’augmentation des volcans et des tremblements de terre ou comme en témoigne la hausse de la température globale.
Mais, direz-vous, cette hausse a déjà trouvé sa raison avec la hausse des gaz « à effet de serre », gaz carbonique, vapeur d’eau et méthane en particulier ?
Ce n’est pas aussi simple. On n’a aucune preuve directe que ce soit la cause et on a plusieurs raisons de penser que ce n’est pas le cas.
Première raison : l’effet de serre est limité dans ses effets et, au-delà d’un seuil, l’effet s’inverse !
Deuxième raison : il y a d’autres rétroactions de l’atmosphère allant en sens inverse, dont l’albédo qui commande le renvoi des rayons lumineux par la Terre.
Troisième raison : il y a les rétroactions liées au vivant, en particulier aux micro-organismes marins.
Quatrième raison : la hausse des températures dépasse largement celle que prédirait l’effet de serre, même au vu des hausses importantes de gaz carbonique d’origine humaine.
Cinquième raison : la hausse des températures qu’il faut prendre en compte dépasse largement celle qui est mesurée. En effet, la température mesurée prend en compte la baisse de l’énergie émise par le Soleil, puisque la Terre est dans une période où elle s’éloigne de son dernier réchauffement, suite au « petit âge glaciaire ».
En somme, au point de vue solaire, nous serions dans une phase de glaciation qui est tempérée par la hausse des températures due à autre chose que le Soleil et donc due à autre chose aussi que l’effet de serre… Comme candidat, il ne reste plus que l’énergie interne du centre de la Terre qui, elle, n’est pas nécessairement en train de baisser et qui dépend des éléments lourds, atomes aux noyaux instables et émettant de l’énergie nucléaire.
Et au point de vue des fissions nucléaires des noyaux instables, on peut se poser la question d’où on est historiquement : est-il possible que ces fissions augmentent ou que l’énergie s’accumule dans l’intérieur de la Terre, incapable de s’extraire suffisamment pour maintenir un équilibre thermique du noyau ? C’est parfaitement possible !
Un calcul scientifique a donné le résultat suivant : une augmentation de température de surface terrestre d’un degré peut provenir d’une augmentation de température du noyau de 15 degrés.
Existe-t-il un moyen de savoir si la fonte du noyau central a augmenté suite à une hausse de température du centre ? Oui, le noyau solide qui tourne dans le liquide en fusion tournerait plus vite. Eh bien, cela semble être le cas !!!
On remarquera déjà que le simple fait que le centre de la Terre ne se soit toujours pas refroidi malgré la remontée de chaleur par le manteau pose déjà question sur la durabilité du phénomène et laisse entendre que l’énergie du noyau a été sous-estimée jusque là…
Conclusion : il se pourrait donc que le centre de la Terre soit donc plus chaud que l’on pensait avant…
D’autre part, dans le bilan énergétique de la Terre, certes le noyau représente un relativement petit nombre de kilomètres par rapport au manteau plus à l’écorce terrestre, il représente seulement 16% du volume total mais il représente 67% de la masse terrestre, ce qui est fondamental en termes de capacité d’accumulation d’énergie !
Boehler, Reinhard. « Melting temperature of the Earth’s mantle and core : Earth’s thermal structure. » Annual Review of Earth and Planetary Sciences 24.1 (1996) : 15-40.
Anzellini, S., et al. « Melting of Iron at Earth’s Inner Core Boundary Based on Fast X-ray Diffraction. » Science 340.6131 (2013) : 464-466.
L’idée d’une espèce de réacteur nucléaire (d’origine non humaine) fonctionnant à l’intérieur de la Terre peut sembler absurde. Pourtant, elle ne l’est pas... Il existe en effet une preuve indiscutable que le phénomène est possible. Dans la mine d’uranium d’Oklo, en République Gabonaise, ont été retrouvés les résidus d’une réaction de fission nucléaire auto-entretenue s’étant déroulée dans la roche il y a environ 1,7 milliard d’années.
La découverte date de juin 1972, lorsque l’on a constaté qu’une partie du minerai était anormalement pauvre en 235U. Il fallut rapidement se rendre à l’évidence, comme le montrèrent les analyses ultérieures : pendant plus de 400.000 ans une série de petits réacteurs nucléaires naturels avaient spontanément démarré puis fonctionné pendant de longues périodes. Originellement dispersé dans du grès, de l’uranium 235 s’était retrouvé rassemblé dans certaines zones jusqu’à atteindre la concentration nécessaire au démarrage de la fission. La présence de circulation d’eau avait servi de modérateur et permis aux réactions en chaîne de se produire lentement mais de façon stable.
En 1992, le chimiste nucléaire Marvin Herndon avait proposé l’existence d’un réacteur nucléaire naturel semblable à ceux d’Oklo à l’intérieur de Jupiter et d’autres planètes géantes. On sait en effet que ces planètes sont plus actives qu’on ne le pensait et qu’elles rayonnent plus d’énergie qu’elles n’en reçoivent du Soleil. Il n’est pas sûr que la simple contraction gravitationnelle selon le mécanisme de Kelvin-Helmoltz, jointe à des processus de changement de phase, comme la condensation de l’hélium, soient à l’origine d’un dégagement suffisant d’énergie pour expliquer les observations.
Herndon avait ensuite étendu ses idées au cas de la Terre en imaginant que l’énergie animant les courants de convection dans le noyau n’était pas due uniquement à la cristallisation lente et continue de la graine. La plupart des géophysiciens et des géochimistes sont restés sceptiques, car il est difficile de croire que le noyau ait pu s’enrichir suffisamment en éléments radioactifs. En effet, selon la composition minéralogique et les conditions physiques, certains éléments peuvent ou non se retrouver associés dans une roche.
Une variante de cette idée vient d’être relancée par le physicien Rob de Meijer de l’University of the Western Cape, Cape Town (Afrique du Sud) et par le géochimiste Wim van Westrenen de la Free University of Amsterdam. Ce ne serait pas dans le noyau mais dans certaines zones à la base du manteau, juste au-dessus de l’interface noyau-manteau, que de l’uranium pourrait s’être accumulé pour former des réacteurs nucléaires naturels.
Les deux chercheurs s’appuient sur une découverte récente de Maud Boyet et Richard Carlson selon laquelle le manteau de la Terre s’est différencié plus rapidement que ce que l’on croyait. Basée sur la comparaison des abondances de 142Nd, un isotope du néodyme, dans les roches terrestres et les chondrites, cette percée dans l’histoire de la Terre primitive implique justement qu’à la frontière noyau-manteau devrait se trouver un réservoir riche en uranium, thorium et potassium, des éléments radioactifs à longue durée de vie dégageant de la chaleur.
Selon De Meijer et van Westrenen, l’uranium pourraient facilement s’accumuler dans la perovskite riche en calcium que l’on trouve à la base du manteau. La concentration à atteindre pour obtenir une réaction en chaîne est encore 20 fois plus importante que ce qui semble possible dans ce silicate mais, selon eux, l’écart n’est pas suffisamment grand pour exclure que le phénomène puisse s’y produire. Les réacteurs nucléaires du manteau, s’ils existent, pourraient même fonctionner comme des surgénérateurs et produire du plutonium. En outre, les produits des réactions contiendraient de l’hélium et du xénon, ce qui pourrait expliquer des anomalies constatées dans les laves remontant en surface au niveau des points chauds.
Qu’est-ce que la radioactivité naturelle qui est source d’énergie du noyau terrestre
D’où provient la chaleur interne de la Terre
Une méthode indirecte pour estimer la température du centre de la terre
Quelle est la température du centre ?
Chaleur de la Terre et géothermie
La thèse de Courtillot sur le réchauffement climatique
Le déplacement du noyau terrestre
Le réchauffement global provient du noyau
Nouveau voyage au centre de la Terre
Comment est mesurée la température du noyau de la Terre ?
Le noyau solide de fer central tourne plus vite
Réponses à quelques questions sur le climat et le réchauffement
Le centre est aussi chaud que la surface solaire
Comment on connaît la température du centre
D’où vient l’énergie du centre ?
Y a-t-il une augmentation des volcans et tremblements de terre ou tsunamis ?
Volcanisme et réchauffement en Islande
Structure interne de la Terre :
1. Croûte continentale
2. Croûte océanique
3. Manteau supérieur (ou Asthénosphère)
4. Manteau inférieur (ou Mésosphère)
5. Noyau externe
6. Noyau interne (ou graine)
A. Discontinuité de Mohorovičić
B. Discontinuité de Gutenberg
C. Discontinuité de Lehmann
Un autre témoignage du réchauffement souterrain : la hausse des tremblements de terre :
Il existe aussi l’hypothèse que des matières radioactives dans le manteau ou le coeur, avec de la radioactivité incontrôlée, proviennent des centrales, du corium des centrales japonaises par exemple...
Messages
1. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 mars 2018, 07:54
Pas un jour ne se passe sans qu’un séisme ne se fasse ressentir sur notre planète : une série de secousses ressenties dans le Var et les Alpes-Maritimes dans la nuit de samedi à dimanche, un séisme de magnitude 6,1 dans le sud du Mexique lundi. Aujourd’hui, un tremblement de terre de magnitude 3,8 s’est produit dans le sud de la Russie dans la matinée, sans pour autant faire de victimes ni de dégâts.
Un tremblement de terre de magnitude 4,8 secoue la Vendée. Dans la nuit de dimanche à lundi, un séisme de magnitude 4,8 a été enregistré à 19 kilomètres de Fontenay-le-Comte. Il a été ressenti jusqu’à Poitiers.
Le séisme qui a frappé en février une zone montagneuse du centre de la Papouasie-Nouvelle-Guinée a fait plus de 100 morts et des milliers de blessés, a annoncé ce vendredi le Premier ministre Peter O’Neill.
Un puissant séisme a secoué vendredi 16 février au soir Mexico, faisant osciller des bâtiments sans provoquer de dégâts majeurs dans l’immédiat, cinq mois après un violent tremblement de terre qui avait tué 369 personnes dans la capitale. « Pour l’instant, il n’y a pas de dégâts signalés », a indiqué sur Twitter le département de la protection civile. « Jusqu’à présent, il n’y a pas de pertes de vies humaines ni de personnes blessées », a déclaré le porte-parole de la présidence, Eduardo Sanchez. La magnitude de la secousse a été évaluée à 7 par le service sismologique mexicain et à 7,5 par l’Institut américain de géophysique USGS, qui l’a ensuite révisée à 7,2. Selon l’USGS, l’épicentre du séisme a été localisé au nord-est de Pinotepa de Don Luis, dans l’Etat d’Oaxaca, à environ 600 kilomètres au sud de Mexico. Selon le réseau Sky Alert, le tremblement de terre a été ressenti dans les Etats de Guerrero, d’Oaxaca et de Puebla. Les services météorologiques américains ont immédiatement prévenu qu’il n’y avait pas lieu de lancer une alerte au tsunami.
Un séisme de magnitude 6,1 avait été enregistré lundi 19 février au Mexique, dans l’Etat d’Oaxaca, déjà frappé vendredi par un puissant tremblement de terre de magnitude 7,2. La secousse a été ressentie jusque dans la capitale, Mexico, où les sirènes d’alarme ont retenti et où des habitants sont descendus dans les rues, ont constaté des journalistes de l’agence de presse Reuters.
Une secousse tellurique vient d’être ressentie du côté d’El Manar, Ennasser, Manzah, Aouina, Bardo… et d’autres cités à Tunis, selon les informations que nous avons eues. L’Institut national de la météorologie, cité par l’agence TAP, indique qu’une secousse tellurique de magnitude 4,7 sur l’échelle de Richter a été enregistrée au large de Bizerte ce jeudi 8 mars vers 17h42. La dernière secousse tellurique enregistrée en Tunisie est datée du 19 janvier 2018 touchant la région de Balta Bou Aouane dans le gouvernorat de Jendouba, avec une magnitude de 2,5 sur l’échelle de Richter.
Un séisme de magnitude 5,7 s’est produit au Japon, non loin de la préfecture de Fukushima, théâtre du plus grave accident nucléaire de l’histoire provoqué par un tremblement de terre et un tsunami en mars 2011.
Depuis le séisme de magnitude 3,5 ressenti dimanche 18 février en France, dans le centre du Var, près de Fayence, les sismologues veulent savoir pourquoi. Pourquoi la terre a tremblé dans un secteur aussi inhabituel ?
Les secousses récentes de magnitude 4,7 au Royaume-Uni, les séismes devenus presque réguliers à Taïwan et les meurtriers en Iran... Tandis que les tremblements de terre semblent devenir effrayamment fréquents, les spécialistes se posent bien des questions pour comprendre cette recrudescence !!!
2. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 avril 2018, 07:05
A La Réunion, le Piton de la Fournaise est entré en éruption…
Le mont Etna, situé en Sicile glisse lentement mais sûrement vers la Méditerranée. Cette constatation a été faite par une équipe de chercheurs britanniques et français de l’Open University scientist et de l’Observatoire de physique du Globe de Clermont-Ferrand. Les résultats de cette longue étude de 11 ans ont été présentés dans la revue Bulletin of Volcanology. De 2001 à 2012, les scientifiques ont réalisé des mesures avec l’aide d’une centaine de GPS placés tout autour de la structure du volcan afin d’enregistrer ses déplacements…
Des chercheurs de l’Université du Texas ont découvert un gigantesque panache qui s’étend du noyau au manteau. Ils ont décelé la présence d’une section du manteau qui semble plus chaude que ses environs. Cette zone se situe en dessous de la région de Yellowstone, aux États-Unis et s’étendrait de la Californie au Mexique. Rappelons qu’à Yellowstone se trouve « la Caldeira », un cratère classé dans la catégorie des supervolcans.
Plusieurs centaines de séismes ont été détectés à Yellowstone, aux États-Unis. Une importante série de petits tremblements de terre dans le parc du Yellowstone, dans le Wyoming, provoque quelques frayeurs chez les habitants de la région. Le plus fort de cet essaim de 537 séismes, de magnitude 3,1, a eu lieu le 18 février, dans la nuit. Une puissante colonne de magma qui remonte progressivement vers l’écorce a été détectée dans les profondeurs terrestres situées sous l’immense volcan de Yellowstone, aux États-Unis. Serait-il en train de se réveiller ?
Since January 2018, over 90,000 people were evacuated due to the eruption of Mayon volcano (Philippines). With still more than 65,000 people in evacuation camps at the beginning of March, the alert level was lowered from ‘4’ (hazardous eruption within days) to ‘3’ (hazardous eruption within weeks) on 6 March, which gradually allowed the majority of the displaced residents to return to their homes. On 29 March, the Provincial Disaster Risk Reduction and Management Council of Albay ordered the full decampment of over 6,000 remaining evacuees following the downgrading of Mayon’s status to alert level ‘2’ (moderate level of unrest) by the Philippine Institute of Volcanology and Seismology. The 6-km Permanent Danger Zone remains off limits due to perennial hazards of rockfalls, avalanche, ash puffs and sudden steam-driven or phreatic eruptions at the summit area.
Costa Rica’s Turrialba Volcano continues sporadic eruptions. The biggest eruption was registered at 8:38 a.m. local time and the cameras located near the crater registered a column of ash that reached between 500-700 meters above the active crater. The activity at the volcano started at 6:30 a.m. with ash columns of close to 300 meters above the crater.
Popocatepetl (Mexico), a “stratovolcano” located near the city, was once again awakened by a small earthquake on Friday evening. During the night vast amounts of thick smoke, along with gas and vapour, were seen pouring out of the mouth of the active volcano. Mexican authorities have set up equipment to keep monitoring the natural phenomenon, but understand its activity can be highly unpredictable. A yellow warning has been issued, urging people “not to approach” the volcano, especially the crater, due to possibility of spewing debris.
The Lombenben volcano on the island of Ambae (Vanuatu) is regarded as one of the most dangerous in the world and increased activity has been recorded at the Manaro Voui crater. The Vanuatu Meteorology and Geohazards Department (VMGD) the raised the alert level for the volcano to three on a scale of 0 to 5 last week following increased activity at Lombenben’s Manaro Voui crater. Communities in the northwestern and southern parts of the island have been worst affected, with reports of buildings and trees collapsing under the weight of the ash. Water supplies have also been contaminated and food gardens smothered.
The infamous volcano Mount Shinmoedake (Japan), which played a prominent role in a 1960s James Bond movie, erupted on Tuesday. The volcano sent ash and smoke thousands of meters into the sky, canceling flights and creating unease for local residents.
The "Ayrantokan” mud volcano in Baku’s Garadagh district (Azebaidjan) erupted on March 29 at around 21:10. The eruption lasted up to seven minutes and was accompanied by flames, which reached a height of about 100-150 meters above the volcanic crater. The eruption covers an area of up to 2 hectares and varies from 0.3 to 1.2 meters in thickness. There are no settlements around the mud volcano. Radial cracks have formed in the volcanic area.
The September earthquakes shook things up at El Popo with the result that 2017 saw the largest number of volcano tectonic earthquakes ever recorded at the active volcano in central Mexico. Compared to the data from the previous 23 years, 2017 saw a whopping 558% increase in the number of such movements. On September 7, an 8.2-magnitude earthquake with an epicenter 630 kilometers from Popocatépetl, the volcano’s full name, rocked southeastern Mexico. Later that month, on September 19, a 7.1 earthquake hit central Mexico ; its epicenter was located just 73 kilometers from the volcano. The surge in the volcano’s activity has been directly attributed to the massive September earthquakes, leading to an increase in the pressure within Don Goyo, as the volcano is called by the residents living in its vicinity. But just as the volcanic activity increased, so did the release of the pressure through explosions and emissions, said Carlos Valdés González, head of the National Center for Disaster Prevention. Despite the increase in volcanic activity, El Popo’s volcanic alert remains at yellow, phase 2. Valdés recalled that in 2000 the activity was intense enough to warrant the preventive evacuation of over 41,000 people.
Volcano in Indonesia belches toxic fumes that poison 30 people. Spokesman Sutopo Purwo Nugroho said more than 170 residents of several villages on the volcano’s slopes had to flee. He said some suffered shortness of breath and vomiting following the steam and gas-based eruption about 7:15 p.m. on Wednesday. The mountain is known for its stunning sulfur lake and night-time sulfur mining involving dangerous and backbreaking work by low paid laborers.
3. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 avril 2018, 09:30
Volcans, séismes ne sont pas les seules manifestations... Il y a de nouveaux gouffres, de nouveaux trous, de nouvelles failles. C’est le cas au Kenya, par exemple. Une énorme crevasse s’est ouverte dans la vallée du Grand Rift. C’est une faille béante visible sur plusieurs kilomètres, qui atteint 20 mètres de largeur par endroits et au moins 15 de profondeur. Au Kenya, dans la vallée du Grand Rift, les habitants de Mai Mahiu ont vu cette crevasse séparer le sol en deux le 18 mars dernier. Cette région possède une spécificité géologique : la vallée du Rift est un ensemble de plusieurs failles et ruptures de la couche externe de la croûte terrestre qui s’étire sur 6 000 kilomètres, partant de l’Afrique australe plus au sud jusqu’à la mer Rouge et passant sous la corne de l’Afrique.
Lucia Perez Diaz du Royal Holloway à la University of London : "Cela amène les chercheurs à poser à nouveau la question de la séparation en deux du continent africain.... Lorsque la lithosphère est soumise à une force d’extension horizontale, elle s’étire et devient plus fine. Elle finira par se fracturer, menant à la formation d’une vallée du rift."
La fragilisation de la lithosphère de la vallée du grand rift est provoquée par un panache au niveau de l’asthénosphère, la couche située sous la lithosphère. Ce renflement de magma presse contre cette dernière et cette pression, combinée à une augmentation de chaleur, affaiblit la lithosphère, l’étire, et mènera à terme à sa fracture.
4. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 avril 2018, 09:35, par alain
Y a-t-il effectivement une recrudescence de formations de trous et de gouffres ?
5. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 avril 2018, 09:38, par Robert
Oui, on l’a bien remarqué. Mais ce n’est pas seulement l’action de l’intérieur qui cause mais également les eaux et les forages de pétrole ou de gaz. Par exemple, c’est le cas des gouffres du Texas. voir ici
6. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 avril 2018, 06:27
L’institut d’études géologiques des États-Unis (USGS) a enregistré l’épicentre du séisme dans la ville d’Amherstburg, située au sud de Windsor en Ontario.
Un séisme de 3,6 n’est pas un grand tremblement de terre, mais il est arrivé dans une région où il n’y en a habituellement pas, c’est assez surprenant
Jessica turner, géophysicienne pour l’USGS
La terre a tremblé en Ontario et aussi du côté des États-Unis, dans l’état du Michigan.
Les autorités géologiques américaines disent que la secousse de magnitude 3,6 s’est produite près de la ville d’Amherstburg, en Ontario. La magnitude a ensuite été revue à 4,1, par Ressources naturelles Canada.
Selon Ressources naturelles Canada, le séisme a été ressenti à Windsor, Essex, Kingsville et Ahmerstburg à 20 h 01.
Le 15 mai 2017, un petit tremblement de terre avait eu lieu près de Leamington.
Et aussi…
Une série de séismes d’une magnitude maximale de 6,1 se sont produits dans la nuit de dimanche à lundi dans la préfecture japonaise de Shimane, dans le sud-ouest du pays.
Un tremblement de terre de magnitude 6,1 a été enregistré dans la région de l’archipel des Moluques, en Indonésie, selon l’Institut d’études géologiques des États-Unis (USGS).
Un séisme d’une magnitude de 6,9 sur l’échelle de Richter a frappé la Papouasie-Nouvelle-Guinée vendredi, selon l’Institut américain de géologie (USGS).
Un tremblement de terre d’une magnitude de 4,7 s’est produit dans le centre de l’Italie ce mardi matin, à 2 km au sud-est de Muccia, une ville dévastée par un séisme majeur en 2016, dans la province de Macerata.
Jeudi, un séisme de magnitude 5,9 sur l’échelle de Richter a eu lieu en Iran, dans la province de Bushehr (zone de construction de centrales nucléaires).
A San Francisco, un séisme de magnitude 3,9 a secoué le sud de la Baie, aux environs de San José. L’épicentre a été localisé à 15 km au nord-est de la ville, mais plusieurs gratte-ciel du Downtown ont vibré. Avec 7 failles majeures dans les environs (lundi, c’est celle de Calaveras qui a bougé), les habitants de la baie de San Francisco sont sur le qui-vive dès qu’il est question de tremblements de terre. D’autant qu’il s’en produit en permanence. Le 3 mars, les chaînes locales faisaient état de 31 secousses (mineures) en moins de vingt-quatre heures. Le 4 janvier, c’était à Berkeley.
Séisme d’une magnitude 5,2 en Turquie dans la province d’Adiyaman, dans la nuit de lundi à mardi, dans le sud du pays.
Tremblement de terre de magnitude 3,3 à 10 km au nord-ouest de La Pocatière, dans le fleuve Saint-Laurent au Canada.
Après le but d’un séisme à Koulibaly (près de Turin), des secousses sismiques ressenties (à Naples) !
Un séisme d’une magnitude 2,6 a été ressenti en France à l’ouest du département du Var, ce mercredi 18 avril vers 20h45.
7. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 mai 2018, 16:22
L’éruption spectaculaire du volcan Kilauea, l’un des plus actifs au monde, a provoqué des coulées de lave rougeoyante jusque dans les zones d’habitation jeudi, poussant des milliers d’habitants de Hawaï à fuir.
Le gouverneur de l’île du Pacifique David Ige a déclaré l’état d’urgence afin de pouvoir mobiliser tous les services et les fonds d’urgence de l’Etat liés aux catastrophes naturelles.
Les médias locaux montraient des rues bloquées par la police et une coulée de lave rougeoyanteen train de progresser, ou encore une coulée de lave brûlant dans la forêt dense entourant le volcan Kilauea, comme une barrière de magma.
Des "vapeurs et de la lave se sont échappées par une fissure dans la zone de Mohala Street", a écrit la Défense civile locale sur son compte Facebook, un responsable local précisant qu’environ 10.000 personnes habitent la zone concernée par les évacuations
8. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 mai 2018, 16:26
À Yellowstone, le plus grand geyser du monde est entré en éruption et les scientifiques ignorent pourquoi...
Lire ici
9. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 5 mai 2018, 06:45
Après l’éruption du volcan Kilauea, un séisme de magnitude 6,9 frappe Hawaï...
10. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 8 mai 2018, 08:56
Un gouffre géant d’origine volcanique s’est ouvert sur les terres d’une ferme, dans la baie de Plenty, en Nouvelle-Zélande, révélant un gisement volcanique vieux de 60 000 ans. Le volcanologue Brad Scott a estimé que c’était le plus gros gouffre qu’il ait jamais vu. Selon les chercheurs, cette faille devrait continuer à progresser dans les prochaines années. Une clôture va être installée pour éviter que le bétail tombe dans le trou.
D’autres failles pourraient apparaître dans la région.
11. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 mai 2018, 08:03
Un cratère proche du sommet du volcan hawaïen Kilauea a explosé tôt jeudi 17 mai, poussant les autorités à inciter les habitants à se mettre à l’abri. L’Observatoire des volcans d’Hawaï a signalé que l’explosion à l’intérieur du cratère Halemaumau du Kilauea avait dégagé un nuage qui atteignait 9 000 mètres de hauteur et dérivait vers le nord-est. Depuis mardi, l’alerte rouge a été déclenchée autour du volcan Kilauea, après une intensification de l’activité sismologique et une éruption de fumée volcanique.
12. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 mai 2018, 08:42
La préfecture de Mayotte a activé mercredi matin sa cellule de crise (centre opérationnel départemental), face aux multiples séismes qui secouent l’île depuis jeudi dernier, alors qu’une nouvelle secousse mardi soir, de magnitude 5,8, la plus importante jamais enregistrée sur l’île, a fait trois blessés légers.
« La situation est préoccupante et il y a des inquiétudes dans la population », a indiqué le préfet de Mayotte Dominique Sorain à la presse, soulignant que lors de ce dernier séisme, les standards des lignes de secours ont été saturés et que certaines personnes avaient préféré passer la nuit dehors.
13. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 mai 2018, 08:45
Un tremblement de terre d’une magnitude de 3,5 a été ressenti le 4 mai vers 23 h 36. Son épicentre était situé en Allemagne à 8 km de la ville de Mülheim. Ses effets ont été ressentis en Alsace mais également dans le massif vosgien.
14. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 mai 2018, 08:19
Le volcan de Hawaï vient de connaître sa plus forte explosion...
15. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mai 2018, 08:06
18 mai
Une secousse vient de se faire sentir au niveau du département du Centre d’Haiti, plus précisément à Belladère et à Las Cahobas ce lundi, a rapporté la Direction de la protection civile sur son compte Twitter.
La nouvelle a été signalée par les structures communales de l’entité qui informe que le tremblement de terre a créé la panique au sein de la population à Belladère.
Le réseau Sismalp a enregistré le lundi 7 mai à 20h08 un tremblement de terre de magnitude 3.01, dont l’épicentre se trouve à 5 km de profondeur, sur le territoire de la commune de Saint-François-Longchamp. Ce séisme a été ressenti en Basse-Maurienne, des témoignages font état de « vitres qui tremblent » à Randens, près d’Aiguebelle, par exemple, mais on ne signale aucun dégât. Cet événement s’inscrit dans le cadre de l’ « essaim sismique » documenté depuis juillet 2017 dans ce secteur. L’activité sismique semblait être en pause depuis quelques semaines : le dernier tremblement de terre significatif datait du 13 avril, il était de magnitude 2,53, à4 km de profondeur sur le territoire de la commune de La Chapelle.
16. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 mai 2018, 07:46
Les séismes se poursuivent à Mayotte, "plus de 700" recensés depuis le 10 mai...
17. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 juin 2018, 07:37
200 personnes ont été prises dans un piège mortel par le volcan au Guatémala !
18. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 juin 2018, 07:38
L’avancée des recherches au pied du volcan Fuego, au Guatemala, le confirme d’heure en heure. L’éruption de dimanche a déclenché des nuées ardentes qui ont recouvert plusieurs villages situés en contrebas, ne laissant presque aucune chance aux habitants. Des coulées de boues volcaniques ont suivi, amplifiant le désastre.
19. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 juin 2018, 07:42
De nombreux autres volcans menacent : lire ici
20. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 juin 2018, 07:18
Mayotte secouée jour et nuit par des tremblements de terre…
En deux semaines, un grand nombre de microséismes ont eu lieu dans le Canal de Mozambique, à Madagascar….
Un tremblement de terre d’une magnitude de 3,7 sur l’échelle de Richter a eu lieu, vendredi à 03h15 (heure locale) dans la wilaya Batna, en Algérie…
Une secousse tellurique d’une magnitude de 4,8 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée lundi dans la province de Midelt, au Maroc. Secousse tellurique à Ouarzazate…
Chaque année, des centaines de séismes se font sentir dans l’Est du Canada, et le Québec n’y échappe pas. Les régions les plus à risque sont le Saguenay, Québec, les régions de Montréal et de l’Outaouais…
Tremblement de terre de magnitude 3,1 dans le Limbourg, en Belgique…
Un séisme de magnitude 5,5 se produit à Hawaï, non loin du volcan en éruption…
Un séisme de magnitude 5,7 frappe le nord-est de la Chine…
Séisme au Bénin, un fait rare dans cette zone. Les populations de Houéyogbé en particulier celles de l’arrondissement de Doutou ont vécu un phénomène naturel rarissime dans la localité. Dans la nuit d’hier à aujourd’hui, 2 juin 2018, la terre a tremblé dans cette localité. Des secousses ont été ressenties jusqu’à la lisière de Lobogo, dans la commune de Bopa….
Un séisme de magnitude 4,2 frappe la République tchèque…
Tout cela en quelques jours…
21. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 juin 2018, 11:37
tremblement de terre, de magnitude 5,3 selon l’institut américain USGS, s’est produit près d’Osaka et à une profondeur de 15,4 kilomètres, à 7h58 locales (23H58 dimanche heure française). Il a causé des coupures d’électricité dans certaines zones, entraînant la suspension du trafic ferroviaire à une heure de forte affluence et affectant plus de 170.000 foyers, mais il n’a pas provoqué de mouvement de panique. Les chaînes de télévision montraient des passagers descendant dans le calme sur les voies, à l’aide d’échelles apposées par le personnel du réseau ferroviaire.
L’Autorité de régulation nucléaire a indiqué n’avoir rien détecté d’anormal dans les centrales de la région, tandis que plusieurs usines dont le constructeur d’automobiles Honda ont suspendu la production pour procéder à des vérifications.
22. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 juin 2018, 11:39
Mayotte : avec plus de 1400 séismes en un mois, la population vit dans la peur...
23. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 juin 2018, 11:46
Séisme 4,8 en Indonésie sur l’île de Madura, séisme 6,2 dans le nord de l’Afghanistan, séismes à Hawaï, séisme 5,7 au nord-est de la Chine, séisme dans le sud du Salvador, séisme 5,2 dans le sud de l’Iran, séisme 5,2 dans le sud-est de la Turquie, séisme 5,6 dans l’ouest du Japon, séisme 4,4 à Java, séisme 7,5 en Papouasie-nouvelle guinée (au moins 125 morts), etc, etc...
ça chauffe par en dessous !!!
24. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 juin 2018, 05:30, par Arthur
Activité sismique exceptionnelle à Mayotte, séisme 6,2 au nord de l’Afghanistan, séisme 6,1 dans l’archipel des Philippines, éruption volcanique au Guatemala et au Vanuatu, etc, etc…
Effectivement, il y a quelque chose de chaud qui s’accroît en dessous...
25. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 juin 2018, 05:32, par Arthur
En même temps, séismes : Japon, Indonésie, Chine, Salvador, Iran, etc, etc...
26. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 juillet 2018, 07:26
ça ne se calme pas !
Tremblement de terre en Israël (en Galilée), au Japon (Tokyo et Osaka), en Grèce (dans le sud), en France (Savoie et Maurienne), au Canada (Laurentides), en Nouvelle Calédonie (Vanuatu), en République du Congo, dans l’extrême orient russe, à Taiwan et en Chine (Sichuan). Et on en passe…
Eruption volcanique ou réveil de volcan : La Réunion, Bali, Hawaï, Antarctique, Guatemala, Galapagos, Japon, Vanuatu, Italie, Philippines, Papouasie, etc…
27. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 août 2018, 06:36
Les tremblements de terre se multiplient : Indonésie (île de Lombok), Algérie (Tiaret), Israël (mer de Galilée), Alaska, Japon (Tokyo), Kabylie (Béjaïa), La Réunion, France (Montbéliard), Tunisie (Sousse), Grèce (dans le sud), Yémen, Chine (Sichuan), Mexique, etc…
28. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 août 2018, 10:01
En Iran, c’est toute une série de séismes...
Plusieurs secousses telluriques se sont produites dans les parties sud et ouest de l’Iran, faisant au moins 287 blessés rien que dans la province du Kermanshah, a annoncé l’agence iranienne Tasnim se référant au gouverneur de la province.
Le département iranien pour les Situations d’urgence avait antérieurement parlé de 146 blessés dans les tremblements de terre de dimanche.
D’après le gouverneur de la province du Kermanshah, les séismes ont touché 43 villages : 101 maisons ont été complètement détruites et plus de 800 maisons gravement endommagées.
Selon le chef du service médical d’urgence, Pirhossein Kolivand, 21 personnes ont été hospitalisées.
Deux tremblements de terre ont été enregistrés dimanche près de la ville de Lar, dans la province côtière du Hormozgân (sud), après 05h00 UTC, d’après l’Institut d’études géologiques des États-Unis (USGS). La plus forte secousse était de magnitude 5,4. Son hypocentre est situé à 10 km de profondeur.
29. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 août 2018, 11:39
Troisième séisme en deux semaines à Lombok !!!
30. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 7 septembre 2018, 08:13
Les séismes sont partout en augmentation :
un séisme de magnitude 5,2 secoue le centre de la Grèce...
un séisme de magnitude 7,3 au Venezuela
un séisme de magnitude 7,1 en Nouvelle Calédonie
un séisme de magnitude 6,0 en Iran
un séisme de magnitude 5,5 en Russie dans les régions de Tcheliabinsk et de Sverdlovsk
un séisme de magnitude 5,6 au Japon
un séisme de magnitude 7,6 au Honduras
et même en France voir ici dans les Pyrénées
31. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 septembre 2018, 07:37
Un tsunami a fait une cinquantaine de morts dans les iles Célèbes, après un tremblement de terre de magnitude 7,5 ce qui est très fort, et qui concernait toute la région Indonésie, Malaisie, Philippines …
Les séismes : Indonésie, Guadeloupe, Japon, Guam, Grèce, Haïti, France (Bretagne, Hautes Alpes), les séismes, avec ou sans tsunamis, se multiplient !!!
32. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 30 septembre 2018, 09:43
Séisme et tsunami ont fait 900 morts en Indonésie !
33. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 16 octobre 2018, 06:44
Sur la théorie de la Terre en expansion :
Lire ici
34. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 22 octobre 2018, 07:50
Lire ici des études sur le noyau de la Terre :
Lire ici
cliquer ici
Cliquer là
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cliquer toujours
35. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 1er décembre 2018, 08:05
Le sud de l’Alaska vient d’être touché par un puissant tremblement de terre, cela n’a rien d’étonnant ? Et si ! C’est une vague de tremblement de terre qui a parcouru en fait en quelques jours la planète !!!
Un tremblement de terre de magnitude évaluée à 7 a en effet secoué le sud de l’Alaska ce vendredi 30 novembre...
Le 29 novembre il secouait Sumatra Nord (Indonésie) et la Colombie britannique...
Le 27 novembre, il avait touché Bridgetown (la Barbade)...
Et aussi Vanuatu, près de la Nouvelle Calédonie, toujours le 27 novembre...
Et encore le Japon le 27 novembre...
Le 26 novembre, le séisme avait frappé l’Iran...
Mercredi, la terre avait tremblé dans les Hautes Pyrénées (deux tremblements de terre) et dans l’Ain...
En même temps, Mayotte enregistrait cinquante-six séismes, de magnitude supérieure à 3.5, en trois semaines...
Nous n’avons pas cité tous les séismes de ce qu’on peut appeler dès maintenant une vague planétaire mais les média n’en ont rien, grand silence qui est là aussi un séisme... médiatique cette fois. Les classes possédantes ont décidé d’occulter quelque chose !!!
36. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 27 décembre 2018, 07:14
En quelques jours, les séismes se suivent plus rapidement et s’aggravent : en Indonésie, en Sicile, au Kamtchatka, au Japon, à Tonga, en Alaska...
37. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 février 2019, 09:31
Fin février :
Pérou, Colombie, Equateur : séisme 7,5
Indonésie : séisme 5,4
Chili : séisme 5,3
Brésil : séisme 5,6
Martinique : séisme 4,8
Californie : séisme 3,1
Marseille : séisme 3,5
Centre Bretagne : séisme 3
Quoi d’exceptionnel dans tout cela ?
Indonésie : Une vitesse de propagation étonnante
Californie : la situation empire...
Au fait, les dinosaures ont-ils été tués par des éruptions volcaniques ? Une étude relance le débat
38. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 7 avril 2019, 06:42, par R.
Deux tremblements de terre en Aquitaine en deux semaines !
En trois jours : Californie, Timor, Equateur, Falklands, Tokyo, Bretagne, Barcelone, Cornouailles, Pyrénées, Grèce, Brest, Bordeaux, Limousin, Philippines, etc...
Cela fait beaucoup !!!
Il y a de quoi s’interroger sur la recrudescence des séismes, y compris dans des zones autrefois peu sismiques...
39. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 7 mai 2019, 06:38, par Paul
Oui, de manière irrégulière, par à-coups. Mais le soleil, lui, se refroidit. De la sorte, qu’il y a des froid historiques suivis de chauds historiques !
40. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 mai 2019, 19:53
Encore une vague de tremblements de terre mondiaux assez exceptionnels avec la profondeur et l’extension du tremblement de terre du Pérou mais aussi au Venezuela et en Colombie, mais aussi des tremblements de terre en Haute Savoie, en Suisse, à Tokyo, en République du Congo, aux Pays-Bas, en Bretagne, dans le Chablais, à Panama, etc, etc, tout cela en quelques jours...
41. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 5 juin 2019, 07:50, par A. Mantoux
Je ne comprends pas votre point de vue : vous semblez penser que le volcanisme croissant, dû à des hausses d’activité centrale terrestre, pourrait faire monter la température de surface de la Terre alors qu’il me semblait que les scientifiques avaient toujours considéré que le volcanisme faisait descendre la température.
42. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 5 juin 2019, 07:50, par Robert Paris
Il faut tout d’abord remarquer que, dans l’histoire de la Terre, il y a eu périodiquement des phases de hausse du grand volcanisme et même de volcanisme géant et que ces derniers sont reconnus par tous les scientifiques comme la source d’une forte hausse de la température de la Terre.
Ensuite, s’il est exact que les particules fines envoyées dans l’atmosphère par les volcans terrestres ont un effet de diminution de l’arrivée des rayons solaires sur le sol terrestre, il faut aussi penser à l’effet du volcanisme sur la température du sol, et tout particulièrement dans deux cas importants et fréquents : les volcans sous la glace et la neige et les volcans sous-marins. Dans ces trois cas (grand volcanisme, volcans sous neige et glace et volcans sous-marins), l’effet global du volcanisme est clairement une hausse des températures.
43. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 juin 2019, 13:59
Un fort séisme a secoué l’ouest de la France ce vendredi matin. D’une magnitude comprise entre 4 et 4,5, il a été ressenti très loin. Notamment en Nouvelle-Aquitaine. « Le tremblement de terre de ce matin, l’un des plus forts depuis 50 ans dans l’Ouest », disent les spécialistes.
En même temps, séisme de magnitude 6,4 au Japon, séisme de magnitude 7,3 en Indonésie, séisme de magnitude 5,6 en Californie, séisme de magnitude 3,7 en Italie, séisme de magnitude 7,3 en Australie et on en passe…
44. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 5 juillet 2019, 05:57
La Californie a été ébranlée ce jeudi par une secousse de magnitude 6,4, le séisme le plus puissant à frapper cette région depuis 1999. Dernier avertissement pour Los Angeles ?!!!
En même temps, le Canada deux tremblements de terre de 6,4, l’Alaska 4,7, la Colombie britannique 6,2, etc...
En 24 heures voici ce que relèvent les spécialistes :
List of 10 largest earthquakes in the world (past 24 hours) :
#1 : M 6.4 quake : 10km ENE of Ridgecrest, CA (USA) on Thu, 4 Jul 17h33 - 10 hours ago
#2 : M 6.2 quake : 196km WSW of Bella Bella, Canada on Thu, 4 Jul 04h30 - 23 hours ago
#3 : M 5.7 quake : New Zealand on Thu, 4 Jul 02h46 - 1 day 1 hours ago
#4 : M 5.1 quake : Sichuan, China on Thu, 4 Jul 02h17 - 1 day 2 hours ago
#5 : M 5.0 quake : New Ireland Region, P.N.G. (Papua New Guinea) on Thu, 4 Jul 19h22 - 9 hours ago
#6 : M 4.9 quake : Kuril Islands (Russia) on Thu, 4 Jul 11h42 - 16 hours ago
#7 : M 4.8 quake : Peru-Ecuador Border Region on Thu, 4 Jul 18h21 - 10 hours ago
#8 : M 4.7 quake : Northern and Central Iran on Thu, 4 Jul 06h27 - 21 hours ago
#9 : M 4.7 quake : Northern Molucca Sea (Indonesia) on Thu, 4 Jul 16h40 - 11 hours ago
#10 : M 4.6 quake : New Zealand on Thu, 4 Jul 01h52 - 1 day 2 hours ago
Et ce ne sont que les principaux...
45. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 juillet 2019, 08:49
Un séisme de magnitude 7,1 ébranle la Californie, sans faire de victime
Ce séisme fait suite au tremblement de terre de magnitude 6,4 survenu la veille dans cet Etat du sud des Etat-Unis. Les deux tremblements de terre ont été suivis de répliques.
46. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 juillet 2019, 08:54
Selon le centre américain de veille sismique (USGS), la secousse est 11 fois plus puissante que celle enregistrée la veille.
47. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 7 juillet 2019, 07:06
Quasi en même temps que le séisme 7,1 en Californie :
Séisme 7,3 de l’Indonésie à l’Australie !!!
Séisme 6,2 entre Panama et Costa Rica !!!
Séisme 5,6 à Vanuatu
En fait, il y a eu 3000 tremblements de terre depuis le 4 juillet et les plus gros sont à venir !!!
Voir ici
48. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juillet 2019, 13:50, par R. A.
Voyez-vous quelques bizarreries du volcanisme et des tremblements de terre qui justifieraient votre thèse ?
49. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juillet 2019, 13:50, par Robert Paris
Oui, il y a plein.
Commencez par les deux tremblements de terre qui viennent d’avoir lieu en Californie.
Poursuivons :
Un volcan dans le triangle des Bermudes surprend les géologues
A Mayotte, un nouveau volcan soulève le sol et des questions
L’éruption explosive sensationnelle du volcan Raikoke étonne
En Italie, la dernière éruption du volcan Stromboli sort de l’ordinaire
Etc, etc…
Mais surtout, le nombre de séismes majeurs est en augmentation régulière !!!
50. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juillet 2019, 14:00
Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Geophysical Research : Solid Earth révèle que les tremblements de terre ont également provoqué d’affaissement généralisé pour les plus de 55 000 habitants des Samoa américaines : l’élévation du niveau de la mer est cinq fois plus rapide que la moyenne mondiale.
Comme d’autres régions insulaires et côtières à travers le monde, les Samoa et les Samoa américaines font face à une apparente montée des eaux généralement expliquée par le réchauffement global. Après les méga-tremblements de terre, les chercheurs ont découvert que ces îles du Pacifique connaissaient une diminution de altitude. La situation est particulièrement préoccupante pour les Samoa américaines, où l’équipe estime qu’au cours des 50 à 100 prochaines années, le niveau de la mer au niveau local pourrait augmenter d’environ 35 cm les effets anticipés du changement climatique.
Bien que les contributions des grands tremblements de terre ne soient pas les mêmes partout, la découverte souligne les effets parfois négligés de la géologie sur le nombre croissant de personnes dans le monde résidant sur des côtes basses.
"Tout le monde parle des questions de changement climatique ... mais ils ont négligé l’impact du séisme et de l’affaissement des terres associé", a déclaré le responsable de l’étude, Shin-Chan Han de l’Université de Newcastle, en Australie, faisant référence à des documents de gouvernements régionaux sur l’élévation du niveau de la mer. « C’est une chose très importante à souligner », déclare la géophysicienne Laura Wallace du cabinet de conseil en géoscience GNS Science. "Cela a évidemment un impact important sur les changements relatifs du niveau de la mer que les gens vont voir dans des endroits comme les îles Samoan."
La tectonique des plaques remodèle constamment la surface de notre planète, un rôle particulièrement évident lors d’un séisme. En règle générale, ces événements se produisent lorsque des plaques tectoniques s’entrechoquent ou glissent les unes contre les autres, créant ainsi un stress géologique. Lorsque cette énergie accumulée est libérée soudainement, des blocs de la croûte de la planète risquent de se perdre.
Mais tout changement consécutif d’un grand tremblement de terre n’est pas immédiat. Contrairement à la croûte rigide, les roches du manteau se comportent comme de la mélasse froide et s’adaptent progressivement à la secousse soudaine de la surface, explique Wallace. Cela peut causer un affaissement ou un soulèvement du sol qui peut durer des décennies après un tremblement de terre.
Le séisme majeur de 2009 était un tremblement de terre particulièrement inhabituel qui a tout d’ abord déconcerté les scientifiques , car il s’agit en fait d’une double secousse qui se sont produites au même moment. L’une d’elles s’est cassée le long d’une faille dite normale, créée en raison de la courbure de la croûte océanique alors qu’elle plonge sous une autre plaque tectonique dans ce qu’on appelle une zone de subduction. Un autre tremblement de terre s’est quant à lui dans la zone de subduction à cause des forces de compression des plaques en collision.
Les chercheurs ont étudié les effets persistants de ces tremblements de terre en utilisant une combinaison de données du satellite gravimétrique GRACE et de relevés GPS et marégraphiques locaux. Ils ont ensuite construit un modèle informatique pour mettre en évidence l’interaction complexe entre les trembleurs et ce qui se passe à la surface. Ces données montrent que le paysage s’enfonce lentement, principalement à cause du séisme de faille normale. Ce tremblement de terre fait tomber un côté du paysage par rapport à l’autre, ce qui a provoqué l’enfoncement des îles voisines.
L’équipe a constaté que près de 10 ans après l’événement, l’île de Samoa avait vu sont altitude baisser de 0,4 pouce par an. La situation est particulièrement critique pour les Samoa américaines, qui ont subi plus de 0,6 pouce d’affaissement chaque année et qui ne semblent pas devoir s’arrêter de si tôt. Le rythme dépasse le taux estimé d’élévation du niveau de la mer au niveau mondial, qui grimpe de 1,2 cm par an .
Il est possible que des effets similaires puissent se produire sur d’autres îles proches des zones de collision des plaques. L’importance générale des nouveaux travaux montre que les causes des variations du niveau de la mer dans un lieu donné sont bien plus complexes que la simple montée des eaux lié à la fonte des glaces suite au réchauffement des mers.
« Les gens pensent que l’élévation du niveau moyen de la mer est globale alors ce n’est pas le cas », déclare Don Chambers de l’Université de la Floride du Sud , expert en utilisation des données gravimétriques par satellite pour étudier le niveau de la mer. Mais une foule d’autres facteurs perturbent les bassins océaniques. Certaines de ces causes sont d’origine humaine, comme l’extraction des eaux souterraines ou la compression des sédiments par les villes en expansion, la diminution de l’apport sédimentaires des grands fleuves suite à la construction de barrage ou de ponction de matériaux dans les lit des cours d’eau qui font s’affaisser le terrain. Ce type d’effet se rencontre notamment dans le delta du Mississipi, du Gange, du Nil, ...
51. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 15 juillet 2019, 08:19
En Indonésie, un fort séisme de magnitude 7,3 frappe les îles Moluques.
Fort séisme également au large du nord-ouest de l’Australie...
Les tremblements même en France ont actuellement un caractère exceptionnel :
Séisme en Béarn, séisme en Charentes maritimes, séisme à Cholet et dans tout l’ouest (quatre fois de suite des séismes sensibles et dans l’Ouest, a un tremblement de terre tous les quatre jours.), séisme en Poitou, etc…
Au point que certains spécialistes pensent que l’Auvergne peut se réveiller !!!
52. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 juillet 2019, 07:58
Le 15-16 juillet 2019 :
Tremblements de terre en Californie, à Bali, en Papouasie, aux Moluques, à Mexico, dans l’ouest de l’Australie, au Canada…
Un séisme de magnitude 6,6 a secoué dimanche l’ouest de l’Australie, a rapporté l’Institut d’études géologiques des Etats-Unis (USGS), un phénomène rare dans cette région…
53. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 juillet 2019, 08:45
Et maintenant, les séismes touchent la Grèce, Bali, Mexico et Bressuire...
54. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 juillet 2019, 07:06
Les éruptions volcaniques exceptionnelles se multiplient... Etna, Pérou, Papouasie, Kouriles, Mayotte, Ontake, etc...
55. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 août 2019, 08:36
Les failles à l’origine des deux récents séismes californiens présentent une étrange structure.
Il y a quelques jours, le sud de la Californie a été agité par deux intenses séismes. L’analyse effectuée par les sismologues a révélé d’étonnantes propriétés sismiques. La rupture s’est produite le long de failles à la structure tectonique perpendiculaire complexe peu courante, créant ainsi un ensemble structurel de failles multi-plan intrigant les géophysiciens.
Selon les géophysiciens, bien que les séismes génèrent des répliques, il est généralement estimé qu’il n’y a que 5% de chances qu’un séisme soit suivi d’un autre encore plus puissant. Mais ce n’était pas la seule caractéristique inhabituelle de ce duo sismique en Californie du Sud. Dans ce cas, il s’avère que la Terre a été “déchirée” de façon étrange.
En particulier, les tremblements de terre se sont produits sur des failles perpendiculaires, dans une zone réputée comme étant assez complexe géologiquement. Le 4 juillet, le séisme de magnitude 6.4 a frappé la région peu peuplée de Californie à 4h33, heure locale, à environ 196 km au nord-est de Los Angeles (et à 18 km à l’est-nord-est de Ridgecrest). Ce tremblement de terre a été suivi de plusieurs répliques, selon l’US Geological Survey (USGS).
Les sismologues ont averti qu’une puissante réplique d’une magnitude égale ou supérieure était une possibilité. Seulement un jour plus tard, à 20h19 (heure locale), un séisme de magnitude 7.1 — 11 fois plus puissant que celui du 4 juillet — a eu lieu à environ 11 km au nord-ouest de son prédécesseur. Le réseau de fissures dans la croûte terrestre, où les tremblements de terre se sont produits, se trouve à l’intérieur de la plaque nord-américaine, qui heurte la plaque du Pacifique se déplaçant vers le nord-ouest.
« Cette zone ne correspond pas au cas d’école de plaques glissant les unes sur les autres » et les failles relativement courtes se croisent sur plusieurs plans. En fait, le séisme de magnitude 6.4 a commencé à une profondeur de 10.7 km, alors que l’épicentre du séisme plus important était beaucoup plus profond, à 17 km sous la surface. Le séisme de magnitude 7.1 a provoqué une faille dans la zone de Little Lake — les fissures à cet endroit près de Ridgecrest ont tendance à se déplacer dans la direction nord-ouest-sud-est.
Michele Cooke, sismologue à l’Université du Massachusetts : « Nous n’avons pas beaucoup de tremblements de terre dans nos enregistrements qui montrent un glissement simultané sur deux failles perpendiculaires ».
Une telle rupture complexe est dangereuse. « Cela augmente le défi de la prévision des risques sismiques, car des ruptures complexes surviennent sur plusieurs failles et affectent des régions plus vastes » ajoute Cooke.
Ces deux séismes pourraient également être un autre signe que de plus en plus d’actions sismologiques commencent à se produire, non pas le long de la tristement célèbre faille de San Andreas, mais plutôt dans la soi-disant zone de cisaillement de l’est de la Californie (ECSZ). « Je ne suis pas encore convaincue de cela, mais je pense que ce récent groupe de séismes dans la ZSCE est très intéressant » déclare Cooke, en se référant aux tremblements de terre de 1992 et 1999 dans la zone.
« Sans aucun doute, les tremblements de terre ont généré une tension sur la faille. La question la plus difficile est de savoir si ces derniers ont surchargé les failles proches, et si suffisamment de stress géologique a été libéré » conclut Cooke.
56. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 août 2019, 05:44
De mystérieux cratères géants commencent à apparaître en Sibérie dans le permafrost, sol gelé. Certains parlent d’un phénomène nouveau. Ces trous sont parfaitement ronds. Encore mieux : des douzaines de trous, plus petits, ont été trouvés à côté des grands. Les premiers ont été découverts en 2014 par des pilotes dans le district de Yamalo-Nenets, en Sibérie. Un an après la formation de ce gouffre, de nouveaux trous impressionnants continuent de se former en Sibérie. La profondeur du cratère le plus important atteint 60 mètres. "J’étais très choqué quand j’ai vu ces gouffres pour la première fois. On peut y mettre une maison de 25 étages", a déclaré le correspondant du média RT, Vitaliï Bouzouev. Le volcanisme peut parfaitement expliquer les trous, même si la mode actuelle préfère s’en tenir une fois de plus au réchauffement climatique qui, selon elle, ferait fondre le permafrost.
Car, en même temps, on constate une augmentation de la chaleur issue de l’intérieur de la Terre, de mille manières…
Nombre de volcans voient une recrudescence de leur activité.
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, le volcan Ulawun, situé sur l’île de Nouvelle-Bretagne, est entré en activité le 26 juin 2019, causant de nombreux dégâts et entraînant le déplacement de plusieurs milliers d’habitants. Une recrudescence de son activité volcanique a été enregistrée le 4 août suite à de fortes émissions de vapeurs, de dioxyde de soufre et une faible éruption de cendres.
Le mont Asama, l’un des volcans les plus actifs du Japon, s’est réveillé dans la nuit en projetant des cendres et de la fumée sur près de 2.000 mètres dans le ciel.
Deux volcans ont repris leur activité en même temps, l’un en Indonésie et l’autre en Sicile. L’île de Stromboli au large de la Sicile a connu une nouvelle forte éruption volcanique mercredi 28 août, ont annoncé les pompiers italiens. L’éruption du Krakatoa a surpris les autorités indonésiennes. Il y a à peu près une cinquantaine de volcans susceptibles d’entrer en éruption en Indonésie.
A Mayotte, le volcan sous-marin découvert en mai continue de grossir…
Il y a 1511 volcans actifs sur Terre, dont une soixantaine fait éruption chaque année. Depuis une vingtaine d’années, le nombre de volcans actifs est en augmentation et les éruptions volcaniques sont plus nombreuses.
Éruptions volcaniques en 2013 : 83
Éruptions volcaniques en 1990 : 55
Il y a eu 42 éruptions volcaniques seulement depuis janvier 2019 !!!
Sachant que nombre d’éruptions, intervenant dans le fond des océans, se dérobent à nos yeux, ces chiffres sont largement à augmenter !!!
57. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 16 septembre 2019, 10:00
Six nouveaux volcans sous-marins détectés au large de la Sicile : lire ici
Le panache qui alimente le supervolcan de Yellowstone s’étend jusqu’en Californie ! Lire ici
Il y a aussi le nouveau volcan de Mayotte : lire ici
lire aussi
Aux îles Tonga aussi, on a découvert de nouveaux volcans sous-marins !!! voir ici
Des quantités de volcans ont de nouvelles éruptions : par exemple ici Ubinas du Pérou
58. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 22 septembre 2019, 08:15, par séismes
ça bouge là-dessous...
fort séisme en Albanie
le Stromboli en éruption
tremblement de terre à Fukushima
séisme en Indonésie
séisme en France (Pau, Bretagne, Rennes)
séisme en Grèce
séisme en Martinique
séisme à Java
séisme à Madagascar
séisme au Québec
q"isme dans l’Oregon
etc, etc...
59. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 septembre 2019, 07:36, par Robert Paris
Peut-on trouver dans le passé de la Terre les manifestations de réactions nucléaires du noyau terrestre, demande un lecteur ?
Vincent Courtillot, dans « La dynamique du globe contrôle-t-elle l’évolution des espèces ? » :
« Il y a 250 millions d’années, 99% au moins de tous les individus de toutes les espèces qui vivaient sur Terre ont disparu. C’est à peine imaginable, en termes de disparition de biomasse et en termes de catastrophe planétaire. (…)
A travers le monde entier, plusieurs équipes se sont attachées non seulement à regarder, plus en détail, la période de la disparition des dinosaures, mais aussi toutes les autres extinctions. En même temps, les géophysiciens se sont intéressés à chercher s’il y avait d’autres endroits que l’Inde où l’on observait ces épanchements volcaniques extraordinaires. Il y a en fait une dizaine de grands « pâtés » volcaniques qui font au moins un million de kilomètres-cubes en volume, répartis à la surface de la Terre. Pour chacun d’entre eux, les chercheurs se sont livrés aux mêmes analyses que nous avions faites en Inde ; le résultat est que la quasi-totalité des formations volcaniques coïncide avec la quasi-totalité des grandes extinctions. En particulier, la grande catastrophe d’il y a 250 millions d’années, à la fin du primaire, correspond à une énorme formation volcanique, les « trapps de Sibérie », bien connue des géologues et des économistes, parce que l’on y trouve des richesses minérales considérables, d’ailleurs liées au volcanisme. (…)
Que s’est-il passé à l’intérieur de la Terre, sous la croûte, dans le manteau terrestre, qui a conduit à de pareils événements ? La dernière fois que s’est produite pareille monstruosité à la surface de la Terre, c’était il y a 30 millions d’années. Le volcanisme correspondant forme le haut plateau éthiopien. Ce plateau volcanique, sur lequel est construit Addis-Abeba, à 2 000 mètres d’altitude (et dont on retrouve un fragment détaché au sud de l’Arabie, au Yémen) est un énorme volcan, formé il y a 30 millions d’années, non pas au moment d’une grande disparition d’espèces, mais au moment d’une des principales crises climatiques de l’ère tertiaire. Cela correspond, en particulier, à la véritable apparition des glaciations dans l’Antarctique. Il semble qu’il y ait une relation entre le volcanisme des « trapps de l’Ethiopie » et l’établissement de ce régime froid, glaciaire particulier, dans lequel nous sommes encore (même si ce moment de notre histoire est plutôt une confortable phase interglaciaire qu’une phase glaciaire à proprement parler).
Peu après la mise en place des « trapps d’Ethiopie », une déchirure est venue les traverser. Il y a donc manifestement une relation entre l’arrivée de ces bulles magnétiques à la surface et les grands moments où se déchirent les continents à la surface du globe, où s’ouvrent les bassins océaniques. Ainsi, la naissance des trois grands bassins (nord, central et sud) de l’océan Atlantique correspond à l’apparition de trois grands trapps (Groenland-Nord des îles anglo-irlandaises, côtes est-américaines et marocaine, bassin du Parana en Amérique du Sud et d’Etendeka en Afrique. (…)
Le champ magnétique de la Terre n’a pas toujours pointé vers le Nord. Le champ magnétique de la Terre s’est inversé des centaines de fois au cours de l’histoire de la Terre… Il est frappant de voir que deux gros trapps (Inde et Sibérie) et les deux plus grandes extinctions d’espèces ont suivi de peu ces périodes de grand calme magnétique. Le noyau de la Terre participerait-il au déclenchement de ces gigantesques catastrophes qui conduisent uax extinctions en masse ?
Le noyau de fer liquide de la Terre, qui fabrique le champ magnétique, a sa dynamique propre ; est-il couplé d’une certaine façon, à travers le manteau, avec la surface de la Terre ? Comment un tel couplage est-il possible ? (…)
Le manteau n’est pas homogène, comme on le croyait, mais formé de grandes masses un peu plus informes, plus lourdes et plus froides, qui sont sans doute des morceaux de plaques lithosphériques réinjectées à l’intérieur de la Terre. On savait depuis longtemps que ces plaques pouvaient descendre jusqu’à 700 kilomètres de profondeur ; on s’aperçoit qu’elles peuvent en fait parfois plonger jusqu’à la base du manteau, s’empiler sous forme de véritables cimetières : des cimetières de plaques océaniques à 2 900 kilomètres sous nos pieds. Cette énorme masse froide et lourde vient se poser à la surface du noyau, dans lequel se fabrique le champ magnétique.
La Terre est un objet en train de se refroidir ; sa façon normale de se refroidir, c’est la convection d’ensemble du manteau, qu’accompagne la dérive des continents : la formation de la croûte, le flux de chaleur, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques sont l’expression de ce refroidissement. Apparemment, ce système ne parvient pas ainsi à se débarrasser de la chaleur de manière suffisamment efficace. De temps en temps, un autre mode de convection de la matière conduit à la formation de ces énormes instabilités qui très rapidement vont emmener une part importante de matière et avec elle, une quantité importante de chaleur, jusqu’à la surface.
Le noyau essaie de se débarrasser de sa chaleur et un isolant vient l’en empêcher. Les hétérogénéités du manteau inférieur se réchauffent alors, s’allègent et peuvent de temps en temps devenir instables et remonter… A la base du manteau, ces instabilités formées de matériaux légers, peuvent atteindre la surface, déclencher les éruptions des trapps et provoquer les fameuses extinctions.
Tout le système « Terre » (manteau, descentes de plaques froides, remontées d’instabilités chaudes, volcanisme catastrophique, évolution des espèces biologiques) formerait alors un grand ensemble couplé. (…)
Si l’on imagine qu’une plaque, l’Inde par exemple, dérive au-dessus d’une instabilité (bulle en forme de champignon de liquide léger instable placé à la base d’un liquide dense), au moment où la bulle arrive en surface, elle va former des « trapps ». (…) On retrouve donc, à la surface de la Terre, l’histoire d’une ascension qui vient probablement de près de 3 000 kilomètres de profondeur à l’intérieur du manteau. (…)
Lors de la dernière grande éruption d’un trapp, il y a 30 millions d’années, l’espèce humaine n’existait pas encore. Depuis 30 millions d’années la Terre n’a pas connu d’événement d’ampleur semblable. Et nous ne savons pas quand se produira le prochain, dans quelques millions ou quelques dizaines de millions d’années, bien qu’il soit presque certain. »
60. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 8 octobre 2019, 07:44, par Robert Paris
Le noyau terrestre est monté à 6000° en surface du noyau :
lire ici une étude de scientifiques du synchroton européen de Grenoble (ESRF), du CEA et du CNRS
Voir ici quand on estimait la température du noyau à 4000° !
61. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 8 octobre 2019, 08:12, par A.M.
L’activité géothermique, accrue par le réchauffement du noyau terrestre depuis 2012, a provoqué une ouverture dans l’une des principales cavités. D’immenses quantités de gaz provenant des émanations volcaniques, jusqu’alors piégées sous la glace, ont alors été libérées dans l’atmosphère. Cela devrait provoquer, à moyen terme, des perturbations climatiques limitées aux parties les plus australes de l’hémisphère sud.
62. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 8 octobre 2019, 08:19, par Jean-Marc
On a découvert un réchauffement terrestres qui ne peut absolument pas provenir de celui de l’atmosphère : c’est le réchauffement du "manteau" de la Terre !!!
Pas un petit réchauffement : 60° !!! Lire ici
ON ne réchauffe pas de 60° de la matière solide en masse en réchauffant d’un ou deux petits degrés l’air au dessus !!!
C’est le noyau de la Terre qui réchauffe bel et bien l’ensemble.
63. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 octobre 2019, 07:46, par Alexis
C’est le noyau chaud de la Terre, et non le réchauffement climatique, qui est responsable de la fonte de la calotte glaciaire du Groenland.
La calotte glaciaire du Groenland fond, mais il s’avère que le responsable n’est pas le réchauffement climatique, comme certains voudraient vous le faire croire. Au lieu de cela, les chercheurs ont maintenant trouvé la preuve qu’une source de chaleur cachée au fond de la planète se trouve derrière cette fonte qui entraîne les glaciers dans l’océan.
Des chercheurs de l’Université d’Aarhus au Danemark ont utilisé une étude menée pendant dix ans sur le fjord Young Sound au Groenland pour tirer leurs conclusions. Tout au long de l’enquête, des mesures ont été prises sur les niveaux de salinité et les températures dans le fjord, où l’eau à des profondeurs variant entre 200 et 330 m s’est graduellement réchauffée.
Ils ont découvert qu’une grande partie de cette chaleur provenait de l’intérieur de la Terre. Selon leurs estimations, 100 mégawatts d’énergie par mètre carré ont été transférés de l’intérieur de la Terre vers le fjord, et on croit que des quantités de chaleur semblables ont été transférées vers le dessous des glaciers environnants. Cela équivaut à peu près à une éolienne de 2 mégawatts qui envoie de l’électricité à un gigantesque radiateur au fond du fjord tout au long de l’année. Leurs conclusions ont été publiées dans la revue Scientific Reports.
La perte en chaleur de l’intérieur de notre planète réchauffe essentiellement les températures de l’eau profonde où se trouvent les fjords, faisant fondre les glaciers. La chaleur, que l’on appelle flux de chaleur géothermique, se trouve un peu partout sur notre planète et remonte jusqu’à sa naissance. Comme les flux ne sont pas distribués uniformément, il peut être difficile de les mesurer. Cette étude est unique en ce qu’elle a réussi à identifier le flux de chaleur du réchauffement d’une masse d’eau presque stagnante qui dure depuis dix ans.
De plus, les scientifiques disent que le réchauffement et la fonte sous les calottes glaciaires que ces flux de chaleur induisent « lubrifient essentiellement l’interface entre la glace et le sol, ce qui accélère considérablement le mouvement de la glace ».
Se référant à la calotte glaciaire du Groenland comme SIG, les chercheurs écrivent dans l’abrégé : « Une compilation d’enregistrements de flux de chaleur du Groenland montre l’existence de sources de chaleur géothermique sous le SIG et pourrait expliquer les zones de haute vitesse glaciaire comme le courant glaciaire du nord-est du Groenland ».
Les températures au cœur de notre planète sont estimées à environ 6 000 degrés Celsius. La surface du soleil a des températures similaires, et ce type de chaleur peut être vu quand les volcans entrent en éruption ou dans les sources chaudes, par exemple.
Cette étude montre très clairement que la nature elle-même est responsable de la fonte des calottes glaciaires au Groenland.
64. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 11 octobre 2019, 06:14, par alain
D’accord, le noyau chauffe, mais pourquoi pas aussi l’effet de serre ?
65. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 11 octobre 2019, 06:14, par R.P.
Parce que l’effet de serre atteint visiblement ses limites en termes d’augmentation du réchauffement. Le CO² a beau monter exponentiellement, il n’entraîne plus de réchauffement. Les systèmes nuageux et marins ont leurs rétroactions…
66. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 octobre 2019, 07:15, par R.
Mille degrés de plus pour le centre de la Terre !!!
La limite du noyau est d’une température plus élevée que la surface solaire et pourtant certains ne parviennent pas à imaginer que le noyau soit responsable du réchauffement de la Terre alors qu’il est clair que le manteau terrestre a, lui aussi, fortement augmenté de température !!!
67. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 octobre 2019, 07:16, par R.
Le moteur interne de la Terre fonctionne à environ 1 000 degrés Celsius (environ 1 800 degrés Fahrenheit) plus chaud que précédemment, fournissant une meilleure explication de la façon dont la planète génère un champ magnétique, selon une nouvelle étude.
Une équipe de scientifiques a mesuré le point de fusion du fer avec une grande précision dans un laboratoire, puis s’est inspirée de ce résultat pour calculer la température à la limite des noyaux interne et externe de la Terre - estimée à 6 000 ° C (environ 10 800 ° F). C’est aussi chaud que la surface du soleil.
La différence de température est importante, car cela explique la manière dont la Terre génère son champ magnétique. La Terre a un noyau interne solide entouré d’un noyau externe liquide qui, à son tour, est recouvert d’un manteau solide mais fluide. Une différence de 2 500 degrés F (1 500 ° C) entre le noyau interne et le manteau est nécessaire pour stimuler les "mouvements thermiques" qui, parallèlement au spin de la Terre, créent le champ magnétique.
La température centrale précédemment mesurée ne démontrait pas suffisamment de différence, ce qui déroutait les chercheurs depuis deux décennies. Les nouveaux résultats sont détaillés dans le numéro du 26 avril de la revue Science.
La pièce maîtresse de l’expérience était une nouvelle technique à rayons X qui prend les mesures plus rapidement qu’auparavant. Les échantillons de fer comprimés en laboratoire ne durent généralement que quelques secondes, ce qui complique la tâche de déterminer dans les expériences précédentes si le fer est toujours solide ou s’il commence à fondre.
La technique utilise la diffraction qui se produit lorsque les rayons X, ou d’autres formes de lumière, frappent un obstacle et se plient autour de celui-ci. Les scientifiques ont envoyé des éclats de rayons X sur l’échantillon et ont observé la "signature" du chauffage, qui est un anneau diffus qui indiquait la température.
Ces expériences ont établi le point de fusion du fer à 4 800 ° C (environ 8 700 ° F) à une pression de 2,2 millions de fois supérieure à celle trouvée à la surface de la Terre, au niveau de la mer.
Extrapolant à partir de cette mesure, les scientifiques ont estimé que la frontière entre le noyau interne et le noyau externe de la Terre était de 10 832 F, à environ 930 degrés, à une pression de 3,3 millions d’atmosphères (ou 3,3 millions de fois la pression atmosphérique au niveau de la mer).
Parmi les organisations participant à l’expérience figurent le CEA, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et le Centre européen de rayonnement synchrotron (ESRF).
source
68. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 octobre 2019, 07:17, par R.
Le manteau de la Terre est plus chaud de… 60°…
Prendre la température intérieure de la Terre : Une nouvelle étude surprenante révèle que le manteau est plus chaud que prévu
La température de l’intérieur de la Terre affecte tout, du mouvement des plaques tectoniques à la formation de la planète.
Une nouvelle étude menée par la Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI) suggère que le manteau - la partie essentiellement solide et rocheuse de l’intérieur de la Terre située entre son noyau surchauffé et sa couche crustale externe - pourrait être plus chaud qu’on ne le pensait auparavant. La nouvelle découverte, publiée le 3 mars dans la revue Science, pourrait changer la manière dont les scientifiques pensent de nombreux problèmes liés aux sciences de la Terre, notamment la formation des bassins océaniques.
"Au niveau des dorsales océaniques, les plaques tectoniques qui forment le fond de la mer se sont progressivement séparées", a déclaré Emily Sarafian, l’auteure principale de l’étude, étudiante de troisième cycle du programme commun MIT-WHOI. "Les roches du manteau supérieur montent lentement pour combler le vide entre les plaques, fondant au fur et à mesure que la pression diminue, puis se refroidissant et se solidifiant à nouveau pour former une nouvelle croûte au fond de l’océan. Nous voulions pouvoir modéliser ce processus, nous avions donc besoin connaître la température à laquelle le manteau rocheux qui monte commence à fondre. "
Mais déterminer cette température n’est pas facile. Comme il n’est pas possible de mesurer directement la température du manteau, les géologues doivent l’estimation à l’aide d’expériences en laboratoire simulant les pressions et les températures élevées régnant à l’intérieur de la Terre.
L’eau est un composant essentiel de l’équation : plus il y a d’eau (ou d’hydrogène) dans la roche, plus la température à laquelle elle va fondre est basse. On sait que la roche péridotite qui compose le manteau supérieur contient une petite quantité d’eau. "Mais nous ne savons pas précisément comment l’ajout d’eau modifie ce point de fusion", a déclaré le conseiller de Sarafian, le géochimiste de l’OMS, Glenn Gaetani. "Donc, il y a encore beaucoup d’incertitude."
Sarafian a mené une série d’expériences de laboratoire utilisant un appareil à piston-cylindre, une machine qui utilise du courant électrique, des plaques de métal lourd et des piles de pistons afin de grossir la force recréer les températures élevées et les pressions profondes de la Terre. En suivant la méthodologie expérimentale standard, Sarafian a créé un échantillon de manteau synthétique. Elle a utilisé une composition minérale normalisée connue et l’a séchée à l’étuve pour éliminer le plus d’eau possible.
Jusqu’à présent, dans des expériences comme celles-ci, les scientifiques qui étudient la composition des roches ont dû supposer que leur matériau de départ était complètement sec, car les grains de minéraux avec lesquels ils travaillent sont trop petits pour analyser l’eau. Après avoir effectué leurs expériences, ils corrigent le point de fusion déterminé de manière expérimentale pour tenir compte de la quantité d’eau connue dans le manteau.
"Le problème est que les matières de départ sont des poudres et qu’elles adsorbent l’eau atmosphérique", a déclaré Sarafian. "Alors, que tu aies ajouté de l’eau ou non, il y a de l’eau dans ton expérience."
Sarafian a adopté une approche différente. Elle a modifié son échantillon de départ en ajoutant des sphères d’un minéral appelé olivine, présent naturellement dans le manteau. Les sphères étaient encore minuscules - environ 300 micromètres de diamètre ou la taille de grains de sable fins - mais elles étaient suffisamment grandes pour permettre à Sarafian d’analyser leur teneur en eau à l’aide de la spectrométrie de masse à ions secondaires (SIMS). À partir de là, elle a pu calculer la teneur en eau de tout son échantillon de départ. À sa grande surprise, elle trouva qu’il contenait à peu près la même quantité d’eau que celle que l’on sait être dans le manteau.
Sur la base de ses résultats, Sarafian a conclu que la fusion du manteau devait commencer à une profondeur inférieure au fond sous-marin par rapport aux prévisions précédentes.
Pour vérifier ses résultats, Sarafian a transformé les magnétotelluriques - une technique qui analyse la conductivité électrique de la croûte et du manteau sous le fond marin. La roche en fusion conduit l’électricité beaucoup plus que la roche solide et, en utilisant des données magnétotelluriques, les géophysiciens peuvent produire une image montrant l’endroit où la fusion se produit dans le manteau.
Toutefois, une analyse magnétotellurique publiée dans Nature en 2013 par des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de San Diego a montré que les roches du manteau fondaient à une profondeur plus profonde sous le plancher océanique que les données expérimentales de Sarafian l’avaient suggérées.
Au début, les résultats expérimentaux de Sarafian et les observations magnétotelluriques semblaient se contredire, mais elle savait que les deux devaient être corrects. Conciliant les températures et les pressions mesurées par Sarafian dans ses expériences sur la profondeur de fusion tirée de l’étude Scripps, elle a abouti à une conclusion surprenante : le manteau océanique supérieur doit être à 60 ° C plus chaud que les estimations actuelles ", a déclaré Sarafian.
Une augmentation de 60 degrés pourrait ne pas sembler beaucoup comparée à une température de fusion du manteau supérieure à 1 400 ° C. Mais Sarafian et Gaetani disent que le résultat est significatif. Par exemple, un manteau plus chaud serait plus fluide, ce qui aiderait à expliquer le mouvement des plaques tectoniques rigides.
source
69. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 octobre 2019, 07:18, par R.
Y a-t-il des réacteurs nucléaires au cœur de la Terre ?
Les réacteurs à fission peuvent brûler depuis des milliards d’années.
Philip Ball
Deux scientifiques ont affirmé que des réacteurs nucléaires pourraient être en train de brûler très profondément sous terre. Selon eux, l’uranium pourrait se concentrer suffisamment à la base du manteau de la Terre pour déclencher une fission nucléaire autonome, comme dans un réacteur de fabrication humaine.
Ce n’est pas la première fois que des « géoréacteurs » naturels au plus profond de la Terre sont proposés, et l’idée a déjà été accueillie avec scepticisme par les géoscientifiques. Cependant, le physicien Rob de Meijer de l’Université Western Cape à Cape Town en Afrique du Sud et le géochimiste Wim van Westrenen de l’Université libre d’Amsterdam aux Pays-Bas estiment que leur nouvelle proposition1 est plus plausible.
La désintégration radioactive d’isotopes instables d’éléments lourds tels que l’uranium se produit constamment sous la surface de la Terre. L’énergie libérée contribue de manière significative à la chaleur du manteau de la Terre, qui est également réchauffée par le noyau de fer en fusion de la planète. Ce chauffage combiné crée des courants de convection dans le rocher du manteau, qui alimente la dérive des plaques tectoniques à la surface, ce qui engendre des chaînes de montagnes et des tremblements de terre.
Mais le « brûlage » intense du combustible radioactif dans les réacteurs nucléaires repose sur une réaction en chaîne dans laquelle la désintégration nucléaire de certains atomes libère des particules subatomiques qui stimulent la désintégration des autres. Cela n’est possible que si les atomes en décomposition sont beaucoup plus concentrés qu’ils ne le sont généralement dans les roches et les minéraux. « Dans le manteau normal, il n’ya aucun moyen d’obtenir une concentration suffisante », déclare van Westrenen.
Allumage spontané
Pourtant, il est clair que des réacteurs nucléaires naturels peuvent se produire. Les roches de la croûte terrestre à Oklo au Gabon, en Afrique, apportent des preuves non équivoques de l’inflammation spontanée de la fission de l’uranium dans les gisements minéraux il ya 1,7 milliard d’années.
On pense que c’est un cas très inhabituel. Mais certains chercheurs ont déjà suggéré, bien que ce ne soit pas un point de vue général, que la gravité puisse causer une concentration d’éléments radioactifs ultra-lourds tels que l’uranium. Ces éléments pourraient s’enfoncer dans le noyau de la Terre, où ils s’enrichiraient suffisamment pour enflammer les géoréacteurs.
Toutefois, ces propositions ne semblent pas correspondre à ce que l’on sait sur la façon dont les éléments sont répartis entre le manteau et le noyau. De Meijer et van Westrenen ont maintenant une idée différente, qui s’inspire des découvertes récentes concernant la distribution d’un isotope du néodyme, un élément rare, dans les roches2,3.
Ces observations suggèrent qu’il existe un « réservoir » de matériaux au fond de la Terre, qui se sont formés peu de temps après la naissance de la planète, il ya environ 4,5 milliards d’années, et ne se sont pas mélangés au reste du manteau.
Le seul endroit où un tel réservoir pourrait facilement exister est au fond même du manteau, à la limite du noyau, où les courants de convection ne parviennent pas vraiment à causer beaucoup de remue-ménage.
Réacteur en direct
Dans un article à paraître dans le South African Journal of Science1, les deux chercheurs ont estimé la quantité d’uranium que pourrait contenir le réservoir. Ils notent que l’uranium et son produit de désintégration, le plutonium, sont plus facilement incorporés dans la perovskite de silicate de calcium, un minéral qui représente 5% du manteau inférieur, que dans les deux autres minéraux qui composent cette partie de la terre profonde. Cela concentre les éléments radioactifs dans un petit volume.
Néanmoins, les calculs montrent qu’un réservoir isolé vieux de 4,5 milliards d’années situé à la limite cœur-manteau contiendrait une concentration 20 fois trop faible de ces éléments pour déclencher une réaction en chaîne. Ce n’est cependant pas un déficit important. De Meijer et van Westrenen affirment que la fusion et d’autres processus géologiques pourraient bien permettre de concentrer la matière fissile jusqu’à atteindre le seuil d’allumage.
En fait, disent-ils, s’il n’y avait pas eu cette lacune initiale, la totalité de la frontière entre le noyau et le manteau aurait probablement été transformée en réacteur nucléaire à vie.
source
• References
1. de Meijer, R. J. & van Westrenen, W. S. Afr. J. Sci. (in the press).
2. Boyet, M. & Carlson, R. W. Science 309, 576–581 (2005).
3. Carlson, R. W., Boyet, M., Horan, M. Science 316, 1175–1178 (2007).
4. Araki, T. et al. Nature 436, 499–503 (2005).
70. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 1er novembre 2019, 06:58, par Scott
La calotte glaciaire du Groenland fond, mais il s’avère que le responsable n’est pas le réchauffement climatique, comme certains voudraient vous le faire croire. Au lieu de cela, les chercheurs ont maintenant trouvé la preuve qu’une source de chaleur cachée au fond de la planète se trouve derrière cette fonte qui entraîne les glaciers dans l’océan.
Des chercheurs de l’Université d’Aarhus au Danemark ont utilisé une étude menée pendant dix ans sur le fjord Young Sound au Groenland pour tirer leurs conclusions. Tout au long de l’enquête, des mesures ont été prises sur les niveaux de salinité et les températures dans le fjord, où l’eau à des profondeurs variant entre 200 et 330 m s’est graduellement réchauffée.
Ils ont découvert qu’une grande partie de cette chaleur provenait de l’intérieur de la Terre. Selon leurs estimations, 100 mégawatts d’énergie par mètre carré ont été transférés de l’intérieur de la Terre vers le fjord, et on croit que des quantités de chaleur semblables ont été transférées vers le dessous des glaciers environnants. Cela équivaut à peu près à une éolienne de 2 mégawatts qui envoie de l’électricité à un gigantesque radiateur au fond du fjord tout au long de l’année. Leurs conclusions ont été publiées dans la revue Scientific Reports.
Se référant à la calotte glaciaire du Groenland comme SIG, les chercheurs écrivent dans l’abrégé : « Une compilation d’enregistrements de flux de chaleur du Groenland montre l’existence de sources de chaleur géothermique sous le SIG et pourrait expliquer les zones de haute vitesse glaciaire comme le courant glaciaire du nord-est du Groenland ».
Les températures au cœur de notre planète sont estimées à environ 6 000 degrés Celsius. La surface du soleil a des températures similaires, et ce type de chaleur peut être vu quand les volcans entrent en éruption ou dans les sources chaudes, par exemple.
Selon Science Daily, la calotte glaciaire du Groenland est une énorme masse de glace qui couvre les quatre cinquièmes de la surface du Groenland. Il mesure environ 2 400 kilomètres du nord au sud, son point le plus large mesurant 1 100 kilomètres. Fabriqué à partir de couches de neige comprimée accumulées depuis plus de 100 000 ans, il constitue un enregistrement utile des climats du passé. C’est le deuxième plus grand corps de glace au monde, après l’inlandsis antarctique.
Son niveau record de fonte devrait contribuer à l’élévation du niveau de la mer et pourrait modifier les schémas de circulation océanique à l’avenir. Les alarmistes du réchauffement climatique considèrent depuis longtemps que cette fonte est causée par l’activité humaine, mais cette étude montre très clairement que la nature elle-même est responsable de la fonte des calottes glaciaires au Groenland.
71. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 12 novembre 2019, 06:11
Témoignages d’une activité anormale du noyau : des séismes étonnants ont lieu...
Un séisme "d’une intensité incroyable" (magnitude 5,4) a touché la commune du Teil en Ardèche... La terre tremble dans la Drôme, mais les secousses sont ressenties dans le Puy-de-Dôme et en Haute-Loire... La secousse a été ressentie dans une vaste zone du sud de la France allant jusqu’à Saint-Etienne, Grenoble et Lyon.
Et aussi en Iran, aux Philippines, en Suisse, en Iralie, en Martinique, etc...
72. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 14 novembre 2019, 07:57
La Terre tremble plus...
Elle a tremblé à Montélimar, à Strasbourg, dans le Morbihan, dans la région de Lyon, les Pyrénées, la Bretagne, Bagnols sur Cèze, etc...
Et le reste du monde !!!!
73. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 novembre 2019, 09:20
Des séismes exceptionnels se poursuivent en France. Par exemple, dans la nuit de samedi à dimanche dans l’Ardèche, un nouveau séisme au même endroit que précédemment un très fort le 11 novembre... Un séisme de magnitude 3,8 dans les Pyrénées... Un séisme dans les Deux-Sèvres... Un séisme entre Angers et Saumur... Dans le Maine et Loire, et à Combrailles... Et on en passe...
74. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 27 novembre 2019, 06:07
Et encore en France, séismes en Ardèche, à Cannes, etc.
Séismes en Albanie, Bosnie, Alaska, Nouvelle Guinée, Laos, Iran, Philippines, Indonésie, Les Saintes, Bali, Thaïlande, Japon, Nepal…
Mais augmentent-ils ?
Oui, dans l’Est du Texas
Oui, au Japon
Oui, à Manille
Oui, en Inde
Oui, en Californie
Et encore…
Etc, etc…
75. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 novembre 2019, 07:26
Après l’Albanie, un fort séisme ressenti en Crète
76. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 décembre 2019, 04:17, par Robert
A preuve que la température du noyau s’accroît : ses manifestations vers l’extérieur sont plus sensibles comme la hausse de la température du manteau et les éruptions volcaniques.
Eruptions volcaniques nouvelles : en Nouvelle Zélande, aux Tonga, à La Réunion, en Papouasie-Nouvelle Guinée, à Hawaï, en Sicile, au Japon, en Russie, au Pérou, Islande, Guatemala, Philippine, etc.
Et aussi l’éruption volcanique sous-marine la plus importante de l’histoire !
77. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 décembre 2019, 05:22, par noyau
L’origine de l’étonnant tremblement de terre au Teil en Drôme-Ardèche est naturelle : le noyau se réchauffe !!!
78. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 03:40, par Laurence
Incroyable ! Il fait au moins aussi chaud au centre de la Terre qu’à la surface du Soleil et cela augmente. Et pourtant, on nous dit que cela n’influerait quasiment pas sur la température terrestre alors que la chaleur centrale inonde le manteau !!!
79. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 03:41, par Laurence
Courtillot : Voyage au centre de la Terre
https://www.youtube.com/watch?v=xAbmzJPbvf8
La Terre et le réchauffement climatique par Courtillot
https://www.youtube.com/watch?v=6Z-sawOdF-k
Réalités sur l’évolution du climat
https://www.youtube.com/watch?v=v-HD3I4CfIk
Il n’y a aucun réchauffement climatique
https://www.youtube.com/watch?v=pNThA15OyFU
80. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 03:42, par Laurence
Un réacteur nucléaire naturel dans le manteau terrestre ?
Voir ici
81. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 03:44, par Laurence
Les résidus radioactifs du noyau terrestre peuvent-ils s’entretenir mutuellement ? Certains n’envisageaient que le fait qu’ils perdent tranquillement leur énergie mais, à un certain niveau, ces éléments radioactifs se rendent instables collectivement, à preuve le lancement par des grosses planètes de nouveaux soleils !
82. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 03:47, par Laurence
Certains pensaient que les noyaux radioactifs étaient presque tous morts mais la durée de demi vie de l’Uranium 238 est l’âge actuel de la Terre !!!
83. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 04:03, par Laurence
Et l’Uranium émet une chaleur incroyable ! Mille milliards de milliards d’atomes se désintègrent dans 1 gramme d’uranium en 1 seconde.
84. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 04:04, par Patrick
Marvin Herndon, géophysicien à San Diego, aux États-Unis, postule que nous sommes assis sur un énorme ... réacteur nucléaire !
Si la théorie de Herndon est vraie, ce serait la plus grande nouvelle en géophysique depuis des décennies. « Je la classerais là-haut avec la tectonique des plaques comme l’une des découvertes vraiment formidables », explique Hatten Yoder, directeur émérite du Geophysical Laboratory de la Carnegie Institution de Washington. L’idée a également des implications immédiates pour les êtres humains et tous les autres êtres vivants sur Terre. S’il laisse ouverte la question de savoir si la fission nucléaire est un moyen sensé de produire de l’énergie, cela signifie au moins que la fission est un processus naturel, voire essentiel. "Nous lui devons notre vie", dit Herndon. Cette réaction nucléaire souterraine, dit-il, est la dynamo qui alimente le champ magnétique terrestre, qui nous protège des ravages du soleil.
Dans la communauté géophysique, Herndon est bloqué sur sa propre plaque tectonique. Selon la théorie du noyau dominant, le champ magnétique est alimenté par des vortex dynamolike de fer fondu et de nickel tourbillonnant autour d’une boule de fer-nickel solide, pas - comme le prétend Herndon - par des flux de particules chargées entourant un réacteur nucléaire en flammes. Alors que Herndon a poussé la prémisse pendant 11 ans et publié des articles dans des revues impressionnantes, y compris les Actes de la Royal Society de Londres, son travail est rarement cité par d’autres géophysiciens. Sa théorie n’est pas tant réfutée qu’ignorée.
Le premier élément de preuve provenait d’une mine au Gabon, en Afrique, où en 1972 des scientifiques français ont trouvé des isotopes de néodyme et de samarium produits par fission dans un filon d’uranium. Ils ont réalisé que l’uranium avait fonctionné comme un réacteur nucléaire naturel pendant 200 millions d’années avant de s’épuiser il y a 2 milliards d’années. Une enquête ultérieure a trouvé plusieurs sites similaires de fission naturelle dans la région. « J’en ai entendu parler pour la première fois lorsque j’étais étudiant diplômé, et je savais que c’était important », explique Herndon. "Curieusement, le sujet ne semble jamais avoir été abordé dans les pages de Science ou du Journal of Geophysical Research", écrit-il dans un article publié en 1998 dans EOS, le journal de l’American Geophysical Union.
Herndon a fait les calculs, écrit l’idée dans un article intitulé "Les réacteurs de fission nucléaires comme sources d’énergie pour les planètes extérieures géantes", et l’a publié dans la revue scientifique allemande Naturwissenschaften en 1992.
L’un des aspects les plus mystérieux du champ magnétique terrestre est qu’il s’inverse tous les 200 000 ans en moyenne. Il s’affaiblit aussi périodiquement, puis redevient fort. Ce n’est pas seulement de la théorie. L’histoire des méandres du champ magnétique est inscrite de façon indélébile dans les roches : les minéraux ferreux, en particulier la magnétite, dans une strate présentent des orientations très différentes de celles d’une autre.
Selon Herndon, ces bascules de polarité n’ont aucun sens si le champ magnétique est alimenté, comme le prétendent les traditionalistes, par la chaleur de la cristallisation du fer en fusion et du nickel du cœur fluide ou de la désintégration des isotopes radioactifs isolés. "Ce sont deux processus progressifs à sens unique", dit-il. Mais si l’énergie du champ résulte d’une masse d’uranium et de plutonium agissant comme un réacteur nucléaire naturel, dit Herndon, de telles variations de la force du champ seraient presque obligatoires.
Au lieu d’une boule de fer-nickel d’environ sept dixièmes de diamètre de la lune, imaginez un réacteur nucléaire naturel au centre de la Terre, composé d’une sphère de cinq milles de large d’uranium 235 et d’uranium 238. Ce serait ce que les ingénieurs nucléaires appellent un réacteur surgénérateur à neutrons rapides, produisant de l’énergie à la fois de l’uranium et du plutonium fissile créé par le réacteur lui-même. Et au lieu d’une sphère environnante de fer liquide et de nickel, imaginez une sphère faite de nickel solide et de silicium, fusionnée en siliciure de nickel. Alors que le réacteur fissionne à l’intérieur de cette sphère de siliciure de nickel, croit Herndon, il produit de la chaleur qui propulse les particules chargées, qui produisent finalement le champ magnétique.
Comment ce champ varierait-il ? La fission nucléaire crée des sous-produits qui absorbent les neutrons, ralentissant la réaction. À terme, ces "poisons" de réacteurs pourraient même arrêter le processus. Mais ces sous-produits, plus légers que le mélange uranium-plutonium, auraient également tendance à flotter lentement pour former une coquille autour de la boule de fission. Après un certain temps, il resterait suffisamment de balle pour que l’uranium puisse recommencer à réagir. « Cette fois-ci, le géoréacteur pourrait augmenter de puissance et provoquer une augmentation du champ magnétique, dans le même sens ou dans le sens inverse », explique Herndon. "C’est un processus très non linéaire."
Les géophysiciens contactés pour cette histoire ont admis que des alternatives au scénario principal étaient possibles : le noyau interne de refroidissement de la boule de fer-nickel, admettent-ils, n’est encore qu’une théorie, si elle est dominante. Mais ils avaient une objection majeure à la proposition de Herndon. Comment, ont-ils demandé, pendant la formation de la Terre, tout cet uranium aurait-il pu s’agglutiner au centre ? Les silicates, disent-ils, ont tendance à se lier à l’uranium, ce qui en fait un composé plus léger qui résisterait à s’enfoncer au centre de la jeune Terre. « Les isotopes radioactifs ont tendance à se lier aux silicates » et à se disperser dans la croûte terrestre, soutient le géophysicien Bruce Buffett de l’Université de la Colombie-Britannique. "La concentration, pour moi, ne semble tout simplement pas plausible." La réponse, dit Herndon, réside à l’intérieur des chondrites, des météorites pierreuses qui sont tombées sur Terre et sont censées représenter un enregistrement des conditions pendant la naissance du système solaire. "La majeure partie de la géophysique d’aujourd’hui est basée sur l’idée que la Terre est comme des chondrites ordinaires, qui se sont formées dans des conditions relativement riches en oxygène", dit-il. Mais il existe un petit groupe de météorites appelées chondrites d’enstatite qui se sont formées dans des conditions où beaucoup moins d’oxygène était présent. "Ce sont comme les planètes intérieures", dit Herndon. "Les isotopes de l’oxygène dans les chondrites enstatite sont identiques à ce que nous trouvons à l’intérieur de la Terre."
85. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2020, 04:17, par Laurence
Selon la simulation réalisée par Herndon au Oak Ridge National Laboratory, environ 75% de l’uranium a été brûlé au cours des 4,5 milliards d’années d’existence de la Terre. Cela signifie que la sphère d’uranium est passée d’environ huit milles de diamètre à cinq milles. Au niveau de puissance que Herndon considère comme le plus probable - environ quatre térawatts - il calcule que la réaction pourrait se terminer dans 2 milliards d’années ou moins. Cela se compare défavorablement au modèle traditionnel à noyau de fer de l’intérieur de la Terre, qui, selon certaines estimations, nous laisse encore 4 milliards d’années de blindage protecteur.
Pour plus d’informations sur la théorie de J. Marvin Herndon, écrivez à mherndon@san.rr.com. Et pour en savoir plus sur les réactions de fission naturelle trouvées en Afrique, consultez www.curtin.edu.au/curtin/centre/waisrc/OKLO/index.shtml. Visitez le site Web de J. Marvin Herndon à http://NuclearPlanet.com
86. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 janvier 2020, 08:18
Que trouverions-nous si nous creusions un trou jusqu’au centre de la Terre ? Selon les livres de sciences du secondaire, nous découvririons un noyau en alliage de fer liquide et un noyau interne solide plus petit au centre. Depuis dix ans, le géophysicien J. Marvin Herndon a présenté des preuves de plus en plus convaincantes qu’au centre même de la Terre, dans le noyau interne, il existe une sphère d’uranium de cinq miles de diamètre qui agit comme un réacteur nucléaire naturel.
Le Dr Herndon aime appeler cette bête le "géoréacteur".
Considérez la Terre primitive comme ayant été comme un foyer sphérique en acier. Une boule chaude d’éléments liquides fraîchement formée à partir du disque primordial entourant notre soleil. Les métaux les plus denses coulent par la force de gravité tandis que les matériaux plus légers « flottent » vers l’extérieur. L’uranium est très dense. À environ 19 grammes par centimètre cube, il est 1,6 fois plus dense que le plomb à la surface de la Terre. Mais au plus profond de notre planète, la densité ne dépend que du nombre atomique et de la masse atomique. L’uranium, ayant le plus grand nombre atomique et la plus grande masse atomique, serait la substance la plus dense de notre planète et finira par se retrouver au centre de la Terre. Les implications de cette hypothèse de géoréacteur relativement nouvelle sont en effet d’une grande portée. Non seulement cela menace de changer notre façon de voir notre propre Terre et notre formation planétaire en général, mais l’origine même des étoiles pourrait devoir être réécrite.
Récemment rentré de la projection en première mondiale du tapis rouge de "The Core", j’ai rencontré le Dr Marvin Herndon pour une interview.
Wayne : Dr. Herndon, j’ai lu que vous pensez que Mars a un géoréacteur mort comme en témoigne son absence de champ électromagnétique. Pouvez-vous spéculer sur d’autres planètes du système solaire, y compris les géants du gaz ?
Dr Herndon : Je suis d’abord tombé sur l’idée de réacteurs à fission nucléaire à l’échelle planétaire en considérant les géants du gaz. Quand je suis allé à l’école, on m’a appris que les planètes ne produisent pas d’énergie ; ils reçoivent juste l’énergie du soleil et la retransmettent. Mais à la fin des années 1960, les astronomes ont découvert que Jupiter rayonne environ deux fois plus d’énergie dans l’espace qu’elle n’en reçoit du soleil. Plus tard, Saturne et Neptune ont également été trouvés à rayonner des quantités prodigieuses d’énergie générée en interne. Pendant vingt ans, les scientifiques planétaires, estimant avoir examiné et éliminé toutes les sources d’énergie possibles à l’échelle planétaire, ont déclaré que l’énergie supplémentaire rayonnée provenait de l’effondrement gravitationnel d’origine il y a environ 4,5 milliards d’années. Lorsque j’ai commencé à réfléchir au problème vers 1990, cette explication n’avait pas de sens pour moi. Jupiter est composé à 98% d’hydrogène et d’hélium ; ces deux gaz sont des fluides caloporteurs extrêmement efficaces. Puis j’ai réalisé que chacun des géants du gaz avait tous les ingrédients nécessaires pour un réacteur nucléaire à l’échelle planétaire, une source d’énergie qui n’avait pas été envisagée auparavant. Jupiter, Saturne et Neptune rayonnent chacun des quantités prodigieuses d’énergie générée en interne et ont des atmosphères très turbulentes ; Uranus rayonne peu ou pas d’énergie supplémentaire et son atmosphère semble sans particularité.
[Spéculation : le réacteur nucléaire d’Uranus a-t-il fermé ou est-il mort ?]
Après la publication de l’article sur les géants du gaz dans Naturwissenschaften, j’ai réalisé que l’hydrogène n’était pas nécessaire pour ralentir les neutrons ; ce peu de perspicacité m’a conduit à commencer à développer le concept d’un réacteur de fission nucléaire au centre de la Terre, que j’ai publié pour la première fois en 1993. Nous n’avons aucune preuve directe (pour l’instant) que Mars a ou avait un réacteur nucléaire. Cependant, Mars possède le plus grand volcan du système solaire, Mons Olympus. Il y avait à un moment donné une source d’énergie nécessaire pour former ce volcan. Maintenant, il semble que l’intérieur de Mars ne soit pas gelé. Intéressant. La lune de Jupiter, Io, a une activité volcanique. J’ai lu des rapports récents suggérant que l’interaction des marées avec Jupiter pourrait ne pas fournir suffisamment d’énergie. On pourrait spéculer sur la possibilité qu’un réacteur nucléaire soit impliqué, mais pour l’instant ce ne serait qu’une spéculation. Il y a eu un rapport récent suggérant que l’intérieur de notre propre lune pourrait ne pas être entièrement gelé. Il existe des preuves paléomagnétiques pour soutenir l’idée que la lune avait son propre champ magnétique au cours de ses 500 premiers millions d’années de vie. Ce qu’il faut, ce sont des preuves tangibles.
Wayne : Je sais que cet aspect intéressera les lecteurs. Un géoréacteur pourrait-il "exploser" en détruisant sa planète environnante ?
Dr Herndon : Non. Pour une explosion, il faut de l’uranium ou du plutonium très pur de « qualité militaire ». Les impuretés dans l’uranium naturel, y compris l’U-238, écarteraient cette possibilité. (Dommage pour l’intérêt du lecteur.) Il y a un non-sens sur le Web au sujet du réchauffement climatique provoquant l’explosion du géoréacteur. Absurdité. Pseudoscience.
Wayne : À l’exception d’un géoréacteur qui se termine, y a-t-il d’autres dangers pour la vie ?
Dr Herndon : Les seuls éléments qui peuvent s’échapper du noyau sont des éléments très légers. Les produits de fission des éléments légers sont peu abondants et, s’ils sont radioactifs, ont généralement une courte demi-vie.
Contrairement à d’autres sources d’énergie potentielles à l’échelle planétaire qui ne peuvent changer que très progressivement dans une direction au fil du temps, un réacteur nucléaire est capable de produire de l’énergie variable, comme je l’ai souligné dans mon article de 1994 sur les Actes de la Royal Society of London.
Les questions auxquelles les scientifiques devraient commencer à réfléchir sont de savoir si une telle production d’énergie variable pour la Terre peut être détectée et comment cela pourrait-il affecter les régions de surface de notre planète. L’El Nino, par exemple, est-il affecté par une telle variabilité ??? Âges de glace ??? Je ne dis pas qu’ils le sont, mais il faut garder l’esprit ouvert. Par exemple, dans les modèles de réchauffement climatique, le flux de chaleur de l’intérieur est supposé constant.
C’est ça ? Ce sont des questions que les scientifiques devraient aborder.
Wayne : Qu’est-ce qui contrôlerait cette variabilité de la production d’énergie si elle existe ?
Dr Herndon : Dans un réacteur de fission nucléaire, les noyaux d’uranium et d’autres éléments d’actinides sont amenés à se fissionner dans une réaction en chaîne, se divisant généralement en deux morceaux.
Ces produits de fission absorbent les neutrons et, s’ils sont laissés en place, ralentiront la réaction en chaîne des neutrons et, à terme, arrêteront le réacteur. Mais les produits de fission ont à peu près la moitié du numéro atomique du combustible uranifère et la moitié de la masse atomique. Aux pressions qui prévalent dans les intérieurs profonds des planètes, la densité est fonction du nombre atomique et de la masse atomique. Les produits de fission seront donc moins denses que le combustible d’uranium et auront tendance par gravité à migrer radialement vers l’extérieur tandis que le combustible d’uranium se reconcentre vers l’intérieur. On pourrait imaginer dans le cas idéal quelque chose d’un équilibre à établir. Mais si, par exemple, le taux de production de produits de fission dépasse leur taux d’élimination, la puissance de sortie du réacteur pourrait être réduite jusqu’à ce que les produits de fission aient une chance de migrer par gravité loin de la zone du réacteur. Ensuite, la puissance augmentera.
87. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 janvier 2020, 08:18
Wayne : Je réfléchissais à la façon dont cette théorie planétaire des géoréacteurs, si elle était prouvée, devait s’appliquer à la plupart sinon à tous les corps planétaires de l’univers. Je suis certain que vous connaissez l’équation de Drakes pour essayer d’estimer le nombre de civilisations intelligentes qui pourraient exister dans l’univers. Très vénéré par SETI. Ne faudrait-il pas ajouter une nouvelle valeur représentant la durée de vie prévue d’un géoréacteur dans un monde semblable à la Terre ?
Dr Herndon : Je pense que les gens aimeraient beaucoup trouver des preuves de la vie ailleurs dans l’univers. Mais le fait demeure que la Terre est la seule planète où la vie a été retrouvée. Je ne pense pas que l’on puisse attribuer une probabilité à un événement qui n’a été observé qu’une seule fois. Je ne suis nullement contre les efforts pour trouver des preuves de vie, mais je pense que les gens doivent être objectifs dans cette poursuite.
Wayne : Envisagez-vous des exemples étranges de fission naturelle ? Les physiciens ont théorisé toutes sortes de choses particulières telles que les trous noirs miniatures et même en forme de beignet par exemple. Un type inhabituel de réacteur à fission naturelle pourrait-il exister quelque part dans l’univers ?
Dr Herndon : J’essaie de construire la science étape par étape, un aperçu menant à un autre. Je n’ai eu aucune raison de m’attendre à ce que des types inhabituels de réacteurs existent dans l’univers. D’un autre côté, je pense qu’il y a beaucoup de choses que nous ignorons encore sur les réacteurs nucléaires à échelle planétaire "ordinaires". Et qui sait ce que nous pourrons finalement apprendre ?
Wayne : J’espère que vous vous êtes amusé à Hollywood en côtoyant les stars.
Dr Herndon : J’ai trouvé à ma grande surprise que, non seulement j’ai côtoyé les étoiles, mais j’ai été traité comme une star et j’ai défilé sur le tapis rouge lors de la première mondiale de THE CORE. C’est tout à fait un coup de pouce pour la science.
Wayne : Dr Herndon, merci d’avoir pris le temps de votre vie mouvementée pour nous parler.
Dr Herndon : Cela m’a fait plaisir. Je trouve que les gens veulent vraiment en savoir plus sur leur monde. Je suis heureux d’avoir l’opportunité de mettre ces connaissances à disposition. Je vous remercie.
88. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 janvier 2020, 08:19
Réacteurs naturels.
Le 2 juin 1972, un analyste français du nom de Bougzigues a découvert de l’uranium usé dans un échantillon de minerai découvert plus tard comme provenant des gisements d’Oklo au Gabon, dans le sud-ouest de l’Afrique. Plusieurs anciens réacteurs naturels ont donc été découverts au milieu de ce gisement. Les scientifiques qui ont enquêté sur le site ont confirmé qu’il y avait eu fission il y a environ 2 milliards d’années. L’U-235, l’isotope fissile de l’uranium, était plus abondant dans les gisements naturels de cette époque qu’à l’heure actuelle. Les minerais anciens étaient donc en fait assez similaires à l’uranium enrichi et pouvaient se fissionner dans les bonnes circonstances. L’eau jouant le rôle de modérateur sur des minerais particulièrement poreux, une réaction soutenue est devenue possible. L’existence de réacteurs naturels tels que ceux-ci avait été théoriquement prédite par P. K. Kuroda en 1956 ; Oklo a été la première preuve réelle de leur découverte.
À l’intérieur de la Terre.
Ce que nous savons des régions les plus profondes de la Terre est largement déduit des météorites et des échantillons de roche.
La lave et le basalte contiennent de petites quantités d’hélium-3 non prévues par la théorie planétaire traditionnelle. Il n’y avait pas de méthode de production naturelle connue pour expliquer que cet isotope soit présent en si grandes quantités, de sorte que les scientifiques ne pouvaient que conclure qu’il provenait de la formation de la Terre il y a environ 4,5 milliards d’années. Plutôt incroyable à croire, mais sans autre explication évidente que la poussière cosmique, elle est restée la théorie généralement acceptée pendant plus de 30 ans. Pour l’adapter aux preuves, environ 10 fois plus d’hélium-4 provenant de la désintégration radioactive a dû être mélangé à l’hélium-3 et d’une manière permettant des gammes de composition très étroites.
Les résultats de la première simulation numérique d’un réacteur en terre profonde ont été publiés en 2001 par Marvin Herndon et Daniel Hollenbach. Confirmant tout ce que Herndon avait publié au cours des huit années précédentes, les calculs ont montré pour la toute première fois comment un réacteur nucléaire en Terre profonde produirait à la fois de l’hélium-3 et de l’hélium-4 dans des proportions similaires à ce qui se trouve réellement dans les laves volcaniques et basaltes. C’est une preuve extrêmement forte pour un réacteur en terre profonde. Récemment, des ingénieurs et scientifiques nucléaires du Oak Ridge National Laboratory ont effectué d’autres simulations numériques qui affinent et étendent les découvertes originales de Herndon et Hollenbach. Un géoréacteur à échelle planétaire vieux de 4,5 milliards d’années avec une production de chaleur d’environ quatre térawatts semble de plus en plus probable à mesure que de nouvelles preuves continuent de s’accumuler. La production d’énergie variable attendue avec un tel réacteur naturel a également des preuves à l’appui. Au cours de l’histoire, le champ géomagnétique de la Terre s’est affaibli, augmenté, inversé et même temporairement arrêté. Activité qui n’a pas beaucoup de sens si vous attribuez à la génération de chaleur supposée traditionnelle à partir d’un noyau interne supposé de refroidissement et de croissance en fer nickel.
Un réacteur sphérique de cinq milles de large d’uranium 235 mélangé, d’uranium 238 et de plutonium fabriqué soi-même est ce que les ingénieurs nucléaires appelleraient un réacteur surgénérateur à neutrons rapides. La chaleur produite par fission nucléaire réchauffe le noyau interne de siliciure de nickel et fournit de l’énergie au mécanisme qui produit le champ géomagnétique. Beaucoup de gens pensent que la chaleur du noyau interne chauffe ensuite le noyau fluide provoquant des mouvements de convection qui agissent comme une dynamo pour produire le champ géomagnétique, bien que le véritable mécanisme ne soit pas encore connu avec certitude.
Un argument soulevé par d’autres géophysiciens est de se demander comment tout cet uranium aurait pu atteindre le centre.
Beaucoup de gens pensent que l’uranium se combine avec l’oxygène et fait partie du manteau de silicate. La réponse d’Herndon à cette question épineuse lui est venue de l’espace. Des météorites pierreuses pour être exact. Les chondrites sont des décombres laissés par la création du système solaire. "La majeure partie de la géophysique d’aujourd’hui est basée sur l’idée que la Terre est comme des chondrites ordinaires, qui se sont formées dans des conditions relativement riches en oxygène", explique Herndon.
Les chondrites d’enstatite qui ont été créées dans des conditions de faible teneur en oxygène présentent une similitude beaucoup plus étroite avec la composition de la Terre et contiennent de l’uranium. "Ce sont comme les planètes intérieures, les isotopes d’oxygène dans les chondrites enstatite sont identiques à ce que nous trouvons à l’intérieur de la Terre.
Lorsqu’il y a beaucoup d’oxygène, tous les éléments qui aiment se combiner avec l’oxygène iraient avec les silicates. Mais quand l’oxygène est limité, des éléments tels que l’uranium et le magnésium iraient en partie au cœur de la Terre ", explique-t-il.
89. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 20 janvier 2020, 08:20
Matière noire et étoiles.
Si la fission naturelle se trouve couramment au cœur des planètes, elle pourrait également se trouver dans les protostars riches en métaux. Cela pourrait alors être le véritable mécanisme de déclenchement de la fusion. Réécrivant ainsi la théorie de la façon dont les étoiles s’enflamment et défiant les traditionalistes parmi les astrophysiciens et les géophysiciens. L’explication populaire a longtemps été la chaleur d’effondrement gravitationnel comme étant le déclencheur d’une réaction de fusion. Une telle réaction nécessite des températures d’environ un million de degrés Celsius. L’idée de Herndon de la fission fournissant le déclencheur est expérimentalement prouvée par la détonation des bombes à hydrogène. En revanche, aucune preuve expérimentale n’existe pour que la gravité soit capable d’atteindre le même résultat. En fait, les calculs indiquent qu’il peut ne pas être possible d’atteindre un million de degrés par effondrement gravitationnel parce que l’énergie est rayonnée en fonction de la quatrième puissance de température.
En utilisant un raisonnement logique étape par étape, nous pouvons donc supposer que les étoiles ne contenant pas une masse critique de fissiles ne peuvent pas s’enflammer. Les astronomes semblent arriver lentement à la même conclusion, ayant observé que la matière noire apparaît particulièrement abondante près des étoiles avec de faibles quantités de métal. Aucun niveau significatif de métaux fissiles signifie pas de fission et donc pas de fusion. Ainsi, la majeure partie de ces 90% manquants de l’univers étiquetés `` matière noire ’’ sur laquelle les astronomes se grattent la tête depuis des décennies, pourraient simplement être expliqués par des étoiles non enflammées.
La fin de la vie du géoréacteur approche.
Les résultats de la simulation numérique des géoréacteurs nucléaires révèlent des rapports de plus en plus élevés de produits de fission de l’hélium-3 à l’hélium-4 qui se produisent à mesure que le monde vieillit. Un signe d’épuisement du combustible uranifère au cœur. Cette tendance combinée aux taux élevés d’hélium observés aujourd’hui dans les laves fraîches d’Hawaï et d’Islande indique que la fin de vie du géoréacteur approche à grands pas (géologiquement parlant). Le Dr Herndon travaille actuellement à définir une date plus précise pour cet événement qui devrait se produire à tout moment du siècle prochain à un milliard d’années dans le futur. Les échantillons de béryllium-9 et de béryllium-10 du noyau, s’ils sont localisables, peuvent contenir des informations vitales pour aider à la prévision. Lorsqu’il est combiné avec d’autres données, il pourrait nous fournir une réponse à « quand ».
Après la mort du géoréacteur, le champ magnétique terrestre suivra, n’ayant aucune source d’énergie pour l’alimenter. Cet effondrement aura un effet global défavorable sur la vie animale et végétale, des oiseaux se perdant au rayonnement solaire dépouillant notre atmosphère. Il est douteux que la vie puisse réellement survivre. Nous savons que la surface stérile de Mars n’a actuellement aucun champ géomagnétique.
Cette théorie mérite sans aucun doute un examen approfondi de la part de la communauté scientifique. Comme tant d’autres nouvelles idées « bouleversantes » en science, elle a malheureusement été largement ignorée à ce jour. La tectonique des plaques a subi le même statut de « paria » pendant un demi-siècle, les experts refusant même d’en tenir compte. Les nouvelles idées radicales en science sont souvent confrontées à l’hostilité parce que les scientifiques eux-mêmes ne sont que des humains. Les géophysiciens qui ont passé la plus grande partie de leur vie à écrire des articles sur la dynamique de la structure interne de la Terre ne veulent pas savoir comment ils auraient pu perdre leur vie à courir après la mauvaise théorie. Il est extrêmement difficile de se forger une réputation d’autorité sur un sujet. Cela nécessite un dévouement énorme et de longues années d’étude avec peu de salaire et peut-être des dettes croissantes. Beaucoup d’entre nous imaginent que la communauté scientifique est extrêmement logique et impartiale pour évaluer de nouvelles idées. Nous voyons ces gens dans leurs robes blanches immaculées prendre des mesures extrêmement précises de l’univers et il est facile de penser qu’ils doivent s’autogérer de la même manière.
Suivre les doctrines rigoureusement exigeantes établies par la méthode scientifique pour juger toute nouvelle théorie sur ses seuls mérites. Ce serait l’action d’un robot. En vérité, la science n’est qu’un autre système de croyances qui peut être corrompu par l’ambition, la jalousie et la peur.
Le Dr Herndon a découvert cela à la dure et a payé une grande partie des recherches effectuées jusqu’à présent de sa propre poche. Cependant, alors que les preuves s’accumulent en faveur de son "sous-noyau de géoréacteur", les murs de l’opposition commencent enfin à s’effondrer. Partout, les gens commencent à réaliser que cela a du sens. La Terre n’est pas encore une planète mourante, mais un monde vivant avec un cœur de réacteur nucléaire.
Source
90. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 janvier 2020, 06:49, par titide
La hausse du volcanisme terrestre est considérable ! Nouvelle Zélande, Philippines, Islande, Equateur, Mayotte, Mexique, anciens volcans réactivés, nouveaux volcans, éruption exceptionnelles !!!
91. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 janvier 2020, 06:54, par titide
Les séismes aussi se multiplient : voir ici
92. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mai 2020, 08:43, par Mr Climat
L’Ancien directeur de l’Institut de Physique du Globe de Paris croit démasquer de la fausse science dans votre article :
Lire ici
Quelles sont les raisons fondamentales de croire que le noyau réchauffe la Terre par la chaleur souterraine plutôt que de penser que l’atmosphère réchauffe la Terre par effet de serre ?
93. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mai 2020, 08:44, par Robert Paris
Premièrement, nous remarquons que les glaciers qui fondent le font par au-dessus et non par en dessous. Ce n’est donc pas l’air qui les réchauffe mais la terre ! Le permafrost sibérien fond par le dessous, provoquant ces immenses "trous de l’enfer" qui inquiètent le monde depuis 2013.
Deuxièmement, nous remarquons de nombreux phénomènes d’origine souterraine en augmentation : volcanisme, tsunamis, tremblements de terre, sources de chaleur géothermique. Des zones inhabituelles, ou avec une virulence inhabituelle, sont touchées.
Troisièmement, nous remarquons que la température du manteau terrestre augmente de manière très importante alors qu’une augmentation de la température atmosphérique ne peut nullement agir sur le manteau.
Quatrièmement, nous remarquons que le sol ne se réchauffe, et notamment que les glaciers ne fondent, qu’à proximité de remontées de chaleurs souterraines, notamment de volcans ou de sources chaudes.
Cinquièmement, toutes les méthodes de mesure indirecte de la température du noyau donnent des estimations beaucoup plus élevées que ce que l’on obtenait autrefois.
Sixièmement, des grands trous s’ouvrent dans la surface terrestre qui ne peuvent provenir que d’un réchauffement souterrain nouveau.
Septièmement, le fait que des parties de l’Antarctique fondent et d’autres soient de plus en plus froides et glacées (justement des zones avec remontées de chaleur souterraines, notamment volcaniques) ne peut provenir d’un réchauffement global.
Huitièmement, l’océan se réchauffe plus vite que l’atmosphère. C’est un fait qui n’a aucune interprétation possible dans le réchauffement global causé par l’effet de serre, qu’il soit d’origine humaine ou pas.
Neuvièmement, la thèse du réchauffement climatique globale d’origine l’effet de serre, qui n’est pas un fait d’observation mais une interprétation plus que discutable, est fondée sur un prétendu paramètre appelé « température moyenne globale » qui n’a pas de réalité physique. Paradoxalement, ce qui nécessite d’utiliser ce paramètre dans la théorie réchauffiste provient justement du fait que le réchauffement n’est nullement global, que des régions chauffent (celles où on trouve des remontées chaudes venues des profondeurs) et d’autres refroidissent !!!
Dixièmement, Notre contradicteur nous reproche le fait que le volcanisme agisse sur la chaleur dans deux sens contradictoires et c’est vrai. Sauf que les gaz à effet de serre agissent eux aussi dans deux sens contradictoires, les nuages par exemple étant aussi bien cause de réchauffement que de refroidissement.
Onzièmement, l’étude des phases de croissance des gaz à effet de serre (CO², H²O et NH4) comparée à celle des températures terrestres dans l’histoire de la Terre montre que la hausse de température précède celle des gaz en question. D’autre part, on constate que les trois gaz augmentent en teneur dans l’atmosphère en même temps les uns que les autres, ce qui demande une explication, une cause qui les précède tous les trois, et cette cause ne peut être que le grand volcanisme.
Douzièmement, l’étude de la Terre démontre l’existence de phases de grand volcanisme qui ont détruit des espèces et ont produit les grands traps. C’est ce grand volcanisme qui est source de changements radicaux de la chaleur terrestre et pas le seul effet de serre.
Treizièmement, la hausse des ouragans et trombes marines ne peut absolument pas s’interpréter par l’effet de serre.
Quatorzièmement, les partisans de la hausse de température globale dans un hémisphère sont contraints de cacher toutes les phases froides dans l’autre, contraints aussi à bien des mensonges comme s’est caractérisé le GIEC.
Quinzièmement, le GIEC et la plupart des chauds partisans du réchauffement anthropique global à effet de serre ont fait la démonstration de leur lien avec l’industrie nucléaire qu’il crédite d’être sans effet de serre pour lui donner une allure écolo et propre, qui est loi d’être la réalité !
Seizièmement, Jobert nous accuse de faire de la fausse science alors que c’est la chasse aux sorcières contre de véritables climatologues qui a été utilisée par les partisans du réchauffement à effet de serre pour interdire les articles scientifiques disant le contraire, ceux de Courtillot ou de Leroux notamment.
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L’article de Georges Jobert affirme de manière péremptoire qu’ » on ne trouve pas de trace d’une augmentation récente du nombre d’éruptions »…
Et aussi qu’en matière de tremblements de terre, « il n’y a pas eu de changement significatif au siècle dernier. » !!!!
Voir ici :
Pour le volcanisme
Pour les tremblements de terre
Pour l’interprétation des courbes qui fondent la thèse du réchauffement global anthropique par le volcanisme
Lire aussi
1. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mai 2020, 09:35, par Robert Paris
Le lecteur aura corrigé l’erreur :
au lieu de "Premièrement, nous remarquons que les glaciers qui fondent le font par au-dessus et non par en dessous."
il fallait lire "Premièrement, nous remarquons que les glaciers qui fondent le font par au-dessàus et non par en dessus."
Lire ici
Lire là
Lire encore
Lire toujours
Pour conclure
94. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mai 2020, 09:10, par Georges
D’où vient alors qu’on parle de consensus scientifique sur la question ?
95. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mai 2020, 09:12, par Robert Paris
Parler de consensus est justement et paradoxalement une manière de dire qu’il n’y en pas ! Qui parle de consensus à propos de la loi d’Ohm ou de Newton ?
Voici cinq grands scientifiques spécialistes qui combattent la thèse du réchauffement global anthropique :
1. Lennart O. Bengtsson
2. John R. Christy
3. Judith A. Curry
4. Richard S. Lindzen
5. Nir J. Shaviv
Et les autres scientifiques qui nient le rôle primordial de l’effet de serre dans le réchauffement global
96. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 22 mai 2020, 09:54, par A.M.
« Récemment, le noyau interne terrestre aurait connu une accélération brutale de sa vitesse de rotation. »
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97. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 22 mai 2020, 09:58, par A.M.
Core Spins Faster Than Earth
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Tourner plus vite signifie certainement posséder plus d’énergie interne.
98. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 22 mai 2020, 10:04, par Robert
Georges Jobert affirme que la thèse du réchauffement climatique anthropique est indiscutable ce qui n’est pas de la bonne science car c’est seulement une conjecture.
Par contre, il traite en pseudoscience ce qui est d’emblée présenté comme une hypothèse à vérifier : celle du noyau centrale nucléaire !
Rappelons que nous écrions en tête de cet article :
Avertissement : nous exposons ici une thèse nouvelle de certains scientifiques, qui n’a pas encore eu le temps d’être confirmée ni infirmée, et qui change complètement notre point de vue sur le noyau de la Terre. Celui-ci ne serait pas seulement réchauffé par la concentration par gravitation des atomes lourds et instables au plan nucléaire et qui le réchaufferaient par des décompositions radioactives de ces noyaux instables mais aussi le siège de fissions se développant de manière exponentielle, à la manière d’une centrale nucléaire naturelle et spontanée.
99. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 mai 2020, 07:53, par A.M.
La rotation du noyau terrestre accroît sa vitesse :
Il y a une nouvelle rotation dite super-rotation »
100. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 mai 2020, 08:00, par Robert Paris
C’est la chaleur interne de la Terre qui fait fondre les masses glaciaires et elles ne fondent que dans les zones de remontées chaudes depuis les profondeurs…
« La calotte glaciaire du Groenland est en train de fondre en raison de la chaleur émise de l’intérieur de la Terre, plutôt que de la seule augmentation des températures atmosphériques, selon une nouvelle étude de la NASA. »
Source
« L’équipe de géophysiciens est maintenant pour la première fois capable de prouver un couplage solide entre des processus situés profondément à l’intérieur de la Terre et la dynamique des flux et l’hydrologie de grandes couches glaciaires. »
Source
Au pôle nord, la glace fond là où il y volcanisme, point chaud ou remontées souterraines chaudes.
source
En Antarctique, même chose.
Source
Autre source
Et encore
Toujours
En Islande, même chose.
Source
Au Kamtchatka de même.
Source
La suite
101. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 mai 2020, 08:20, par A. Mantoux
« Les battements du cœur de la Terre ne sont pas réguliers. Depuis les années 1990, les sismologues soupçonnent la "graine", le noyau solide de notre planète, de tourner sur elle-même plus vite que le reste du globe. Mais sans parvenir à s’accorder sur sa vitesse de rotation. Et pour cause : Hrvoje Tkalcic (université de Canberra, Australie) a découvert que cette vitesse n’est pas constante ! Pour l’affirmer, il a analysé des doublets de séismes, ces tremblements de terre "jumeaux" qui se produisent à des semaines ou des années d’intervalle, générant des ondes sismiques qui empruntent le même chemin au sein du globe. En étudiant les infimes différences de temps de parcours des ondes qui ont traversé la graine, le géophysicien en a conclu que la vitesse de rotation varie au cours du temps. Elle a accéléré dans les années 1970, ralenti dans les années 1980, puis repris de la vitesse dans les années 1990 et 2000. »
Source
« La tendance au réchauffement de la basse atmosphère entre 1951 et 2012 à été d’environ 0,12°C par décennie tandis qu’entre 1998 et 2012, elle n’a été que de 0,05°C. Soit plus de deux fois inférieure à la tendance depuis le milieu du XXe siècle.
On voit ainsi un palier entre les années 1950 et les années 1970, en dépit de l’accumulation ininterrompue de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Cette "pause" n’a pas empêché la tendance haussière de reprendre brutalement à partir des années 1980. »
Source
La Terre se serait réchauffée dans les années 1970, puis moins dans les années 1980, puis recommencé à se réchauffer dans les années 1990 et 2000.
Et si les hauts et les bas de la chaleur en surface correspondaient à des hauts et des bas de la chaleur du noyau, détectables par des hauts et des bas de la vitesse de rotation du noyau terrestre !!!
102. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 mai 2020, 08:25, par Lucien
Quelque chose a changé dans la vitesse du noyau !
"quelque chose a changé, au cours de la période, sur le trajet suivi par les ondes. Song conclut que le noyau interne se meut relativement au manteau et à la croûte."
"Le noyau interne de la Terre tourne plus vite que le reste de la planète de 0.3 à 0.5 degré par an, conclut une nouvelle étude."
Source
103. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 mai 2020, 08:27, par Lucien
"les changements proviennent de l’intérieur du noyau interne", a déclaré M. Song.
Source
104. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 mai 2020, 05:50, par alain
Une étude de la Nasa démontre :
« La couche de glace MASSIVE du Groenland fond en raison de la chaleur provenant de l’intérieur de la Terre, plutôt que par la hausse des températures atmosphériques, selon une nouvelle étude de la NASA.
L’agence spatiale américaine, qui utilise des satellites en orbite autour de la terre pour surveiller l’environnement et étudier les changements climatiques, a regardé combien la couche de glace énorme était encore attachée au lit de roche en dessous.
Pour la première fois, l’agence a obtenu une série de températures à partir de la base de la couche – le deuxième plus grand dans le monde après l’Antarctique – et a trouvé qu’il était jusqu’à plusieurs dizaines de degrés de plus à la base de la surface.
La calotte glaciaire du Groenland est environ 1500 miles du nord au sud et jusqu’à 680 miles à travers. (d’est en ouest)
Les scientifiques ont trouvé des domaines alarmants de la glace à la base de la couche avait fondu et sont exempts de la roche ci-dessous.
Mais ils ont aussi dit qu’il a été la chaleur sort de la roche elle-même qui a été à l’origine de la fonte.
Cela signifie que la couche de glace fondrait par en dessous de toute façon, même si le réchauffement climatique n’a pas lieu.
Un porte-parole de la NASA a déclaré : « la couche de glace épaisse du Groenland isole la roche en dessous des températures froides à la surface, de sorte que le fond de la glace est souvent des dizaines de degrés plus chaud que dans le haut, parce que le fond de la glace est lentement réchauffé par la chaleur provenant de les profondeurs de la Terre.
« Savoir si la glace du Groenland se trouve sur le mouillé, sol glissant ou est ancré à sécher, socle congelé est essentiel pour prédire comment cette glace va couler à l’avenir, mais les scientifiques ont très peu d’observations directes des conditions thermiques sous la couche de glace, obtenues par moins de deux douzaines de forages qui ont atteint le fond. »
Source
105. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 mai 2020, 05:51, par alain
« Récemment, le noyau interne terrestre aurait connu une accélération brutale de sa vitesse de rotation. »
Source
106. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 mai 2020, 05:52, par alain
Faut-il réévaluer la température du noyau de la Terre ? A moins qu cette réévaluation provienne non d’anciennes estimations fausses mais d’un changement ?
Lire ici
107. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 mai 2020, 05:57, par Florent
« Le cœur de la Terre influence la température de l’air »
« La vitesse de rotation du noyau de la Terre, la longueur du jour et la température de l’air en surface sont corrélées. C’est ce qu’a mis en évidence Jean Dickey (California Institute of Technology) en comparant les faibles variations mesurées sur ces paramètres au cours du siècle. Pour la température, le chercheur avait pris soin auparavant de soustraire la hausse imputable aux activités humaines. »
Source
108. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 mai 2020, 06:41, par R.
« La chaleur qui monte de l’intérieur de la Terre sous les calottes glaciaires et les glaciers n’a rien à voir avec le changement relativement rapide du climat au cours des dernières décennies, principalement dû aux émissions humaines de gaz à effet de serre qui réchauffent l’atmosphère. Les sources de chaleur de la Terre profonde peuvent rester stables pendant 50, 90 ou 100 millions d’années ; le changement climatique provoqué par l’homme se produit sur des décennies et des siècles.
Mais alors que les plates-formes de glace côtières qui retiennent les glaciers commencent à s’amincir et à fondre, les glaciers - essentiellement des rivières de glace - sont soudainement libres de couler plus rapidement. Si leurs canaux les transportent par-dessus les points chauds du manteau, ils peuvent s’écouler d’autant plus rapidement.
"La chaleur contenue dans une calotte glaciaire augmente la température et, par conséquent, diminue la viscosité" de la glace à la base du glacier, a déclaré Erik Ivins, chercheur principal au Jet Propulsion Laboratory de la NASA à Pasadena, en Californie.
La trace de la cicatrice à travers le Groenland montre toujours une signature thermique mesurable, selon une étude publiée en août 2018. Dirigée par Yasmina M. Martos, scientifique planétaire au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, Maryland, l’équipe de recherche a utilisé des données précédemment recueillies sur Profils magnétiques et gravitationnels du Groenland pour révéler l’emplacement de la cicatrice. Ils ont également suivi sa chaleur, traçant la cicatrice du nord-ouest au sud-est du Groenland.
"Cela peut signifier que le Groenland peut expulser sa glace plus rapidement que ce que nous prévoyons dans les modèles prédictifs", a déclaré Ivins.
Il faisait partie d’une équipe scientifique qui a récemment exploré les implications d’un autre point chaud de l’autre côté de la planète : un panache profond du manteau qui se trouverait sous la terre Marie Byrd en Antarctique occidental. »
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109. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 27 mai 2020, 09:41, par Théo
« Le Dr Andrija Puharich a écrit un article sur le réchauffement climatique basé sur la chaleur intérieure provenant de quatre « points chauds » sur notre planète. Là, il a déclaré : "Permettez-moi de répéter : il y a des zones de subduction profonde dans la zone arabo-indienne et la zone du Pacifique oriental, qui montrer des points chauds. Ces points chauds chauffent l’eau de surface, qui envoie ensuite trop de vapeur dans l’atmosphère et perturbe l’ensemble du moteur thermique. La chaleur et la vapeur d’eau se déplacent vers le nord et provoquent des typhons et toutes sortes de conditions météorologiques anomalies. "[...]" AM propose que tous les 5168 ans. il y a ce type d’effet de chauffage planétaire, ce qui entraîne de nombreuses perturbations. Parallèlement aux effets atmosphériques et aux effets sur les océans, il y a également eu un record nombre de tremblements de terre commençant en 1976-1977 ; 1976 a été la pire année de tremblement de terre de l’histoire enregistrée. "[...]" Il y a donc de la chaleur du magma, de la chaleur provenant des fissures de la terre (tremblements de terre) et de la chaleur résultant du vulcanisme envoyant des gaz chauds. De plus, le rayonnement solaire est piégé par l’effet de serre. Il est donc clair que cette planète s’accumule à la chaleur de la fièvre.
Puisque la terre accumule de la chaleur, vous pouvez vous demander pourquoi il y a eu autant de froid dans le nord
hémisphère, et pourquoi y a-t-il tant de neige ? On répond à ces questions dans la partie suivante de l’argument. "[...]" Il y a eu record de froid dans le monde entier de décembre 1983 à février 1984. C’est le premier signe d’un renversement
d’une planète source de chaleur à une planète dissipateur de chaleur. Comme toutes les choses rafraîchissantes, la planète ne va pas soudainement basculer Etat ; il y aura de petits endroits refroidis ici et là sur toute la terre, selon les conditions sous-jacentes. Pour Par exemple, disons que le magma chaud monte généralement sur la côte ouest de l’Équateur. "
Article : CHANGEMENTS DANS LES SYSTÈMES MÉTÉOROLOGIQUES ET BIOLOGIQUES MONDIAUX, AVEC UNE REVUE DES EFFETS BIOLOGIQUES DE ELF
RAYONNEMENT DE TESLA AU PRÉSENT, Andrija Puharich, M.D. publié dans Archeus, vol. 2 # 1, 1984 »
Theo Almeida Murphy, Rheinische Fachhochschule Köln gGmbH
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110. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 27 mai 2020, 09:44, par Théo
La super-rotation du noyau interne est une théorie de la rotation vers l’est du noyau interne de la Terre par rapport à son manteau, pour un taux de rotation nettement plus rapide que la Terre dans son ensemble. Un modèle de 1995 de la dynamo de la Terre prévoyait des super-rotations allant jusqu’à 3 degrés par an ; l’année suivante, cette prédiction a été confirmée par des écarts observés dans le temps que prennent les ondes p pour traverser le noyau interne et externe.
Les observations sismiques ont utilisé une dépendance directionnelle (anisotropie) de la vitesse des ondes sismiques dans le noyau interne, ainsi que des variations spatiales de la vitesse. D’autres estimations proviennent des oscillations libres de la Terre. Les résultats sont incohérents et l’existence d’une super-rotation reste controversée, mais elle est probablement inférieure à 0,1 degré par an.
Lorsque les modèles géodynamiques prennent en compte le couplage gravitationnel entre le noyau interne et le manteau, il abaisse la super-rotation prévue à aussi peu que 1 degré par million d’années. Pour que le noyau interne tourne malgré le couplage gravitationnel, il doit pouvoir changer de forme, ce qui impose des contraintes sur sa viscosité.
Au centre de la Terre se trouve le noyau, une boule d’un rayon moyen de 3480 kilomètres composée principalement de fer. Le noyau externe est liquide tandis que le noyau interne, avec un rayon de 1220 km, est solide. Parce que le noyau externe a une faible viscosité, il pourrait tourner à une vitesse différente du manteau et de la croûte. Cette possibilité a été proposée pour la première fois en 1975 pour expliquer un phénomène de champ magnétique terrestre appelé dérive vers l’ouest : certaines parties du champ tournent d’environ 0,2 degré par an vers l’ouest par rapport à la surface de la Terre. En 1981, David Gubbins de l’Université de Leeds a prédit qu’une rotation différentielle du noyau interne et externe pourrait générer un grand champ magnétique toroïdal près de la frontière partagée, accélérant le noyau interne au taux de dérive vers l’ouest. Ce serait en opposition à la rotation de la Terre, qui est vers l’est, de sorte que la rotation globale serait plus lente.
En 1995, Gary Glatzmeier à Los Alamos et Paul Roberts à UCLA ont publié le premier modèle tridimensionnel "auto-cohérent" de la dynamo dans le noyau. Le modèle prédit que le noyau interne tourne 3 degrés par an plus rapidement que le manteau, un phénomène qui est devenu connu sous le nom de super-rotation.
1996, Xiaodong Song et Paul G. Richards, scientifiques de l’Observatoire de la Terre Lamont – Doherty, ont présenté des preuves sismiques pour une super-rotation de 0,4 à 1,8 degrés par an, tandis qu’une autre étude a estimé la super-rotation à être de 3 degrés par an.
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111. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 mai 2020, 09:42, par A.M.
Ce n’est pas globalement mais par ses « points chauds » que la terre se réchauffe ! Ces points sont des remontées de chaleur souterraine…
Le réchauffement n’est nullement global…
Par exemple, la Méditerranée se réchauffe 20% plus vite que le reste du globe…
https://www.glamourparis.com/planete/articles/planete-la-mediterranee-se-rechauffe-20-plus-vite-que-le-reste-du-globe/77293
L’ouest de l’Antarctique se réchauffe et pas l’est
https://blog.slate.fr/globule-et-telescope/2012/12/23/louest-de-lantarctique-se-rechauffe-beaucoup-plus-vite-que-prevu/
Sur les points chauds :
https://books.google.fr/books?id=iQ6f-GfJds0C&pg=PA156&dq=points+chauds+de+la+terre&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjTqtSMxtvpAhUP8hQKHd4MC_0Q6AEIQzAD#v=onepage&q=points%20chauds%20de%20la%20terre&f=false
Romanowicz, « Physique de l’intérieur de la Terre » :
https://books.google.fr/books?id=68XPDwAAQBAJ&printsec=frontcover&dq=le+noyau+terrestre+r%C3%A9chauffe+la+terre+courtillot&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjLhcGZz9vpAhUrD2MBHf32CmQQ6AEIOzAC
112. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juin 2020, 10:02, par un lecteur
L’énergie nucléaire du noyau terrestre augmenterait au lieu de diminuer, c’est saisissant !
« Nous savons depuis longtemps que la Terre est exothermique et dans une mesure qui pourrait facilement refroidir l’intérieur primordial bien avant son âge de 4,5 milliards d’années. Nous savons également que d’autres planètes de notre système solaire sont exothermiques ; et très probablement pour la même raison. Il ne faut vraiment pas beaucoup de foi pour reconnaître qu’il y a un énorme réacteur nucléaire très chaud au centre de cette Terre actuellement interglaciaire. Les mouvements convectifs internes du manteau auraient homogénéisé thermiquement l’intérieur de la Terre, sauf la présence d’une source de chaleur centralisée.
La terre est originaire d’une boule fondue qui était entièrement fondue de part en part. Nous croyons fermement que des éléments lourds comme le fer et le nickel ont précipité gravitationnellement au centre. Mais qu’en est-il des éléments encore plus lourds comme le thorium et l’uranium ? Ces matières radioactives se seraient précipitées au centre du centre. Et nous savons également qu’une quantité suffisante de ces éléments radioactifs avec, surtout, une densité de proximité suffisante, réagira spontanément en chaîne pour générer une chaleur énorme.
Nous savons maintenant que le Soleil a des régimes météorologiques internes compliqués ; les modèles météorologiques qui expliquent de nombreux phénomènes que nous observons. Nous savons également que la Terre a des modèles météorologiques internes complexes qui expliquent le retournement magnétique. Alors, comment peut-il être difficile d’imaginer que le centre du noyau de la Terre pourrait également avoir des conditions météorologiques internes ?
On peut facilement théoriser un bassin visqueux mais tourbillonnant de matériaux lourds de fission, au cœur du cœur de la Terre (estimé à> 10 kilomètres de diamètre) - représentant une chaleur primaire importante pour créer et maintenir une période interglaciaire (et pour conduire plus rapidement à la dérive des continents et à l’activité sismique / volcanique). Lors d’un pic de vitesse de cinétique de réaction, des poussées et des poussées chaotiques, provenant de l’écoulement de fluide à l’extérieur de ce centre, peuvent parfois le perturber ; de manière à disperser les matériaux dans un volume relativement plus grand avec une densité de proximité plus faible. Et puis la vitesse de la cinétique de réaction diminue de manière significative (tout comme la vitesse de la dérive des continents et la fréquence de l’activité sismique / volcanique).
On peut aussi facilement théoriser que ces poussées et poussées chaotiques sont la règle, plutôt que l’exception (c.-à-d. Les poussées et poussées chaotiques règnent lorsque la cinétique de réaction atteint un pic). relativement dispersé - tout comme la Terre passe la plupart de son temps dans la glaciation (pendant au moins le dernier million d’années environ et très probablement beaucoup plus longtemps). On peut également théoriser que sur une longue période, la stabilité relative se matérialise lentement à partir du chaos. Les précipitations gravitationnelles réapparaissent lentement et la cinétique de réaction décolle pour une période de temps encore relativement courte - tout comme la Terre connaît des périodes de réchauffement interglaciaire soutenues, mais relativement de courte durée. Je soutiens que cette variabilité météorologique prévue de la cinétique de réaction du réacteur est le principal moteur des principaux changements climatiques de la Terre.
Jusqu’à récemment, les Néerlandais tentaient de financer la construction d’une installation de détection anti-neutrinos au large des côtes du Venezuela dans le but de commencer à surveiller ce réacteur à cœur central et, bien sûr, de simplement établir sa véritable présence. Supposons cependant qu’il existe un cœur-réacteur central et que sa variabilité de sortie explique vraiment les transitions climatiques majeures.
Il devrait alors y avoir une certaine corrélation entre le moment des grandes transitions climatiques et l’activité volcanique, bien que cela n’ait pas été établi malgré plusieurs tentatives. Mais c’est peut-être parce que nous avons recherché la mauvaise corrélation. Et comme nous le savons, la plupart des activités volcaniques se déroulent sous les océans, ce qui peut également protéger la majeure partie de la corrélation. Mais de plus, les tentatives biaisées par AGW pour établir une corrélation ont recherché des événements volcaniques majeurs pour précéder les transitions de la glaciation à l’interglaciaire (afin d’être ensuite identifiables comme la cause de leur important rejet de CO2). Et cela n’a pas été confirmé dans les corrélations tentées (ironiquement, les événements volcaniques majeurs entraînent un refroidissement à court terme sans réchauffement identifiable malgré leur important dégagement de CO2).
Cependant, si la variabilité du réacteur central est la véritable cause, alors l’augmentation de l’activité volcanique / sismique pourrait plus probablement suivre les transitions de la glaciation à l’interglaciaire. Et puis, les réductions de l’activité volcanique / sismique pourraient plus probablement signaler les transitions inverses de l’interglaciaire à la glaciation. Peut-être que cette corrélation peut être établie si elle est objectivement recherchée ? Et en effet, une étude récente a montré que cette corrélation volcanique pouvait exister.
Si cela est vrai, que la variabilité du réacteur central entraîne des changements climatiques majeurs, alors le taux de formation de la croûte sous-océanique (et le taux de dérive des continents) devrait bien correspondre aux transitions climatiques majeures ; bien que probablement, ou même probable, déphasé dans le temps.
Nous sommes devenus très experts dans la mesure de la dérive des continents et de ses taux actuels. Si ces taux peuvent être tracés en arrière dans le temps suffisamment loin pour couvrir plusieurs transitions climatiques majeures, un niveau élevé de corrélation peut être observé.
La raison pour laquelle je suis enthousiasmé par la possibilité d’une corrélation entre le taux de dérive des continents et les grandes transitions climatiques est que la dérive des continents (ou la création d’une croûte sous-océanique) est un processus lent et continu qui laisse des preuves temporelles « continues ». dans les fonds marins (comme les carottes de glace ont laissé des concentrations de CO2 et des preuves de température essentiellement « continues »). Les activités volcaniques / sismiques, en revanche, sont des événements parasites qui ne laissent pas de trace continue et donc toute corrélation serait nécessairement plus difficile à établir.
À ma connaissance, aucune tentative n’a été faite pour établir ce type de corrélation (taux de dérive des continents, ou taux de création de croûtes, avec les principaux changements climatiques) mais cela pourrait probablement être possible ; et il fournirait des preuves irréfutables de l’hypothèse de la variabilité du réacteur à cœur central comme cause principale des transitions climatiques majeures. De plus, la taille et la forme du décalage temporel fourniraient un excellent aperçu de toutes sortes de dynamiques thermiques du centre à la croûte.
Nous avons étudié les carottes de glace à faible résolution temporelle et sommes venus à l’appui de conclusions erronées de notre analyse initiale (le CO2 entraîne la température). Ensuite, nous sommes revenus et avons fait une analyse de résolution temporelle plus élevée qui a montré un résultat beaucoup plus éclairé (la température entraîne le CO2). Votre supposition est aussi bonne que la mienne pour expliquer pourquoi ce fait évident n’a pas déjà changé notre direction AGW (en remplaçant le "A" par un "N" pour le réchauffement climatique naturel). Mais ce que je suggère, c’est que nous faisons la même chose avec les échantillons de croûte sous-océanique pour voir si le taux de croissance de la croûte (ou la dérive des continents) est directement corrélé à la chronologie des grandes fluctuations climatiques.
Cela pourrait être un gros projet ; mais cela pourrait être très utile ; le plus intéressant auquel je puisse penser. Il s’inscrit bien dans la catégorie « pistolet fumant ». Pour autant que je sache, une réévaluation des échantillons de croûte océanique actuellement prélevés révélerait la corrélation ; auquel cas la portée du projet pourrait être assez petite. Cependant, une analyse temporelle plus élevée peut être nécessaire (peu probable) et cela pourrait compliquer considérablement la taille et la portée du projet.
Cette Terre a passé plus de 11 000 ans dans cette importante remontée thermique actuelle (plus probablement 18-20ky selon la façon dont vous la regardez). En moyenne, la Terre passe environ 90 000 ans sous glaciation, puis 6 000 à 15 000 ans interglaciaire, avant de retomber à environ 90 000 ans de glaciation. Ce cycle s’est répété pendant environ un million d’années à coup sûr, et très probablement beaucoup plus longtemps. C’est donc un fait frappant que nous attendions l’automne prochain une glaciation majeure.
Nous ne savons pas exactement quand cela se produira, car nous ne savons pas encore ce qui cause même ces oscillations majeures. Cela pourrait être 500 ou 1 000 ans devant nous - ce qui est peu probable. Il se pourrait que l’automne suivant la glaciation soit sur le point de commencer - nous ne le savons tout simplement pas encore. Mais nous le savons : cela arrivera, ce sera brusque (en termes géologiques), et ce sera sévère pour nous et toutes les autres formes de vie ici sur Terre. Et il n’est pas trop difficile d’imaginer que si la variabilité du réacteur central est la véritable cause, alors des niveaux élevés de tremblement de terre et d’activité volcanique accompagneraient l’événement de diffusion qui fermerait en grande partie le réacteur et précipiterait l’automne suivant à la glaciation. C’est peut-être là que nous nous trouvons aujourd’hui !! (Il est en fait plus probable que l’événement de diffusion s’est déjà produit il y a peu de temps géologique et nous connaissons maintenant le « résidu thermique » de la diminution de la puissance du réacteur.)
D’une manière ou d’une autre, nous avons réussi à nous convaincre de chercher une aiguille dans une botte de foin subtile et nuancée (grande variation par rapport à une perturbation minuscule). Ce que nous devrions rechercher, c’est un marteau dans un tiroir par ailleurs vide (une perturbation importante). Il n’y a rien de subtil dans ces transitions climatiques majeures. Ils sont très abrupts et sévères (encore plus que notre casting "lissé" est capable de révéler). Il est manifeste que, quelle qu’en soit la cause, elle écrase toutes les autres considérations (y compris les états de verrouillage stables induits par le soleil). Pourtant, beaucoup d’entre nous restent convaincus que nous sommes des pécheurs qui doivent nous punir pour des émissions de CO2 nuancées. Cela est incompatible avec les preuves et toute évaluation de bon sens de celles-ci. Nous ne sommes pas pécheurs. Nous sommes les bons gardiens de cette Terre (car nous répondons à nos méfaits géologiquement instantanément). En fait, nous sommes la « nature » de cette Terre. Pouvez-vous imaginer que des extraterrestres en visite arrivent à une conclusion différente ? Et l’augmentation du CO2 atmosphérique stimule la prolifération de toutes les formes de vie. Inévitablement, cette Terre tombera à la prochaine glaciation et c’est à cela que nous devons commencer à nous préparer.
Il semble évident que ces oscillations climatiques majeures sont causées par un facteur déterminant et véritablement « pivot » - dont l’influence l’emporte facilement sur les importantes modulations d’albédo des influences des rayons solaires et cosmiques. Je soutiens qu’il doit y avoir un autre facteur encore beaucoup plus important dont l’enquête mérite une attention exceptionnelle. Cet essai tente de diriger la communauté scientifique vers une explication possible des changements climatiques majeurs, à basse fréquence mais à haute amplitude.
Certes, cet essai contient de nombreuses spéculations brutes concernant la variabilité météorologique potentielle d’un géoréacteur central. Cependant, la science consiste à tester des hypothèses testables. Je soutiens que j’ai énoncé une hypothèse plausible qui tente d’expliquer de nombreuses observations générales - et qui est en effet tout à fait testable. J’ai également fait plusieurs prédictions à l’appui qui sont elles-mêmes testables individuellement (voir un lien à la fin pour l’essai complet avec des prédictions détaillées). Aux niveaux les plus élevés et les plus saillants, cette hypothèse sonne vrai sur une longue période et jusqu’au présent.
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113. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juin 2020, 10:09, par un lecteur
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En 2005 et 2007, des scientifiques du détecteur d’anti-neutrinos à scintillateur de liquide de Kamioka (KamLAND) 8 et de Borexino9 ont détecté des signaux d’antineutrinos (c.-à-d. Des « géoneutrinos ») produits à l’intérieur de la Terre, respectivement. Les neutrinos, particules subatomiques très légères, sont générés par la fission nucléaire et la désintégration des éléments radioactifs ainsi que par la fusion nucléaire qui se produit dans le soleil et les étoiles. Étant donné que la fission se produit à l’échelle d’une fraction de microseconde, il est nécessaire que la génération de chaleur comprenne une réaction en chaîne de la désintégration nucléaire des atomes dans les roches et les minéraux avec de fortes concentrations d’atomes radioactifs en décomposition. En tant que tels, la désintégration alpha et bêta peut fournir de la chaleur à des échelles de temps comparables à l’âge de la Terre. La collaboration de KamLAND a signalé que la chaleur provenant de la désintégration radioactive d’isotopes radiogènes tels que 238U et 232Th contribue à environ la moitié, 21 TW, du flux de chaleur total de la Terre (44,2 ± 1,0 TW) et que l’apport de chaleur primordial de la Terre n’a pas encore été épuisé10.
Cependant, quatre questions restent sans réponse concernant la désintégration de ces isotopes radioactifs. La première question demande pourquoi une importante émission de masse nucléaire d’éléments radioactifs principalement concentrés dans la croûte peu profonde n’entraînerait pas la mort de nombreux êtres vivants. Bien que l’on pense que le taux de production de chaleur radiogène ne peut pas endommager les êtres vivants, nous avons vu un exemple d’inflammation spontanée due à des concentrations suffisamment élevées d’éléments radioactifs dans les roches crustales à Oklo au Gabon, en Afrique11. En cas d’inflammation spontanée, les produits d’émission des éléments radioactifs seraient distribués à travers les volcans actifs et le mouvement des chaînes de montagnes. En effet, nous ne souffrons pas de pollution radioactive naturelle. La deuxième question concerne la quantité de Pb qui existe dans la croûte terrestre. La collaboration KamLAND10 a signalé l’émission de deux réactions, 238U → 206Pb + 8α + 6e− + 6 + 51,47 MeV et 232Th → 208Pb + 6α + 4e− + 4 + 42,7 MeV après six et quatre fois de désintégration β, respectivement. Si ces réactions sont responsables de la production de chaleur continue dans la croûte, une grande quantité de Pb serait incluse dans les roches et les minerais naturels. Cependant, la concentration de Pb dans la croûte n’est que de 12,5 ppm12. La troisième question porte sur le déséquilibre thermique-thermique : la pente estimée du changement de température du cœur à la croûte est négativement linéaire. La pente linéaire ne peut être expliquée que par la génération de chaleur dans le noyau interne de la Terre. Si les apports de chaleur estimés du manteau (10 TW) et de la croûte (7,9 TW) 10 sont corrects, la courbe de température doit avoir deux pics, un dans la croûte (6–40 km) et un dans le manteau (410–2900 km) (Informations supplémentaires 1). L’inhomogénéité du flux de chaleur de surface dans la croûte pourrait être dérivée d’une perturbation géologique dans une région sans pression. Quant à la quatrième question, si la désintégration radioactive s’est également produite sur Vénus, qui est la planète sœur de la Terre avec une taille et une composition similaires, nous devrions observer la tectonique des plaques à la suite du carbonate magma-océan. La tectonique des plaques, cependant, n’est pas évidente sur Vénus13. Ainsi, ces faits imposent de sérieuses contraintes à la possibilité de production de chaleur radiogène dans la croûte et le manteau.
Alternativement, nous considérons de manière inductive la possibilité d’une fusion nucléaire, qui ne crée pas de déchets radioactifs nocifs mais génère une grande quantité de chaleur. Étant donné qu’une augmentation de l’amplitude para-magnétique entre 2,7 et 2,1 milliards d’années indique la nucléation du noyau liquide interne14, la fusion nucléaire aurait commencé il y a environ 2,2 milliards d’années15. Notre hypothèse peut expliquer pourquoi la tectonique des plaques existe sur Terre mais pas sur d’autres planètes terrestres, comme Mercure, Vénus, Mars et la Lune de la Terre. En outre, un autre exemple de fusion nucléaire à l’intérieur de la Terre est que l’origine de N dans l’atmosphère terrestre est interprétée comme étant le résultat d’une transmutation nucléaire endothermique.
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114. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juin 2020, 11:11, par un lecteur
Les scientifiques de KamLAND ont publié dans la revue Nature Geoscience de nouveaux chiffres sur l’énergie thermique issue de la désintégration radioactive. Sur la base de l’amélioration de la sensibilité du détecteur KamLAND, ainsi que de plusieurs années de données supplémentaires, la nouvelle estimation n’est pas simplement « cohérente » avec les prévisions des modèles géophysiques acceptés mais est suffisamment précise pour aider à affiner ces modèles.
Une chose qui est sûre à 97% au moins, c’est que la désintégration radioactive ne fournit qu’environ la moitié de la chaleur de la Terre. D’autres sources - la chaleur primordiale laissée par la formation de la planète, et peut-être aussi d’autres - doivent expliquer le reste.
Chasse aux neutrinos du plus profond de la Terre
Les antineutrinos sont produits non seulement lors de la désintégration des isotopes de l’uranium, du thorium et du potassium, mais dans une variété d’autres, y compris les produits de fission dans les réacteurs nucléaires. En fait, les antineutrinos produits par réacteur ont été les premiers neutrinos à être directement détectés (les neutrinos et les antineutrinos se distinguent les uns des autres par les interactions dans lesquelles ils apparaissent).
Parce que les neutrinos n’interagissent que par la force faible - et la gravité, insignifiante sauf à l’échelle du cosmos - ils traversent la Terre comme si elle était transparente. Cela les rend difficiles à repérer, mais dans les très rares occasions où un antineutrino entre en collision avec un proton à l’intérieur du détecteur KamLAND - une sphère remplie de mille tonnes métriques d’huile minérale scintillante - il produit un double signal indubitable.
Le premier signal survient lorsque l’antineutrino convertit le proton en neutron plus un positron (un anti-électron), qui s’annihile rapidement lorsqu’il frappe un électron ordinaire - un processus appelé désintégration bêta inverse. Le faible éclair de lumière du positron ionisant et le processus d’annihilation sont captés par plus de 1 800 tubes photomultiplicateurs à l’intérieur du navire KamLAND. Quelques centaines de millionièmes de seconde plus tard, le neutron de la désintégration est capturé par un proton dans le fluide riche en hydrogène et émet un rayon gamma, le deuxième signal. Cette « coïncidence retardée » permet de distinguer les interactions antineutrino des événements de fond tels que les coups des rayons cosmiques pénétrant le kilomètre de roche qui recouvre le détecteur.
Dit Freedman, « C’est comme chercher un espion dans une foule de gens dans la rue. Vous ne pouvez pas choisir un espion, mais s’il y a un deuxième espion après le premier, le signal est toujours faible mais il est facile à repérer. "
KamLAND a été initialement conçu pour détecter les antineutrinos de plus de 50 réacteurs au Japon, certains proches et certains lointains, afin d’étudier le phénomène d’oscillation des neutrinos. Les réacteurs produisent des neutrinos électroniques, mais en se déplaçant, ils oscillent en neutrinos muons et neutrinos tau ; les trois « saveurs » sont associées à l’électron et à ses cousins plus lourds.
Le fait d’être entouré de réacteurs nucléaires signifie que les événements de fond de KamLAND dus aux antineutrinos des réacteurs doivent également être pris en compte dans l’identification des événements de géoneutrino. Cela se fait en identifiant les antineutrinos des centrales nucléaires par leurs énergies caractéristiques et d’autres facteurs, tels que leurs taux de production variables par rapport à l’arrivée régulière des géoneutrinos. Les antineutrinos des réacteurs sont calculés et soustraits du total. Il ne reste que les géoneutrinos.
KamLAND a détecté 841 événements antineutrino candidats entre mars 2002 et novembre 2009, dont environ 730 étaient des événements de réacteur ou d’autres antécédents. Le reste, environ 111, provenait de désintégrations radioactives de l’uranium et du thorium dans la Terre. Ces résultats ont été combinés avec les données de l’expérience Borexino au Gran Sasso en Italie pour calculer la contribution de l’uranium et du thorium à la production de chaleur de la Terre. La réponse était d’environ 20 térawatts ; d’après les modèles, on estime que trois autres térawatts proviennent d’autres désintégrations isotopiques.
C’est plus d’énergie thermique que ne le suggère le modèle d’ESB le plus populaire, mais encore beaucoup moins que le total de la Terre. Selon Freedman, « Une chose que nous pouvons dire avec une quasi-certitude est que la désintégration radioactive ne suffit pas à elle seule à rendre compte de l’énergie thermique de la Terre. Que le reste soit de la chaleur primordiale ou qu’il provienne d’une autre source est une question sans réponse. »
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115. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juin 2020, 11:22, par un lecteur
Les neutrinos et les antineutrinos, qui voyagent librement dans la masse et l’espace en raison de leur manque de charge et d’autres propriétés, sont libérés par les matières radioactives au fur et à mesure de leur décomposition. Et la Terre regorge de ces éléments radioactifs, principalement de l’uranium, du thorium et du potassium. Au cours des milliards d’années d’existence de la Terre, les isotopes radioactifs se sont divisés, libérant de l’énergie ainsi que ces antineutrinos, tout comme dans un réacteur nucléaire artificiel. Cette énergie chauffe la roche environnante et maintient les forces élémentaires de la tectonique des plaques en mouvement. En mesurant les émissions d’antineutrinos, les scientifiques peuvent déterminer la quantité de chaleur de la Terre résultant de cette désintégration radioactive.
Combien de chaleur ? Environ 20 térawatts de chaleur - soit près du double de l’énergie utilisée par toute l’humanité à l’heure actuelle - à en juger par le nombre de ces particules d’antineutrinos émanant de la planète, surnommées géoneutrinos par les scientifiques. Combiné avec les 4 térawatts provenant de la décomposition du potassium, c’est assez d’énergie pour déplacer des montagnes, ou au moins provoquer les collisions qui les créent.
La précision des nouvelles mesures effectuées par l’équipe KamLAND a été rendue possible par un arrêt prolongé du réacteur nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa au Japon, à la suite d’un tremblement de terre là-bas en 2007. Les particules libérées par la centrale voisine se mélangeraient autrement avec des géoneutrinos naturellement libérés et confondre les mesures ; la fermeture de l’usine a permis de distinguer les deux. Le détecteur se cache des rayons cosmiques - largement similaires aux neutrinos et aux antineutrinos qu’il est conçu pour enregistrer - sous le mont Ikenoyama à proximité. Le détecteur lui-même est un ballon de film transparent de 13 mètres de diamètre rempli d’un mélange d’hydrocarbures liquides spéciaux, lui-même suspendu dans un bain d’huile minérale contenu dans une sphère en acier inoxydable de 18 mètres de diamètre, recouvert à l’intérieur de tubes détecteurs . Tout cela pour capturer la marque révélatrice de quelque 90 géoneutrinos au cours de sept années de mesures.
Les nouvelles mesures suggèrent que la désintégration radioactive fournit plus de la moitié de la chaleur totale de la Terre, estimée à environ 44 térawatts sur la base des températures trouvées au fond des forages profonds dans la croûte de la planète. Le reste provient de la formation de la Terre ou d’autres causes encore inconnues, selon les scientifiques impliqués. Une partie de cette chaleur peut avoir été piégée dans le noyau de fer fondu de la Terre depuis la formation de la planète, tandis que la décroissance nucléaire se produit principalement dans la croûte et le manteau. Mais la fission pompant toujours autant de chaleur, il est peu probable que la Terre se refroidisse - et arrête ainsi les collisions des continents - pendant des centaines de millions d’années grâce à la longue demi-vie de certains de ces éléments.
Source
116. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 juin 2020, 11:24, par un lecteur
Fusion nucléaire possible du deutéron au cœur de la Terre, Jupiter, Saturne et les naines brunes
De nombreuses naines brunes ont récemment été découvertes comme des objets sous-stellaires dans lesquels se produit une fusion thermonucléaire du deutéron. Bien que Jupiter et Saturne émettent près de deux fois plus de chaleur qu’ils absorbent du Soleil, leurs mécanismes internes de génération de chaleur ont été déterminés pour différer de la fusion nucléaire qui alimente les naines brunes car ils ont un facteur de masse de 0,023–0,077 inférieur à celui des naines brunes. La possibilité d’une fusion nucléaire du deutéron dans le noyau terrestre n’a pas été bien étudiée. Ici, nous comparons les conditions de pression et de température de dégénérescence des électrons pour les noyaux avec un composé Fe – D de la Terre, Jupiter et Saturne au noyau avec des gaz de deutérium de la naine brune la plus froide, WISE 1828 + 2650, par rapport à trois fusion nucléaire de deutons-corps, basée sur des processus de capture d’électrons et de conversion interne. Nos résultats suggèrent que la fusion nucléaire du deutéron est possible dans les noyaux de la Terre, Jupiter et Saturne ainsi que la naine brune la plus froide.
Source
117. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 juin 2020, 10:21, par R.
Un signe extérieur de ce réchauffement : le réveil ;des anciens volcans éteints...
https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve1088
118. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 juin 2020, 09:37, par P.T.
Les manifestations d’un réchauffement du noyau terrestre se multiplient à la surface de la Terre avec les tremblements de terre, le volcanisme, les tsunamis, et autres points chauds. Le réchauffement n’existe qu’en ces points et pas uniformément sur la Terre contrairement aux prétentions des faux scientifiques au service des gouvernants et du GIEC.
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/forte-secousse-sismique-de-7-5-sur-l-echelle-de-richter-au-mexique-20200623
https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/06/22/en-islande-importante-activite-sismique-et-eruption-en-vue-pour-le-volcan-grimsvotn_6043778_3244.html
https://news.google.com/search?q=volcan&hl=fr&gl=FR&ceid=FR%3Afr
119. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 juin 2020, 08:55, par toto
Oui, mais pourquoi un réchauffement de tout le noyau terrestre ne réchaufferait que des points chauds en surface ?
120. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 juin 2020, 08:59, par Robert Paris
Oh ! là c’est un phénomène aisé à comprendre qui est celui de la convection. Le réchauffement ne gagne pas uniformément en effet. Pour en faire l’expérience, il suffit d’observer le réchauffement d’une casserole d’eau uniformément chauffée par une plaque. Eh bien la chaleur remonte dans le liquide par des points chauds. Ils peuvent même être clairement visualisés dans du riz qui chauffe lorsque l’eau commence à disparaitre, on voit apparaitre dans le riz... les points chauds des remontées de convection.
121. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 juillet 2020, 14:06, par climat
Le noyau terrestre est loin de se refroidir...
https://www.lesoleil.com/chroniques/jean-francois-cliche/le-noyau-loin-de-se-refroidir-e6e087185f2db7c2578f597f483639a1
122. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 juillet 2020, 03:56, par un lecteur étonné
Vous dites que le noyau de la Terre réchauffe la surface via notamment le volcanisme alors que j’avais entendu dire que les volcans avaient une action plutôt de refroidissement sur le climat ?
123. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 juillet 2020, 04:01, par Robert
Il est exact que certains volcans continentaux ont eu notamment pour effet d’occulter les rayons solaires en produisant des importants nuages de fumée et sont alors cause de refroidissement. Par contre, la remontée de chaleur depuis le centre de la Terre a clairement l’effet de réchauffement et notamment de fusion des glaces. D’autre part, l’essentiel des volcans est sous-marin et donc a exclusivement un effet de réchauffement.
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1636
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3234
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5466
https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve562
124. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 septembre 2020, 07:45, par Georges
La presse est capable de relever que les glaciers antarctiques qui sont rognés le sont par le bas, sans concevoir que cela signifie que c’esy la sol qui se réchauffe et pas l’atmosphère !!!
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/les-glaciers-de-l-antarctique-grignotes-de-l-interieur_1997345.html
125. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 décembre 2020, 08:15, par volcanique
Et on découvre maintenant d’immenses nouveaux volcans !!!
https://www.bfmtv.com/sciences/hawai-le-plus-gros-volcan-sur-terre-se-cachait-sous-deux-petites-pointes-rocheuses_AN-202005280161.html
https://sciencepost.fr/alaska-volcans-caldeiras-yellowstone/
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2020/12/alaska-ces-iles-formeraient-un-gigantesque-volcan
https://information.tv5monde.com/afrique/mayotte-un-nouveau-volcan-s-eveille-sous-la-mer-310503
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-volcans-emettent-bulles-geantes-440-metres-diametre-78078/
https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&biw=1046&bih=882&tbm=nws&ei=JXnQX-GaPIG9lwSR_5jwBg&q=+volcano+advisory&oq=+volcano+advisory&gs_l=psy-ab.3..0i333k1.26856.30319.0.30599.10.10.0.0.0.0.108.843.9j1.10.0....0...1c.1.64.psy-ab..0.8.646...0.0.TIMTXjO2ChU
126. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 15 janvier 2021, 05:13, par A. Mantoux
Le noyau de la Terre est de 1000 degrés plus chaud que les experts ne le pensaient…
https://www.theverge.com/2013/4/26/4271378/its-getting-hot-in-here-earths-core-is-1000-degrees-warmer-than
127. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 16 janvier 2021, 08:33, par physicien
Le centre de la Terre est aussi chaud que le soleil. Avec1800 degrés plus chaud que ce que nous pensions auparavant, le noyau de la Terre est extrêmement chaud…
https://eos.org/features/earths-core-is-in-the-hot-seat
128. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 janvier 2021, 08:38, par M.
Lire aussi :
Le rayon de la Terre est-il fixe ou susceptible de changements brutaux ?
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5031
L’histoire de la Terre et de la Vie, marqués par les volcans géants, les trapps et les grandes explosions volcaniques
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5400
Nouveau voyage au centre de la Terre
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5055
Volcanisme au pôle nord
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1178
Le Pôle sud (Antarctique) bat des records… de froid !!!
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5382
Que penser de la thèse du "réchauffement global d’origine anthropique" ?
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5748
La rotation du noyau accroît sa vitesse :
Il y a une nouvelle rotation dite super-rotation
https://www.fredzone.org/enfin-une-explication-sur-le-mysterieux-noyau-de-la-terre-554
129. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 13 février 2021, 06:23, par arthur
Le noyau de la Terre est beaucoup plus chaud qu’on ne le croyait ou s’est réchauffé récemment…
https://www.bbc.com/news/science-environment-22297915
130. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 11 avril 2021, 05:20, par noyau
Eruptions volcaniques en accroissement spectaculaire…
La soufrière à Saint-Vincent
https://www.lci.fr/international/video-eruption-du-volcan-la-soufriere-a-saint-vincent-des-milliers-d-evacuation-dans-la-panique-2183156.html
Piton de la Fournaise à la Réunion
https://www.lci.fr/international/video-eruption-du-volcan-la-soufriere-a-saint-vincent-des-milliers-d-evacuation-dans-la-panique-2183156.html
En Islande une éruption s’étend
https://www.ouest-france.fr/monde/volcan-eruption-volcanique/islande-l-eruption-volcanique-s-etend-une-troisieme-source-de-lave-detectee-e6b2e424-9797-11eb-8261-9f7819628c0a
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-volcan-islande-nouvelles-videos-drone-torrents-lave-spectaculaires-81628/
L’Etna aussi
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/douzieme-eruption-volcanique-de-l-etna-des-images-impressionnantes-en-italie-sicile-lave-fumee-cendres.html
Au Guatemala
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/guatemala-les-images-de-l-orage-provoque-par-l-eruption-d-un-volcan-pacaya-video.html
Il y a 1511 volcans actifs sur Terre, dont une soixantaine fait éruption chaque année. Depuis une vingtaine d’années, le nombre de volcans actifs est en augmentation et les éruptions volcaniques sont plus nombreuses. On constate une forte activité volcanique ces dernières années.
https://www.planetoscope.com/sols/254-.html
131. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 14 avril 2021, 06:28, par A.M.
Histoire d’un mystère : l’intérieur de la Terre
https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/modeles-interieur-terre.xml
Il ne manque que l’histoire des dernières études…
132. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 14 avril 2021, 06:28, par A.M.
La thèse officielle selon laquelle le noyau de la Terre ne cesse de se refroidir colle très mal avec des éruptions volcaniques en hausse continuelle ces dernières années ainsi que des tremblements de terre en augmentation et une rotation du noyau qui augmente !!!
https://www.cea.fr/presse/Pages/actualites-communiques/sciences-de-la-matiere/temperature-noyau-terre-reevaluee-esrf.aspx
https://www.caminteresse.fr/sciences/quarrivera-t-il-lorsque-le-noyau-terrestre-sera-froid-11106639/
133. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 juin 2021, 07:41, par A.M.
Le noyau de la Terre est plus chaud que la surface solaire…
134. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 juillet 2021, 05:29, par Terre
Du nouveau sur le noyau de la Terre ?
https://www.businessinsider.fr/le-noyau-de-la-terre-grossit-de-facon-desequilibree-depuis-au-moins-un-demi-milliard-dannees-187838
https://sciencepost.fr/nouvelle-couche-noyau-terrestre/
135. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 septembre 2021, 04:58, par climat
Quelques manifestations récentes de l’augmentation d’activité souterraine...
Dans la même période très récente, il y a eu : éruption volcanique aux Canaries, séisme au sud-est de l’Australie, en Islande éruption du volcan Fagradalsfjall, en Italie éruption de l’Etna, éruption éruption d’un volcan dans le sud-ouest du Japon, gigantesque volcan sous-marin au large de Mayotte, gaz et cendres volcaniques émises par le volcan Popocatepetl du Mexique et trois volcans en éruption en même temps en Alaska et on en passe…
Et en perspective : https://www.tameteo.com/actualites/science/l-eruption-d-un-super-volcan-comporte-des-risques-permanents-et-pourrait-changer-radicalement-le-climat-de-la-terre.html
L’influence des volcans sur le climat
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-nasa-etudie-influence-eruptions-volcaniques-climat-93360/
136. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 septembre 2021, 07:15, par noyau
Éruption volcanique à La Palma : les Canaries frappées par sept séismes en une heure
https://www.lindependant.fr/2021/09/27/eruption-volcanique-a-la-palma-les-canaries-frappees-par-sept-seismes-en-deux-heures-9816164.php
Séisme en Crête
https://www.volcanodiscovery.com/fr/earthquakes/crete.html
Derniers séismes dans le monde
https://www.volcanodiscovery.com/fr/seismes/derniers.html
137. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 6 novembre 2021, 09:15, par anatole
La progression silencieuse vers une super-éruption
On estime qu’environ 5 à 10 volcans dans le monde sont capables de produire une super-éruption qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur le climat mondial. L’un de ces volcans se cache sous les eaux du lac Toba à Sumatra et a provoqué deux super-éruptions au cours du dernier million d’années. Mais quand aura lieu la prochaine ? Y aura-t-il des signes avant-coureurs ?
https://www.techno-science.net/actualite/progression-silencieuse-vers-super-eruption-N21382.html
138. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 10 novembre 2021, 07:26, par noyau
Eruption volcanique au Japon
https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/japon-eruption-spectaculaire-du-volcan-aso-l-un-des-volcans-les-plus-actifs-du-pays_4814805.html
139. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 décembre 2021, 08:21, par toto
il y a de plus en plus d’éruptions de volcans
https://www.presse-citron.net/on-sait-enfin-pourquoi-il-y-a-de-plus-en-plus-deruptions-de-volcans/
Cela signifie nécessairement que le noyau radioactif fournit plus d’énergie
140. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 mars 2022, 06:44, par un lecteur
La pluie de sable venue du Sahara qui s’abat sur la France est... radioactive !!!
Le désert du Sahara est durablement marqué par les retombées des essais nucléaires effectués par la France dans les années 1960. Le sable, porté ces derniers jours par les vents jusqu’en France, contient du césium 137, un élément radioactif.
https://www.leparisien.fr/meteo/la-pluie-de-sable-venue-du-sahara-qui-sabat-sur-la-france-est-legerement-radioactive-16-03-2022-7YFIVX3DOBFBPJG3SAVUQYDJRU.php
141. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 mars 2022, 07:35, par un lecteur
Le sable radioactif contenait du césium 137
https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/272791-la-poussiere-de-sable-du-sahara-contenait-du-cesium-137-un-element-radioactif
142. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 juillet 2022, 08:03, par climat
A remarquer qu’une partie (hémisphère nord) se réchauffe pendant que l’autre (hémisphère sud) se refroidit
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5382
https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve924
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5748
143. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 juillet 2022, 07:19, par Gabas
Nul n’est besoin de prétendu réchauffement global anthropique ni du "Groupement Intergouvernemental des Experts du Climat", ni de ses "modèles" (à constantes ajustables) ni de ses "prédictions" à la demande du client pour dénoncer et combattre la gigantesque gabegie énergétique du capitalisme marchand globalisé (échanges commerciaux planétarisés), un crime écologique et social contre l’Humanité, et un attentat contre le bon sens économique.
144. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 juillet 2022, 07:23, par climat
Histoire d’un mystère : l’intérieur de la Terre
https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/modeles-interieur-terre.xml
Le cœur de la Terre est beaucoup plus chaud qu’on ne le pensait
https://www.bbc.com/news/science-environment-22297915
Le noyau de la Terre grossit de façon déséquilibrée depuis au moins un demi-milliard d’années
https://www.businessinsider.com/?r=US&IR=T
Le cœur et le manteau terrestres sont en train de se réchauffer
https://eos.org/features/earths-core-is-in-the-hot-seat
145. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 juillet 2022, 07:26, par climat
Tous les modèles "classiques" indiquent que le noyau devrait se refroidir alors qu’il se réchauffe
https://www.lesoleil.com/2017/08/26/le-noyau-loin-de-se-refroidir-e6e087185f2db7c2578f597f483639a1
146. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 juillet 2022, 07:29, par climat
Une réévaluation des températures près du centre de la Terre, à la frontière de son noyau de fer solide, a été réalisée par des scientifiques français, qui ont été surpris des résultats. La température peut y atteindre les 6000 °C, ce qui est pas moins d’un millier de degrés de plus que ce qu’on avait estimé à ce jour.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/610927/terre-temperature-noyau
147. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 1er août 2022, 07:36, par Etienne Buisson
Marvin Herndon propose une théorie sensiblement différente : le centre de la terre serait plutôt un immense réacteur nucléaire naturel d’uranium, d’un diamètre de 8 km. Des réactions de fission atomique en chaîne, source de quantité d’énergie calorifique, y auraient lieu. Depuis 1993, ce géophyisicien californien construit son idée audacieuse à partir d’une découverte faite en 1972, au Gabon. Dans des mines, des chercheurs français ont trouvé des éléments radioactifs issus de réactions de fission nucléaire naturelles, et non provoquées comme c’est le cas dans les centrales nucléaires. Si un tel phénomène naturel est possible à la surface de la Terre, pourquoi ne le serait-il pas en son centre ? La communauté scientifique réfute pourtant largement cette hypothèse, arguant qu’elle n’est « pas nécessaire », ou que les conditions pour que fonctionne un tel « géoréacteur » sont loin d’être garanties. Rob de Meijer, lui, n’est pas si catégorique. Il propose même de la vérifier expérimentalement.
« Toutes les théories sur le centre de la Terre ne sont que des hypothèses, rappelle ce professeur de l’Université de Groningen (Pays-Bas). Celle de Herndon, comme les autres, mérite d’être explorée. » Son équipe planifie donc de creuser un puits de 500 m sur l’île de Curaçao, et d’y introduire des détecteurs à antineutrinos. Car ces particules, si elles ont certaines caractéristiques, peuvent aussi constituer la signature de l’existence d’un réacteur naturel de fission nucléaire. Et pourquoi sur cette île des Caraïbes ? « Parce qu’elle se situe loin des sources artificielles d’antineutrinos que sont les centrales nucléaires, et que la croûte terrestre y est mince, favorisant les mesures. » Devisé à 50 millions d’euros, le projet n’en est encore qu’à ses balbutiements : « Nous devons en démontrer le principe. Mais si elle fonctionne, cette expérience permettra de dire si les antineutrinos sont générés par un géoréacteur nuc
Une autre théorie est née dans les années 1970. Et si un autre élément radioactif, du potassium 40 (40K), se trouvait aussi au centre de la Terre. Un élément dont la désintégration produirait le supplément d’énergie calorifique nécessaire à achever le portrait du noyau interne ? Hors de question, ont d’abord unanimement rétorqué les scientifiques. Il était en effet admis que, plus léger que les métaux lourds comme le fer, le 40K ne pouvait avoir « coulé » jusqu’au centre de la Terre, lorsque celle-ci s’est formée dans la fournaise des collisions avec des météorites. Or, en mai 2003, des géochimistes de l’EPFZ ont décelé des indices montrant que le 40K pouvait se mêler au fer, alors que l’on pensait qu’un tel alliage était impossible. Ces résultats ont été confirmés six mois plus tard par des géophysiciens américains. Ainsi, du 40K combiné au fer pourrait bel et bien se trouver dans le noyau interne. Et même fournir 25% de la chaleur dissipée par la Terre, selon ces scientifiques. Loin d’être définitive, cette hypothèse vient une nouvelle fois brouiller les cartes. Ceci alors qu’un autre phénomène reste encore largement plus mystérieux.
Certaines roches volcaniques ou glaces polaires révèlent en effet que l’orientation du champ magnétique terrestre s’est inversée des centaines de fois depuis que la Terre existe. La dernière inversion aurait eu lieu il y a 780 000 ans. De plus, l’intensité moyenne de ce champ a décru de 10% depuis qu’on la mesure, en 1831. Récemment, des satellites ont aussi repéré une répartition inégale du flux magnétique à la surface de la terre. Mais d’où viennent ces changements ? Probablement de profonds bouleversements dans le noyau externe. Des simulations numériques ont montré que des mouvements de convection anormaux pouvaient, dans certaines zones, créer une inversion du champ magnétique terrestre local. Problème : ces dérèglements sont difficiles à expliquer avec le modèle d’un noyau interne produisant de la chaleur de manière graduelle et continue, par désintégration des radionucléides. Selon la théorie de Herndon, en revanche, le géoréacteur nucléaire naturel pourrait, de temps à autre, avoir des « ratés », et même s’arrêter. Ce qui pourrait de fait modifier le champ magnétique terrestre.
148. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 3 août 2022, 08:13, par JFP/Jean-François POULIQUEN
▬Bonjour Mr Paris. J’ai une question très simple que voici : Depuis que l’homme utilise la géothermie de l’énergie calorifique des sous-sol terrestre, s’est-il rendu compte au fil du temps que la chaleur qu’il extrayait des sous sols était de plus en plus grande ? Si le noyau terrestre se réchauffe, il réchauffe aussi les autres couches, jusqu’à arrivé au sol terrestre. Sait-on rendu compte que cette température à augmentée ? Depuis un peu avant 1900 les premiers trous de géothermie ont été réalisés, a t-on des statistiques d’une évolution quelconque ?
▬Amicalement. JFP/Jean-François POULIQUEN jfp.pouliquen@hotmail.fr
149. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 3 août 2022, 11:28, par R. Paris
Aucune idée pour la géothermie mais ce qui est certain c’est qu’elle est de plus en plus exploitée et que la température du manteau augmente.
https://www.rtbf.be/article/decouverte-le-manteau-terrestre-a-augmente-de-600-c-est-grave-docteur-9547505
150. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 août 2022, 06:45, par R.P.
La chaleur venue d’en bas se manifeste...
Séismes multiples en Islande, gros séisme aux Philippines, séisme afghan, séisme d’Equateur, séisme Allemagne-Alsace et Suisse, séisme en mer Caspienne, etc…
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-signes-avant-coureurs-eruption-volcanique-imminente-islande-100006/
https://www.meteomedia.com/ca/nouvelles/article/une-region-du-monde-secouee-par-9000-seismes-en-un-mois
https://www.la-croix.com/Monde/seisme-magnitude-71-secoue-Philippines-2022-07-27-1201226572
https://www.20minutes.fr/sciences/3324087-20220718-tremblement-terre-pourquoi-recent-seisme-afghan-eclaire-tectonique-plaques
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/un-seisme-de-magnitude-6-1-secoue-l-equateur-sans-faire-de-victimes-20220715
https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/alsace/un-tremblement-de-terre-de-magnitude-4-1-dans-le-bade-wurtemberg-a-ete-ressenti-en-alsace-en-debut-d-apres-midi-2579040.html
https://azertag.az/fr/xeber/france-2238557
151. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 septembre 2022, 06:53, par alain
Puissant séisme en Chine, en Grèce, en Afghanistan, aux Philippines, au Japon, au Mexique, en Nouvelle Calédonie, à Chypre, à Taïwan, en Crète, au Chili, au Timor, au Pérou, au Vanuatu, en Iran, en Haïti…
Les séismes continuent d’augmenter…
https://news.google.com/search?q=Puissant%20s%C3%A9isme&hl=fr&gl=FR&ceid=FR%3Afr
152. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 24 novembre 2022, 05:54, par séismes
Séisme en Indonésie
https://www.francetvinfo.fr/meteo/seisme/indonesie-au-moins-46-morts-et-700-blesses-apres-un-seisme-de-magnitude-5-6_5490612.html
à Java
https://www.20minutes.fr/monde/4010958-20221121-indonesie-moins-44-morts-apres-seisme-ile-java-secousses-ressenties-jusqu-capitale-jakarta
en Grèce
https://www.sudouest.fr/international/un-seisme-de-5-5-en-mer-egee-secoue-les-iles-grecques-aucune-victime-a-deplorer-13055875.php
au Japon
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/un-seisme-de-magnitude-6-1-s-est-produit-au-large-du-japon-plusieurs-villes-touchees-dont-tokyo-82b1938a-63fb-11ed-8b14-16e41791c263
en Italie
https://www.midilibre.fr/2022/11/09/mediterranee-un-seisme-de-magnitude-57-enregistre-pres-des-cotes-italiennes-10791759.php
en France
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/morbihan/un-seisme-de-3-9-sur-l-echelle-de-richter-enregistre-dans-le-morbihan-2641528.html
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/un-seisme-de-magnitude-3-8-enregistre-en-haute-savoie-a09e6991-a73e-4804-b362-f98d3e08da58
153. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 15 janvier 2023, 06:27, par climat
Le nombre d’éruptions volcaniques augmente et va encore augmenter
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/inquietudes-le-nombre-d-eruptions-volcaniques-va-augmenter-dans-le-futur-danger-humanite.html
https://www.journaldugeek.com/2021/10/11/lactivite-volcanique-sintensifie-sur-terre-et-on-sait-pourquoi/
https://usbeketrica.com/fr/article/il-y-a-une-chance-sur-six-qu-une-eruption-volcanique-massive-bouleverse-le-monde-au-cours-de-ce-siecle
Demandez-vous pourquoi ! L’effet de serre n’y est certainement pour rien même si les acharnés du réchauffement climatique le prétendent. C’est le noyau de la terre qui pilote !
154. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 15 janvier 2023, 06:43, par lucifer
Une variante de cette idée vient d’être relancée par le physicien Rob de Meijer de l’University of the Western Cape, Cape Town (Afrique du Sud) et par le géochimiste Wim van Westrenen de la Free University of Amsterdam. Ce ne serait pas dans le noyau mais dans certaines zones à la base du manteau, juste au-dessus de l’interface noyau-manteau, que de l’uranium pourrait s’être accumulé pour former des réacteurs nucléaires naturels.
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/geologie-reacteur-nucleaire-naturel-manteau-terrestre-15573/
155. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 janvier 2023, 07:41, par noyau
On finit par admettre qu’il se passe des choses nouvelles dans le noyau
https://www.20minutes.fr/sciences/4020268-20230124-noyau-terrestre-inverse-sens-rotation-consequences-planete
156. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 30 janvier 2023, 05:37, par A. Mantoux
Le noyau de la terre est plus chaud que prévu !
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/610927/terre-temperature-noyau
https://www.rcinet.ca/regard-sur-arctique/2020/12/07/de-la-chaleur-issue-du-noyau-terrestre-accelererait-la-fonte-des-glaces-en-arctique/
https://www.webastro.net/forums/topic/109124-1-000-%C2%B0c-plus-chaud-que-pr%C3%A9vu-au-centre-de-la-terre/#comment-1588210
157. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 septembre 2023, 05:23, par alain
.
Des manifestations nombreuses du réchauffement du cœur de la Terre :
La terre s’ouvre au Chili
https://www.liberation.fr/international/amerique/au-chili-lapparition-un-trou-gigantesque-intrigue-et-inquiete-20220803_RZNAFYKEDNDBBIWQAQXJW335OQ/
Des tremblements de terre ont lieu dans des zones tout à fait inhabituelles
https://www.europe1.fr/international/seisme-au-maroc-pourtant-pas-la-zone-la-plus-active-du-pays-souligne-un-sismologue-4202797
https://www.polytechnique-insights.com/tribunes/planete/le-mystere-des-tremblements-de-terre-dans-des-zones-dites-calmes/
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/le-seisme-inattendu-de-2019-en-ardeche-bouleverse-la-carte-de-l-alerte-sismique-en-france-6950126
https://www.francetvinfo.fr/meteo/seisme/grece-un-seisme-d-une-magnitude-de-5-8-fait-un-mort-et-neuf-blesses-en-crete_4785879.html
Quand la terre s’ouvre
https://pressealgerie.fr/news/quand-la-terre-souvre-sous-nos-pieds-26-photos-terrifiants/
https://www.lemonde.fr/videos/video/2015/11/09/la-terre-s-ouvre-dans-un-parking-du-mississipi_4805938_1669088.html
https://www.youtube.com/watch?v=arb3zPJVnvI
https://www.youtube.com/watch?v=0JlCwYxO6Hg
https://www.maxisciences.com/fissure/une-enorme-fissure-s-ouvre-dans-le-sol-du-mexique_art33344.html
https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2018/10/mexique-le-tremblement-de-terre-de-2017-a-ete-provoque-par-une-plaque-tectonique-coupee-en-deux
Des séismes en augmentation
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4625
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/sismologie-le-plus-long-seisme-jamais-enregistre-a-dure-32-ans
https://www.nationalgeographic.fr/environnement/des-tremblements-de-terre-pourraient-se-produire-partout-dans-le-monde
https://www.courrierinternational.com/article/catastrophes-ces-seismes-en-serie-qui-inquietent-l-indonesie
158. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 septembre 2023, 05:49, par lucifer
.
Tremblements de terre très récents :
Sud-est
Californie
Tokyo
Moluques (Indonésie)
Et bien d’autres :
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/
https://www.volcanodiscovery.com/fr/seismes/derniers.html
https://www.google.com/search?client=firefox-b-e&q=Tremblements+de+terre+tr%C3%A8s+r%C3%A9cents+#ip=1
159. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 30 septembre 2023, 04:41, par Laurence
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En même temps, des tremblements de terre en Papouasie, au Portugal, à Djibouti, en Pologne, en Turquie, au Pakistan et on en passe des dizaines...
160. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 octobre 2023, 05:50, par climat
.
Le cœur de la Terre renvoie matières et énergie en surface…
https://www.journaldugeek.com/2023/10/25/le-coeur-de-la-terre-fuit-et-cest-une-bonne-nouvelle/?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
D’où le réchauffement mais uniquement dans les zones de remontées et pas de réchauffement global climatique…
161. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 9 décembre 2023, 04:21, par climat
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Des ondes qui serpentent dans le noyau terrestre perturbent ce qui se passe en surface
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-ondes-serpentent-noyau-terrestre-perturbent-duree-jour-109858/
https://www.lepoint.fr/sciences-nature/quand-le-noyau-terrestre-donne-le-tournis-aux-scientifiques-23-01-2023-2505848_1924.php#11
162. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 25 décembre 2023, 05:10, par volcans en hausse
.
Quelle preuve que le noyau se réchauffe ? Des éruptions inhabituellement intenses !
La dernière éruption en Islande inquiète particulièrement les scientifiques
https://www.sudouest.fr/international/europe/pourquoi-la-derniere-eruption-en-islande-inquiete-particulierement-les-scientifiques-17907428.php
https://actu.fr/monde/islande-une-eruption-considerable-le-volcan-proche-de-grindavik-s-est-reveille_60473663.html
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/eruptions-islande-est-entree-dans-une-nouvelle-periode-dactivite-volcanique
L’éruption des Tonga signale une hausse du volcanisme
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/inquietudes-le-nombre-d-eruptions-volcaniques-va-augmenter-dans-le-futur-danger-humanite.html
https://lejournal.cnrs.fr/articles/un-apres-son-eruption-les-lecons-du-volcan-hunga-tonga
https://www.climato-realistes.fr/lirruption-du-volcan-tonga-hunga-a-provoque-une-injection-sans-precedent-de-vapeur-deau-dans-la-stratosphere/
L’Etna aussi
https://claudegrandpeyvolcansetglaciers.com/2023/12/02/hausse-de-lactivite-eruptive-sur-letna-sicile-increase-in-eruptive-activity-on-mt-etna-sicily/
En Indonésie aussi
https://claudegrandpeyvolcansetglaciers.com/2023/10/21/hausse-dactivite-du-slamet-java-indonesie-increase-in-activity-at-slamet-java-indonesia/
Et au Congo
https://sciencepost.fr/tres-soudaine-leruption-de-ce-volcan-au-congo-est-un-fait-preoccupant/
Ainsi qu’au Kamtchatka
https://www.mvariety.com/footage-of-smoke-rising-after-volcanic-eruption-in-kamchatka-region/video_21e65b12-d8bd-11ed-98c5-e73a99c4a937.html
163. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 31 décembre 2023, 04:50, par Guillaume
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Eruptions dangereuses en Islande
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/actualites-volcan-la-plus-recente-eruption-en-islande-pourrait-aussi-etre-la-plus-dangereuse?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
https://www.slate.fr/story/258066/eruption-volcan-islande-plus-dangereuse-histoire-recente-ville-population
15 volcans dangereux
https://www.cnews.fr/monde/2023-12-04/voici-les-15-volcans-les-plus-dangereux-de-la-planete-en-2023-1183141
Sans compter les éruptions sous-marines
https://www.tameteo.com/actualites/science/les-eruptions-sous-marines-sont-elles-plus-dangereuses-que-les-eruptions-sur-terre-volcan.html
Et des surprises
https://dailygeekshow.com/volcans-endormis/
https://www.aa.com.tr/fr/monde/philippines-les-sismologues-craignent-une-%C3%A9ruption-dangereuse-et-explosive-du-volcan-mayon/2925365
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-trois-grands-volcans-dangereux-sont-reveilles-ces-derniers-jours-105533/
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-05-25/leruption-du-volcan-nyiragongo-le-plus-dangereux-dafrique-en-huit-images-spectaculaires-2e1a3049-b8b6-4482-966b-f95adeebb5e9
https://www.midilibre.fr/2023/06/10/en-italie-un-super-volcan-extremement-dangereux-menace-de-se-reveiller-pres-de-naples-500-000-personnes-concernees-11254087.php
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-cotopaxi-plus-dangereux-volcans-monde-reveille-59401/
164. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 2 janvier, 05:29, par Florent
.
Quand nous avons développé l’idée du noyau de plus en plus chaud, ils nous disaient que cela devrait se voir dans les éruptions volcaniques et maintenant Islande, Russie, Japon, Italie, Indonésie montrent un volcanisme accru, que disent-ils ?…
https://www.huffingtonpost.fr/international/video/au-japon-les-images-des-seismes-qui-ont-frappe-le-pays-et-provoque-une-alerte-tsunami_227740.html
https://fr.yahoo.com/news/leurope-menace-dune-%C3%A9ruption-majeure-110000821.html
https://www.7sur7.be/monde/un-volcan-en-eruption-dans-le-sud-du-japon~a5b49039/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F
https://cordis.europa.eu/article/id/115892-trending-science-unexpected-eruption-at-mount-ontake/fr
https://www.lalibre.be/archives-journal/2014/07/13/lexplosion-du-volcan-affecterait-pres-de-neuf-millions-de-japonais-WNBAG53M3FH5XDBXFC2JJIKJ2I/
https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/japon-russie-islande-sicile-faut-il-s-inquieter-de-voir-autant-d-eruptions-volcaniques-7900322126
https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/direct-un-seisme-de-magnitude-7-4-frappe-le-centre-du-japon-une-alerte-au-tsunami-dans-plusieurs-prefectures_6276921.html
https://www.liberation.fr/international/asie-pacifique/partez-tout-de-suite-au-japon-seismes-en-serie-et-alerte-au-tsunami-reveillent-le-traumatisme-de-2011-20240101_EBDCN4U7ERDZVLL5GCVZ2F3WUY/
165. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 janvier, 14:22, par Mathieu
.
Les volcans et tremblements de terre, notamment ceux du Japon et d’Islande, ne sont pas les seuls à montrer qu’il se passe quelque chose de nouveau dans le noyau terrestre
https://www.caminteresse.fr/sciences/des-scientifiques-ont-decouvert-une-nouvelle-boule-dans-le-noyau-la-terre-11187886/
https://sciencepost.fr/noyau-interne-terre-etrange-rotation/
https://www.clubic.com/mag/sciences/actualite-458925-saviez-vous-qu-il-y-a-un-noyau-dans-le-noyau-de-la-terre-les-scientifiques-viennent-seulement-d-en-trouver-la-preuve.html
https://trustmyscience.com/le-noyau-de-la-terre-evolue-de-maniere-desequilibree/
Et aussi les volcans et tremblements de terre…
https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/seisme-au-japon-des-villes-transformees-en-champ-de-ruines_6279048.html
https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/12/28/islande-pres-du-volcan-sundhnuksgigar-une-ville-en-suspens_6208061_3244.html
166. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 15 janvier, 05:53, par Robert
.
Plus que jamais le volcanisme et tremblements de terre grandissent, témoignant d’une activité inhabituelle du noyau terrestre, même si les spécialistes ont ordre de dire que ça n’augmente pas…
Un monstre volcanique grandit dans les eaux du Pacifique
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-monstre-volcanique-grandit-sous-eaux-pacifique-depuis-120-millions-annees-110672/
Islande, Japon et Indonésie, trois volcans entrent en éruption presque au même moment
https://www.ladepeche.fr/2024/01/14/islande-japon-indonesie-trois-volcans-entrent-en-eruption-presque-au-meme-moment-11695418.php
Le Kamtchatka au plus haut niveau du volcanisme
https://www.geo.fr/environnement/russie-klyuchevskoy-plus-haut-volcan-eurasie-entre-dans-violente-eruption-kamtchatka-217549
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/volcan-paroxysme-volcan-klyuchevskoy-kamchatka-109014/
https://issues.fr/les-geants-agites-de-russie-les-volcans-du-kamtchatka-en-action/
https://issues.fr/les-geants-agites-de-russie-les-volcans-du-kamtchatka-en-action/
Indonésie
https://www.20minutes.fr/monde/4069669-20240110-indonesie-volcan-lewotobi-laki-laki-ile-flores-alerte-maximale
https://www.dhnet.be/dernieres-depeches/2024/01/14/eruption-de-deux-volcans-sur-les-iles-de-sumatra-et-de-flores-en-indonesie-UEIROVJUQZGS3OZ2BI257Z2MSY/
167. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 16 janvier, 05:59, par climat
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Le volcanisme est bien plus important pour la Terre que l’effet de serre…
Islande
Trente-trois systèmes volcaniques sont considérés comme actifs dans ce pays de feu et de glace, région la plus volcanique d’Europe.
https://www.huffingtonpost.fr/international/video/en-islande-l-eruption-volcanique-de-grindavik-engloutit-des-maisons_228347.html
Au Kamtchatka, environ 160 volcans
https://fr.wikipedia.org/wiki/Volcans_du_Kamtchatka
Au Japon, 110 volcans
https://www.shantitravel.com/fr/guide-voyage-japon/les-volcans-au-japon
Indonésie : 500 volcans
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_volcans_d%27Indon%C3%A9sie
Antarctique occidental : 91 volcans
https://volcanofoundation.org/fr/la-plus-grande-region-volcanique-du-monde-decouverte-en-antarctique/
168. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 28 janvier, 06:10, par lucifer
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On nous dit que ce serait l’activité humaine qui réchaufferait la planète et agirait sur les courants marins…
https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2023/08/ralentissement-des-courants-oceaniques-de-latlantique-faut-il-salarmer
https://www.geo.fr/environnement/climat-lun-des-courants-oceaniques-les-plus-importants-au-monde-serait-sur-le-point-de-se-detraquer-205818
https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/rechauffement-climatique-changement-climatique-modifie-t-il-circulation-oceanique-1106/
Ce n’est pas le réchauffement global d’origine le gaz carbonique CO² mais le volcanisme, une chaine d’anciens volcans, qui déstabilise le courant océanique le plus puissant
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/ocean-cette-chaine-anciens-volcans-sous-marins-destabilise-courant-oceanique-plus-puissant-monde-110343/
Les volcans comandent aux océans…
https://www.pourlascience.fr/sd/climatologie/quand-les-volcans-commandent-aux-oceans-12071.php
Et c’est comme cela que les volcans commandent le climat
https://www.letemps.ch/sciences/volcans-ont-un-effet-climat-bien-plus-important-quimagine
169. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 30 janvier, 08:51, par Robert
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En Islande la faille qui s’est réveillée après plus de 800 ans
https://www.science-et-vie.com/nature-et-environnement/en-islande-la-faille-qui-sest-reveillee-apres-plus-de-800-ans-dinactivite-laisse-echapper-de-grandes-quantites-de-magma-124585.html
Trois grands volcans dangereux se sont réveillés ces derniers jours
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-trois-grands-volcans-dangereux-sont-reveilles-ces-derniers-jours-105533/
Eh oui ! Des volcans endormis se réveillent
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/volcan-activite-volcanique-italie-pres-de-naples-un-supervolcan-se-reveille-doucement
https://actu.fr/monde/le-plus-gros-volcan-du-monde-se-reveille-les-impressionnantes-images-de-l-eruption-a-hawai_55538357.html
https://www.leparisien.fr/environnement/italie-un-super-volcan-menace-de-se-reveiller-un-demi-million-dhabitants-dans-une-zone-a-risque-09-06-2023-2HBFVNLMYZBCFGMLRODDVLO7E4.php
https://www.futura-sciences.com/planete/breves/eruption-images-volcan-kilauea-vient-reveiller-3e-fois-cette-annee-8754/
https://rmc.bfmtv.com/actualites/sciences-nature/islande-reveil-inquietant-d-un-volcan-avec-eruption-imminente-une-ville-totalement-evacuee_AV-202311130366.html
https://www.midilibre.fr/2023/06/10/en-italie-un-super-volcan-extremement-dangereux-menace-de-se-reveiller-pres-de-naples-500-000-personnes-concernees-11254087.php
https://www.petitbleu.fr/2021/03/21/le-reveil-soudain-dun-volcan-eteint-depuis-des-siecles-9440918.php
https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/l-etoile-du-jour/les-images-spectaculaires-du-mauna-loa-plus-grand-volcan-actif-au-monde-qui-vient-de-se-reveiller-apres-38-ans-de-sommeil_5482050.html
https://atlantico.fr/article/video/un-volcan-se-reveille-au-mexique
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/actualites/une-etude-recente-montre-que-les-volcans-endormis-comme-ceux-d-auvergne-peuvent-se-reveiller-brutalement_14427784/
https://sciencepost.fr/volcan-russe-se-reveille-apres-pres-de-250-ans-de-sommeil/
Et les volcans qui s’activent, cela provient de l’énergie du noyau…
170. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 19 février, 05:06, par climat
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De l’Islande aux champs plégréens, les volcans se déchainent-ils en chaine
https://www.20minutes.fr/sciences/4071176-20240118-islande-champs-phlegreens-volcans-dechainent-chaine
Et au Kazakhstan…
https://www.volcanodiscovery.com/fr/earthquakes/kazakhstan/largest.html
Et bien d’autres…
https://www.cnews.fr/monde/2023-12-04/voici-les-15-volcans-les-plus-dangereux-de-la-planete-en-2023-1183141
171. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 21 février, 04:29, par lucifer
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De nouveaux séismes…
https://www.20minutes.fr/monde/4072039-20240122-seisme-tremblement-terre-magnitude-7-frontiere-entre-chine-kirghizstan
https://www.notre-planete.info/actualites/5076-seisme-La-Laigne-Deux-Sevres-Charente-Maritime
https://www.20minutes.fr/planete/4069504-20240109-seisme-magnitude-6-7-large-philippines
https://www.geo.fr/environnement/japon-des-images-satellites-montrent-que-la-ligne-de-cote-a-recule-de-250-metres-apres-le-seisme-du-nouvel-an-218402
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-ce-quil-passe-avant-seisme-japon-intrigue-scientifiques-110684/
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/ariege/foix/tremblement-de-terre-dans-les-pyrenees-un-court-mais-puissant-seisme-ressenti-en-andorre-2894252.html
https://www.armenews.com/spip.php?page=article&id_article=111923
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/la-region-de-los-angeles-secouee-par-un-leger-seisme-ce-lundi-cf7abf10-a8cf-11ee-bd70-78fa15e16d04
172. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 mars, 06:02, par climat ou noyau ?
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Des manifestations d’un réchauffement du noyau ?
De la chaleur issue du noyau terrestre accélérerait la fonte des glaces en Arctique
https://recherchespolaires.inist.fr/de-la-chaleur-issue-du-noyau-terrestre-accelererait-la-fonte-des-glaces-en-arctique/
https://www.rcinet.ca/regard-sur-arctique/2020/12/07/de-la-chaleur-issue-du-noyau-terrestre-accelererait-la-fonte-des-glaces-en-arctique/
https://claudegrandpeyvolcansetglaciers.com/2021/01/10/chaleur-du-noyau-terrestre-et-fonte-de-larctique-earths-core-heat-and-arctic-melting/
Nouvelle éruption volcanique en Islande, l’état d’urgence décrété sur la péninsule de Reykjanes
https://www.france24.com/fr/europe/20240317-nouvelle-%C3%A9ruption-volcanique-en-islande-l-%C3%A9tat-d-urgence-d%C3%A9cr%C3%A9t%C3%A9-sur-la-p%C3%A9ninsule-de-reykjanes
Eruption volcanique aux Galapagos
https://www.ouest-france.fr/monde/volcan-eruption-volcanique/en-images-le-volcan-la-cumbre-aux-galapagos-est-entre-en-eruption-652529be-da0e-11ee-80d9-70055cb6efe2
Eruption volcanique en Nouvelle-Zélande
https://la1ere.francetvinfo.fr/nouvellecaledonie/eruption-a-white-island-en-nouvelle-zelande-les-compagnies-touristiques-condamnees-a-verser-de-grosses-indemnites-1469106.html
Eruption volcanique à Java
https://www.aa.com.tr/fr/monde/%C3%A9ruption-du-volcan-merapi-des-nuages-de-cendres-recouvrent-des-villes-de-l%C3%AEle-de-java/3115046
Eruption volcanique au Kamtchatka
https://www.lindependant.fr/2023/04/11/les-images-de-leruption-du-chiveloutch-lun-des-volcans-les-plus-actifs-de-russie-11126144.php
https://www.huffingtonpost.fr/international/video/russie-ce-volcan-entre-en-eruption-et-projette-un-immense-nuage-de-cendres_216423.html
Eruption volcanique en Indonésie
https://www.geo.fr/environnement/mortelle-randonnee-eruption-du-volcan-marapi-fait-au-moins-22-morts-en-indonesie-secours-217818
Islande, Japon, Indonésie… trois volcans entrent en éruption presque au même moment
https://www.ladepeche.fr/2024/01/14/islande-japon-indonesie-trois-volcans-entrent-en-eruption-presque-au-meme-moment-11695418.php
173. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 23 mars, 04:53, par climat ou pas climat
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L’accroissement impressionnant du volcanisme en Islande a une importance planétaire...
https://endirect.univ-fcomte.fr/publication/quand-la-colere-des-volcans-islandais-sabat-sur-leurope/
Mais les menteurs climatiques prétendent que c’est le CO² atmosphérique qui cause la recrudescence du volcanisme qu’ils se contentaient de nier jusque là !!
https://www.geo.fr/environnement/le-co2-un-acteur-cle-des-explosions-volcaniques-une-decouverte-revolutionnaire-216145
https://www.maxisciences.com/nature/environnement/le-changement-climatique-va-t-il-causer-un-pic-dactivite-volcanique-voici-ce-quen-disent-les-experts_art49768.html
174. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 mars, 05:37, par climat ou noyau ?
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Aggravation du volcanisme
https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/eruption-volcanique-a-la-palma-la-situation-s-aggrave-les-evacuations-se-poursuivent_4807627.html
https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20211207-eruption-du-volcan-semeru-en-indon%C3%A9sie-l-arriv%C3%A9e-de-fortes-pluies-risque-de-compliquer-les-secours
https://www.cycloneoi.com/archives-blog/infos-diverses/les-grandes-marees-a-mayotte-aggravees-par-le-volcan-sous-marin.html
https://www.notre-planete.info/actualites/1910-eruption-volcanique-Krakatau-tsunami
https://www.notre-planete.info/actualites/362-Islande-seismes-eruption-volcan-Grindavik
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/volcan-marapi-en-indonesie-engendre-au-moins-22-victimes-lors-de-son-eruption-soudaine.html
https://www.geo.fr/environnement/russie-klyuchevskoy-plus-haut-volcan-eurasie-entre-dans-violente-eruption-kamtchatka-217549
175. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 avril, 07:11, par climat
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Séismes
https://www.la-croix.com/international/taiwan-le-plus-puissant-seisme-depuis-25-ans-fait-aussi-trembler-le-japon-20240403
https://www.sudouest.fr/environnement/seisme/apres-taiwan-un-seisme-de-magnitude-6-0-fait-trembler-le-nord-est-du-japon-19202067.php
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/la-terre-a-encore-tremble-pres-de-vannes-3b594012-e2a0-11ee-bf7e-a377cbb9edbd
https://www.letelegramme.fr/morbihan/deux-seismes-en-un-mois-dans-le-morbihan-faut-il-craindre-un-nouveau-tremblement-de-terre-6544224.php
https://www.ladepeche.fr/2024/03/15/encore-un-seisme-dans-le-morbihan-pourquoi-la-terre-tremble-t-elle-si-souvent-en-bretagne-11827742.php
https://www.dimo-diagnostic.net/actualite-diagnostic-immobilier/zone-sismique
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/la-terre-a-tremble-en-indre-et-loire-dans-la-nuit-de-jeudi-a-vendredi-pres-de-savonnieres-8363445
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/seisme-dans-louest-de-la-france-ressenti-ce-dimanche-soir-7f0b46aa-cea2-11ee-ae65-ae2b32b20025
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/geologie/en-france-la-crainte-d-un-seisme-destructeur_175792
176. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 7 mai, 09:00, par climat tic
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Recrudescence des volcans et des séismes : Indonésie, Japon, Kamtchatka, Islande, Antarctique, etc…
Les volcans qui sèment la pagaille
https://www.liberation.fr/international/asie-pacifique/eruptions-et-risque-de-tsunami-un-volcan-seme-la-pagaille-en-indonesie-20240418_YMGAX7D6QBFOPDPTU6RYP6QW3U/
https://consent.yahoo.com/v2/collectConsent?sessionId=3_cc-session_73e01457-d9b0-4b6d-8673-3288a68b6760
Séisme japon 6,3…
Indonésie : les volcans sèment la panique…
Islande : les volcans sèment la panique…
Volcan sous-marin à Mayotte
https://www.notre-planete.info/actualites/2803-Fani-Maore-volcan-sous-marin-Mayotte
Italie : un supervolcan se réveille
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/volcan-activite-volcanique-italie-pres-de-naples-un-supervolcan-se-reveille-doucement
Japon : éruption spectaculaire du volcan Aso
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/10/20/japon-eruption-spectaculaire-du-volcan-aso-l-un-des-plus-surveilles-de-l-archipel_6099222_3244.html
Islande : trois éruptions en deux mois
https://www.bfmtv.com/sciences/trois-eruptions-en-deux-mois-l-islande-entre-t-elle-dans-une-nouvelle-ere-volcanique_AV-202402170045.html
Une quantité phénoménale de volcans cachés dans l’Antarctique
https://www.techno-science.net/actualite/quantite-phenomenale-volcans-caches-antarctique-risques-eruption-N24778.html
https://www.geo.fr/sciences/antarctique-incroyable-decouverte-chaine-de-volcans-sous-marins-terre-victoria-cote-pennell-219520
Et ça explique les fontes des glaces bien mieux que le climat !
177. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 mai, 04:39, par Myriam
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Il y a du nouveau sur le noyau terrestre et notamment un réchauffement particulièrement intense sous l’Indonésie.
https://www.slate.fr/story/218337/un-nouveau-monde-vient-detre-decouvert-dans-le-noyau-interne-de-la-terre
https://www.caminteresse.fr/sciences/des-scientifiques-ont-decouvert-une-nouvelle-boule-dans-le-noyau-la-terre-11187886/
https://trustmyscience.com/le-noyau-de-la-terre-evolue-de-maniere-desequilibree/
178. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 22 mai, 05:30, par Le noyau, pas le climat
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Italie : près de Naples, des séismes d’une intensité inédite provoquent la panique
https://www.huffingtonpost.fr/international/video/italie-pres-de-naples-des-seismes-d-une-intensite-inedite-provoquent-la-panique_234197.html
Très fort séisme de magnitude 7,4 à Taïwan
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/tres-fort-seisme-de-magnitude-7-4-a-taiwan-les-images-impressionnantes-et-les-toutes-dernieres-informations-tremblement-de-terre-catastrophique-blesses-morts.html
Puissant séisme aux Philippines
https://www.europe1.fr/international/philippines-un-puissant-seisme-frappe-lile-de-mindanao-alerte-au-tsunami-4217783
Guadeloupe : deux séismes frappent l’archipel en moins de 24 heures
https://www.tf1info.fr/environnement-ecologie/antilles-guadeloupe-deux-seismes-tremblements-de-terre-frappent-l-archipel-en-moins-de-24-heures-2278108.html
Ce qu’il s’est passé avant le séisme au Japon intrigue les scientifiques
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-ce-quil-passe-avant-seisme-japon-intrigue-scientifiques-110684/
Afghanistan : 4e puissant séisme en moins de 10 jours
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-afghanistan-4e-puissant-seisme-moins-10-jours-cette-cascade-va-t-elle-arreter-108256/
Séisme en Chine
https://www.lemonde.fr/planete/article/2023/12/19/en-chine-un-seisme-fait-plus-de-90-morts-dans-le-nord-ouest-du-pays_6206541_3244.html
Tremblement de terre dans les Pyrénées
https://www.ladepeche.fr/2024/05/21/hautes-pyrenees-un-seisme-de-magnitude-42-vient-detre-enregistre-dans-la-vallee-de-bagneres-11964159.php
Tremblement de terre dans le Sud-ouest
https://www.nicematin.com/faits-divers/un-tremblement-de-terre-de-47-secoue-le-sud-ouest-de-la-france-922489
Séisme dans l’Ouest
https://www.ladepeche.fr/2024/04/17/seisme-dans-louest-on-a-peur-de-devoir-passer-un-deuxieme-hiver-en-mobile-home-des-familles-attendent-toujours-detre-relogees-11896945.php
Tremblement de terre dans le Nord
https://www.lepoint.fr/environnement/un-tremblement-de-terre-a-secoue-le-nord-est-de-la-france-11-02-2024-2552121_1927.php
Puissant séisme qui a touché l’Ouest de la France
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/magnitude-epicentre-ce-que-lon-sait-du-puissant-seisme-qui-a-touche-louest-de-la-france-4924ceac-0c7a-11ee-8c50-0fd99fb8fbe3
Le noyau se fait remarquer… en surface !!
179. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 juin, 06:09, par Guillaume
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Un puissant séisme d’une magnitude de 5,9 frappe à nouveau le centre du Japon
https://www.ouest-france.fr/monde/japon/japon-un-puissant-seisme-dune-magnitude-de-5-9-frappe-a-nouveau-noto-f00acaad-4356-417c-a510-52fd3a6baa77
Aussi un séisme en Arménie
https://www.armenews.com/spip.php?page=article&id_article=116495
Dans les Pyrénnées
https://www.nrpyrenees.fr/2024/05/23/tremblement-de-terre-dans-les-pyrenees-il-y-a-plus-de-1-000-seismes-par-an-on-en-ressent-seulement-entre-10-et-30-11966475.php
Et à Naples
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/geologie/apres-une-serie-de-seismes-pres-de-naples-les-habitants-reclament-des-mesures-de-protection_178444
Et à Tarbes
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/geologie/apres-une-serie-de-seismes-pres-de-naples-les-habitants-reclament-des-mesures-de-protection_178444
Ou dans les Pilippines
https://www.volcanodiscovery.com/fr/seismes/info-seisme/9416565/quake-felt-Jun-2-2024-Near-Laoag-Ilocos-Philippines.html
Ou le Pacifique sud
https://www.bfmtv.com/international/oceanie/seisme-de-magnitude-6-6-pres-de-l-archipel-des-tonga-dans-le-pacifique-sud_AD-202405260460.html
Près de Taïwan
https://www.lemonde.fr/international/article/2024/04/03/un-seisme-sous-marin-de-magnitude-superieur-a-7-mesure-pres-de-taiwan_6225643_3210.html
Il faut rajouter : Californie, Portugal, Chine, Afrique du sud,AZlaska, Panama, etc…
https://www-emsc-eu.translate.goog/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
La terre tremble parce que le noyau est dans une activité croissante et pas décroissante….
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4625
180. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 2 juillet, 03:58, par Robert
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Si le réchauffement du noyau terrestre était réel, il se manifesterait par une hausse de température des sous-sols, nous dit un lecteur…
https://reporterre.net/Le-rechauffement-des-sous-sols-une-menace-silencieuse
https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/le-rechauffement-des-sous-sols-un-danger-pour-les-villes-1962561
https://www.bbc.com/afrique/articles/ceqwx56nxn5o
Cela se manifesterait par des grands trous dans le sol, des gouffrs s’ouvrant brutalement…
https://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/geologie/un-gouffre-meurtrier-s-ouvre-a-nouveau-en-floride_172714
https://www.leparisien.fr/video/video-etats-unis-un-trou-gigantesque-de-30-metres-aspire-un-terrain-de-football-28-06-2024-JMBNCSETCNAB5HXSPDPI6VFJJA.php?utm_source=pocket-newtab-fr-fr
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2022-08-03/un-mysterieux-trou-geant-vient-d-apparaitre-dans-le-sol-du-chili-voici-ce-que-l-on-sait-af94c64b-8d77-4802-bab8-4f6700e30157
https://www.leparisien.fr/faits-divers/video-chine-le-sol-dun-magasin-seffondre-sous-les-pieds-dune-cliente-et-fait-deux-blesses-26-03-2024-WYDKHQLSVJG2RFIBJVQFJLCQII.php
https://www.leparisien.fr/video/video-italie-un-gouffre-avale-une-voiture-et-ses-passagers-a-naples-21-02-2024-O5Z2FFS57JGL7N4VBWNH3H3IRE.php
https://www.lefigaro.fr/sciences/un-trou-geant-s-est-brutalement-forme-a-amiens-20190812
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/geologie-explainer-les-dolines-ces-trous-beants-caches-sous-nos-pieds
https://www.francetvinfo.fr/monde/turquie/turquie-les-dolines-un-probleme-en-profondeur_5959802.html
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/des-gouffres-s-ouvrent-chaque-jour-autour-de-la-mer-morte_15884
https://www.leprogres.fr/magazine-lifestyle/2021/06/05/un-gouffre-geant-s-ouvre-soudain-et-menace-d-engloutir-une-maison
Partout dans le monde, des gouffres s’ouvrent brutalement…
La température la plus élevée du noyau terrestre serait de 5.500°C. Rappelons que la surface solaire est à 5400°C !
https://www.cea.fr/presse/Pages/actualites-communiques/sciences-de-la-matiere/temperature-noyau-terre-reevaluee-esrf.aspx
La chaleur de la Terre vient… du noyau
https://www.20minutes.fr/sciences/2927423-20201211-chaleur-produite-terre-finalement-bien-origine-radioactive
En même temps, plus de volcanisme et de tremblements de terre
https://www.france24.com/fr/europe/20231112-des-centaines-de-s%C3%A9ismes-en-islande-une-ville-%C3%A9vacu%C3%A9e-par-crainte-d-une-%C3%A9ruption-volcanique
https://www.science-et-vie.com/nature-et-environnement/un-volcan-sous-marin-serait-a-lorigine-des-puissants-seismes-survenus-au-japon-ces-dernieres-decennies-120340.html
https://www.tameteo.com/actualites/actualite/vives-inquietudes-pres-du-plus-grand-supervolcan-d-europe-ou-les-seismes-se-multiplient-que-disent-les-geologues-tremblement-de-terre-alerte-catastrophe.html
De nombreuses naissances de nouveaux volcans
https://www.notre-planete.info/actualites/2803-Fani-Maore-volcan-sous-marin-Mayotte
https://www.courrierinternational.com/article/pacifique-un-volcan-en-eruption-donne-naissance-a-une-ile-dans-les-eaux-des-tonga
https://www.geo.fr/environnement/sicile-trois-nouveaux-volcans-sous-marin-decouverts-dans-les-profondeurs-de-la-mediterranee-216130
https://trustmyscience.com/plus-grande-eruption-sous-marine-donne-naissance-nouveau-volcan-massif/
https://www.geo.fr/environnement/des-scientifiques-ont-decouvert-un-volcan-sous-marin-de-forme-inhabituelle-214468
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2019/08/decouverte-de-six-volcans-sous-marins-au-large-de-la-sicile
https://imazpress.com/volcan/seisme-a-la-reunion-un-oceanographe-souleve-lhypothese-dun-volcan-sous-marin-a-louest-de-maurice
https://www.notre-planete.info/actualites/3177-volcan_sous-marin_Canaries
181. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 11 août, 05:16, par Florent
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Pourquoi Yellowtone s’agite en même temps que des volcans repartent et que les séismes se multiplient ?
https://www.nationalgeographic.fr/environnement/le-volcan-de-yellowstone-pourrait-se-reveiller-plus-tot-que-prevu
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/etats-unis-une-explosion-hydrothermale-a-secoue-le-parc-de-yellowstone-et-il-y-en-aura-dautres
Et d’autres supervolcans
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2018-03-14/le-volcan-de-yellowstone-est-il-en-phase-de-reveil-ad1bf10b-1bc9-4cf0-909a-06384d1f5353
https://www.nationalgeographic.fr/sciences/volcan-activite-volcanique-italie-pres-de-naples-un-supervolcan-se-reveille-doucement
https://www.midilibre.fr/2023/06/10/en-italie-un-super-volcan-extremement-dangereux-menace-de-se-reveiller-pres-de-naples-500-000-personnes-concernees-11254087.php
Mise en évdence de failles magmatiques insoupçonnées
https://www.techno-science.net/actualite/mise-evidence-failles-insoupconnees-origine-magmatique-N25308.html
Séismes en série
Japon
https://www.lavoixdunord.fr/1490827/article/2024-08-08/deux-gros-tremblements-de-terre-survenus-au-large-ont-secoue-le-sud-du-japon
Californie
https://www.volcanodiscovery.com/fr/seismes/info-seisme/9534193/mag5quake-Aug-7-2024-Central-California.html
Méditerrannée
https://www.aa.com.tr/fr/monde/un-s%C3%A9isme-de-magnitude-4-9-frappe-la-m%C3%A9diterran%C3%A9e/3297614
Philippines
https://www.lefigaro.fr/international/un-seisme-de-magnitude-6-8-au-sud-des-philippines-20240803
Hautes Alpes
https://www.midilibre.fr/2024/07/30/la-terre-a-tremble-dans-les-hautes-alpes-un-seisme-de-magnitude-29-detecte-pres-de-briancon-12112737.php
Crête
https://www.lalibre.be/international/europe/2024/08/07/la-crete-secouee-par-trois-seismes-3IXHWOGYYFALDETH4G47ASV4Y4/
Bora Bora
https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/petit-tremblement-de-terre-pres-de-bora-bora-1510943.html
Pyrénées
https://www.sudouest.fr/environnement/seisme-de-magnitude-3-5-dans-les-pyrenees-ce-lundi-matin-20567284.php
Brest
https://www.ouest-france.fr/monde/catastrophes/seisme/un-seisme-de-magnitude-2-6-sest-produit-dans-une-commune-du-nord-finistere-lundi-matin-tres-tot-c09fc566-42a9-11ef-b308-87d59cb0f918
Loire-Atlantique
https://actu.fr/pays-de-la-loire/la-baule-escoublac_44055/un-petit-tremblement-de-terre-en-face-des-cotes-de-la-loire-atlantique_61433699.html
Japon : mégaséisme en vue…
https://www.lalibre.be/planete/sciences-espace/2024/08/09/le-japon-lance-une-alerte-inedite-au-megaseisme-devastateur-un-tres-grand-tremblement-de-terre-pourrait-se-produire-comme-en-2011-M3DL4XKMFFGCRA4P7TFX5Z2ZDM/
https://www.lemonde.fr/international/article/2024/08/09/le-japon-alerte-sur-un-potentiel-megaseisme-apres-une-secousse-de-magnitude-7-1_6273934_3210.html
182. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 16 août, 03:39, par climat tic
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Los Angeles : forte hausse des séismes
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-los-angeles-forte-hausse-seismes-magnitude-superieure-4-commence-inquieter-habitants-115256/
https://www.notre-planete.info/actualites/3034-seisme-Californie-big-one
Partout, de plus en plus de séismes
https://thierry-taillefer.over-blog.com/les-signes-precurseurs-du-retour-de-jc-les-tremblements-de-terre.html
https://www.futura-sciences.com/planete/breves/terre-nombreux-seismes-autour-supervolcan-champs-phlegrens-pres-naples-9542/
https://www.lepoint.fr/monde/le-japon-touche-par-une-serie-de-puissants-seismes-01-01-2024-2548794_24.php
183. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 1er septembre, 06:21, par alain
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Nouveaux séismes en série : Portugal, les Moluques, Panama, Japon, Tonga, Java, Hautes Alpes, Taïwan, Kamtchatka, Nouvelle-Galles du Sud, Philippines, Russie, Los Angeles…
184. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 4 septembre, 06:38, par Anatole
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Les séismes se multiplient, le volcanisme aussi, les trous dans la Terre également...
https://hitek.fr/actualite/la-porte-de-l-enfer-grandit_49756
https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-06-22/un-mysterieux-trou-de-30-metres-de-large-fascine-les-geologues-au-yemen-941f9fae-53d2-4ec8-be17-633b76c89f1d
https://www.geo.fr/environnement/des-geologues-ont-explore-le-puits-de-lenfer-un-mysterieux-trou-noir-au-yemen-206558
https://www.francebleu.fr/infos/insolite/berles-au-bois-un-effondrement-cause-un-trou-geant-dans-le-sol-d-un-jardin-1641900371
185. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 18 septembre, 06:08, par Florent
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Des signes que le noyau se réchauffe : des volcans se réveillent un peu partout…
Tanzanie
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-tanzanie-ce-volcan-laves-blanches-unique-monde-montre-signes-reveil-115995/
Italie
https://www.ouest-france.fr/monde/volcan-eruption-volcanique/en-images-rues-sous-les-cendres-aeroport-ferme-le-reveil-spectaculaire-de-deux-volcans-ditalie-c4362ae4-3b88-11ef-8b5d-fae23e5223f7
Finlande
https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/islande-un-volcan-se-reveille-et-provoque-une-fissure-de-4-km-de-long_6740260.html
Mexique
https://www.parismatch.com/actu/environnement/au-bresil-le-reveil-du-volcan-popocatepetl-en-10-images-captivantes-234915
Russie
https://lemagjeuxhightech.com/actualites/video-reveil-dun-volcan-en-russie-des-cendres-a-plus-de-8-km-de-haut-teignent-le-ciel/84595/
Atlantique
https://www.linternaute.com/actualite/monde/4498439-article/
Hawaï
https://www.futura-sciences.com/planete/breves/terre-kilauea-volcans-plus-actifs-monde-vient-reveiller-9603/
Indonésie
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/indonesie-l-eruption-d-un-volcan-entraine-la-fermeture-de-l-aeroport-et-des-evacuations-20240418
Canaries
https://www.tf1info.fr/international/video-canaries-comment-expliquer-le-reveil-du-volcan-cumbre-vieja-2196900.html
Russie
https://www.leparisien.fr/environnement/video-russie-un-spectaculaire-nuage-de-cendres-provoque-par-leruption-dun-volcan-11-04-2023-EQA5KYUV7ZGK3NAPWGUXVTKYCI.php
https://www.bfmtv.com/international/asie/russie/russie-les-images-de-l-eruption-d-un-volcan-qui-a-projete-un-gigantesque-nuage-de-cendres_AV-202304130732.html
La Terre gronde ces derniers jours.
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-trois-grands-volcans-dangereux-sont-reveilles-ces-derniers-jours-105533/
186. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 30 octobre, 04:56, par climat tic !
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Il y a des lieux de la planète où à l’évidence les séismes se multiplient bizarrement
https://claudegrandpeyvolcansetglaciers.com/category/seismes/
Six séismes en un mois au Mont Adams
https://www.science-et-vie.com/nature-et-environnement/activite-record-six-seismes-en-un-mois-au-mont-adams-une-menace-les-experts-en-quete-dexplications-180752.html
1400 séismes en un mois !
https://claudegrandpeyvolcansetglaciers.com/category/seismes/
Des essaims de séismes ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Essaim_de_s%C3%A9ismes
Des séismes lensts ?
https://www.pourlascience.fr/sd/geosciences/un-seisme-lent-pour-un-tremblement-de-terre-violent-12432.php
Ou une hausse mondiale des sésismes ?
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-los-angeles-forte-hausse-seismes-magnitude-superieure-4-commence-inquieter-habitants-115256/
https://thierry-taillefer.over-blog.com/les-signes-precurseurs-du-retour-de-jc-les-tremblements-de-terre.html
Un cycle de 32 ans ?
https://www.planetoscope.com/Catastrophes-naturelles/1020-nombre-de-tremblements-de-terre.html
Chiffres en main : le nombre de séismes par an grandit
https://www.volcanodiscovery.com/fr/seismes/mondiales/statistiques.html
187. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 8 novembre, 05:49, par Frédéric B.
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Le gaz carbonique ne suffit pas à expliquer le réchauffement actuel : le réchauffement du noyau terrestre est nécessaire pour le comprendre...
La Nasa l’avoue : une partie du réchauffement actuel est inexpliquée.
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-nasa-avoue-partie-rechauffement-actuel-inexpliquee-117303/
188. C’est le noyau de la Terre qui réchauffe notre planète et pas l’effet de serre atmosphérique, 29 novembre, 08:38, par Mantoux
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Les scientifiques sont inquiets : aucun modèle ne peut expliquer ces « points chauds » répétitifs apparus depuis 5 ans !
https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-scientifiques-sont-inquiets-aucun-modele-ne-peut-expliquer-ces-points-chauds-repetitifs-apparus-depuis-5-ans-117839/
Première remarque : ce sont des points chauds et pas un réchauffement global
Deuxième remarque : un modèle l’explique, celui du noyau terrestre qui se réchauffe