Accueil > 02 - SCIENCES - SCIENCE > Biologie : Rétroaction de la vie et de la mort > Le traitement des malades covid Omicron

Le traitement des malades covid Omicron

dimanche 6 février 2022, par Robert Paris

Voici le traitement de tous les malades covid Omicron, qu’ils soient vaccinés ou non vaccinés, qu’ils aient eu ou pas de symptômes forts, y compris quand ils ont eu des tests négatifs mais que tout leur entourage a été infecté. Les faux négatifs sont particulièrement nombreux pour les vaccinés et l’absence (ou quasi absence) de symptômes aussi. Il ne faut pas confondre les symptômes et la maladie covid. Le covid peut être en train de se propager dans le corps, dans les poumons, dans les muscles ou ailleurs (cœur, cerveau), alors qu’il n’y a pas de symptômes parce que le vaccin a supprimé les symptômes.

Les faux vaccins ARN messager permettent… de faire en sorte que les malades ignorent leur état (du fait de l’absence de symptômes) et soient au maximum contagieux pour le maximum de monde autour d’eux. Les faux tests négatifs et les absences ou quasi absences de symptômes le permettent.

Toute la propagande du gouvernement a consisté à prétendre qu’il faisait tout pour éviter les cas graves et l’engorgement des hôpitaux mais c’est le contraire qui est vrai.

Il a prétendu éviter les cas graves en faisant pression pour la vaccination mais ce n’est pas un moyen efficace. Les vaccinés trois doses peuplent les hôpitaux. Et ils constituent des cas graves ainsi que des covid long…

Par contre, aux vaccinés qui attrapaient covid, le gvt a dit de rester chez eux et de prendre du doliprane et il s’est gardé de conseiller avant toute détérioration grave de la santé des patients, comme des spécialistes l’ont fait systématiquement et avec succès, de prendre un traitement de choc anti cas grave.

Ce traitement doit être pris à J6 (six jours après le début de la maladie covid, date à laquelle bien des malades covid pensent en avoir fini avec la maladie, parce que les symptômes baissent, alors qu’ils ne commenceront à en finir avec covid dans leur corps qu’à J20 !). Les grandes suées et fièvres peuvent perdurer jusque là.

Le traitement constitué notamment d’un antibiotique (jouant aussi le rôle en l’occurrence de potentiel antiviral), plus de la cortisone, plus du doliprane plus un supplément de zinc plus haute dose de vitamine D (certains rajoutent ou pas l’ivermectine qui reste discutable), avec suivi tous les jours des constantes (oxygène, cœur, température), avec aide d’oxygène à la maison dès que c’est nécessaire. On évite ainsi l’essentiel des cas graves et des hospitalisations. Les seules mesures d’aide par oxygène peuvent être organisées à domicile. L’hospitalisation est ce qu’il y a de plus éprouvant pour le malade.

Voici la liste des médicaments recommandés par des spécialistes en immunologie et des médecins généralistes :

Doxycycline 100 (antibiotique) deux comprimés par jour pendant 7 jours

Stromoctol (ivermectine)

ZimaD deux comprimés en une fois

Rubozinc 1 comprimé matin et soir pendant sept jours

Cortancil 5 (cortisone) un comprimé par jour dosé suivant le poids de la personne (20 milligrammes pour 70 kilos)

En plus de ce traitement, il faut mesurer pendant 18 jours le niveau d’oxygène et cœur deux fois par jour par un oymètre au doigt, ainsi que la température, pour s’assurer que l’évolution de la maladie ne prend pas mauvaise tournure.

Que l’on soit vacciné ou pas, ce traitement est la seule manière d’éviter les cas graves. Il est très loin d’être employé de manière générale et l’est souvent seulement quand les malades atteignent l’hôpital soit bien trop tard.

Les gouvernants se sont bien gardés de rendre public ce traitement auprès de tous les généralistes et pourtant ce serait là le moyen d’éviter les cas graves et de réellement désengorger les hôpitaux.

Il faut croire que ce n’est pas ce que veulent les classes dirigeantes !

Messages

  • Merci pour ces précieux conseils médicaux et politiques.

  • Ne croyez pas les gens qui vous disent omicron c’est gentil c’est fini c’est la fin de la pandémie. Les morts continuent de s’empiler !

  • La propagande médiatique essaie aussi de faire croire que la mesure des « cas graves » est identique avec celle des hospitalisations, alors que les cas graves covid c’est bien des gens qui ne sont pas hospitalisés : des gens qui ont désormais un cœur qui fonctionne mal, un cerveau qui fonctionne mal, des muscles qui fonctionnent mal, une très grande fatigue, mais tout cela ne les mène pas nécessairement à une hospitalisation en étét critique.

    Dire qu’omicron n’entraine pas ou peu de cas graves est mensonger.

    Dire que faire baisser les hospitalisations, c’est la même chose que combattre covid est mensonger.

  • La propagande médiatique fait semblant que ce qui est dangereux et pénible, ce sont les symptômes alors que c’est la propagation du covid dans le corps. Les symptômes, ce n’est que la réaction du corps humain. Cela peut être gênant, pénible, voire risqué mais le danger c’est que covid envahisse des zones du corps comme les poumons, les muscles, le cœur, le cerveau… On peut supprimer les symptômes par les vaccins mais on ne supprime pas ainsi les virus…

  • L’un des points cruciaux à retenir de ce traitement est la cortisone administrée à tous les malades covid au sixième jour de la maladie et pas plus tard. Et de le faire pour TOUS les malades sans attendre de manifestations graves. Ce point, d’abord contesté par les autorités de santé, a finalement été reconnu scientifiquement de manière mondiale. Il est déterminant pour empêcher les formes graves.

  • On remarquera que le traitement est exactement le même et aux mêmes doses pour vaccinés et non vaccinés car la vaccination ne change rien aux cas graves

  • Un tel traitement coûte bien moins cher que de traiter une quantité de malades graves avec notamment des prises en charge par oxygène et ce n’est pas par souci d’économie que le gouvernement ne veut pas demander aux médecins généralistes de le prescrire préventivement à tous les malades covid.

  • C’est effectivement scandaleux que l’on n’administre pas ce traitement à tous les malades covid dès le 6ème jour de la maladie mais, pire encore, c’est scandaleux que l’on n’explique pas que les risques graves ne se déclenchent qu’à J8, que l’on fasse même reprendre le travail aux gens avant en leur affirmant que le variant actuel, Omicron, est presque inoffensif !

    • En discutant avec des médecins autour de moi, aucun ne parle de ce traitement à la cortisone. Ni les pro-injection, ni les alternatifs qui prônent plutôt l’ivermectine, mais semblent peu capables de discuter d’autres alternatives. Pour eux, les corticoïdes ne se donnent qu’en cas d’inflammation. Je vais revenir à la charge avec la cortisone, car ce n’est pas la même chose.

      Personne n’ose prescrire les médicaments décriés par le gouvernement : ni le très médiatique Plaquenil (hydorxycloroquine), ni la cortisone prônée par Laurence et Robert Paris.

      La pharmacie disait que l’aspirine n’est pas recommandée. Le Doliprane est parfois en rupture, alors l’efferalgan est proposé. Alors qu’il faut éviter le paracétamol.

      La NAC (acétylcystéine) n’est plus remboursée alors que ce composé est utile pour favoriser les glutathions.

      En clair, les pharmaciens et médecins sont aux ordres. Même quand les médecins tolèrent qu’on ne veuille pas d’injection empoisonnées, ils ne veulent pas écouter les patients qui cherchent des protocoles alternatifs.

      La Loi de 2002 sur le consentement éclairé du patient et les droits des patients est en train de disparaître.

      CETTE SITUATION EST INTOLÉRABLE.

      Dans plusieurs pharmacies, les vendeuses m’ont posé des questions concernant le Zinc, l’acétylcystéine. L’une, concernant mes propos précis à propos du Zinc, me disant : "je ne connais pas ce protocole". Cela semblait bien au contraire dire qu’elle était au courant de protocoles alternatifs dont elle ne veut pas s’occuper !

      A la question vous êtes médecin ?
      Il suffit de dire : "Non c’est un médecin dans ma famille qui m’a proposé ce protocole". Là, l’autorité médicale face à la vendeuse a permis d’être tranquille. De même en réponse à la question : "quel médecin vous a proposé ce protocole ? ", la réponse : "Un médecin dans ma famille" a suffit à laisser de côté les questions intrusives.

      Je n’aurais certainement pas osé ce type de réponse sans les contacts nombreux dans les manifestations contre les lois liberticides.

      L’ingérence dans le choix des produits qu’on veut, lorsqu’ils sont en vente libre, permet la déstabilisation du patient-client, surtout quand on n’est pas sûr du traitement.

      Et c’est là le piège : les patients-clients qui font confiance à la pharmacie et à ses vendeurs.

      Or, la propagande pro-injection est tellement forte et enrichi tellement les pharmacies. Alors quand on y travaille, pourquoi se poser des questions ?

      Le système de soins tant venté pour son efficacité est devenu le meilleur système d’empoisonnement : une nouvelle épreuve Olympique ? Oui, et le podium est raflé par la France et sa Dictature En Marche !

      A nous de faire vivre notre connaissance des protocoles, des médicaments avec notre information et une attitude pour ne pas se laisser prendre au piège des faux conseils médicaux qui ne sont que des conseils d’officines à commercialisations des Labos.

      A nous d’imposer qu’on ne soit pas traités comme des tiroirs-caisses à accepter n’importe quoi !

      Avec de l’information, un peu de gouaille et une attitude déterminée, on peut aller assez loin pour obtenir (un peu) ce qu’on veut.

      Mais certains médicaments, comme la cortisone, ne sont, je crois pas en vente libre. Là est la difficulté pour en obtenir.

  • Il nous faut remarquer le grand nombre de personnes qui attrapent le covid une deuxième fois pas très loin de la première et qui n’avaient pas pu bénéficier de ce traitement pourtant reconnu.

  • Il faut aussi noter les grandes pressions médiatiques et gouvernementales pour faire croire qu’on est rétabli en quatre jours avec omicron !! En réalité, il faut 25 jours pour sortir complètement du covid et 45 jours pour se rétablir.

  • Le pire, c’est que le grand public n’est même pas informé de l’importance que les malades covid, vaccinés ou pas, se mesurent régulièrement à l’oxymètre et, dès qu’ils ont 94 ou moins trois fois, fassent appel à un médecin et fassent une prise de sang pour prendre éventuellement un anti-coagulant.

  • La plupart des gens y compris des généralistes ignorent encore qu’il existe un traitement qui évite les cas graves et qui est à prendre par tous ceux qui ont attrapé covid, vaccinés comme non vaccinés. Et c’est sciemment que les responsables d’Etat les laisse dans l’ignorance !

  • Et ils ne savent même pas que dès qu’on attrape covid, on se mesure à l’oxymètre !

  • Il ne faut pas confondre les symptômes et la maladie covid.

    Le covid peut être en train de se propager dans le corps, dans les poumons, dans les muscles ou ailleurs (cœur, cerveau), alors qu’il n’y a pas de symptômes parce que le vaccin a supprimé les symptômes.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.