« Si tu veux un maître, fais de ton fils un moine. Si tu veux une servante, fais de ta fille une nonne. »
L’une des prières principales des Tibétaines a pour objet la renaissance dans un corps d’homme. Elles sont totalement méprisées, y compris par elles-mêmes.
Pour beaucoup, les filles qui deviennent religieuses sont seulement les « impossibles à marier ».
Une bouddhiste écrit : « Un jour, j’ai demandé à un grand lama s’il pensait que les femmes pouvaient atteindre l’état de bouddha. Il m’a répondu qu’elles pouvaient presque atteindre cet état, mais qu’à la dernière étape elles devaient prendre une forme masculine pour y parvenir. J’ai alors rétorqué ’En quoi un pénis est-il si essentiel pour atteindre l’Éveil ? Qu’y a-t-il de si extraordinaire dans un corps d’homme ?’ Puis je lui ai demandé s’il y avait un quelconque avantage à avoir un corps de femme. Il m’a répondu qu’il allait réfléchir à la question. Le lendemain, il est revenu et il m’a dit ’J’ai pensé à votre question et la réponse est ’non, il n’y a aucune sorte de bénéfice à être doté d’un corps féminin. Les moines étaient très gentils et je n’ai rencontré aucun problème relationnel avec eux, mais j’avais la malchance d’être une femme. ils m’ont confié qu’ils priaient afin que dans une existence future je renaisse sous une forme masculine et que je puisse ainsi participer à toutes les activités du monastère. En attendant, disaient-ils, ils ne m’en tenaient pas trop rigueur. Ce n’était pas vraiment de ma faute si j’avais ce corps féminin. »
Le Thibet bouddhiste s’exprime ainsi :
« Si tu veux un maître, fais de ton fils un moine. Si tu veux une servante, fais de ta fille une nonne. »
L’une des prières principales des Tibétaines a pour objet la renaissance dans un corps d’homme. Elles sont totalement méprisées, y compris par elles-mêmes.
Pour beaucoup, les filles qui deviennent religieuses sont seulement les « impossibles à marier ».
Une bouddhiste écrit : « Un jour, j’ai demandé à un grand lama s’il pensait que les femmes pouvaient atteindre l’état de bouddha. Il m’a répondu qu’elles pouvaient presque atteindre cet état, mais qu’à la dernière étape elles devaient prendre une forme masculine pour y parvenir. J’ai alors rétorqué ’En quoi un pénis est-il si essentiel pour atteindre l’Éveil ? Qu’y a-t-il de si extraordinaire dans un corps d’homme ?’ Puis je lui ai demandé s’il y avait un quelconque avantage à avoir un corps de femme. Il m’a répondu qu’il allait réfléchir à la question. Le lendemain, il est revenu et il m’a dit ’J’ai pensé à votre question et la réponse est ’non, il n’y a aucune sorte de bénéfice à être doté d’un corps féminin. Les moines étaient très gentils et je n’ai rencontré aucun problème relationnel avec eux, mais j’avais la malchance d’être une femme. ils m’ont confié qu’ils priaient afin que dans une existence future je renaisse sous une forme masculine et que je puisse ainsi participer à toutes les activités du monastère. En attendant, disaient-ils, ils ne m’en tenaient pas trop rigueur. Ce n’était pas vraiment de ma faute si j’avais ce corps féminin. »