Félins n’échappe pas à l’univers rose bonbon de l’oncle Walt. Évidemment, chaque fauve est affublé d’un nom afin de faciliter l’identification avec les spectateurs – surtout les enfants – et si on voit bien lions et guépards courir après leur proie, aucune mise à mort n’est filmée. Le commentaire, aussi grandiloquent que creux, n’ajoute rien : "Tous les jours, au coeur de l’Afrique, se jouent d’incroyables destins…" Ah, bon. Pour résumer, Félins est une superbe carte postale dont il ne faudrait pas lire le texte.
Félins n’échappe pas à l’univers rose bonbon de l’oncle Walt. Évidemment, chaque fauve est affublé d’un nom afin de faciliter l’identification avec les spectateurs – surtout les enfants – et si on voit bien lions et guépards courir après leur proie, aucune mise à mort n’est filmée. Le commentaire, aussi grandiloquent que creux, n’ajoute rien : "Tous les jours, au coeur de l’Afrique, se jouent d’incroyables destins…" Ah, bon. Pour résumer, Félins est une superbe carte postale dont il ne faudrait pas lire le texte.