L’enfance, le haut lieu de la violence sociale dans la société bourgeoise
23 juin 2012, 14:04
Violence psychologique
La violence psychologique comprend d’autres actes qui peuvent nuire à l’estime de soi et à la confiance en soi d’un enfant. En général, elle fait partie d’un problème à long terme.
Un adulte qui insulte, rejette ou humilie souvent un enfant finit par miner sa confiance en lui. Voici d’autres exemples de violence psychologique :
Isoler un enfant - le garder à l’écart des autres enfants ou lui enlever son fauteuil roulant ou sa prothèse auditive.
Intimider ou terroriser un enfant - l’enfermer dans un placard ou un sous-sol, le menacer ou s’adresser à lui en criant, de manière à ce qu’il craigne l’adulte.
Exploiter un enfant - lui faire faire des choses que les enfants ne font pas généralement, comme de travailler alors qu’il devrait être à l’école.
Faire des demandes déraisonnables - lui permettre de jouer à l’extérieur mais sans salir ses vêtements ou lui dire de changer son orientation homosexuelle s’il veut continuer à vivre au domicile.
Négligence
La négligence, c’est ne pas donner à un enfant ce dont il a besoin pour s’épanouir. Cela peut nuire à un enfant sur les plans psychologique et physique. Un parent ou un responsable fait preuve de négligence envers un enfant lorsqu’il :
agit de telle sorte que l’enfant ne se sente pas aimé, désiré, en sécurité et digne de confiance et d’estime ;
l’empêche de consulter un médecin ou de prendre soin de sa personne ;
n’intervient pas lorsque l’enfant est en danger ;
l’empêche de s’instruire ;
lui refuse nourriture, vêtements et abri, même si l’adulte a les moyens de les lui fournir ;
laisse trop souvent l’enfant seul au domicile. Les parents ont la responsabilité de veiller sur leurs enfants jusqu’à l’âge de 16 ans.
Être témoin de violence faite à une femme
Voir une femme se faire maltraiter diminue l’estime de soi des enfants. Cette situation les garde dans un état constant d’anxiété et de peur.
Cela peut les ébranler aussi fortement que s’ils étaient eux-mêmes victimes de la violence. Il peut aussi arriver qu’ils soient blessés en tentant de protéger leur mère, ou qu’ils servent d’otages.
Violence psychologique
La violence psychologique comprend d’autres actes qui peuvent nuire à l’estime de soi et à la confiance en soi d’un enfant. En général, elle fait partie d’un problème à long terme.
Un adulte qui insulte, rejette ou humilie souvent un enfant finit par miner sa confiance en lui. Voici d’autres exemples de violence psychologique :
Isoler un enfant - le garder à l’écart des autres enfants ou lui enlever son fauteuil roulant ou sa prothèse auditive.
Intimider ou terroriser un enfant - l’enfermer dans un placard ou un sous-sol, le menacer ou s’adresser à lui en criant, de manière à ce qu’il craigne l’adulte.
Exploiter un enfant - lui faire faire des choses que les enfants ne font pas généralement, comme de travailler alors qu’il devrait être à l’école.
Faire des demandes déraisonnables - lui permettre de jouer à l’extérieur mais sans salir ses vêtements ou lui dire de changer son orientation homosexuelle s’il veut continuer à vivre au domicile.
Négligence
La négligence, c’est ne pas donner à un enfant ce dont il a besoin pour s’épanouir. Cela peut nuire à un enfant sur les plans psychologique et physique. Un parent ou un responsable fait preuve de négligence envers un enfant lorsqu’il :
agit de telle sorte que l’enfant ne se sente pas aimé, désiré, en sécurité et digne de confiance et d’estime ;
l’empêche de consulter un médecin ou de prendre soin de sa personne ;
n’intervient pas lorsque l’enfant est en danger ;
l’empêche de s’instruire ;
lui refuse nourriture, vêtements et abri, même si l’adulte a les moyens de les lui fournir ;
laisse trop souvent l’enfant seul au domicile. Les parents ont la responsabilité de veiller sur leurs enfants jusqu’à l’âge de 16 ans.
Être témoin de violence faite à une femme
Voir une femme se faire maltraiter diminue l’estime de soi des enfants. Cette situation les garde dans un état constant d’anxiété et de peur.
Cela peut les ébranler aussi fortement que s’ils étaient eux-mêmes victimes de la violence. Il peut aussi arriver qu’ils soient blessés en tentant de protéger leur mère, ou qu’ils servent d’otages.