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Les derniers grands froids hivernaux depuis 2010 vont-ils refroidir les climatologues, chauds adeptes du « réchauffement global anthropique » ?

vendredi 8 février 2013, par Robert Paris

Les glaces augmentent au sud pendant qu’elles diminuent au nord : rien de global là-dedans !

La superficie de la glace antarctique a atteint un maximum record de 19,44 millions de km² pour la première fois depuis le début des observations par satellite en 1979, a annoncé le Centre national américain de la neige et de la glace (NSIDC).

Le maximum record, d’un million de kilomètres carrés supérieur à la moyenne enregistrée de 1979 à 2000 (18,3 millions de km²), a été atteint le 26 septembre, à la fin de l’hiver antarctique. Il s’agit d’un deuxième record en six ans. Le record précédent (19,4 millions de km²) remonte à 2006.

L’Arctique a battu un record contraire en 2012. La surface de la banquise arctique a atteint un niveau historiquement bas (3,41 millions de km²) le 16 septembre dernier, pulvérisant le record précédent de septembre 2007 (4,17 millions de km²). La moyenne de 1979 à 2000 constitue 6,71 M km².

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Sur 30 ans, la banquise antarctique, mesurée au mois de mars (proche du minimum et dernier mois connu) s’accroit donc au rythme moyen de 4,7% par décade.

Les derniers grands froids hivernaux depuis 2010 vont-ils refroidir les climatologues, chauds adeptes du « réchauffement global anthropique » ?

Les climatologues et météorologues ont du souci à se faire. Il se pourrait bien qu’ils doivent remballer les thèses pourtant répétées jusqu’à satiété à longueur de journée et qui s’appellent « théories du réchauffement global anthropique ». C’est l’idée selon laquelle l’effet de serre n’aurait pas de rétroaction négative capable de le contrer et susciterait un effet cumulatif et à croissance rapide, dangereux pour le climat et pour les espèces vivantes, pour l’existence même de la planète. Pour certains auteurs, cette thèse n’a pas le droit d’être discutée, d’être vérifiée sérieusement, d’être contrebalancée par des hypothèses autres. On entend dire partout qu’il n’y a plus aucun doute que le climat et la vie sur terre vont être violemment impactés par le réchauffement alors qu’il ne s’agit que d’un raisonnement indirect qui n’est pas directement prouvé.

Quelles bonnes raisons ont ces scientifiques de croire non seulement que c’est une thèse exacte mais qu’il est vital d’interdire, et de combattre avec virulence, toute thèse adverse ?
La défense de la planète ? On n’a pas vu le même engouement pour la planète chez les scientifiques du nucléaire ! Où sont les scientifiques qui combattent le MOX par exemple ? Et ceux qui nous ont prévenu des dangers des centrales en zone sismique ?

Non, ce n’est pas par souci de la planète que l’on a droit à toute cette propagande, car il faut bien l’appeler ainsi, concernant les sacrifices nécessaires pour sauver la planète du… CO² et du réchauffement. En n’oubliant pas que les périodes les plus prospères pour l’homme ont été les périodes chaudes et non les périodes froides…

Alors que, jusqu’aux années soixante et soixante-dix, les climatologues examinaient craintivement les signes d’évolution globale du climat en craignant d’y trouver les signes avant-coureurs d’un nouvel âge glaciaire, alors qu’ils interprétaient les réchauffements comme des effets à longue distance de la fin du petit âge glaciaire précédent, ils ont complètement changé brutalement leur fusil d’épaule, ne cherchant que des signes de réchauffement et estimant que le réchauffement était ce qu’il avait de plus dangereux…

Qu’est-ce qui les a amenés à ce changement radical de point de vue ?
En fait, ce n’est ni des climatologues, ni des météorologues, ni même des physiciens ou d’autres scientifiques que cette thèse est venue mais d’idéologues du capitalisme. C’est, en effet, le « club de Rome », qui ne comprenait en son sein ni climatologue, ni météorologue, ni aucune sorte de spécialiste de la physique, de la chimie ou de la biologie, ni même aucun écologiste, mais des financiers, des hommes politiques de droite, des idéologues de la grande bourgeoisie, qui a prédit que le monde, qui venait comme par hasard d’être frappé par la crise du dollar et la crise de l’OPEP, allait subir trois autres crises : perte irréversible de ressources en matières premières énergétiques, explosion démographique catastrophique et exponentielle, et enfin, le dernier et non le moindre, une crise climatique provoquée par la hausse des émissions de CO² due à l’activité humaine trop importante, allant au-delà des capacités d’absorption naturelle. Sa conclusion : alors qu’on craignait un effondrement du système, ces idéologues proposaient de faire de ce recul une avancée en la drapant dans l’objectif de défense de la planète ! Ils avaient lancé la décroissance sans être ni des écologistes, ni des anti-capitalistes, ni même des alter-capitalistes mais des adeptes forcenés du système, payés par lui pour trouver des alternatives à … une révolte contre le système en cas de chute brutale. Ce sont des adeptes du capitalisme issus de la fameuse école MIT du Massachussets (USA) qui avaient produit ces prédictions et l’ensemble de cette thèse générale qui touche à tous les domaines des sciences et de l’économie. Aucun des auteurs ne pouvait prétendre avoir milité auparavant pour une planète verte, mais seulement pour un capitalisme ultra-rentable et ils prétendaient surtout que les êtres humains allaient devoir se serrer la ceinture pour… sauver la planète (pas pour sauver le système, bien sûr !).

Deux des thèses de la « croissance zéro » produites dans ces rapports du Club de Rome ont été invalidées depuis, sans faire trop de bruit…

En effet, il est certain désormais qu’il n’y aura pas de croissance exponentielle de la démographie mondiale et les courbes de celle-ci mènent plutôt à un palier, malgré les progrès de la médecine. Il n’y pas eu non plus de trou irréversible dans les ressources énergétiques. Il y a toujours de nouvelles ressources trouvées sur la planète, y compris autres que le gaz et le pétrole. Et pas seulement le nucléaire. Et pas seulement les gaz de schistes. Et pas seulement des énergies alternatives… Certaines énergies n’ont même pas encore été explorées car couteuses comme les schistes bitumineux ou d’autres ressources du fond des océans… La rupture énergétique n’a pas eu lieu. Loin de manquer de carburant, les USA, qui étaient les premiers à le craindre, sont devenus les premiers producteurs du monde et ils ont à leurs côtés le Canada qui ne manque pas non plus de ressources…

Deux erreurs de diagnostic qui n’ont pas discrédité leurs auteurs car le réchauffement climatique, par contre, a été reconnu mondialement par toutes les autorités étatiques comme scientifiques.

La thèse du réchauffement anthropique a reçu une diffusion institutionnelle et mondiale avec la mise en place par les Etats d’un regroupement international appelé IPCC (GIEC en français). Ce dernier organisme bureaucratique n’est pas véritablement dirigé par les équipes scientifiques du monde mais par un appareil bien à lui. Il accueille les études des scientifiques et se charge de les diffuser. Mais il ne le fait nullement de manière neutre. Il ne diffuse que les thèses affirmant le réchauffement et il ne finance que les climatologues qui défendent ce point de vue. Ceux-là ont disposé ces dernières années de fonds infiniment supérieurs à ceux qu’ils avaient jamais eu depuis que le réchauffement est devenu un enjeu crucial pour la bourgeoisie et les Etats.

Reconnu certes par la communauté scientifique, mais vérifié par les faits ?

Il y a effectivement de plus en plus d’ombres au tableau de l’unanimisme voulu et assumé par l’IPCC.

Tout d’abord, on a relevé des prédictions fantaisistes de ses dirigeants comme la font rapide des glaciers himalayens.

Ensuite,, on a remarqué que des responsables de l’IPCC quittaient souvent leurs fonctions sans motif et sans explication.

Enfin, on a pris les dirigeants en flagrant délit de modifications des données d’observation, d’effacement de données n’allant pas dans le sens de la thèse officielle, de pressions contre des adversaires de cette thèse, de mensonges et actions inhabituelles dans le milieu scientifique. La presse s’est emparée de ces faits, fracturant un peu le mur érigé par l’IPCC. Mais, malgré ces faits, les gouvernants ont continué à soutenir l’IPCC tout en ne mettant nullement un terme à la pollution en question. Tel n’est pas leur but. Ils veulent seulement que la baisse de l’activité capitaliste apparaisse comme un moyen de sauver la planète, que l’on mette l’accent sur la pollution au CO² pour couvrir les véritables pollutions capitalistes et, surtout, présenter le nucléaire comme non-polluant parce qu’il ne produit pas de CO². Le moins engagé des pays capitalistes en faveur de la thèse est celui qui est le plus engagé dans la production pétrole-gaz : les USA…Ce n’est pas un hasard.

De nombreux physiciens ont fait remarquer que le CO² n’était nullement le seul candidat crédible pour expliquer des augmentations de température. Pouvaient être aussi en cause le soleil, la radioactivité naturelle du centre de la Terre, le volcanisme, la rétroaction des océans et des nuages, etc….

Ces différents éléments de contestation, parfois argumentés et documentés, n’ont jamais été versés au dossier et sérieusement étudiés, ni par l’IPCC ni par les adeptes du réchauffement global anthropique qui tiennent à une thèse unique et ne veulent que discréditer les adversaires traités de « sceptiques » comme s’il s’agissait d’une croyance religieuse, avec la foi et les sceptiques…

Et maintenant, on se retrouve avec trois hivers rigoureux de suite, dans le dernier des neiges massives en Asie, au Moyen-Orient notamment, avec la glace qui augmente depuis des années au Pôle sud (Antarctique) au lieu de diminuer, contrairement à ce que croit le grand public, avec environ autant de glaciers qui augmentent que ceux qui diminuent.

Certains climatologues admettent à reculons que ce qui se passe n’est nullement ce qu’ils avaient prévu et cherchent à tout prix comment le réchauffement global provoquerait le refroidissement, l’enneigement supplémentaire et même la montée des glaces au sud… Mais, ils ont du mal comme on va le constater ci-dessous. Examinons leurs arguments sur le réchauffement, cause du refroidissement…

Charles Greene écrit :

« Comment expliquer de tels épisodes de froid au cours d’une décennie 2002-2012 (…) Certains scientifiques semblent avoir trouvé une réponse surprenante avec un phénomène qui se déroule plusieurs mois avant l’hiver et dans une région différente de celle où sévissent les hivers rigoureux en question : les fontes record subies par la banquise de l’océan Arctique au cours de l’été précédent. « 

Le même auteur avait remarqué précédemment que

« Pendant les hivers de 209 à 2011, l’Ouest et le Nord de l’Europe ainsi que la côte Est des Etats-Unis ont subi une série de tempêtes froides et neigeuses, dont celle que les Américains ont nommée apocalypse de neige. Cette tempête s’est abattue en février 2010 sur la ville de Washington, et a empêché le gouvernement fédéral de fonctionner pendant près d’une semaine. En octobre de cette même année, le Centre des prévisions climatiques de la NOAA, l’agence américaine responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère, avait prévu pour l’Est des Etats-unis un hiver 2010-2011 doux en raison du phénomène La Niña (…) Mais, malgré les effets modérateurs de La Niña, des températures très basses et des chutes de neige inédites ont frappé les villes de New York et Philadelphie en janvier 2011, contredisant tous les prévisionnistes. L’hiver 2011-2012 a aussi apporté son lot de surprises. »

Pour sa part, Jérôme Weiss écrit :

« Paradoxalement, l’accroissement (très relatif) des glaces de mer antarctique résulterait du réchauffement climatique. En effet, dans les zones polaires, un réchauffement peut renforcer les précipitations neigeuses qui participent au bilan positif de masse de la banquise en l’épaississant par le dessus. Ce mécanisme est souvent évoqué également pour les glaces continentales. »

Pourquoi qualifier de relatif cet accroissement quand le même écrit par ailleurs :

« Le suivi satellitaire de l’extension des glaces de mer antarctique montre même une tendance positive pour l’extension spatiale. »

ou encore

« Le secteur de la mer de Ross a plutôt vu une extension récente des glaces de mer vers le Nord. »

David Salas y Mélia écrit :

« Ces dernières années semblent pourtant marquées par des périodes de froid et de neige en Europe, ce qui peut sembler contradictoire avec le réchauffement global observé. Par exemple, la France a connu un mois de janvier 2010 très neigeux avec une température inférieure de près de trois degrés aux normales de saison. Pendant cet hiver 2010, la circulation atmosphérique était caractérisée par la deuxième valeur la plus négative (…) Le froid qui s’est abattu sur la France du 1er au 13 février 2012 était plus exceptionnel. En termes d’intensité, il s’agit de la cinquième vague de froid la plus sévère observée depuis 1947. (…) Plusieurs études suggèrent que l’augmentation de la fréquence des hivers froids sur certaines régions de l’hémisphère nord serait une conséquence inattendue du réchauffement et ils cherchent à en comprendre les causes. »

Notez bien, il pensent que c’est une conséquence du réchauffement sans même savoir pourquoi !!!
Romain Lejeune écrit :

« Le 5 novembre, deux chercheurs russes de l’université de Postdam et Kiel ont publié une étude dans la revue Journal of Geophysical Research – Atmosphere faisant état des conséquences de la fonte de la banquise arctique sur le climat européen. Selon eux « la diminution anormale des glaces dans la mer de Barents pourrait entraîner des épisodes de froid extrême comme ce fut le cas durant l’hiver 2005 ». Ainsi, la réduction de la banquise permettrait aux rayons solaires de pénétrer dans l’océan Arctique et de renvoyer dans l’atmosphère une masse d’air froid chargée d’humidité. Cette masse d’air serait alors conduite vers l’Europe par des vents de nord et de nord-est, et provoquerait une baisse des températures.
Une théorie qui séduit de plus en plus la communauté scientifique, mais qui n’est pas partagée par tous les experts du climat. « Je ne pense pas que les vagues de froid que nous connaissons soient le signe d’un dérèglement climatique quelconque, explique Patrick Galois, prévisionniste à Météo France. « C’est surtout la variabilité naturelle de notre climat qui contribue à ces phénomènes ». Une variabilité déjà vérifiée dans le passé. En janvier 1985, février 1986 et janvier 1987, trois vagues de froid successives avaient touché la France, suivies d’une série d’hivers plus doux. « Le fait que le climat se réchauffe n’est pas démenti, tempère Patrick Galois. Pour autant, tant qu’il y aura des saisons, nous aurons des épisodes froids ou neigeux dans notre pays. »

Hervé Le Treut demande de relativiser les refroidissements occasionnels… mais pas les réchauffements occasionnels :

« Il ne faut pas se focaliser sur nos régions. Le réchauffement climatique est un phénomène global qui a des conséquences dans différents endroits du monde, rappelle le directeur de l’Institut de recherche en sciences de l’environnement, Hervé Le Treut. Mais pour l’essentiel, les hivers très froids tels que l’on peut les observer relèvent de phénomènes naturels ».

« Ce ne sont que des pistes et, surtout, il ne faut pas oublier qu’une très grande partie de ce qui se passe à nos latitudes est due au hasard, les mouvements de l’air étant un peu chaotiques, reconnaît Le Treut. Ce qu’on appelle changement climatique, c’est le guidage de ces processus aléatoires sur des périodes longues de 10, 20, 30 ou 40 ans qu’il convient de bien distinguer des épisodes tels que celui que nous venons de vivre en Europe du Nord. »
Pourquoi pas, mais pourquoi ne dire cela que quand cela se refroidit et jamais quand cela se réchauffe ?...

Vladimir Petoukhov, dont l’étude est intitulée « Un lien entre la diminution de la mer de glace Barents-Kara et les hivers extrêmement froids dans les continents du nord », a déclaré dans un communiqué qu’un réchauffement de l’air au-dessus de la Mer Barents-Kara semblait entraîner des vents d’hiver froids en Europe.

« Ce n’est pas ce à quoi l’on s’attendait » a déclaré Vladimir Petoukhov. « Celui qui pense que la fonte d’une mer de glace très lointaine ne le concerne pas a tort ».

Le Groupe Intergouvernemental d’experts des Nations Unies sur l’Evolution du Climat (GIEC ou IPCC) a déclaré qu’une augmentation des températures mondiales entraînerait davantage d’inondations, de sécheresses, de canicules, et l’augmentation du niveau des mers.

Personne ne se serait attendu à ce que l’IPCC se déclare étonnée du refroidissement même si elle avait prédit un réchauffement des hivers et il ne s’est pas réalisé…

D’autres sont encore plus catégoriques comme Albane Wurtz qui écrit que « les hivers froids rigoureux sont la preuve du réchauffement climatique » autant que les étés chauds :

« Ne vous y trompez pas, les hivers rigoureux de ces dernières années sont bel et bien des démonstrations du réchauffement climatique. N’en déplaise aux climato-sceptiques, ces vagues de froid ne sont que temporaires et laisseront la place à des étés toujours plus chauds. En cause : la fonte de la calotte glaciaire qui ne repousse plus les rayons du soleil. »

Selon les climatologues, les hivers rigoureux maintenant sont une conséquence du réchauffement climatique, qui en faisant fondre les pôles refroidis les eaux, qui eux refroidissent les courants maritimes. Une théorie qui semble soudainement sorti d’un chapeau. Il y a quelques années le réchauffement, devait que rendre des hivers de plus en plus doux et non le contraire. Pourquoi cette soudaine théorie que cela peut aussi refroidir les hivers, vient subitement maintenant ? Le rétrécissement des pôles et le refroidissement des eaux par la même occasion, n’est pourtant pas un phénomène nouveau ? C’est aussi ancien que le cri d’alarme du réchauffement. Pourquoi ne pas avoir évoquer ce scénario il y a quelques années ?

Par ailleurs, 130 scientifiques écrivent :

« Nous soussignés, qualifiés sur les problématiques liées au climat, souhaitons vous faire part que les connaissances scientifiques actuelles n’accréditent pas vos déclarations.
Le Met Office du Royaume-Uni a récemment publié des données démontrant que sur les 16 dernières années, il n’y avait pas eu de réchauffement climatique statistiquement significatif. Durant cette période, selon le National Oceanic and Atmospheric Administration des États-Unis (ndlt : Agence Nationale pour l’étude des Océans et de l’Atmosphère), les concentrations en dioxyde de carbone ont augmenté de près de 9% pour constituer aujourd’hui une part de 0,039% de l’atmosphère. Un réchauffement climatique n’ayant pas encore eu lieu ne peut être à l’origine des conditions météorologiques extrêmes de ces dernières années. Comment, quand et dans quelle mesure un réchauffement atmosphérique pourrait reprendre est une question encore en suspens. La science n’est pas claire. Certains scientifiques démontrent qu’un refroidissement naturel est également possible dans un avenir proche, de par les variations dans les rayonnements solaires.
Les « chocs climatiques de grande ampleur » dont vous avez fait part seraient bien plus terribles si le monde refroidissait que si le monde se réchauffait. Le climat varie naturellement tout le temps, parfois dramatiquement. L’hypothèse que nos émissions de CO2 aient causé ou causent des réchauffement dangereux n’est appuyé par aucune preuve.
La fréquence et la gravité des climats extrêmes n’a pas augmenté. Il y a peu de preuves que des événements dangereux liés au climat aient lieux plus souvent dans le futur. Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU même indique dans son Rapport Spécial sur le Climat Extrême (2012) qu’il y a "une absence de signal attribuable au changement climatique" dans les tendances des dégâts causés par les climats extrêmes à cette date. Les fonds actuellement dédiés à essayer de stopper les événements météorologiques extrêmes devraient être dédiés à renforcer nos infrastructures afin de permettre de résister à ces événements naturels et inévitables, et à aider les communautés à reconstruire après le passage de catastrophes naturelles telle que la tempête tropicale Sandy. »

Signataires :

1. Habibullo I. Abdussamatov, Dr. Sci., mathematician and astrophysicist, Head of the Selenometria project on the Russian segment of the ISS, Head of Space Research of the Sun Sector at the Pulkovo Observatory of the Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia

2. Syun-Ichi Akasofu, PhD, Professor of Physics, Emeritus and Founding Director, International Arctic Research Center of the University of Alaska, Fairbanks, Alaska, U.S.A.

3. Bjarne Andresen, Dr. Scient., physicist, published and presents on the impossibility of a “global temperature”, Professor, Niels Bohr Institute (physics (thermodynamics) and chemistry), University of Copenhagen, Copenhagen, Denmark

4. J. Scott Armstrong, PhD, Professor of Marketing, The Wharton School, University of Pennsylvania, Founder of the International Journal of Forecasting, focus on analyzing climate forecasts, Philadelphia, Pennsylvania, U.S.A.

5. Timothy F. Ball, PhD, environmental consultant and former climatology professor, University of Winnipeg, Winnipeg, Manitoba, Canada

6. James R. Barrante, Ph.D. (chemistry, Harvard University), Emeritus Professor of Physical Chemistry, Southern Connecticut State University, focus on studying the greenhouse gas behavior of CO2, Cheshire, Connecticut, U.S.A.

7. Colin Barton, B.Sc., PhD (Earth Science, Birmingham, U.K.), FInstEng Aus Principal research scientist (ret.), Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), Melbourne, Victoria, Australia

8. Joe Bastardi, BSc, (Meteorology, Pennsylvania State), meteorologist, State College, Pennsylvania, U.S.A.

9. Franco Battaglia, PhD (Chemical Physics), Professor of Physics and Environmental Chemistry, University of Modena, Italy

10. Richard Becherer, BS (Physics, Boston College), MS (Physics, University of Illinois), PhD (Optics, University of Rochester), former Member of the Technical Staff – MIT Lincoln Laboratory, former Adjunct Professor – University of Connecticut, Areas of Specialization : optical radiation physics, coauthor – standard reference book Optical Radiation Measurements : Radiometry, Millis, MA, U.S.A.

11. Edwin X. Berry, PhD (Atmospheric Physics, Nevada), MA (Physics, Dartmouth), BS (Engineering, Caltech), Certified Consulting Meteorologist, President, Climate Physics LLC, Bigfork, MT, U.S.A.
12. Ian Bock, BSc, PhD, DSc, Biological sciences (retired), Ringkobing, Denmark

13. Ahmed Boucenna, PhD, Professor of Physics (strong climate focus), Physics Department, Faculty of Science, Ferhat Abbas University, Setif, Algéria

14. Antonio Brambati, PhD, Emeritus Professor (sedimentology), Department of Geological, Environmental and Marine Sciences (DiSGAM), University of Trieste (specialization : climate change as determined by Antarctic marine sediments), Trieste, Italy

15. Stephen C. Brown, PhD (Environmental Science, State University of New York), District Agriculture Agent, Assistant Professor, University of Alaska Fairbanks, Ground Penetrating Radar Glacier research, Palmer, Alaska, U.S.A.

16. Mark Lawrence Campbell, PhD (chemical physics ; gas-phase kinetic research involving greenhouse gases (nitrous oxide, carbon dioxide)), Professor, United States Naval Academy, Annapolis, Maryland, U.S.A.

17. Rudy Candler, PhD (Soil Chemistry, University of Alaska Fairbanks (UAF)), former agricultural laboratory manager, School of Agriculture and Land Resources Management, UAF, co-authored papers regarding humic substances and potential CO2 production in the Arctic due to decomposition, Union, Oregon, U.S.A.

18. Alan Carlin, B.S. (California Institute of Technology), PhD (economics, Massachusetts Institute of Technology), retired senior analyst and manager, U.S. Environmental Protection Agency, Washington, DC, former Chairman of the Angeles Chapter of the Sierra Club (recipient of the Chapter’s Weldon Heald award for conservation work), U.S.A.

19. Dan Carruthers, M.Sc., Arctic Animal Behavioural Ecologist, wildlife biology consultant specializing in animal ecology in Arctic and Subarctic regions, Turner Valley, Alberta, Canada

20. Robert M. Carter, PhD, Professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia

21. Uberto Crescenti, PhD, Full Professor of Applied Geology, Università G. d’Annunzio, Past President Società Geologica taliana, Chieti, Italy

22. Arthur Chadwick, PhD (Molecular Biology), Research Professor of Geology, Department of Biology and Geology, Southwestern Adventist University, Climate Specialties : dendrochronology (determination of past climate states by tree ring analysis), palynology (same but using pollen as a climate proxy), paleobotany and botany ; Keene, Texas, U.S.A.

23. George V. Chilingar, PhD, Professor, Department of Civil and Environmental Engineering of Engineering (CO2/temp. focused research), University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.

24. Ian D. Clark, PhD, Professor (isotope hydrogeology and paleoclimatology), Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa, Ottawa, Ontario, Canada

25. Cornelia Codreanova, Diploma in Geography, Researcher (Areas of Specialization : formation of glacial lakes) at Liberec University, Czech Republic, Zwenkau, Germany

26. Michael Coffman, PhD (Ecosystems Analysis and Climate Influences, University of Idaho), CEO of Sovereignty International, President of Environmental Perspectives, Inc., Bangor, Maine, U.S.A.

27. Piers Corbyn, ARCS, MSc (Physics, Imperial College London)), FRAS, FRMetS, astrophysicist (Queen Mary College, London), consultant, founder WeatherAction long range weather and climate forecasters, American Thinker Climate Forecaster of The Year 2010, London, United Kingdom

28. Richard S. Courtney, PhD, energy and environmental consultant, IPCC expert reviewer, Falmouth, Cornwall, United Kingdom

29. Roger W. Cohen, B.S., M.S., PhD Physics, MIT and Rutgers University, Fellow, American Physical Society, initiated and managed for more than twenty years the only industrial basic research program in climate, Washington Crossing, Pennsylvania, U.S.A.

30. Susan Crockford, PhD (Zoology/Evolutionary Biology/Archaeozoology), Adjunct Professor (Anthropology/Faculty of Graduate Studies), University of Victoria, Victoria, British Colombia, Canada

31. Walter Cunningham, B.S., M.S. (Physics – Institute of Geophysics And Planetary Sciences, UCLA), AMP – Harvard Graduate School of Business, Colonel (retired) U.S. Marine Corps, Apollo 7 Astronaut., Fellow – AAS, AIAA ; Member AGU, Houston, Texas, U.S.A.

32. Joseph D’Aleo, BS, MS (Meteorology, University of Wisconsin), Doctoral Studies (NYU), CMM, AMS Fellow, Executive Director – ICECAP (International Climate and Environmental Change Assessment Project), College Professor Climatology/Meteorology, First Director of Meteorology The Weather Channel, Hudson, New Hampshire, U.S.A.

33. David Deming, PhD (Geophysics), Professor of Arts and Sciences, University of Oklahoma, Norman, Oklahoma, U.S.A.

34. James E. Dent ; B.Sc., FCIWEM, C.Met, FRMetS, C.Env., Independent Consultant (hydrology & meteorology), Member of WMO OPACHE Group on Flood Warning, Hadleigh, Suffolk, England, United Kingdom

35. Willem de Lange, MSc (Hons), DPhil (Computer and Earth Sciences), Senior Lecturer in Earth and Ocean Sciences, The University of Waikato, Hamilton, New Zealand

36. Silvia Duhau, Ph.D. (physics), Solar Terrestrial Physics, Buenos Aires University, Buenos Aires, Argentina

37. Geoff Duffy, DEng (Dr of Engineering), PhD (Chemical Engineering), BSc, ASTCDip. (first chemical engineer to be a Fellow of the Royal Society in NZ), FIChemE, wide experience in radiant heat transfer and drying, chemical equilibria, etc. Has reviewed, analysed, and written brief reports and papers on climate change, Auckland, New Zealand

38. Don J. Easterbrook, PhD, Emeritus Professor of Geology, Western Washington, University, Bellingham, Washington, U.S.A.

39. Ole Henrik Ellestad, former Research Director, applied chemistry SINTEF, Professor in physical chemistry, University of Oslo, Managing director Norsk Regnesentral and Director for Science and Technology, Norwegian Research Council, widely published in infrared spectroscopy, Oslo, Norway

40. Per Engene, MSc, Biologist, Co-author – The Climate, Science and Politics (2009), Bø i Telemark, Norway

41. Gordon Fulks, B.S., M.S., PhD (Physics, University of Chicago), cosmic radiation, solar wind, electromagnetic and geophysical phenomena, Portland, Oregon, U.S.A.

42. Katya Georgieva, MSc (meteorology), PhD (solar-terrestrial climate physics), Professor, Space Research and Technologies Institute, Bulgarian Academy of Sciences, Sofia, Bulgaria

43. Lee C. Gerhard, PhD, Senior Scientist Emeritus, University of Kansas, past director and state geologist, Kansas Geological Survey, U.S.A.

44. Ivar Giaever PhD, Nobel Laureate in Physics 1973, professor emeritus at the Rensselaer Polytechnic Institute, a professor-at-large at the University of Oslo, Applied BioPhysics, Troy, New York, U.S.A.

45. Albrecht Glatzle, PhD, ScAgr, Agro-Biologist and Gerente ejecutivo, Tropical pasture research and land use management, Director científico de INTTAS, Loma Plata, Paraguay

46. Fred Goldberg, PhD, Adj Professor, Royal Institute of Technology (Mech, Eng.), Secretary General KTH International Climate Seminar 2006 and Climate analyst (NIPCC), Lidingö, Sweden

47. Laurence I. Gould, PhD, Professor of Physics, University of Hartford, Past Chair (2004), New England Section of the American Physical Society, West Hartford, Connecticut, U.S.A.

48. Vincent Gray, PhD, New Zealand Climate Coalition, expert reviewer for the IPCC, author of The Greenhouse Delusion : A Critique of Climate Change 2001, Wellington, New Zealand

49. William M. Gray, PhD, Professor Emeritus, Dept. of Atmospheric Science, Colorado State University, Head of the Tropical Meteorology Project, Fort Collins, Colorado, U.S.A.

50. Charles B. Hammons, PhD (Applied Mathematics), climate-related specialties : applied mathematics, modeling & simulation, software & systems engineering, Associate Professor, Graduate School of Management, University of Dallas ; Assistant Professor, North Texas State University (Dr. Hammons found many serious flaws during a detailed study of the software, associated control files plus related email traffic of the Climate Research Unit temperature and other records and “adjustments” carried out in support of IPCC conclusions), Coyle, OK, U.S.A.

51. William Happer, PhD, Professor, Department of Physics, Princeton University, Princeton, NJ, U.S.A.

52. Hermann Harde, PhD, Professur f. Lasertechnik & Werkstoffkunde (specialized in molecular spectroscopy, development of gas sensors and CO2-climate sensitivity), Helmut-Schmidt-Universität, Universität der Bundeswehr Fakultät für Elektrotechnik, Hamburg, Germany

53. Howard Hayden, PhD, Emeritus Professor (Physics), University of Connecticut, The Energy Advocate, Pueblo West, Colorado, U.S.A.

54. Ross Hays, Meteorologist, atmospheric scientist, NASA Columbia Scientific Balloon Facility (currently working at McMurdo Station, Antarctica), Palestine, Texas, U.S.A.

55. Martin Hovland, M.Sc. (meteorology, University of Bergen), PhD (Dr Philos, University of Tromsø), FGS, Emeritus Professor, Geophysics, Centre for Geobiology, University of Bergen, member of the expert panel : Environmental Protection and Safety Panel (EPSP) for the Ocean Drilling Program (ODP) and the Integrated ODP, Stavanger, Norway

56. Ole Humlum, PhD, Professor of Physical Geography, Department of Physical Geography, Institute of Geosciences, University of Oslo, Oslo, Norway

57. Craig D. Idso, PhD, Chairman of the Board of Directors of the Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.

58. Sherwood B. Idso, PhD, President, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.

59. Larry Irons, BS (Geology), MS (Geology), Sr. Geophysicist at Fairfield Nodal (specialization : paleoclimate), Lakewood, Colorado, U.S.A.

60. Terri Jackson, MSc (plasma physics), MPhil (energy economics), Director, Independent Climate Research Group, Northern Ireland and London (Founder of the energy/climate group at the Institute of Physics, London), United Kingdom

61. Albert F. Jacobs, Geol.Drs., P. Geol., Calgary, Alberta, Canada

62. Hans Jelbring, PhD Climatology, Stockholm University, MSc Electronic engineering, Royal Institute of Technology, BSc Meteorology, Stockholm University, Sweden

63. Bill Kappel, B.S. (Physical Science-Geology), B.S. (Meteorology), Storm Analysis, Climatology, Operation Forecasting, Vice President/Senior Meteorologist, Applied Weather Associates, LLC, University of Colorado, Colorado Springs, U.S.A.

64. Olavi Kärner, Ph.D., Extraordinary Research Associate ; Dept. of Atmospheric Physics, Tartu Observatory, Toravere, Estonia
65. Leonid F. Khilyuk, PhD, Science Secretary, Russian Academy of Natural Sciences, Professor of Engineering (CO2/temp. focused research), University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.

66. William Kininmonth MSc, MAdmin, former head of Australia’s National Climate Centre and a consultant to the World Meteorological organization’s Commission for Climatology, Kew, Victoria, Australia

67. Gerhard Kramm, Dr. rer. nat. (Theoretical Meteorology), Research Associate Professor, Geophysical Institute, Associate Faculty, College of Natural Science and Mathematics, University of Alaska Fairbanks, (climate specialties : Atmospheric energetics, physics of the atmospheric boundary layer, physical climatology – see interesting paper by Kramm et al), Fairbanks, Alaska, U.S.A.

68. Leif Kullman, PhD (Physical geography, plant ecology, landscape ecology), Professor, Physical geography, Department of Ecology and Environmental science, Umeå University, Areas of Specialization : Paleoclimate (Holocene to the present), glaciology, vegetation history, impact of modern climate on the living landscape, Umeå, Sweden

69. Hans H.J. Labohm, PhD, Independent economist, author specialised in climate issues, IPCC expert reviewer, author of Man-Made Global Warming : Unravelling a Dogma and climate science-related Blog, The Netherlands

70. Rune Berg-Edland Larsen, PhD (Geology, Geochemistry), Professor, Dep. Geology and Geoengineering, Norwegian University of Science and Technology (NTNU), Trondheim, Norway

71. C. (Kees) le Pair, PhD (Physics Leiden, Low Temperature Physics), former director of the Netherlands Research Organization FOM (fundamental physics) and subsequently founder and director of The Netherlands Technology Foundation STW. Served the Dutch Government many years as member of its General Energy Council and of the National Defense Research Council. Royal Academy of Arts and Sciences Honorary Medal and honorary doctorate in all technical sciences of the Delft University of technology, Nieuwegein, The Netherlands

72. Douglas Leahey, PhD, meteorologist and air-quality consultant, past President – Friends of Science, Calgary, Alberta, Canada

73. Jay Lehr, B.Eng. (Princeton), PhD (environmental science and ground water hydrology), Science Director, The Heartland Institute, Chicago, Illinois, U.S.A.

74. Bryan Leyland, M.Sc., FIEE, FIMechE, FIPENZ, MRSNZ, consulting engineer (power), Energy Issues Advisor – International Climate Science Coalition, Auckland, New Zealand

75. Edward Liebsch, B.A. (Earth Science, St. Cloud State University) ; M.S. (Meteorology, The Pennsylvania State University), former Associate Scientist, Oak Ridge National Laboratory ; former Adjunct Professor of Meteorology, St. Cloud State University, Environmental Consultant/Air Quality Scientist (Areas of Specialization : micrometeorology, greenhouse gas emissions), Maple Grove, Minnesota, U.S.A.

76. William Lindqvist, PhD (Applied Geology), Independent Geologic Consultant, Areas of Specialization : Climate Variation in the recent geologic past, Tiburon, California, U.S.A.

77. Horst-Joachim Lüdecke, Prof. Dr. , PhD (Physics), retired from university of appl. sciences HTW, Saarbrücken (Germany), atmospheric temperature research, speaker of the European Institute for Climate and Energy (EIKE), Heidelberg, Germany

78. Anthony R. Lupo, Ph.D., Professor of Atmospheric Science, Department of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, University of Missouri, Columbia, Missouri, U.S.A.

79. Oliver Manuel, BS, MS, PhD, Post-Doc (Space Physics), Associate - Climate & Solar Science Institute, Emeritus Professor, College of Arts & Sciences University of Missouri-Rolla, previously Research Scientist (US Geological Survey) and NASA Principal Investigator for Apollo, Cape Girardeau, Missouri, U.S.A.

80. Francis Massen, professeur-docteur en physique (PhD equivalent, Universities of Nancy (France) and Liège (Belgium), Manager of the Meteorological Station of the Lycée Classique de Diekirch, specialising in the measurement of solar radiation and atmospheric gases. Collaborator to the WOUDC (World Ozone and UV Radiation Data Center), Diekirch, Luxembourg

81. Henri Masson, Prof. dr. ir., Emeritus Professor University of Antwerp (Energy & Environment Technology Management), Visiting professor Maastricht School of Management, specialist in dynamical (chaotic) complex system analysis, Antwerp, Belgium.

82. Ferenc Mark Miskolczi, PhD, atmospheric physicist, formerly of NASA’s Langley Research Center, Hampton, Virginia, U.S.A.
83. Viscount Monckton of Brenchley, Expert reviewer, IPCC Fifth Assessment Report, Quantification of Climate Sensitivity, Carie, Rannoch, Scotland

84. Nils-Axel Mörner, PhD (Sea Level Changes and Climate), Emeritus Professor of Paleogeophysics & Geodynamics, Stockholm University, Stockholm, Sweden

85. John Nicol, PhD (Physics, James Cook University), Chairman – Australian climate Science Coalition, Brisbane, Australia

86. Ingemar Nordin, PhD, professor in philosophy of science (including a focus on “Climate research, philosophical and sociological aspects of a politicised research area”), Linköpings University, Sweden.

87. David Nowell, M.Sc., Fellow of the Royal Meteorological Society, former chairman of the NATO Meteorological Group, Ottawa, Ontario, Canada

88. Cliff Ollier, D.Sc., Professor Emeritus (School of Earth and Environment – see his Copenhagen Climate Challenge sea level article here), Research Fellow, University of Western Australia, Nedlands, W.A., Australia

89. Oleg M. Pokrovsky, BS, MS, PhD (mathematics and atmospheric physics – St. Petersburg State University, 1970), Dr. in Phys. and Math Sciences (1985), Professor in Geophysics (1995), principal scientist, Main Geophysical Observatory (RosHydroMet), Note : Dr. Pokrovsky analyzed long climates and concludes that anthropogenic CO2 impact is not the main contributor in climate change,St. Petersburg, Russia.

90. Daniel Joseph Pounder, BS (Meteorology, University of Oklahoma), MS (Atmospheric Sciences, University of Illinois, Urbana-Champaign) ; Meteorological/Oceanographic Data Analyst for the National Data Buoy Center, formerly Meteorologist, WILL AM/FM/TV, Urbana, U.S.A.

91. Brian Pratt, PhD, Professor of Geology (Sedimentology), University of Saskatchewan (see Professor Pratt’s article for a summary of his views), Saskatoon, Saskatchewan, Canada

92. Harry N.A. Priem, PhD, Professore-emeritus isotope-geophysics and planetary geology, Utrecht University, past director ZWO/NOW Institute of Isotope Geophysical Research, Past-President Royal Netherlands Society of Geology and Mining, Amsterdam, The Netherlands

93. Oleg Raspopov, Doctor of Science and Honored Scientist of the Russian Federation, Professor – Geophysics, Senior Scientist, St. Petersburg Filial (Branch) of N.V.Pushkov Institute of Terrestrial Magnetism, Ionosphere and Radiowaves Propagation of RAS (climate specialty : climate in the past, particularly the influence of solar variability), Editor-in-Chief of journal “Geomagnetism and Aeronomy” (published by Russian Academy of Sciences), St. Petersburg, Russia

94. Curt G. Rose, BA, MA (University of Western Ontario), MA, PhD (Clark University), Professor Emeritus, Department of Environmental Studies and Geography, Bishop’s University, Sherbrooke, Quebec, Canada

95. S. Jeevananda Reddy, M.Sc. (Geophysics), Post Graduate Diploma (Applied Statistics, Andhra University), PhD (Agricultural Meteorology, Australian University, Canberra), Formerly Chief Technical Advisor—United Nations World Meteorological Organization (WMO) & Expert-Food and Agriculture Organization (UN), Convener - Forum for a Sustainable Environment, author of 500 scientific articles and several books – here is one : “Climate Change – Myths & Realities“, Hyderabad, India

96. Arthur Rorsch, PhD, Emeritus Professor, Molecular Genetics, Leiden University, former member of the board of management of the Netherlands Organization Applied Research TNO, Leiden, The Netherlands

97. Rob Scagel, MSc (forest microclimate specialist), Principal Consultant – Pacific Phytometric Consultants, Surrey, British Columbia, Canada

98. Chris Schoneveld, MSc (Structural Geology), PhD (Geology), retired exploration geologist and geophysicist, Australia and France
99. Tom V. Segalstad, PhD (Geology/Geochemistry), Associate Professor of Resource and Environmental Geology, University of Oslo, former IPCC expert reviewer, former Head of the Geological Museum, and former head of the Natural History Museum and Botanical Garden (UO), Oslo, Norway

100. John Shade, BS (Physics), MS (Atmospheric Physics), MS (Applied Statistics), Industrial Statistics Consultant, GDP, Dunfermline, Scotland, United Kingdom

101. Thomas P. Sheahen, B.S., PhD (Physics, Massachusetts Institute of Technology), specialist in renewable energy, research and publication (applied optics) in modeling and measurement of absorption of infrared radiation by atmospheric CO2, National Renewable Energy Laboratory (2005-2009) ; Argonne National Laboratory (1988-1992) ; Bell Telephone labs (1966-73), National Bureau of Standards (1975-83), Oakland, Maryland, U.S.A.

102. S. Fred Singer, PhD, Professor Emeritus (Environmental Sciences), University of Virginia, former director, U.S. Weather Satellite Service, Science and Environmental Policy Project, Charlottesville, Virginia, U.S.A.

103. Frans W. Sluijter, Prof. dr ir, Emeritus Professor of theoretical physics, Technical University Eindhoven, Chairman—Skepsis Foundation, former vice-president of the International Union of Pure and Applied Physics, former President of the Division on Plasma Physics of the European Physical Society and former bureau member of the Scientific Committee on Sun-Terrestrial Physics, Euvelwegen, the Netherlands

104. Jan-Erik Solheim, MSc (Astrophysics), Professor, Institute of Physics, University of Tromsø, Norway (1971-2002), Professor (emeritus), Institute of Theoretical Astrophysics, University of Oslo, Norway (1965-1970, 2002- present), climate specialties : sun and periodic climate variations, scientific paper by Professor Solheim “Solen varsler et kaldere tiår“, Baerum, Norway

105. H. Leighton Steward, Master of Science (Geology), Areas of Specialization : paleoclimates and empirical evidence that indicates CO2 is not a significant driver of climate change, Chairman, PlantsNeedCO2.org and CO2IsGreen.org, Chairman of the Institute for the Study of Earth and Man (geology, archeology & anthropology) at SMU in Dallas, Texas, Boerne, TX, U.S.A.

106. Arlin B. Super, PhD (Meteorology – University of Wisconsin at Madison), former Professor of Meteorology at Montana State University, retired Research Meteorologist, U.S. Bureau of Reclamation, Saint Cloud, Minnesota, U.S.A.

107. Edward (Ted) R. Swart, D.Sc. (physical chemistry, University of Pretoria), M.Sc. and Ph.D. (math/computer science, University of Witwatersrand). Formerly Director of the Gulbenkian Centre, Dean of the Faculty of Science, Professor and Head of the Department of Computer Science, University of Rhodesia and past President of the Rhodesia Scientific Association. Set up the first radiocarbon dating laboratory in Africa. Most recently, Professor in the Department of Combinatorics and Optimization at the University of Waterloo and Chair of Computing and Information Science and Acting Dean at the University of Guelph, Ontario, Canada, now retired in Kelowna British Columbia, Canada

108. George H. Taylor, B.A. (Mathematics, U.C. Santa Barbara), M.S. (Meteorology, University of Utah), Certified Consulting Meteorologist, Applied Climate Services, LLC, Former State Climatologist (Oregon), President, American Association of State Climatologists (1998-2000), Corvallis, Oregon, U.S.A.

109. J. E. Tilsley, P.Eng., BA Geol, Acadia University, 53 years of climate and paleoclimate studies related to development of economic mineral deposits, Aurora, Ontario, Canada

110. Göran Tullberg, Civilingenjör i Kemi (equivalent to Masters of Chemical Engineering), Co-author – The Climate, Science and Politics (2009) (see here for a review), formerly instructor of Organic Chemistry (specialization in “Climate chemistry”), Environmental Control and Environmental Protection Engineering at University in Växjö ; Falsterbo, Sweden

111. Brian Gregory Valentine, PhD, Adjunct professor of engineering (aero and fluid dynamics specialization) at the University of Maryland, Technical manager at US Department of Energy, for large-scale modeling of atmospheric pollution, Technical referee for the US Department of Energy’s Office of Science programs in climate and atmospheric modeling conducted at American Universities and National Labs, Washington, DC, U.S.A.

112. Bas van Geel, PhD, paleo-climatologist, Institute for Biodiversity and Ecosystem Dynamics, Research Group Paleoecology and Landscape Ecology, Faculty of Science, Universiteit van Amsterdam, Amsterdam, The Netherlands

113. Gerrit J. van der Lingen, PhD (Utrecht University), geologist and paleoclimatologist, climate change consultant, Geoscience Research and Investigations, Nelson, New Zealand

114. A.J. (Tom) van Loon, PhD, Professor of Geology (Quaternary Geologyspecialism : Glacial Geology), Adam Mickiewicz University, former President of the European Association of Science Editors Poznan, Poland

115. Fritz Vahrenholt, B.S. (chemistry), PhD (chemistry), Prof. Dr., Professor of Chemistry, University of Hamburg, Former Senator for environmental affairs of the State of Hamburg, former CEO of REpower Systems AG (wind turbines), Author of the book Die kalte Sonne : warum die Klimakatastrophe nicht stattfindet (The Cold Sun : Why the Climate Crisis Isn’t Happening”, Hamburg, Germany

116. Michael G. Vershovsky, Ph.D. in meteorology (macrometeorology, long-term forecasts, climatology), Senior Researcher, Russian State Hydrometeorological University, works with, as he writes, “Atmospheric Centers of Action (cyclones and anticyclones, such as Icelandic depression, the South Pacific subtropical anticyclone, etc.). Changes in key parameters of these centers strongly indicate that the global temperature is influenced by these natural factors (not exclusively but nevertheless)”, St. Petersburg, Russia

117. Gösta Walin, PhD and Docent (theoretical Physics, University of Stockholm), Professor Emeritus in oceanografi, Earth Science Center, Göteborg University, Göteborg, Sweden

118. Anthony Watts, ItWorks/IntelliWeather, Founder, surfacestations.org, Watts Up With That, Chico, California, U.S.A.

119. Carl Otto Weiss, Direktor und Professor at Physikalisch-Technische Bundesanstalt, Visiting Professor at University of Copenhagen, Tokyo Institute of Technology, Coauthor of ”Multiperiodic Climate Dynamics : Spectral Analysis of…“, Braunschweig, Germany

120. Forese-Carlo Wezel, PhD, Emeritus Professor of Stratigraphy (global and Mediterranean geology, mass biotic extinctions and paleoclimatology), University of Urbino, Urbino, Italy

121. Boris Winterhalter, PhD, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former professor in marine geology, University of Helsinki, Helsinki, Finland

122. David E. Wojick, PhD, PE, energy and environmental consultant, Technical Advisory Board member – Climate Science Coalition of America, Star Tannery, Virginia, U.S.A.

123. George T. Wolff, Ph.D., Principal Atmospheric Scientist, Air Improvement Resource, Inc., Novi, Michigan, U.S.A.

124. Thomas (Tom) Wysmuller –NASA (Ret) ARC, GSFC, Hdq. - Meteorologist, Ogunquit, ME, U.S.A.

125. Bob Zybach, PhD (Environmental Sciences, Oregon State University), climate-related carbon sequestration research, MAIS, B.S., Director, Environmental Sciences Institute Peer review Institute, Cottage Grove, Oregon, U.S.A.

126. Milap Chand Sharma, PhD, Associate Professor of Glacial Geomorphology, Centre fort the Study of Regional Development, Jawaharlal Nehru University, New Delhi, India

127. Valentin A. Dergachev, PhD, Professor and Head of the Cosmic Ray Laboratory at Ioffe Physical-Technical Institute of Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia

128. Vijay Kumar Raina, Ex-Deputy Director General, Geological Survey of India, Ex-Chairman Project Advisory and Monitoring Committee on Himalayan glacier, DST, Govt. of India and currently Member Expert Committee on Climate Change Programme, Dept. of Science & Technology, Govt. of India, author of 2010 MoEF Discussion Paper, “Himalayan Glaciers – State-of-Art Review of Glacial Studies, Glacial Retreat and Climate Change”, the first comprehensive study on the region. Winner of the Indian Antarctica Award, Chandigarh, India

129. Scott Chesner, B.S. (Meteorology, Penn State University), KETK Chief Meteorologist, KETK TV, previously Meteorologist with Accu Weather, Tyler, Texas, U.S.A

130. Richard A. Keen, PhD (climatology, University of Colorado), Emeritus Instructor of Atmospheric Science, University of Colorado ; former President, Boulder-Denver branch of the American Meteorological Society ; Expert Reviewer, IPCC AR5 ; author of reports and books on the regional weather and climate of Alaska, the Arctic, and North America ; NWS co-op observer, Coal Creek Canyon, Golden, Colorado, U.S.A.

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