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Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

dimanche 20 juin 2021, par Robert Paris

Jean-Paul Auffray, dans « L’atome »

« Selon la mécanique quantique, les rayons émis (ou absorbés) par un atome sont composés de photons dotés, en tant que tels, de deux caractéristiques fondamentales : ils se déplacent à la vitesse de la lumière (égale à 300.000 kilomètres par seconde environ) et ils transportent chacun un paquet d’énergie égale à la constante de Planck h multiplié par la fréquence µ du rayonnement considéré.
Les choses de présentent différemment dans notre représentation. Les rayons sont composés de quanta d’action (l’action a la dimension d’une énergie multipliée par un temps) auxquels ni l’une ni l’autre des deux contraintes citées ci-dessus (vitesse c et paquet d’énergie hµ) n’est applicable : les quanta peuvent aller soit moins vite soit plus vite que la lumière et peuvent transporter une énergie soit plus petite soit plus grande que hµ. Y a-t-il une chance concrète de pouvoir trancher entre les deux points de vue, en observant par exemple un quantum allant plus vite que la lumière et transportant une énergie plus grande que hµ ?

Selon notre point de vue, lorsqu’un quantum rencontre sur son chemin un passage étroit – un tunnel – dont la largeur ou le diamètre est du même ordre de grandeur que la longueur de son pas, il « allonge le pas » pour traverser cet obstacle, ce qui a pour effet de le faire émerger de l’autre côté du piège plus tôt que prévu il traverse donc le tunnel à une vitesse « supraluminique ». Ce phénomène remarquable est connu en mécanique quantique sous le nom d’ « effet tunnel ». Au cours des années 90, plusieurs groupes de chercheurs (en particulier Anedio Ranfani à Florence, Günther Nimtz à Cologne et Raymond Chiao à Berkeley) l’ont étudié au moyen de techniques très sophistiquées. Ainsi l’équipe de Cologne a mesuré des vitesses cinq fois supérieures à c !
Le phénomène fascine … et embarrasse les physiciens : c’est qu’ils sont habitués à penser que « rien ne peut aller plus vite que la lumière ». Pour expliquer les vitesses supraluminiques, la mécanique quantique a recours à une représentation du photon qui en fait un « paquet d’ondes », véritable composite … d’éléments individuels ressemblant étrangement à nos quanta d’action ! En un mot, elle utilise de facto la représentation ci-dessus.

Aephraïm Steinberg à Berkeley a étudié de près le comportement d’un paquet d’ondes traversant un tunnel constitué dans ses expériences par une couche mince réfléchissante que seul un quantum sur cent en moyenne parvenait à traverser. Ses conclusions confirment qu’en traversant le tunnel le paquet « voyage plus vite que la lumière », même s’il conclut également qu’ « on ne peut pas exploiter cet effet pour transférer de l’énergie à une vitesse moyenne supérieure à celle de la lumière. » A quoi cela tient-il ?
Les calculs de Richard Feynman montrent que sur de longues distances seuls les quanta qui se déplacent à la vitesse de la lumière parviennent à demeurer en phase les uns avec les autres et sont donc observables (sont « réels » au sens donné par les spécialistes). C’est ce qui nous fait dire que la lumière a une vitesse c bien déterminée, toujours la même dans le vide. Mais cette restriction ne s’applique pas sur de courtes distances, à l’échelle interne de l’atome par exemple. »

vitesse supraluminique

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Sur wikipedia :

La vitesse de la lumière dans le vide

D’après les théories de la physique moderne, et notamment les équations de Maxwell, la lumière visible et toutes les ondes électromagnétiques ont une vitesse constante dans le vide, la vitesse de la lumière.

On la considère donc comme une constante physique notée c (du latin celeritas, « vitesse »). Mais elle n’est pas seulement constante (pense-t-on) en tous les endroits (et à tous les âges) de l’univers (principes cosmologiques faible et fort, respectivement) ; elle l’est également d’un repère inertiel à un autre (principe d’équivalence restreint). En d’autres termes : quel que soit le repère inertiel de référence d’un observateur ou la vitesse de l’objet émettant la lumière, tout observateur obtiendra la même mesure.

Aucun objet matériel ni aucun signal ne peut voyager plus vite que c dans le cadre des théories existantes. Seuls peuvent « voyager » plus vite que c (à vitesse dite supraluminique) des fronts virtuels (l’ombre portée à grande distance d’un objet en rotation, par exemple), et on ne peut pas s’en servir pour transmettre un signal, ni de l’énergie. Ce ne sont en fait même pas des objets à proprement parler.

L’expérience d’Alain Aspect montre qu’un observateur peut être informé instantanément, par une mesure sur une particule proche, de l’état d’une particule lointaine, mais il n’y a pas là non plus de réelle transmission de signal.

La vitesse de la lumière dans le vide est notée c :

c = 299 792 458 mètres par seconde

Effets supraluminiques

En mécanique quantique, il existe une collection d’effets qui explorent les limites de la notion de vitesse limite indépassable. Les expériences associées à ces effets sont plus subtiles à interpréter. Cela dit, on démontre que si certains phénomènes donnent l’impression d’impliquer une propagation instantanée, voire remontant le temps, aucun de ces phénomènes ne permet de transporter de l’énergie ou de l’information.

Effet Hartman

Un photon ou un électron traversant par effet tunnel une barrière quantique peut manifester un délai de traversée plus court que celui mis par la lumière pour une distance équivalente, ce temps étant évalué par l’observation du sommet du paquet d’ondes correspondant, avant et après la barrière. Compte tenu de l’épaisseur de la barrière tunnel, le sommet du paquet d’onde est réduit, et semble être passé plus vite que la vitesse de la lumière. Ce phénomène est appelé effet Hartman (ou effet Hartman-Fletcher). Les explications de ce phénomène dans le cadre de la mécanique quantique s’avèrent interdire son utilisation hypothétique pour le transport d’information ou d’énergie supraluminique.

Effet Casimir

L’effet Casimir est un effet visible à très petite échelle, mais tout de même mesurable et qui correspond à une pression[4] sur des plaques conductrices exercée par le vide quantique situé entre elles. Ainsi qu’il est décrit en théorie quantique des champs le vide quantique est le lieu de création et d’annihilation à tout instant de nombreuses particules virtuelles. L’existence de conditions au bord différentes pour le vide extérieur et intérieur aux plaques implique alors une différence d’énergie entre les deux qui est la cause de la pression mesurée sur les plaques.

Les particules virtuelles sont par définition en dehors de leur couche de masse, ce qui signifie qu’elles ne satisfont pas à la relation E2 = p2c2 + m2c4, et sont par définition inobservables individuellement bien que leur contribution collective soit mesurable comme dans l’effet Casimir et plus généralement dans toutes les corrections quantiques aux observables classiques d’une théorie quantique des champs.

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La vitesse de la lumière pourrait être variable, ralentie par les fluctuations du vide quand elle est très énergétique (on sait que tout comme une corde, plus l’énergie est grande, plus la longueur d’onde est courte : plus c’est lourd plus c’est petit comme le noyau est plus petit que l’électron ! Plus c’est petit, plus l’énergie est grande, plus le temps est court et plus les fluctuations du vide sont assez importantes pour dévier les photons, qui ralentissent donc et s’embourbent).

En étudiant en 2005 la galaxie Markarian 501, les astrophysiciens ont fait une bien curieuse découverte : des photons semblent se déplacer à des vitesses différentes ! Selon les plus audacieux d’entre-eux, il pourrait s’agir d’une des toutes premières preuves en faveur de certaines théories de gravitation quantique comme la Loop Quantum Gravity ou la théorie des supercordes.

La taille de la région d’où sont originaires ces éruptions ne semble pas excéder la distance que parcourt la lumière en trois secondes et chacune d’entre elles a produit des photons gamma dont les énergies s’échelonnent entre 100 Gev et 10 Tev, et ce, pendant un temps estimé à 2 minutes à peu près. Là où les choses commencent à devenir très intéressantes, c’est que les photons gamma les plus énergétiques sont arrivés sur Terre avec 4 minutes de retard environ sur les moins énergétiques !

En particulier, John Wheeler et Stephen Hawking ont défendu depuis longtemps l’idée qu’en raison des lois de la mécanique quantique, si l’espace-temps semble lisse et calme à notre échelle, il n’en est pas de même lorsqu’on le considère à des échelles de distances bien plus petites qu’un milliardième de la taille d’un noyau d’atome. Si l’on se donne une image de fluide pour décrire ce qui se passe à une échelle de 10-35 m, la longueur de Planck, on obtient celle d’un liquide en ébullition, très turbulent. Les lois de la gravitation quantique impliquent en effet alors une structure très similaire à celle de l’écume d’une vague se brisant sur un rocher. C’est ce que John Wheeler a justement baptisé en anglais la « foam like structure » de l’espace-temps.

Une théorie quantique du champ de gravitation doit donc elle aussi conduire à des fluctuations quantiques violentes, mais transitoires, de la structure de l’espace-temps avec apparition temporaire de trous de vers et de trous noirs virtuels. Or, plus un photon est énergétique, plus sa longueur d’onde est courte. Ce qui veut dire qu’il sera d’autant plus sujet à être affecté par la structure microscopique de l’espace-temps. Plus cette longueur sera courte, plus les fluctuations conduisant à l’apparition de mini trous noirs virtuels modifieront sa trajectoire dans l’espace-temps.

Une structure discrète semble alors émerger dans certains cas, exactement comme le prédisent les théoriciens de la Loop Quantum Gravity. Les deux approches sont donc peut-être complémentaires pour décrire l’effet de la structure quantique de l’espace-temps sur la propagation des photons. De fait, ces deux approches pour la gravitation quantique que sont la théorie des cordes et la LQG, conduisent à des formules similaires pour décrire cet effet.

Comment un observateur se déplaçant à la vitesse de la lumière (aux côtés du photon lumineux) voit-il le monde ? ou le paradoxe de la relativité restreinte

Que savons-nous sur la lumière ?

Un photon, c’est quoi ?!!!

La réduction du paquet d’ondes, plus rapide que la lumière

Messages

  • ▬JFP¦¦20210621¦¦Bonjour.

    ▬Si nous prenons la théorie à boucles dite quantique, cela est faux pour dire que la vitesse de la lumière soit une constante, car cette théorie qui est une super idée, dit que l’espace de l’univers est rempli d’unités de Planck portant comme valeur Temps et Longueur minimum de Planck. Que cela soit des boucles, et maintenant des nœuds et des connexions, ou même des sphères ou autres, le principe de base de cette théorie, reste le même, qui est que les masses font grossir ces unités minimum, mais gardant toujours les mêmes valeurs de Planck. Ainsi dans un espace inter-galactique où les masses sont absentes, et donc une non modification de l’espace-temps, ces boucles, sphères ou connexions et nœuds ont une certaine dimension minimum absolu. C’est le diamètre de la boucle ou de la sphère qu’il faille prendre, comme aussi maintenant la longueur de la connexion.

    ▬La première question qui se pose, est de savoir si ces unités de base sont matricées, et si c’est le cas, cela voudrait dire que l’univers est orienté. Mais supposons que ces boucles ou autres ne soient pas matricées.
    ▬Maintenant supposons que l’on soit loin de toutes masses, dans un espace où la gravitation est absente, du moins où les masses ne déforment pas l’espace-temps. Prenons un point A et un point B distant d’une seconde lumière. Comme on prend la notion de temps pour définir une distance, il faut impérativement prendre la sous-unité de temps de Planck, et la question est de savoir combien d’unités de base il faut en une seconde. La réponse est relativement simple qui est 1/5,391247e-44=1,8548584399861479171701834473546e+43 où 5,391247e-44 est le temps de Planck. Il faut donc environ 2 suivit de 43 zéros pour exprimer le nombre d’unités de base dont à besoin du point A au point B en une seconde, ce qui semble énorme, mais est une sorte de réalité par les nombres. Donc on parcours en une seconde 2e43 unités de base, et si on multipliait ce nombre extravagant par la longueur de Planck, on retrouverait la vitesse lumière.

    ▬Maintenant supposons que l’on pose des masses à ces points A et B, forcément ces masses vont influencées ces unités de base qui vont grossir, et donc le nombre d’unité entre A et B va forcément réduire, mais ces unités de base ayant grossies, gardent toujours les sous-unités de Planck qu’elles représentent. Donc pour aller du point A au point B, on met moins de temps, car le nombre d’unités séparant A de B est moins grand. En d’autres termes par cette théorie des boucles, la vitesse de la lumière est forcément plus rapide si il y avait des masses, car il faut moins d’unité de base pour parcourir en absolu la distance de A à B, et donc cette théorie ne respecte pas la vitesse lumière, et ce sans parler de référentiels différents, bien que les masses définissent des référentiels différents.

    ▬Maintenant supposons que l’on se mette dans le référentiel de la lumière, c’est à dire à 299 792 458 m/s, et que nous parcourons cette distance de A à B comme un photon. Que les points A et B possèdent des masses ou pas, le problème de fond est qu’il est impossible de se mettre dans ce référentiel de la vitesse lumière. Dans ce référentiel le temps disparait complètement, comme les longueurs deviennent infinies ou nulles. Donc Monsieur Einstein ne pourrait rien voir dans son image de pensée, car le temps et les longueurs disparaissent !!!! On ne peut pas se mettre dans un référentiel de la vitesse lumière !!!
    ▬Que viennent faire les facteurs de Lorentz dans ce référentiel particulier qu’est la vitesse lumière ? Eh bien ils ne servent à rien, car le temps ne s’écoule plus, et les dimensions sont infinies. Entre une notion de temps qui disparait, et des longueurs infinies voir nulles, on ne peut rien calculer.
    ▬Pourquoi remettre en cause ces notions de temps et de longueur ?

    ▬Même si les formules et les calculs sont bons d’après les facteurs de Lorentz repris par les relativités de Einstein, le
    temps comme les distances ne se déforment absolument pas, car c’est simplement une vue d’esprit d’utiliser ces notions,
    sans pour autant savoir pourquoi physiquement ce qui change. C’est bien le problème de ces notions, où depuis plus
    d’un siècle, on utilise ces formules sans comprendre physiquement ce qui se passe réellement. D’ailleurs tous les
    croquis et les explications reprises par des milliers de lignes de rédaction, ne nous donnent jamais le pourquoi du
    comment, car déjà que veut dire dilater le temps, d’autant que l’on ne sait pas vraiment ce qu’est le temps. Si on peut
    comprendre ce qu’est une distance ou une dimension qui peut être N fois un étalon de longueur que l’on à bien en main,
    pour ce qui s’agit du temps c’est déjà plus compliqué, car le temps est immatériel et n’est pas un objet. Je le redis, le
    temps comme les dimensions ne changent pas, bien qu’utilisant des référentiels complètement différents. Je vous
    donnerai après ce qui change qui est une solution comme une autre, et alors vous comprendrez mieux ce que sont les relativités de Einstein, bien qu’amateur non scientifique, la simplicité est aussi une notion logique de la nature.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François Pouliquen

  • ▬JFP¦¦20210622¦¦Bonjour. Suite au message précédant du 21 juin 2021 1347 du même article.
    ▬Nouveau concept pour comprendre ce que sont les relativités de Einstein comme celle de Galilée.
    ▬J’ai trouvé un concept qui permet d’éliminer les déformations en dilatation du temps et des contractions des longueurs, qui sont liés aux relativités de Einstein définissant des référentiels. C’est un concept simple et sans mystère qui résout l’incompréhension de ce que sont les relativités de Einstein, et donne du coup une explication vraiment physique et non imaginaire non comprise. Le temps comme les longueurs ne se déforment pas, car c’est nous qui sommes déformés à ne pas comprendre la simplicité !!! Cela remet aussi en cause la relativité de Galilée reprise par Einstein, ce qui n’est pas des moindres, car nous pouvons savoir si nous sommes fixes dans l’espace et sans masse importante autour de nous, ou justement ses contraires. Je remets donc en cause les visions de voir les relativités de Einstein, Lorenz, Poincaré, Larmor, et même Galilée, car il suffit d’une petite étincelle pour comprendre plein de choses.... Bien sûr les équations de Larmor, Lorentz, Einstein sont bonnes, car elles donnent les résultats attendus et bien vérifier, mais ces équations ne sont que des équations d’effets, et ne donnent pas les causes de ces effets, et c’est bien le problème physique à expliquer pourquoi ces équations sur le temps ou sur la gravitation sont réellement adéquates aux calculs, mais ces calculs ne nous donnent pas les causes de ces effets, car pourquoi quand on va vite, le référentiel change son temps et sa réalité de voir autrement, pourquoi les masses font de même ? Avec des équations sophistiquées de relativité restreinte ou générale, nous n’avons pas la moindre idée physique des causes de ces effets, car dire que le temps et les dimensions se déforment ne résout en rien la compréhension de ces phénomènes...
    ▬D’où viennent les notions de la dilatation du temps et des contractions de longueurs ?
    ▬Je voudrais remettre en cause la notion de dilation du temps comme aussi la notion de contractions des longueurs qui vont de paire. Ces notions sont liées à la relativité restreinte comme aussi à la relativité générale de Einstein, où ces notions sont utilisées pour calculer les effets à partir de référentiels en vitesse et/ou à partir de masse. Avant Einstein il y a eu un certain Lorentz et ses facteurs aidés par Poincaré, mais avant Lorentz et Poincaré il y a eu quelques années avant un certains Larmor physicien qui avant trouvé avant Lorentz et Einstein, ces notions particulières de déformations du temps et de longueurs. Einstein a repris les formules de Lorentz en donnant d’autres explications différentes, et Lorentz et Poincaré ont repris aussi ce qu’avait trouvé Larmor sur les électrons, mais Lorentz et Poincaré ont généralisé les formules, en donnant les facteurs de Lorentz.
    ▬Temps et longueurs ne se déforment pas suivant les référentiels mais ce sont les fréquences qui se déforment !!!
    ▬Des expériences ont été effectuées pour nous montrer que des horloges atomiques embarquées dans des fusées allant assez vite, avaient pris du retard par rapport aux mêmes horloges atomiques restées sur terre servant de référence, et synchronisées entre elles au départ. On attribut cela à la déformation du temps et des longueurs, mais en réalité, il n’y a pas de déformation du temps comme déformation des longueurs, car ce qui c’est déformé ce sont les fréquences !!!
    ▬Quoi de plus simple que déformer les fréquences des atomes plutôt que le temps et les longueurs, car la vraie explication est bien celle là, car ces fréquences d’atomes subissant des vitesses anormales ont simplement ralenti. Ni le temps, ni les longueurs sont en cause, seules les fréquences des matériaux ont subit un ralentissement de leur propre fréquence. Le fait de se baser sur les fréquences des matériaux pour définir la seconde, on comprend alors, que si les référentiels particuliers, déformant initialement comme il était dit le temps et longueur est faut, et cela n’est que les fréquences des matériaux qui ont réduit ou augmenter, et la notion de seconde basée sur le nombre de périodes et donc de fréquence de matériaux, ne fonctionne plus. Ainsi ce beau césium et sa belle fréquence de 9 192 631 770 Hz homologuée, ne bat plus de la même façon mais sa fréquence à diminuée ou augmentée, et la seconde est complètement faussée car rallongée et dilatée ou au contraire contractée !!! Ce concept de déformation dilatée/contractée des fréquences des matériaux est relativement très simple conceptuellement à comprendre et même physiquement, et élimine du coup le temps dilaté et les longueurs contractées. Plus les vitesses sont grandes ou plus les masses sont importantes, et plus les fréquences des matériaux réduisent, ce qui semble très simple, logique et même physique. À l’inverse une fusée ou objet situé à quelques kilomètres de la terre et sans rotation autour de celle-ci et donc stationnaire, verrait son temps se contracter et ces longueurs d’allonger, ce qui veut dire simplement que les fréquences des atomes battraient plus rapidement, car la gravitation de la masse de la terre agirait moins sur l’atome. Donc plus on s’éloigne de la terre en considérant de ne pas tenir compte de la vitesse, et plus les fréquences des matériaux battent de plus en plus vite, car les fréquences augmentent. Maintenant si on conjugue les deux notions de vitesse et de gravitation, plus on s’éloigne de la terre, et plus la fréquence augmente, car on subit de moins en moins la gravitation, mais comme la vitesse joue aussi sur l’atome, plus on va vite et plus les fréquence diminuent, et il y a donc conjugaison des deux phénomènes, car l’un augmente la fréquence, et l’autre la réduit.
    ▬Que veut dire des fréquences d’atomes dilatées ou même contractées !!!
    ▬Une fréquence dilatée veut dire que le battement des atomes (structure fine ou hyperfine) par périodes est moindre, ainsi le temps dont on dit qui bat la mesure est faux, car le temps ne bat aucune mesure, ce sont des mécanismes cycliques réguliers et perpétuels qui battent la mesure, et donnent des fréquences pour pouvoir mesurer le temps. Mais justement les mécanismes réguliers que l’on utilise, par le biais de l’atome, pour mesurer le temps, peuvent se dérégler en battant moins ou plus vite par leur fréquence habituelle suivant les référentiels utilisés. Donc on se fie à l’atome pour mesurer le temps, mais ces atomes peuvent changer de fréquences suivant les référentiels. On est donc obligé de réadapter des fréquences que l’on croyait immuables fonction d’autres référentiels. Notre référentiel sur terre, est un référentiel comme tous les autres, mais spécifique à notre environnement de masse de la terre et de sa rotation comme de sa révolution, et aussi des astres autour, et c’est à partir de cela, que l’on fixe des valeurs et même des constantes dites universelles, mais en montant en altitude de quelques mètres, notre référentiel de référence, n’est déjà plus le même. On comprend alors les difficultés à définir des constantes que l’on dit universelles et fiables, car en réalité certaines constantes sont faussées, car c’est l’environnement qui doit être reproduit et respecté pour avoir une définition du temps. Peu importe les matériaux utilisés et leurs fréquences, car le vrai problème est de définir les caractéristiques de l’environnement définissant un référentiel de référence. En réalité il n’y a pas de référentiel spécifique pour calculer le temps, car chaque référentiel possède ses fréquences d’atomes et donc son temps. Je pense que les organismes des poids et mesures ont du pain sur la planche, car cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz du césium 133, qui est un beau nombre entier, n’est valable que dans des conditions particulières sur terre. Donc de fixer une fréquence de référence n’est pas suffisant, car il faille fixer aussi son environnement. En montant en altitude par rapport à la surface de la terre, la fréquence de ce césium 133 devrait battre plus rapidement, car on échappe à la gravitation de la terre, mais il faut tenir compte aussi de la vitesse d’échappement qui elle réduit la fréquence de ce même matériau. Les satellites géostationnaires à une certaine altitude, le césium 133 devrait battre plus rapidement, car même si la vitesse de rotation est plus grande qu’à la surface de la terre, il y a aussi une diminution de la gravitation qui est plus importante que la vitesse. Quand je dis que le temps n’est qu’un mécanisme cyclique simple et régulier, on comprend facilement que la simplicité n’y est pas du tout, car il faille des tas de paramètres pour évaluer d’autres fréquences suivant d’autres référentiels, comme ces simples satellites autour de la terre. Si on peut comprendre que le temps est une notion très simple à comprendre par des mécanismes cycliques réguliers, l’ajuster est d’une grandeur extrême.
    ▬Conséquences de ce petit concept de déformation des fréquences d’atomes.
    ▬Ce petit concept remet plus de choses en cause que l’on croit, car ces beaux instruments que sont les interféromètres, ne mesurent pas vraiment le temps comme les longueurs, mais la fréquence des atomes par le biais de la lumière. Cela est quand même assez curieux, de construire des instruments très sophistiqués et performants pour mesurer les ondes gravitationnelles, et de nous montrer des déformations de longueurs sur des objets imaginaires, alors que les dimensions seront exactement les mêmes, car ces instruments destinés à mesurer les déformations du temps et aussi de longueurs, mesurent en réalité les fréquences des atomes dont ils sont constitués. Bien sûr on pourrait dire que le temps est quand même déformé, mais cela est une totale erreur, car ce qui se déforme ce sont bien les fréquences des atomes donnant la mesure du temps. Donc pour généraliser, la mesure du temps est propre à chaque référentiel, c’est ce qui est donné par les relativités de Einstein, mais il faille attribuer des modifications de fréquences d’atomes adaptés à la définition de la seconde. Cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz homologuée pour le césium 133, n’est valable que dans notre référentiel sur terre, car si nous étions sur une autre planète du système solaire, cette fréquence ne serait plus la même à quelques périodes près. Ce que j’aime dans ces définitions de constantes, est qu’elles sont universelles, et là je trouve cela poussé comme termes, car cette fréquence de césium 133, n’a aucun rapport avec l’univers, car cette constante n’est valable que pour notre référentiel sur terre, et encore, car un écart d’altitude d’un mètre, donne un référentiel différent. On s’aperçoit que de mesurer le temps, n’est pas une chose facile, car chaque référentiel à son temps propre, mais en réalité à ces fréquences propres. Donc de définir une constante de fréquence de ce césium 133, n’a rien d’universel, car pour utiliser sa fréquence, il faut être dans des conditions très spéciales, où la fréquence sera de 9 192 631 770 Hz. On peut dire que de ce baser sur l’atome pour mesurer le temps, n’est pas plus fiable, que de voir tourner des objets célestes ayant une rotation ou révolution régulière, car cela dépend du référentiel qui regarde ces objets. Ici la notion de relativité prend tout son sens, car suivant notre référentiel et notre regard sur d’autres référentiels différents, les rotations et révolution d’objets célestes ont une certaine fréquence, mais si nous adoptions un autre référentiel, le regard sur ces mêmes objets célestes serait différent. On est même en droit de se poser la question à savoir si il existe un référentiel absolu.... Mais ils existe des endroits dans le cosmos où ces référentiels absolus sont vrais, mais sont hors de nos portées, car il faille sortir des galaxies, et même plus, car il faille sortir des filaments de galaxies qui forment des bulles de vide sans matière, où entre ces filaments ou dans ces bulles, les masses ne perturbent pas le vide qu’est l’éther qui correspond à une gravitation pure sans modification de densité du vide par des masses.
    ▬Autres conséquences des variations de fréquences d’atomes.
    ▬Le paradoxe de Langevin ne devient plus un paradoxe et donc s’envole, car effectivement la réalité nous montre déjà que le vieillissement peut être ralenti, simplement en changeant notre métabolisme. Les tortues terrestres s’enfouissant dans la terre pendant quelque mois, changent leur métabolisme au niveau de leur horloge biologique interne, et ce sans utiliser la relativité restreinte ou générale de Einstein. Quand elles se réveillent et sortent de leur trou, on peut dire qu’elles sont dans le futur, car elles ont subit le temps différemment au ralenti que celles qui ne se sont pas enfoui. ▬Pour des projets de longues durée dans l’espace, la notion d’être au ralenti n’est pas une gageure et n’est pas de la science fiction, car si on peut ralentir notre horloge biologique, le vieillissement se trouvera forcément au ralentit, ceci veut dire aussi que l’on peut aller dans le futur, mais jamais son contraire, c’est à dire d’aller dans le passé, car aller dans le futur c’est simplement de ralentir son métabolisme et ses horloges internes du vivant, ce qui revient à voir les autres vieillirent plus rapidement que vous qui êtes dans des conditions particulières, ou les fréquences des atomes sont freinées.
    ▬On peut dire que l’atome est vivant, car il vibre à une certaine fréquence suivant les types d’atomes, mais tout être vivant subit ces fréquences d’atomes, et comme la vitesse ou les masses ralentissent les fréquences des atomes, l’horloge biologique interne change forcément, et vieillir moins vite est une réalité, car c’est ce que font déjà certains animaux sans les relativités.
    ▬Conclusions avancées
    ▬Ce petit concept de réduction ou augmentation des fréquences des atomes des structures fines ou hyperfines, lié aux référentiels qui ne sont pas le notre défini par Einstein, est que cela fait un vrai pont entre la physique quantique, et les relativités de Einstein. Le temps comme les longueurs ne changent pas, mais les fréquences des atomes par le biais des électrons changent de fréquence suivant les relativités de Einstein liées aux référentiels, et changent forcément les mesures du temps. Les fréquences des atomes appartiennent à la physique quantique, et les relativités de Einstein appartiennent à une autre physique. Ce n’est pas la quantique qui définie les relativités de Einstein, mais ce sont bien les relativités de Einstein qui agissent sur les particules quantiques. D’essayer de trouver des lois communes entre ces deux physiques, me parait difficile, mais un pont est franchi, car ce sont les relativités de Einstein qui modifient les valeurs du quantique et non l’inverse. Ce qui reste à trouver ce n’est même pas au niveau quantique, mais au niveau encore inférieur du subquantique, c’est à dire aux échelles encore inférieures aux particules, car les particules définissent une certaine échelle, mais l’éther qui est ce vide plein de l’espace est encore autre chose et à une échelle encore plus petite et agit sur les particules. Je pense totalement le contraire de ce que disait Einstein à propos du vide de l’espace ou espace-temps, car pour moi cet éther est en mouvement constant venant dans toutes les directions, et donc n’est pas du tout statique comme le prédisait Einstein. Ce que font les masses, c’est de réduire la densité de ces particules inconnues (gravitons) du subquantique symbolisé par l’éther. L’univers est noyé dans un bain de petites particules en mouvement, bien plus petites que les particules connues, et c’est même ce bain qui est en réalité l’énergie du vide, qui de plus agit sur les particules pour les mettre en mouvement, mais cette notion d’électromagnétisme des particules chargées, subit cette pression de l’éther, et il y a un combat permanent entre l’éther et l’électromagnétisme, qui donne ces effets de fréquence d’atomes. Sans cet éther l’atome n’existe pas, et on peut même dire que les particules n’existent pas. L’énergie des particules vient de l’énergie du vide c’est à dire de l’éther. La portée des charges électromagnétiques est très réduite en distance, mais la portée de la différence de densité de l’éther est très grande, mais pas infinie, et c’est ce que l’on appelle le champ gravitationnel. En fait ce champ gravitationnel existe même sans les masses, mais les masses réduisent ce champ, c’est à dire que les masses réduisent la densité du champ initial, et c’est ce qui est appelé la déformation de l’espace-temps. Comme je viens de dire que le temps ne se déformait pas comme les distances d’ailleurs, ce qui se déforme est la densité de cet éther par les masses, mais il y a un retour de cet l’éther appauvrit qui agit sur les atomes et leurs fréquences. Nous sommes dans une logique sans équations, simplement parce que les équations existent déjà, mais les explications physiques n’existent pas vraiment, car on connaît les effets par les équations, et on sait les calculer, mais on ne connaît pas les causes physiques de ces effets. Chaque référentiel à ces fréquences d’atomes, ce qui veut dire que chaque référentiel possède son temps, du moins de calculer son temps, car le temps, n’est qu’un mécanisme répétitif immuable et perpétuel.... Compter la durée d’une rotation de planète, ou compter les périodes d’une fréquence d’un atome spécifique, revient au même, mais plus il y a de périodes pour une fréquence et plus la mesure est précise.
    ▬Le temps existe, mais on peut dire que c’est quand même une invention humaine...
    ▬Si la variation de fréquence d’un même atome semble être une réalité, alors les atomes de surface d’une étoile, et ceux qui sont au centre du noyau de l’étoile, ont des structures différentes, car les fréquences changent, et cela peut donner des lois différentes que l’on ne connaît pas encore.
    ▬Il est plus simple de dire et comprendre que les fréquences d’atomes se déforment, plutôt que de dire que le temps et les distances se déforment dans la relativité restreinte et générale de Einstein, car c’est une réalité !!!
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210622¦¦Bonjour. Suite au message précédant du 22 juin 2021 du même article.
    ▬J’ai été obligé de supprimer des blocs de texte de mon message initial, car la capacité en nombre de caractères est limitée dans un message utilisateur à envoyé à votre site. Est-il possible d’envoyer un PDF ? Est-il possible d’augmenter la taille d’envoi en caractères ? Est-il possible de passer par tampon d’un autre site pour un envoi de PDF ou même d’un texte dépassant la capacité en caractères de votre site ?
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210927¦¦RE Bonjour. Je reformule ma question car j’ai oublié un JE dan une phrase. Question qui parait très simplette, mais qui a une très grande importance :
    ▬Quand je suis en mouvement dans l’espace et même très rapide, la vitesse de la lumière que je perçois dans toutes les directions devrait être la même. Est-ce vrai ? C’est le principe de Galilée enfermé dan sa cabine de bateau...
    ▬La réponse à donner est donc OUI ou NON ! Merci d’avance.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen

  • Oui !
    Mais ce n’est pas la vitesse d’un objet au sens de l’ancienne mécanique.

  • ▬JFP¦¦20210928¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. Ce OUI de votre réponse est magnifique, et votre réponse est sublime, et je la connaissais déjà, je comprends enfin que presque personne ne comprend rien, même les plus grands physiciens, car cette vitesse lumière qui est la célérité dans le vide, comme pour les neutrinos et leur vitesse identique, comme encore, pour la vitesse des électrons fournissant du courant passant dans un conducteur, eh bien toutes ces vitesses sont identiques, et le CLOU est que ce ne sont absolument pas des vitesses !!! On accorde une vitesse à une distance effectuée pour un temps donné normalisé, mais ces trois notions que je viens d’énumérer ne sont pas des vitesses, bien que la notion de distance et de temps soient bien là et présent.
    ▬Il faut sûrement être FOU pour dire que la célérité n’est pas une vitesse, mais c’est pourtant une réalité, car les photons, les neutrinos, les électrons passant dans un conducteur, ne se mouvent pas en continus, qui sont exactement comme ces sauts quantiques qui est une quatrième notion identique, et du même principe. Et pour enfoncer le CLOU d’avantage, le continu dans l’Univers n’existe pas, ainsi les particules élémentaires n’existent pas plus, car elles sont composées d’autres entités. Le boson de Higgs existe bien, mais il n’est que le quantum du champ de Higgs, et ce qui saute c’est une partie du champ et non un seul boson.
    ▬Nous sommes au moins d’accord sur ce point que la célérité est constante dans tous les référentiels et dans le vide, et est indépendante des mouvements des objets et instruments. Si j’approche de la vitesse de la lumière, et que dans toutes les directions cette vitesse lumière est constante et est la même, cela veut bien dire que ce n’est pas une vitesse.
    ▬En fait cette célérité des ondes électromagnétiques dans le vide de l’espace, est un vrai paradoxe, car on associe cette célérité à une vitesse continue alors que ce n’est pas une vitesse, mais une pseudo-vitesse, qui est une fausse vitesse discontinue. Il est très facile d’imaginer ce qu’est cette pseudo-vitesse lumière discontinue, car c’est l’inverse pour l’utilisation du temps, car il ne compte pas en mouvement mais seulement au repos...
    ▬Le vrai problème qui se pose, c’est que cette notion de pseudo-vitesse est actionnée par autre chose qui est commun...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Citons nos propos précédents :

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1688

    « La « vitesse de la lumière » qu’il ne faut pas concevoir comme une vitesse cinématique mais comme un rapport seuil d’un phénomène… »

    « La vitesse de la lumière, aussi, n’est pas une vitesse cinématique de déplacement. Le photon, lui aussi, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent. Le photon est un phénomène périodique dans lequel le cycle consiste dans la transformation : couple virtuel donne photon, puis redonne couple virtuel. Ce phénomène n’est durable que s’il correspond à un certain rapport entre espace et temps. C’est cela qui est appelé « vitesse de la lumière ». La signification de ce rapport distance sur temps est qu’il faut une certaine quantité de vide autour pour effectuer la transformation du cycle entre virtuel et photon avec suffisamment d’énergie. Dans ce sens, la lumière est, comme la matière, une forme d’organisation du vide inorganisé (ou moins organisé), qui permet une transmission durable de l’énergie alors qu’à la base les couples virtuels ne sont pas durables. La différence avec la durabilité de la matière (des particules), c’est que l’énergie est utilisée pour séparer durablement la particule de son antiparticule à laquelle elle restait attachée dans le vide. Cela se réalise par le fait que la particule réelle s’apparie avec une antiparticule proche au sein de son nuage (et devient ainsi virtuelle) et libère ainsi une autre particule qui passe ainsi de virtuelle à réelle. Le dipôle a été cassé par l’apport d’énergie appelé boson de Higgs.
    Les corpuscules réels, qu’il s’agisse de photons ou de particules de masse, ne sont justement pas des objets vraiment réels, des « choses ». Ce qui est durable, c’est une structure, un phénomène et ses caractéristiques. Ce n’est pas le même corpuscule qui se contenterait de se déplacer. Le déplacement provient du fait que la propriété (et non un objet) saute d’une particule virtuelle à une autre ou d’un couple virtuel à un autre. Le fait que le phénomène dit « réel » (matière et lumière durables) soit modifié à petite échelle par les interférences du vide explique l’essentiel des étrangetés de la physique quantique. »

    Ou encore :

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article934

    Les calculs de Richard Feynman montrent que sur de longues distances seuls les quanta qui se déplacent à la vitesse de la lumière parviennent à demeurer en phase les uns avec les autres et sont donc observables (sont « réels » au sens donné par les spécialistes). C’est ce qui nous fait dire que la lumière a une vitesse c bien déterminée, toujours la même dans le vide. Mais cette restriction ne s’applique pas sur de courtes distances, à l’échelle interne de l’atome par exemple.

    La question que nous nous posons est :

    « Pourquoi ce mouvement de matière dans le vide atteint-il une limite de vitesse appelée vitesse de la lumière qui est le maximum de vitesse d’interaction entre deux masses ? Quel lien le vide établit-il ainsi entre vitesse du déplacement d’une masse et vitesse du déplacement d’un photon lumineux sans masse ? »

    Notre réponse :

    « La « masse » de la particule provient du temps nécessaire au vide pour reconstruire sans cesse la structure « matière » (durable). Il en découle l’apparence de résistance au déplacement du phénomène. Pourquoi y aurait-il une résistance de la particule au mouvement – une masse -, s’il n’y a pas de vrai mouvement ? La propriété du phénomène de la masse durable se déplace réellement en passant d’une particule virtuelle à une autre. Elle ne se déplace pas instantanément mais elle le fait à la vitesse de la lumière. Ce n’est donc pas d’elle que vient la vitesse limitée de déplacement de la particule. Mais, pour exister, la particule doit casser une liaison particule/antiparticule virtuelle en se rapprochant d’une antiparticule. Cela met du temps. Et ce temps doit être comparé au temps précédemment cité : le déplacement de la propriété de masse d’une particule virtuelle à une autre. En effet, pourquoi l’effort serait-il de plus en plus grand lorsque la particule réelle se déplace à plus grande vitesse, comme le prévoit la relativité ? Pourquoi la masse serait-elle infinie à la « vitesse de la lumière » ? Parce que le temps de parcours du phénomène approche du temps de déplacement du phénomène, alors qu’ordinairement il est bien plus petit. Un temps court supposant une plus grande énergie, il faudrait une énergie infinie pour qu’une particule se déplace à vitesse proche de la vitesse de la lumière. Plus la matière contient d’énergie, c’est-à-dire de couples virtuels contenant plus de quanta de temps, plus elle se déplace lentement parce que le temps s’écoule plus vite. »

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1688

    « Richard Feynman a montré que la ligne droite n’était qu’une probabilité moyenne obtenue par une infinité de parcours possibles autour de cette trajectoire apparemment en ligne droite. La vitesse de la lumière n’est pas constante dans ces parcours multiples. Elle peut être dépassée sur de petites distances par un petit nombre de photons lumineux (voir l’ouvrage « Lumière et matière » de Richard Feynman). La vitesse d’un photon lors d’un parcours n’est pas bloquée sur une constante dont la nature bloque par avance la valeur. Cette vitesse se réalise comme la résultante de multiples parcours autour de ligne droite. Cela signifie que la vitesse est obtenue comme produit d’un processus naturel, à chaque instant et dans chaque lieu. Il n’existe pas dans la nature de vitesse constante de la lumière inscrite dans le marbre. Ce mode de fonctionnement comprend de nombreuses interactions au hasard dont cette « constante » n’est que la résultante. La raison de ceci est que le photon lui-même n’est indépendant du milieu. Il n’est pas seulement un objet qui se déplace mais en même temps une réalité qui se transforme et se construit. Cela est dû au fait que le photon lumineux doit à son interaction avec le milieu d’être une horloge marquant un rythme et c’est ce rythme qui détermine son mouvement dans le temps et dans l’espace.
    Ce n’est pas seulement la vitesse de la lumière qui perd son statut de grandeur préétablie. Ce sont toutes les grandeurs qu’on disait invariables : la masse d’une particule ou sa charge, etc... Ces quantités ne sont pas préexistantes mais sans cesse reconstruites et détruites. Les scientifiques ne le pensaient pas. Comme nous verrons, ce sont des expériences dérangeantes de l’étude des particules et de la lumière qui les ont contraint à ces révisions déchirantes. La physique a été amenée à une nouvelle approche scientifique. Les lois, les valeurs des constantes sont le produit du changement permanent et non de la fixité. Elles sont sans cesse reconstruites par le fonctionnement réel et non établies par avance. La nature est dynamique. Elle ne peut être interprétée avec des images statiques comme la vitesse constante, la masse constante, la charge constante ou l’électron égal à lui-même. Les fameuses « lois de conservation » découlent en fait de lois de transformation [14] fondées sur des interactions multiples au hasard Pour en donner une image, il convient plutôt de comparer à la manière dont l’agitation des molécules au hasard établit les lois de la thermodynamique. Ludwig Boltzmann et Willard Gibbs ont en effet montré que la thermodynamique statistique qui détermine température et pression dans les gaz est fondée sur une agitation désordonnée et aléatoire. Le désordre des chocs entre molécules et parois d’un espace de volume fixé produit un ordre, la température et la pression moyens du gaz. C’est ce que font remarquer les physiciens Banesh Hoffman et Michel Paty dans « L’étrange histoire des quanta » rappelant que Louis de Broglie parlait déjà de « thermodynamique cachée des particules » : « La température est l’effet moyen des énergies en jeu (des molécules) , la pression résulte des forces d’impact des molécules sur les parois, etc. De même, selon cette conception, les quantités calculées par la théorie quantique –fonctions d’onde, observables, etc – seraient des effets moyens résultant de mouvements internes des systèmes, plus fins que les phénomènes quantiques observés. » Ces auteurs faisaient également remarquer que cela nécessitait une autre révision déchirante concernant la séparabilité de la particule. Et une troisième concernant l’existence de la particule dans le temps et dans l’espace. Ces modifications de l’image du monde matériel consistaient à considérer que ce sont les particules qui produisent le temps et l’espace dans lequel elles évoluent. D’autre part, cela signifie un changement considérable concernant la relation de la matière et du vide. Loin d’être antinomiques les deux seraient interpénétrés à l’infini, constructifs et destructifs à l’infini, pas des boucles de rétroaction. Ils poursuivent : « Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. (...) Si l’espace et le temps ne sont pas les matériaux de base de l’univers, mais simplement des effets moyens statistiques, d’une multitude d’entités plus fondamentales et plus profondes, il ne paraît plus du tout étrange que ces entités fondamentales, lorsqu’on imagine leur existence dans l’espace et le temps, exhibent des caractéristiques aussi peu appropriées que celle de l’onde ou de la particule. (...) Cette notion d’effets moyens qui n’appartiennent pas à l’individuel n’est pas nouvelle pour la science. La température si réelle et précise que nous pouvons la lire sur un thermomètre ordinaire, n’est qu’un effet statistique des mouvements moléculaires désordonnés. »

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article38

    Résumons :

    1) Les particules sautent d’un niveau d’organisation à un autre en recevant ou émettant de l’énergie. Le « réel » et le « virtuel » comme le « virtuel de virtuel » sont des niveaux d’organisation des particules.
    2) Les antiparticules sont des particules qui « remontent le temps » c’est-à-dire qu’elles ont exactement les mêmes caractéristiques que les particules mais perçoivent le temps en sens inverse.
    3) Tout l’Univers est peuplé de couples constitués d’une particule et d’une antiparticule.
    4) Le fait d’être en couple leur donne une énergie double qui leur permet d’exister à l’échelon supérieur.
    5) Un couple ne peut durer qu’un temps infime puisque l’antiparticule circule en sens inverse du temps.
    6) Lorsque le couple se sépare, il perd cette énergie, et les deux particules descendent d’un échelon de niveau du vide. On dit qu’elles « disparaissent » comme on avit dit qu’elles « apparaissent » quand le couple s’est formé.
    7) Ces « apparitions » et ces « disparitions » ne sont rien d’autre que des passages d’un niveau à un autre du vide quantique. Ainsi, une particule virtuelle qui a reçu une énergie double de la sienne devient une particule réelle tut comme une particule virtuelle de virtuel qui reçu une énergie double de la sienne devient une particule virtuelle.
    8) L’énergie et le temps sont des inséparables. Par exemple l’énergie de formation d’un couple particule-antiparticule correspond à un temps. Leur relation est énergie fois temps égale constante de Planck.
    9) Un couple particule-antiparticule définit donc un temps.
    10) Dans le vide quantique existent donc des particules et des couples de particules. Les premiers donnent les fermions et les seconds les bosons. Cela signifie que les particules ont tendance à s’écarter les unes des autres et les couples ont tendance à s’agglomérer.
    11) Les particules sont chargées électriquement et ont toutes la même charge, les antiparticules ayant la charge opposée, les couples sont neutres.
    12) Ces charges électriques amènent un ballet permanent des particules et antiparticules. Elles forment ainsi un nuage autour d’une particule dite réelle. C’est le nuage de polarisation.
    13) Aucune particule n’est durablement « réelle » car elle ne peut conserver une telle énergie que de manière éphémère. Cette énergie passe alors à une particule virtuelle proche au sein du nuage et cette dernière devient réelle.
    14) La lumière est un transport d’énergie donc un couple particule-antiparticule. Il correspond donc à une énergie de couplage et donc à un temps. Il est donc lié aussi à une fréquence.
    15) Les particules émettent et reçoivent de l’énergie de la manière suivant : un couple particule-antiparticule (virtuels) est proche d’une particule réelle. Quand la particule réelle émet son énergie et la donne à la particule virtuelle du couple, la particule réelle devient virtuelle et s’accouple avec l’antiparticule. Voilà comment l’énergie se transmet à la matière. Il faut un temps pour le réaliser et il y a un espace entre la particule virtuelle et la particule réelle. Le rapport de cet espace et de ce temps a la même dimension qu’une vitesse mais ce n’est le paramètre décrivant le déplacement d’un objet mais celui d’une énergie.

  • ▬JFP¦¦20211008¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. J’ai relu plusieurs fois votre réponse du 20210928 30 septembre du même article, pour être sûr de bien comprendre votre philosophie et vos concepts, qui vont en partie dans le sens du modèle standard, disant que c’est ce boson de Higgs qui donne une masse aux particules élémentaires. Vous rajoutez que ce n’est pas la particule qui saute par ces sauts quantiques, mais le boson de Higgs qui passe sans cesse d’une particule élémentaire devenue réelle à une particule virtuelle la rendant réelle, et ce qu’il quitte devient virtuelle. Cela va aussi dans le sens que ce boson de Higgs casse les couples de particules virtuelles entourant la particule de masse....
    ▬On peut lire dans différents articles que, la somme des masses des 3 quarks composant proton/neutron, est largement inférieure à la masse totale du proton/neutron. La majorité de la masse d’un proton vient de l’énergie des liaisons entre les quarks où ce boson de Higgs n’intervient pas. Cela veut dire que la logique du modèle standard tient compte d’une nouvelle particule spéciale essentiellement pour les particules élémentaires, car imaginée depuis 50 ans avant cette date de 2012, où maintenant depuis près de 10 ans, les recherches sont axées sur cette particule imaginée et non plus imaginaire, mais dire que l’on connaît tout de ce boson, est largement prématuré, et puis vous offrez une mécanique qui n’est pas celle du modèle standard, car dans ce dernier il n’y en a pas vraiment.
    ▬Voici des phrases retenues de votre réponse, où j’ai des réflexions :
    ▬RP : "Le photon, lui aussi, est un phénomène fondé sur le vide quantique. C’est un couplage d’une particule et d’une antiparticule qui a reçu une énergie suffisante pour que le phénomène reste durable alors que les couples virtuels du vide disparaissent."
    ♠JFP¦¦Le modèle que vous défendez pour la notion du photon, est votre version ou concept, car nous ne savons pas ce qu’est un photon. On le dit sans masse, mais on n’en sait strictement rien. Pour ma part l’énergie pure n’existe pas, et attribuer une énergie à une entité comme le photon, c’est en fait attribuer un mouvement cinétique sur lui-même à une entité ayant forcément une masse ,mais indécelable. Nous sommes en désaccord pour ce vide quantique, car pour vous il remplit l’espace de l’univers, et non pour moi, car dans ma version, il se situe où la matière se trouve, donc le photon n’a rien à voir avec le vide quantique, mais le photon est dépendant d’un autre vide sans particule virtuelle ou de couples virtuels, et a un rapport avec ce que vous appelez le "virtuel du virtuel", mais pour cette notion, rien n’est décrit, on sait que c’est un niveau inférieur au vide quantique, mais sans définir quoi que ce soit. Pour ma part le photon est un assemblage de couples virtuels calibrés selon les fréquences de ces ondes électromagnétiques, mais sa structure n’est pas celle des particules élémentaires, bien que les couples se retrouvent dans le photon comme dans les particules élémentaires. Pour ma part un couple virtuel de charges opposées, est l’élément clé pour toutes les particules élémentaires, et c’est le nombre de ces couples qui fait la différence entre les particules de et masse sans masse.
    ▬RP : "Dans ce sens, la lumière est, comme la matière, une forme d’organisation du vide inorganisé (ou moins organisé), qui permet une transmission durable de l’énergie alors qu’à la base les couples virtuels ne sont pas durables."
    ▬RP : "Le dipôle a été cassé par l’apport d’énergie appelé boson de Higgs."
    ▬RP : "Le déplacement provient du fait que la propriété (et non un objet) saute d’une particule virtuelle à une autre ou d’un couple virtuel à un autre.."
    ♠JFP¦¦La durabilité d’un couple virtuel, n’est à mettre en cause, car ce sont les sauts quantiques qui transporte ailleurs ces couples. Je ne crois pas vraiment à CE boson de Higgs, car il suit une logique attendue depuis 50 ans, et à l’issue de collisions proton-proton, on arrive même à produire des paires de boson de Higgs qu se désintègrent. Je pense que ce que l’on trouve n’est pas LE boson de Higgs ou une paire de de Higgs, mais des paquets de Higgs faisant partie d’un champ de Higgs. Les descriptions récentes de ces productions de Higgs, est assez anormales, car on nous dit que les particules de protons par les collisions se désintègrent, mais que veut dire cette désintégration ? A la suite de ces désintégrations, suit le Higgs ou même la paire de Higgs qui se désintègre lui-même ou elle-même, et donne naissance à des particules dites de masse comme les quartz ou autres. Ces descriptions sont pour moi surréalistes, car une entité qui se désintègre, redonne son contenu à l’espace, sous forme d’une grande quantité de couples de particules virtuelles, dont on ne parle pas, car les entités ne se créer ou ne se détruise pas spontanément, il y a toujours de la poussière de particules réelles qui sont pour moi ces couples de charges opposées, qui se recombinent en autre chose. Rien ne se perd tout se transforme, et la transformation n’est que la combinaison restructurée de ce qui existe, c’est à dire des couples de charges opposées qui se restructurent entre eux, avec reste de couples qui n’a pas été pris en compte.
    ♠JFP¦¦On nous parle constamment de destructions et de reconstructions pour ces sauts quantiques, mais pour ma part rien ne se détruit et rien ne se reconstruit, car ce sont des déplacements à une vitesse infinie, et donc de l’instantané. C’est la durée d’exposition qui est réelle mais très courte, c’est une pose ou une restructuration, mais la durée du trajet n’existe pas, car c’est comme la téléportation, où le temps ne compte que pendant l’apparition mais est supprimé lors des sauts. Cela donne qu’il n’y a pas de destruction, pas de reconstruction, mais que des apparitions pendant une durée courte, et donc la disparition pour apparaître ailleurs ne possède pas de temps, ce qui veut dire que c’est le même couple qui subit des sauts quantiques, avec restructuration. Les entités seules ou en couple, changent instantanément de position sans que le temps soit comptée, mais ce qui est compté c’est le temps d’exposition, qui est un temps de repos ou de réorganisation mais très court.
    ♠JFP¦¦ Pour ma part, ce qui est échangé entre particules de masse et le vide, sont des couples de particules virtuelles du vide et aussi des couples de charges opposée du même type faisant partie de la particule réelle, et donc les échanges se font d’un couple du vide à un couple de la particule dite de masse, car une particule de masse, est un assemblage de ces couples virtuels avec en plus une unité seule non couplée, donnant une charge apparente à la particule de masse. La matière, les particules de masses, ne sont que des assemblages en grande quantité de ces couples virtuels, où il existe des seuils d’assemblages stables. Comme tout n’est pas assemblé, forcément il y a un reste, et ce reste sont les particules virtuelles couplées, qui sont ces nuages polarisés autour des particules de masse. La particule n’est pas un point, la particule n’est pas un tout, la particule n’est pas un corpuscule, la particule est une structure et un centre chargé et où autour de ce centre les couples neutres apparent de la particule s’organisent fonction de ce centre, mais ce centre n’est pas le centre de la particule, mais un centre chargé, et le reste de la particule de masse sont des couples qui s’organisent fonction de ce centre, donnant ainsi une structure à la particule chargée par ce centre, où cette structure est malléable et jamais la même à cause des échanges de couples entre vide et et parties de particule de masse. Nous avons des choix différents, car pour vous c’est le boson de Higgs qui saute d’une particule de masse à une particule virtuelle du vide via ce boson de Higgs. Tout repose sur un boson qui saute sans cesse sur des particules virtuelles. Ce qui veut dire que c’est le boson qui saute et non la particule. Donc pour vous la masse de l’univers ne serait que le nombre de bosons de Higgs, où chaque boson serait associé à une particule quelconque. Si ce boson sert pour la masse, il ne peut pas servir pour la charge, et donc ce boson ne peut sauter que d’une particule à une autre ayant la même charge. Le boson doit donc faire un choix sur la prochaine particule où celle-ci doit-être de même charge que celle qui quittera, même si pour vous, ce boson casse un couple virtuel, il doit prendre la même charge qu’il quittait, la même masse qu’il quittait et cela me semble curieux, car toutes les particules élémentaires n’ont pas la même masse. Cette logique me parait curieuse, et le modèle standard dit la même chose. Le boson de Higgs comme est est dit partout, n’est pas du tout ce LE majuscule, car c’est un paquet du champ de Higgs, agissant que sur les couples virtuels de la particule élémentaire. Ces paquets de Higgs ne sont pas en nombre égaux car chaque partie du paquet agit que sur un couple de la particule élémentaire, ainsi cela permet de comprendre que des particules élémentaires peuvent avoir des masses différentes. Les sauts quantiques ne se font pas forcément par l’ensemble du paquet, il y a donc des moments où la particule élémentaire, n’a pas complètement sautée via ces bosons faisant partie d’un paquet de Higgs. Pour ma part la mécanique n’est la même de ce qui est dit, car LE boson est un regroupement de ce champ de Higgs fonction de la particule élémentaire initiale, Le boson de Higgs se construit donc en paquet de Higgs fonction de la particule élémentaire, avec laquelle il y aura des échanges, mais ces échanges ne se font que par les couples virtuels du vide et les couples virtuels de la particule élémentaire. Avant que les sauts quantiques n’agissent que sur les couples, le paquet se construit fonction de la particule élémentaire et du champ présent de Higgs. Dans cette vision la particule élémentaire vibre, tremble par des parties d’elle-même qui sautent via les Higgs du paquet de Higgs, mais la particule ne se déplace pas, car il faut voir que ce qui a sauté reviendra à l’état précédant, donc de sens inverse. Le boson de Higgs n’est donc pas une vraie particule car il se construit en paquet par son champ fonction de ce qui doit sauter. Le boson de Higgs est donc variable, c’est l’unité de ce champ que l’on appelle aussi boson de Higgs qui est invariable !!!
    ▬RP : "La propriété du phénomène de la masse durable se déplace réellement en passant d’une particule virtuelle à une autre. Elle ne se déplace pas instantanément mais elle le fait à la vitesse de la lumière. Ce n’est donc pas d’elle que vient la vitesse limitée de déplacement de la particule. Mais, pour exister, la particule doit casser une liaison particule/antiparticule virtuelle en se rapprochant d’une antiparticule. Cela met du temps."
    ♠JFP¦¦Je dirai le contraire, en disant que le déplacement du phénomène est un instantané, mais que le phénomène, une fois télé-translaté, fait une pose courte, et donc les déplacements n’ont pas de durée, mais les poses en ont. Ce sont les les poses qu’il faille cumuler et non les déplacements, ce qui est l’inverse d’une vitesse, car on compte les temps de pose et non ceux des placements, car ils n’existent pas. Ce qui fait que les photons, les neutrinos, les électrons dans un conducteur ont le même procédé ou rythme, et donc la cadence que l’on associe à une vitesse est une pseudo-vitesse. Le saut quantique est une réalité, mais dans le trajet ou parcours, le temps est absent, et ne reste que les laps de temps de repos ou réorganisation. La trajectoire dune particule ne sont que des points de pose à des positions différentes sans mouvement réel, ce sont des sauts quantiques, ou l’infini en vitesse est une réalité dans la translation entre chaque pose et ou le temps est forcément absent. La mécanique de déplacement pour les notions que je viens d’évoquer ne peut être que la même, car le hasard est à proscrire pour ces vitesses c identiques, et il ne peut y avoir qu’une mécanique identique. Comme la base de ce vide quantique sont pour la plupart les paires de particules virtuels, les bosons de Higgs agissent forcément sur ces paires réels ou virtuels par sauts. Ceci à l’avantage de garder la charge initiale de la particule élémentaire, car on ne compte pas les couples de la particules élémentaires pour la charge, mais seulement la particule excédante qui n’est pas en couple et qui donne la charge apparente à la particule élémentaire. La charge est sans rapport avec la masse...
    ▬RP : " Plus la matière contient d’énergie, c’est-à-dire de couples virtuels contenant plus de quanta de temps, plus elle se déplace lentement parce que le temps s’écoule plus vite. »"
    ♠JFP¦¦Phrase difficile à comprendre.
    ▬FEYNMAN : "La raison de ceci est que le photon lui-même n’est indépendant du milieu"
    ♠JFP¦¦La négation est incomplète, mais on peut comprendre qu’il n’est pas d’accord avec Einstein.
    ▬FEYNMAN : "Cela est dû au fait que le photon lumineux doit à son interaction avec le milieu d’être une horloge marquant un rythme et c’est ce rythme qui détermine son mouvement dans le temps et dans l’espace.
    Ce n’est pas seulement la vitesse de la lumière qui perd son statut de grandeur préétablie.
    Ce sont toutes les grandeurs qu’on disait invariables : la masse d’une particule ou sa charge, etc... Ces quantités ne sont pas préexistantes mais sans cesse reconstruites et détruites."
    ♠JFP¦¦ Belle phrase de Feynman, mais le milieu qui est le vide, on ne le connaît pas vraiment !!! D’après cette phrase c’est donc le milieu qui est le vide, qui donne un rythme au photon, et pourquoi pas aussi son faux mouvement, ce qui serait exactement l’inverse de ce que disait Einstein... Par contre pourquoi reconstruire ce qui existait déjà, car personnellement il n’y a pas de destruction et de reconstruction, c’est toujours la même chose qui saute instantanément. Donc la destruction dont on parle n’est qu’un saut. Rien ne se détruit, rien ne se construit, mais toutes les notions de trajets sont des sauts que l’on ne peut pas suivre, car c’est de l’instantané. Donc le saut à un temps nul, mais le repos ou l’apparition et même la réorganisation à une certaine durée qui est toujours la même. Je pense que la charge ne change jamais, et c’est justement la seule donnée qui ne varie pas.
    ▬FEYNMAN : "La nature est dynamique."
    ♠JFP¦¦ Si la nature est dynamique, alors le graviton l’est aussi, et n’a pas besoin des particules virtuelles seules ou en couple, pour que cette dynamique existe, ce qui est pour vous le "virtuel de virtuel", et pour moi les gravitons dynamiques qui est l’énergie élémentaire de ces sauts
    ▬FEYNMAN : "La température est l’effet moyen des énergies en jeu (des molécules) , la pression résulte des forces d’impact des molécules sur les parois, etc. De même, selon cette conception, les quantités calculées par la théorie quantique –fonctions d’onde, observables, etc – seraient des effets moyens résultant de mouvements internes des systèmes, plus fins que les phénomènes quantiques observés."
    ▬FEYNMAN : "Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. (...)"
    ▬FEYNMAN : "La température si réelle et précise que nous pouvons la lire sur un thermomètre ordinaire, n’est qu’un effet statistique des mouvements moléculaires désordonnés.’"
    ♠JFP¦¦ La température n’est pas issue que des molécules, et laissons les gaz de côté , car systématiquement quand on parle de température on nous ramène toujours à ces gaz. Le plus important dans cette phrase de Feynman, est que l’on comprenne que le quantique est une chose, mais qu’en dessous de cette chose il y a plus fin comme il est dit, et la phrase la plus importante de cette extrait, est bien qu’il existe des systèmes plus fins que la physique quantique.
    ▬FEYNMAN : "Ces électrons, ainsi que les autres particules fondamentales, n’existent pas dans l’espace et le temps. Ce sont l’espace et le temps qui existent en fonction d’eux. (...)"
    ♠JFP¦¦ Pour cette phrase de Feynman, je pense que c’est de la divagation totale, l’espace entre les galaxies n’existerait pas d’après ce Feynman, ce qui ne veut rien dire. Il a des phrases avant-gardistes et d’autres totalement incohérentes.
    La suite vent dan un deuxième message.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20211010¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. J’ai recherché des articles récents sur ce Boson de Higgs, où la recherche continue belle et bien après cette découverte en 2012 qui était attendue depuis 50 ans. Personnellement parmi tous ces articles rien n’est clair, et c’est à ne rien comprendre, car ce fameux boson de Higgs intervient dans deux domaines différentes, car il est en même temps le quantum du champ de Higgs, et est aussi la particule miracle qui donne une masse aux particules élémentaires. Comme les particules élémentaires n’ont pas toutes la même masse, cela pose alors un problème, car ce même boson ne peut pas servir à toutes les particules élémentaires, et donc il y a plusieurs solutions possibles. Soit ce sont des bosons différents adaptés pour chaque particule avec laquelle il donne une masse, mais cette solution me parait curieuse et non fiable et complexe, soit une autre solution plus simple est que ce boson dont on parle tout le temps, n’est pas une seule particule, mais un paquet de bosons quantum venant du champ de Higgs. C’est à dire que le boson qui permet de donner des masses différentes suivant les particules élémentaires, est en réalité une adaptation d’un paquet des ces quantum du champ de Higgs fonction de la particule qui va être liée a ce paquet, Donc pour chaque particule un paquet de Higgs se construit à partir du champ de Higgs. Le boson n’est plus une seule particule mais devient un paquet de bosons adaptés pour chaque particule élémentaire.
    ▬Je crois personnellement que ce boson de base qui est le quantum du champ de Higgs n’agit que sur un couple de particules virtuelles quand celui ci fait un saut quantique. Ceci veut dire que la particule élémentaire est composée de couples de charges opposées comme les couples de particules virtuelles du vide. Il n’y a donc pas un seule saut pour la particule de masse, mais plusieurs sauts et dans des directions différentes. Ainsi la particule élémentaire garde toujours sa masse via ces bosons, mais la particule élémentaire est légèrement éclatée ou agrandit, mais sur de courtes distances, les prochains sauts viendront remettre plus ou moins l’organisation de la particule élémentaire. Cela oblige à croire que la particule élémentaire est constituée d’un tas de couples de charges opposées, comme exactement les couples virtuels du vide. Ce n’est donc pas toute la particule élémentaire qui saute, mais des portions d’elle via sa constitution en couples de particules de charges opposées et naturellement lié aux bosons qui se fixent aux alentours, mais qui reviendront dans les prochain sauts. Et ce qui saute vraiment sont les bosons de Higgs du paquet de bosons lié à la particule initiale. La particule virtuelle non couplée, ne saute jamais, et c’est elle qui donne la charge apparente à la particule élémentaire. L’avantage de ce concept est que toutes les particules élémentaires peuvent avoir une masse sans changer leur autres attributs initiaux, ainsi la charge résultante de la particule ne saute jamais, et si cette particule chargée saute, cela ne sera pas lié à un boson de Higgs mais via un autre procédé. Il faut imaginé une particule élémentaire comme un essaim de couples de particules virtuelles, et où le centre de cet essaim est la particule virtuelle seule faisant partie de la particule élémentaire et donnant cette charge apparente. Une particule élémentaire chargée est toujours un nombre impair de particules virtuelles, mais dans ce nombre il faille retrancher UN pour ensuite compter les couples. Dans cette vision on respecte donc les masses différentes de particules élémentaires, car c’est le paquet de bosons venant du champ de Higgs qui est adapté à la particule élémentaire, et donc plus la particule élémentaire est lourde, plus le paquet de bosons de Higgs est grand.
    ▬Dire que la matière/lumière vient du vide quantique, est une certitude, mais ce vide quantique et ses particules virtuelles comme ces couples, n’épousent pas tout l’univers, car simplement i y a eu des concentrations de virtuel à certains endroits de l’espace, et où il y a eu transformation, mais ces transformation se sont produites qu’au début de l’univers, et non après, ce qui veut dire que la matière ne se créer plus spontanément à partir du vide quantique.
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    ♠JFP¦¦ Le Higgs n’est qu’un quantum du champ de Higgs, Et donc un seul boson ne donne pas une masse à une particule de masse. C’est donc le paquet de bosons de Higgs qui donne une masse aux différentes particules élémentaires, mais pas le quantum de ce champ de Higgs. Le boson de Higgs est alors un raccourci pour parler de paquet de Higgs. Cette vison permet d’avoir des masses différentes suivant les particule de masse, et avoir quand même ce boson de Higgs mais en tant que quantum du champs de Higgs. Plus la masse d’une particule est importante, plus le paquet de Higgs contient de quantum. C’est relativement très simple, car ce que l’on a trouvé est un paquet ou un double paquet de Higgs fonction des masses des 2 protons se cognant et se désintégrant soit-disant, mais nous n’avons pas trouvé LE boson en tant que tel, car nous avons trouvé un paquet ou de deux paquets de Higgs d’un certaine énergie se désintégrant et donnant naissance à d’autres particules élémentaires de masse.
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    https://cms.cern/news/cms-sees-evidence-higgs-boson-decaying-muons
    ▬SEL : "Bien que nous sachions que le champ de Higgs donne une masse aux particules, nous ne comprenons pas pourquoi il donne à différentes particules une masse différente."
    ▬SEL : "Pour le dire différemment, pourquoi la force de couplage du champ de Higgs est différente pour chaque particule est encore un mystère et n’est pas expliqué par le modèle standard. Ce puzzle est particulièrement pertinent car les électrons, les quarks, les neutrinos, etc., dans le modèle standard peuvent être classés en fonction de leur masse en trois groupes, appelés générations. La raison pour laquelle il y a trois générations n’est pas non plus connue. Il est donc vital de mesurer la différence entre les différentes générations et de tester si le modèle standard décrit bien le comportement de ces particules. "
    ▬SEL : "Les mesures effectuées jusqu’à présent ont porté sur les interactions du boson de Higgs avec les particules les plus massives, comme les bosons W et Z, et uniquement avec des particules de la génération la plus massive, les quarks top et bottom et le lepton tau. L’interaction du boson de Higgs avec la grande étendue de particules plus légères n’a pas encore été testée expérimentalement. "
    ♠JFP¦¦ La règle générale donnant une masse aux particules élémentaires par le boson de Higgs, n’est pas prouvée, car on utilise des particules lourdes de masse qui n’est pas la majorité de ce que l’on trouve dans l’univers. On est loin de prouver que la masse de l’électron soit un couplage temporaire avec ce boson ou paquet de Higgs.
    ♠JFP¦¦ Le problème est que l’on a voulu que cette particule soit unique, mais elle ne peut pas l’être, car Le boson de Higgs dont on parle est un ensemble de bosons de Higgs formant un paquet fonction de la particule réelle, ainsi pour telle particule élémentaire il y aura tel paquet, et pour une autre particules élémentaire, il y aura un autre paquet adapté a la particule. Ce n’est donc plus le Boson qui donne la masse mais l’ensemble du paquet de Higgs, et chaque paquet de Higgs est différents suivant la particule élémentaire auquel il s’attaque, ou se lie.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Boson-de-Higgs.html
    ▬SEL : "Le boson de Higgs est une particule élémentaire dont l’existence a été proposée en 1964 par Gerry Guralnik, C.R. Hagen, et Tom Kibble ; Robert Brout et François Englert (et nommé « boson scalaire massif » par ceux-ci) ainsi que par Peter Higgs pour expliquer la brisure de l’interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l’intermédiaire du mécanisme de Higgs. Il serait aussi le quantum du champ de Higgs. "
    ♠JFP¦¦Je pense qu’ici on inverse les notion, car si le boson de Higgs est un quantum, et bien il n’agit que sur une paire de particules de charges opposées, venant soit du vide soit de la particule de masse, et les échanges ce font à l’unité de boson mais aussi en partie de paquet de Higgs.
    ▬SEL : "Quel mécanisme, dans lat héorie électrofaible, génère la masse des bosons W+, W-et Z° ? Pourquoi le photon n’acquiert-il pas de masse ? Les masses des fermions sont-elles reliées à ce mécanisme ? Pourquoi les masses des quarks sont-elles si différentes les unes des autres ? Pour tenter de répondre à ces questions, on introduit la notion de symétrie, et de sa brisure, dans la théorie électrofaible. Les régularités dans le comportement des particules sont appelées symétries et elles sont étroitement reliées aux lois de conservation. La symétrie est aussi reliée au concept de l’invariance : si un changement effectué dans un système physique ne produit aucun effet observable, le système est dit invariant au changement, impliquant une symétrie (voir théorème de Noether).
    L’unification électrofaible est fondée sur le concept que les forces sont générées par l’échange de bosons. Lorsqu’on dit qu’il existe une force entre deux fermions (spin 1/2), c’est aussi dire qu’ils sont en train d’échanger des bosons. Il faut maintenant comprendre comment les bosons transmetteurs des forces fondamentales acquièrent une masse. Dans le cas de l’unification électrofaible, comment les bosons W± et Z° acquièrent-ils une masse alors que ce n’est pas le cas pour le photon ?
    Les particules (bosons, fermions) acquièrent une masse à cause du champ de Higgs, mais pourquoi chaque particule acquiert-elle une masse différente, ou n’acquiert-elle pas de masse du tout comme dans le cas du photon ? Pourquoi la force de l’affinité des particules avec le champ de Higgs, ce qu’on appelle le couplage, est-elle si différente d’une particule à l’autre, et donc comment expliquer cette hiérarchie des masses ? Aujourd’hui, on ne connaît pas les réponses à ces questions."
    ♠JFP¦¦La réponse est relativement simple, car c’est la quantité de boson de base qui est le quantum du champ, qui donne des variations de masses à des particules différentes. Le champ se regroupe en paquet fonction de la particule avec laquelle il va se coupler et interagir. Donc le paquet de Higgs est fonction de la particule élémentaire à laquelle il s’attaque, et pour une autre particule élémentaire la quantité du paquet sera forcément différente. Chaque boson du paquet de Higgs se lie avec un couple neutre en charge de la particule élémentaire. Mais ces couples peuvent sauter par des sauts quantiques, mais la masse de la particule élémentaire sera toujours la même. Ce qui saute est le boson de Higgs s’appuyant sur un nouveau couple virtuel du vide, et rendant le couple de la particule élémentaire virtuel, mais par d’autres sauts ce couple de la particule élémentaire redeviendra un couple de masse de la particule élémentaire. Dans cette vision cela donne une sorte de vibration à la particule élémentaire.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    https://www.nextinpact.com/article/30442/109213-grand-collisionneur-hadrons-rare-desintegration-boson-higgs-en-deux-muons
    ▬SEL : "Le boson de Higgs se désintègre donc en plusieurs particules (les scientifiques du CERN en ont observé plusieurs) et, en mesurant le taux de chacune elles, les physiciens peuvent déduire la force de l’interaction de celles-ci avec le champ de Higgs : « plus le taux de désintégration en une particule donnée est élevé, plus l’interaction avec le champ est forte »."
    ▬SEL : "Pour l’instant, ATLAS et CMS ont observé la désintégration du boson de Higgs en différents types de bosons, comme le W et le Z, en fermions lourds (leptons tau), en quarks lourds (top et bottom) et donc en muons. Ces derniers sont, en comparaison, « beaucoup plus légers et interagissent plus faiblement avec le champ de Higgs. Ainsi, aucune interaction entre le boson de Higgs et les muons n’avait encore été observée au LHC »."
    ♠JFP¦¦ Dans ces remarques on parle au moins de champs, mais le champ de Higgs n’est qu’un réservoir pour construire des paquets de Higgs adaptés à la particules élémentaire avec lequel il se lie puis se sépare.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2018/09/la-desintegration-du-boson-de-higgs-enfin-ete-observee
    ▬SEL : ""De la même manière, le boson de Higgs représente un paquet extrait du champ de Higgs. "
    ♠JFP¦¦ Voilà enfin une vérité ou une possibilité de voir autrement de ce qu’est le boson de Higgs. Il est fascinant de retrouver son idée ou concept par un boute de phrase d’un article. Toute la non compréhension de cette particule de boson de Higgs, c’est qu’il est en même temps le quantum du champs de Higgs, et aussi la particule qui donne la masse aux particules élémentaires, et donc il a une double fonction, un double usage, qui ne peut pas fonctionner pour être cohérent, sauf si on l’on dit que c’est un paquet de bosons venant du champ de Higgs fonction de la particule réelle. Dans ce cas le boson et plus exactement le paquet de boson s’adapte fonction de la particule élémentaire, avec laquelle il va donné des propriétés de masse. Et chaque boson du paquet va agir sur un couple de charges opposées de la particule élémentaire, et il n’est même pas sûr que les sauts quantiques soient valables pour l’ensemble du paquet, car ces sauts peuvent être fait en plusieurs fois, mais à la finale, la particule élémentaire s’éparpillant légèrement redeviendra à son état normal avec ces couples virtuels de charges opposées rassemblés et avec son paquet de bosons. Les écarts de la particule élémentaire, ne sont que des écarts de parties de la particule, ce n’est pas toute la particule qui saute, et ces écarts ne vont pas forcément dans la même direction.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    https://home.cern/fr/news/press-release/physics/cern-experiments-announce-first-indications-rare-higgs-boson-process
    ▬SEL : "Le boson de Higgs est la manifestation quantique du champ de Higgs, qui donne leur masse aux particules élémentaires avec lesquelles il interagit, via le mécanisme de Brout-Englert-Higgs. "
    ♠JFP¦¦Il n’y a pas de mécanisme de Brout-Englert-Higgs, mais seulement de la prose et des équations, mais aucune mécanique donnée. En fait la mécanique est de dire que les particules élémentaires n’ont pas de masses, mais c’est avec un champ de Higgs que ces particules élémentaires acquièrent une masse. La difficulté de comprendre est que dans certains articles on parle de champ de Higgs avec parfois l’utilisation du boson de Higgs, et dans d’autres articles on ne parle que du boson de Higgs. Comme le boson de Higgs est aussi le quantum du champ de Higgs, il me semble préférable de parler de paquet de Higgs, car pour chaque particule élémentaire correspond un paquet de Higgs adéquat venant du champ de Higgs. C’est la particule élémentaire qui définit le paquet de bosons de Higgs, et chaque Higgs ou quantum agit sur un couple de particule de charges opposées. Ces couples pouvant être des couples virtuels du vide ou des couples du même genre de la particule élémentaire. Cela sous-entend que la particule élémentaire, n’est plus élémentaire mais devient composite par ces couples. Naturellement plus la particule élémentaire est lourde plus son paquet de Higgs est grand et contient plus de couples...
    Pour le redire encore une fois, les sauts quantiques ne s’adressent pas à la particule entière et encore moins à l’atome, mais seulement à des parties de la particule élémentaire. De plus ce que l’on a trouvé n’est pas du tout le boson de Higgs mais un paquet de Higgs voir deux paquets de Higgs fonction des collisions proton/proton à grande vitesse.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    https://www.nextinpact.com/article/30442/109213-grand-collisionneur-hadrons-rare-desintegration-boson-higgs-en-deux-muons
    ▬SEL : "Et voici le mécanisme de Brout-Englert-Higgs"
    ▬SEL : "C’est là que la théorie des trois physiciens fait son entrée : le « mécanisme de Brout-Englert-Higgs donne une masse au W et au Z lorsqu’ils interagissent avec un champ invisible, dit « champ de Higgs », présent dans tout l’Univers ». D’où vient-il ? « Juste après le Big Bang, le champ de Higgs était nul, mais, lorsque l’Univers a commencé à se refroidir, et que la température est tombée en dessous d’une certaine valeur critique, le champ s’est développé spontanément, si bien que toutes les particules interagissant avec ce champ ont acquis une masse. Plus une particule interagit avec ce champ, plus elle est massive ». L’air de rien, on en revient à l’exploration de milliards d’années d’expansion de l’Univers."
    ♠JFP¦¦C’est un mécanisme, mais il manque la mécanique pour expliquer les rouages. ...
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    La suite vient dans un troisième message.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20211024¦¦Bonjour Monsieur Robert Paris. Dans l’article " Le boson de Higgs et le matérialisme historique : invitons-nous au débat de la LIT-CI" que vous recommandez par cet article et ses dialogues utilisateurs, les questions suivantes étaient posées :

    ▬Qu’est-ce que le boson de Higgs ?
    ▬Comment le boson de Higgs donne une masse aux particules de matière ?
    ▬Quel est ce monde virtuel du vide quantique auquel appartient le boson de Higgs ?
    ▬Qu’est-ce qui a exactement été découvert ?

    ▬JFP¦¦9 ans après les questions que vous aviez posées sont aujourd’hui exactement les mêmes, et pourtant des tonnes et des tonnes de données du CERN. Donc rien n’est résolu, et les interprétations laissent toujours à désirer, car ils ont trouvé quelques chose que l’on affine, mais aucune mécanique n’est donnée...
    ▬Je redonne toute la fin de votre réponse du 20210928 30 septembre du même article et vous avez bien fait du numéroter les phrases, car il est plus facile de parler du numéro de réflexion, que de répéter la réflexion :

    ▬RP : " Résumons :
    1) Les particules sautent d’un niveau d’organisation à un autre en recevant ou émettant de l’énergie. Le « réel » et le « virtuel » comme le « virtuel de virtuel » sont des niveaux d’organisation des particules.
    2) Les antiparticules sont des particules qui « remontent le temps » c’est-à-dire qu’elles ont exactement les mêmes caractéristiques que les particules mais perçoivent le temps en sens inverse.
    3) Tout l’Univers est peuplé de couples constitués d’une particule et d’une antiparticule.
    4) Le fait d’être en couple leur donne une énergie double qui leur permet d’exister à l’échelon supérieur.
    5) Un couple ne peut durer qu’un temps infime puisque l’antiparticule circule en sens inverse du temps.
    6) Lorsque le couple se sépare, il perd cette énergie, et les deux particules descendent d’un échelon de niveau du vide. On dit qu’elles « disparaissent » comme on avait dit qu’elles « apparaissent » quand le couple s’est formé.
    7) Ces « apparitions » et ces « disparitions » ne sont rien d’autre que des passages d’un niveau à un autre du vide quantique. Ainsi, une particule virtuelle qui a reçu une énergie double de la sienne devient une particule réelle tout comme une particule virtuelle de virtuel qui reçu une énergie double de la sienne devient une particule virtuelle.
    8) L’énergie et le temps sont des inséparables. Par exemple l’énergie de formation d’un couple particule-antiparticule correspond à un temps. Leur relation est énergie fois temps égale constante de Planck.
    9) Un couple particule-antiparticule définit donc un temps.
    10) Dans le vide quantique existent donc des particules et des couples de particules. Les premiers donnent les fermions et les seconds les bosons. Cela signifie que les particules ont tendance à s’écarter les unes des autres et les couples ont tendance à s’agglomérer.
    11) Les particules sont chargées électriquement et ont toutes la même charge, les antiparticules ayant la charge opposée, les couples sont neutres.
    12) Ces charges électriques amènent un ballet permanent des particules et antiparticules. Elles forment ainsi un nuage autour d’une particule dite réelle. C’est le nuage de polarisation.
    13) Aucune particule n’est durablement « réelle » car elle ne peut conserver une telle énergie que de manière éphémère. Cette énergie passe alors à une particule virtuelle proche au sein du nuage et cette dernière devient réelle.
    14) La lumière est un transport d’énergie donc un couple particule-antiparticule. Il correspond donc à une énergie de couplage et donc à un temps. Il est donc lié aussi à une fréquence.
    15) Les particules émettent et reçoivent de l’énergie de la manière suivant : un couple particule-antiparticule (virtuels) est proche d’une particule réelle. Quand la particule réelle émet son énergie et la donne à la particule virtuelle du couple, la particule réelle devient virtuelle et s’accouple avec l’antiparticule. Voilà comment l’énergie se transmet à la matière. Il faut un temps pour le réaliser et il y a un espace entre la particule virtuelle et la particule réelle. Le rapport de cet espace et de ce temps a la même dimension qu’une vitesse mais ce n’est le paramètre décrivant le déplacement d’un objet mais celui d’une énergie."

    ♠JFP1¦¦D’après ce qui est dit le "virtuel de virtuel" serait le plus bas niveau que l’on appellera N0. Ensuite vient les particules seules chargées positivement ou négativement, que l’on appellera N1. et en dernier lieu des couples virtuels de charges opposées que l’on appellera N2. Pour finir en appellera le NR le niveau réel, quoi de plus simple et plus logique, car le chiffre donne le nombre de particules, mais le R n’est que symbolique pour dire réel. Donc le N0 ne possède aucune particule. Dans le niveau N1 une seule particule mais qui peut avoir une charge positive ou négative. Ce niveau s’organise t-il fonction des charges ? Le Niveau N1 s’organise t-il fonction des niveaux supérieurs et aussi avec lui-même ? Le N2 agit-il sur le niveau supérieur NR ? Le NR agit-il sur le N2 ?
    ♠JFP2¦¦D’après ce qui est dit les anti-particules remontent le temps, mais pour un couple virtuel de charges opposées ♠JFP3¦¦Cela voudrait dire que dans tout l’univers le temps n’existe pas, car ces coules de charges opposées ont aussi des écoulement du temps opposés. Le temps n’est pas associé à une entité ou deux entités du couple virtuel, car le temps est indépendant de ces associations. Je ne pense pas que tout l’univers soit rempli de ces couples, mais que ces couples virtuels existent que dans le voisinage de la matière.
    ♠JFP5¦¦ Pourquoi donner une certaine durée de temps à une couple, alors que les particules sont opposées chacune à l’écoulement au temps, ce qui leur confèrent normalement un temps nul. car aller dans un sens et aller en sens opposé, s’annule, pourquoi le temps serait une exemption ? Personnellement ces couples sont sans rapport avec le temps, et leur durée de vie, n’est pas arrêtée, car un couple sera toujours le même, mais se retrouvera à des points différents par ces sauts quantiques. Par contre le temps de parcours par sauts quantiques n’est pas à compter, mais leurs temps d’expositions ou de poses s’additionnent.
    ♠JFP6¦¦ Rien ne se créer et rien ne se détruit au niveau de ces couples virtuels, ces couples sont toujours les mêmes, mais impossible à suivre, car leur parcours par des sauts quantiques n’est pas une succession de segments en ligne droite finale. C’est un peu le mouvement brownien dans un espace réduit.
    ♠JFP7¦¦ Une particule virtuelle qui a reçue une énergie ne devient pas réelle pour autant, car ces sauts quantiques s’adressent à des paries de la particule réelle, et donc ce n’est pas toute la particule réelle qui saute d’un endroit à un autre, mais des parties d’elle-même, et même dans des directions différents, correspondant justement à des couples virtuels du vide. La particule réelle et peut importe ce qu’elle est, est un assemblage calibré en grand nombre de ces couples de particules virtuelles. Mais chaque type ou genre de particules réelles est calibrée, car on échange pas un électron avec un quark quelconque. Les sauts quantiques ne se font que sur des paires de charges opposées, où en réalité les sauts sont neutres en charge.
    ♠JFP8¦¦ On se doute que temps et énergie sont liés, car on mesure l’énergie fonction d’un temps, et pour Planck c’est le minimum d’action qui est aussi l’énergie minimum d’action qui correspond aussi à un laps de temps très court. Pour cette huitième phrase il n’y a pas vraiment de formation de couple, car ces couples existent déjà.
    ♠JFP9¦¦Un couple particule-antiparticule définit donc un temps. C’est votre phrase, mais cela est contradictoire par rapport aux découlement du temps de l’anti-particule, car d’après vous il est négatif., et si on ajoute un temps contraire positif, la résultante devrait être nulle. Votre donc" un temps" est plus que douteux, car cela n,e veut rien dire...
    ♠JFP10¦¦Pourquoi une seule particule virtuelle pourrait donner naissance à un fermion, maintenant pourquoi un couple de particules virtuelles pourraient donner naissance à des bosons. Il faut savoir que le photon est un boson mais que les W+ et les w- sont aussi des bosons possédant une charge non nulle comme une masse non nulle. Donc pourquoi ce choix totalement arbitraire ? De plus pourquoi les bosons auraient tendance à s’agglomérer, et le fermions à s’écarter les uns des autres. J’avoue ne pas comprendre votre logique. De plus toutes les particules virtuelles seules sont les mêmes sauf la charge qui diffère, il y a donc que deux types de particule ; et on peut considérer que tous les couples virtuels de charges opposées sont exactement les mêmes, et donc cela serait l’énergie reçue à ces couples, qui donnerait des particularités aux bosons, mais le problème est que ce boson de Higgs, n’agit pas en tant que charge mais seulement en tant que masse, et puis le boson de Higgs n’est qu’un quantum du champ de Higgs. Ce que l’on trouve actuellement est un paquet de Higgs fonction des collisions proton-proton.
    ♠JFP11-12-13-14-15¦¦Vous donnez plusieurs images de ce nuage de polarisation autour de la particule de masse, car un coup ce sont des couples de particules virtuelles qui s’orientent fonction de la particule de masse, et que vous appelez des photons virtuels, mais qui sont forcément statiques, et un coup ce sont des particules virtuelles seules. On trouve même un mixage de couples et de particules virtuelles seules, et là difficile de comprendre comment fonctionnent les charges résultantes repoussantes ou attirantes de cet ensemble, car normalement ce n’est plus la particule de masse qui trouve un intérêt par rapport aux particules virtuelles seules et libres non en couple. Cela fait que les couples s’orientent aussi bien fonction de la particule de masse comme aussi bien fonction des particules virtuelle seules, et comprendre la mécanique d’orientation des couples de particules virtuelles devient un casse-tête. Il y a aussi des contradictions dans les explications, car on dit que la particule de masse par son boson de Higgs casse un couple pour prendre la bonne particule de charge, et que le reste devient couple, cela sous-entend qu’il n’ a que des couples virtuels. Mais on peut aussi admettre que les couples virtuels sont plus proches de la particule de masse, puis vient les particules virtuelles seules. Cet ensemble n’est pas vraiment expliqué et difficile de s’y retrouver....
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20210929¦¦Je ne doute pas du tout que ce boson de Higgs existe, mais il pose des problèmes de compréhension, dont la façon où les différents physiciens le décrivent, car un coup c’est le quantum du champ de Higgs, puis c’est aussi LE boson valable pour toutes les particules élémentaires.
    ▬Je ne suis pas physicien, et de plus je ne fais pas partie de la plus part des personnes qui reconnaissent la façon dont ce boson de Higgs trouvé, fonctionne, car il pose des problèmes de compréhension pour des particules élémentaires de masses différentes. D’après vos explications le boson de Higgs casse un couple virtuel, prend la particule virtuelle qui porte la bonne charge, et l’autre particule du couple va se coupler avec la particule qu’il quitte. C’est un mécanisme comme un autre qui peut fonctionner, mais seulement les particules élémentaires n’ont pas toute la même masse. Donc généraliser CE boson de Higgs adapté à une particule élémentaire réelle, oblige que CE boson de Higgs donne la bonne masse suivant la particule qu’il quitte, et comme dans votre mécanisme il casse un couple virtuel, cela donne soit que ces couples virtuels sont adaptés aux bosons qui viendra casser ces couples, soit que le boson lui-même est typé, comme si il était différent suivant la particule où il donne une masse temporaire, ce qui amène à avoir DES bosons différents adaptés, et nommer LE boson de Higgs me parait exagérer, car forcément il doit donner une masse spécifique à la particule qu’il quitte pour redonner cette masse à une nouvelle particule. Donc il n’y a pas LE boson de Higgs, mais DES bosons de Higgs différents correspondant à chaque type de particules élémentaires. D’ailleurs mes remarques ne viennent pas de moi, mais d’articles où l’on parle du boson de Higgs, et mes réflexions ne sont pas vraiment les miennes, mais celles de différents physiciens. Je ne mets pas en cause votre façon de voir, que ces bosons ne restent pas indéfiniment accrochés à une particule, mais ce que je mets en cause, ce sont les explications différentes de ces physiciens. Dire que la particule élémentaire ne possède pas de masse réelle, mais que c’est un boson de Higgs qui lui donne une masse, est une chose que je ne réfute pas, mais le boson attendu et trouvé me parait complètement faux, car aucune mécanique n’est donnée, et comme les particules élémentaires ont des masses différentes, il faudrait expliquer comment cela fonctionne, ce qui n’est pas le cas...
    ▬Pas facile à vous suivre dans les messages du forum, car certains messages envoyés se retrouvent sur d’autres articles, et je pense que c’est sûrement un jeux, mais je ne connais pas encore les règles, mais il est fort possible que je me plante moi-même, car je rédige avant d’envoyé, et donc je fais sûrement des erreurs d’articles.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Ce n’est pas le boson de Higgs qui est différent mais les particules (et antiparticules) virtuelles et réelles qui le sont. Il y a dans les couples du vide quantique tous les types de particules. Le champ de Higgs agit comme une action de freinage : plus grande sur certaines particules que sur d’autres.

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