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Physique et Philosophie

dimanche 2 mai 2021, par Robert Paris

Messages

  • Bonjour.
    Ce n’est ni de la physique ni de la philosophie, mais simplement du raisonnement et même basique :
    L’absurdité parfois des images de pensée, et même des plus grands, car que verrai-je assis sur un photon : Hé bien je ne verrai strictement rien car d’après mes équations, les dimensions n’existeraient plus !!!
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Bonjour.
    Merci de répondre.
    Pour répondre à votre question/interrogation, qui je pense est une fausse question car vous connaissez la réponse, je dirai sans même le savoir, qu’il doit exister des équations n’utilisant pas les dimensions ou longueurs.
    Le problème posé est celui de Monsieur Einstein et son image de pensée, pour savoir ce que ce génie verrait assit que un photon. Comme Einstein à repris les facteurs de Lorentz, mais en donnant d’autres explications, je ne fais qu’appliquer son équation de facteur ou ratio des longueurs, sachant que je n’ai même pas à calculer le facteur du temps, car implicitement il est de 1. Mais le facteur de longueur en utilisant sa propre formule est de √(1 - v²/c²), soit v²=c²=1, la racine carrée de (1-1) est zéro, donc les dimensions et longueurs disparaissent quand on utilise la vitesse lumière comme vitesse de propagation.
    La naïveté est parfois plus logique que les sciences et ses physiques, car l’image de pensée de Einstein ne doit pas se poser, dans la mesure où il nous donne des formules de ratios pour calculer les dilatations du temps et les contractions des longueurs, ou l’inverse d’ailleurs, et je voulais simplement dire que c’est une fausse image de pensée incompatible avec ses formules, car on ne peut pas se poser la question avec une vitesse sans dimension..
    Pour ma part je ne crois absolument pas à ces facteurs de temps et de longueurs, car c’est une façon d’expliquer ses idées reprises par d’autres physiciens, car il y a d’autres moyens encore plus simples d’exprimer des déformations, sans utiliser le temps et les longueurs, et sans utiliser des facteurs inverses...
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN

  • D’ailleurs votre remarque tendrait à prouver que la contraction des longueurs à vitesse de la lumière est nulle et pas qu’il n’y a plus de longueur !!!

  • Bonjour.
    Merci de vos retours.
    Oui les dimensions deviennent nulles dans le référentiel du photon, et de dire que la dimension du photon devient nulle, ou même celles des dimensions de Monsieur Einstein assit son un photon, Einstein comme le photon ont une dimension nulle, ce qui veut dire qu’il n’y a plus de dimension dans le référentiel où ils sont, et deviennent des points sans dimension. Il parait que les neutrinos ont une masse même très infime, mais une vraie masse quand même, et donc pour ma part un certain volume, et pourtant ce neutrino est censé allez à la même vitesse que la lumière, car le débat sur sa vitesse n’a pas été remis en cause depuis quelques années. Si ce neutrino comme Einstein assit sur son photon se regardait, et bien normalement ils ne verraient rien, car les dimensions seraient nulles, donc invisibles, car un point est un repère mais n’a pas de sens physique car pas de volume et de forme.
    Ce n’est pas moi qui dit que les dimensions seraient nulles, mais les équations de Einstein, car allant à la vitesse limite de la lumière, donc avec un coefficient de déformation du temps de 1, ce qui revient à rien, le coefficient inverse de déformation des longueurs serait alors de zéro, et donc peut importe les dimensions que l’on avait avant, car le fait d’aller à la vitesse lumière, toutes les dimensions sont réduites à zéro ou à des points. Mais en fait cela est un peu faux, car les dimensions perpendiculaires à la direction du mouvement ne subissent pas ce coefficient de déformation de longueur, et donc cela ne nous donne pas plus de points, mais un ou des plans à forme variable suivant l’objet initial qui s’est déformé mais n’ayant aucune épaisseur. Tous volumes seraient divisés en strates ou couches, car les atomes n’auraient plus de volumes mais correspondraient à des petites surfaces sans épaisseur, et la continuité de l’ensemble des atomes constituant les objets à cette vitesse, seraient des plans. Si Monsieur Einstein bouge sur son photon, il ne peut que le faire en sens inverse de sa direction, car il n’aurait pas le droit d’aller dans le sens de sa direction, car cela augmenterait la vitesse limite possible.
    Bien sûr Monsieur Einstein ne se pose pas vraiment cette question de se voir de lui-même directement, sans utiliser un miroir, car sa vraie question est de se voir au travers d’un miroir et dans son référentiel, mais forcément il ne pourrait pas se voir, car l’addition de vitesse dans son référentiel ne peut plus se faire, car il est à la limite de la vitesse lumière qui est indépassable...
    Ce qui est amusant dans cette image de pensée, c’est de voir se déformer les longueurs dans le sens du mouvement, et non dans le sens perpendiculaire, et imaginer que ce génie pivote sur son photon, devient un film de science fiction, et puis si Einstein bouge de trop, il ne pourra jamais reprendre sa place initiale, car il serait obligé d’aller dans le sens de son mouvement, ce qui est interdit et qui veut dire qu’a un moment donné il ne peut plus bouger et pivoter, car il reste figé sans pouvoir se mettre en avant du photon, car forcément le photon sera devant lui...
    Mais quelle vison aurait monsieur Einstein de voir d’autres référentiel comme le système solaire par exemple ? Normalement tout serait agrandit énormément et les mouvement seraient très rapides, ce qui fait qu’il ne distinguerait rien des formes des objets lointains, car il y aurait une homothétie énorme, c’est ce que je pense et que je crois comprendre des facteurs de Lorentz qui sont aussi ceux de Einstein.
    Pour résumé, quand on est assis sur un photon, on ne voit plus la réalité habituelle, car tout s’est agrandit ne permettant pas de voir les objets normalement, ce qui fait que les premiers objets les plus proches, cacheraient les autres, et cette réalité par les facteurs de longueur serait inconfortable, car on ne verrait rien, c’est ce que je crois comprendre des facteurs de déformations du temps et des longueurs, et cela donne une vision au photon qui n’a rien à voir avec la notre, car faire une homothétie sur tout ce qui existe, permet justement de ne rien voir.
    Mon petit texte va dans le sens des déformations du temps et des longueurs lié aux facteurs de Lorentz repris par Einstein, mais comme déjà dit, il y a une autre façon de voir les choses...
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Bonjour.
    Merci de votre retour et des sites internet dont l’un où j’ai participé et dialogué.
    Le vrai problème posé sur ces facteurs de Lorentz, est qu’est-ce qui se déforme réellement et physiquement ?
    Déjà je tiens à souligner que les facteurs de Lorentz ont été trouvés avant lui par un certain Larmor en 1897 qui avait trouvé avant Lorentz et Poincaré, ces facteurs, mais exprimés autrement, car au lieu de prendre la racine carrée d’une formule comme le fait Lorentz et Einstein, ce Larmor m’était sa formule par une puissance d’un exposant d’un demi, ce qui revient strictement au même. La racine carrée d’un nombre est équivalent à prendre ce nombre et de lui affecter une puissance 0.5, ce qui revient strictement au même. Voici les formules respectives
    (1 - v²/c²)1/2 est la formule initiale de Larmor.
    √(1 - v²/c²) est la formule de Lorentz et aussi de Einstein.
    Maintenant pour obtenir un facteur inverse, il suffit de mettre UN sur la formule, et le facteur s’inverse :
    1/((1 - v²/c²)1/2)=1/(√(1 - v²/c²) donne le même résultat.
    Si on peut admettre que le temps puisse se dilater, il semble plus difficile à comprendre que les longueurs puissent se rétracter, mais la logique est que les longueurs sont définies à partir du temps, car actuellement on définit le mètre comme étant la division de la vitesse lumière par elle-même, car on prend le mètre comme étant la 299 792 458e partie de cette vitesse de 299 792 458 m/s et donc 299 792 458/299 792 458=1 mètre, et on peut dire que le mètre est la 299 792 458e partie d’une seconde donc :
    1s/ 299 792 458=3,3356409519815204957557671447492e-9 est la fraction de seconde pour définir le mètre.
    Maintenant si on augmente le temps par sa déformation en relativité restreinte et générale, en disant qu’il se dilate, cela veut dire que le coefficient est plus grand que 1, et naturellement le coefficient des longueurs sera plus petit que 1, donc 0, ... Mais on a le droit de faire l’inverse en disant que le temps se contracte, donc son coefficient sera inférieur à 1, et le coefficient des longueurs sera obligatoirement plus grand que 1.
    Pourquoi vouloir appliquer un coefficient sur temps et un coefficient inverse sur les longueurs ? La raison est en est très simple, car la constante de la vitesse lumière qui est de 299 792 458 m/s est toujours la même indépendamment des référentiels utilisés. C’est à dire que l’on soit fixe dans l’espace ou en mouvement très rapide, cette vitesse lumière restera toujours la même, et part les masses importantes proches, cela donne les mêmes effets avec les mêmes formules de déformation, car plus on s’approche de masses importantes, et plus le temps se dilate et donc plus les longueurs rétrécissent.
    Admettre tout cela est une chose, mais le comprendre est quand même autre chose, car en réalité, on ne nous donne aucune explication sur ces déformations de temps et de longueurs, car on vérifie bien que les formules sont bonnes par des expériences, mais il n’y a aucune explication physique sur ces facteurs !!!
    Personnellement j’ai mon idée très simple, car je n’admets pas que des horloges atomiques embarquées puissent prendre du retard par rapport à celles restées sur terre, et le fait qu’elles ont été en vitesses rapides, car forcément il y a une explication physique sur ces résultats. Cela revient au paradoxe de Langevin, où son frère jumeau à été dans l’espace pendant un certain et à vive allure, et quand il revient sur terre, son frère à vieillit plus vite que lui. Le fait d’aller vite ralentirait mon horloge interne biologique ? Eh bien oui c’est bien se qui se passe, bien que les horloges embarquées ne soient pas vivantes, tout ce qui va vite, le temps passe moins vite, car tus ralentit.
    Comme on ne comprend rien à états de faits de dilatation de temps et de rétractions des longueurs, et ces coefficients, l’explication est relativement très simple, car qu’est-ce qui peut faire ralentir les horloges atomiques embarquées ? L’ATOME !!! Oui il n’y a que l’atome qui puisse expliquer cela, et pas seulement l’atome mais sa fréquence, car tout type d’atome à une certaine fréquente spécifique dite de structure fine ou hyper-fine, comme si l’atome était vivant. Ce qui se passe c’est le dérèglement des fréquences de l’atome, car plus on va vite ou plus on est proche de masses importantes et plus les fréquences des atomes se réduisent. Ceci parait impensable et même trop simple, mais pour calculer le temps on se sert bien de la fréquence de l’atome, ainsi ce césium 133 dont sa fréquence de 9 192 631 770 périodes ou battements de ce matériau en une seconde, est homologué dans notre référentiel sur terre et dans des conditions spéciales, sert bien à définir le temps. Si dans des référentiels spéciaux comme aller très vite ou être proche de masses très importantes, le nombre de périodes de ce matériau de césium est réduit, cela fausse toute la donne, et c’est justement par ces coefficients que l’on rattrape les déformations. Toutes les formules comme les calculs sont bons, mais l’explication possible pour comprendre ce que sont les relativités de Einstein et donc les facteurs de Lorentz est que la fréquence des atomes change suivant les référentiels. Ainsi si on allait à la vitesse lumière, la fréquence ne serait plus une vérité, car la fréquence des matériaux ne vibrerait plus. Les notions les plus simples sont les plus belles, mais faut-il s’intéresser à ce que on nous explique, et se poser des questions naïves pour comprendre qu’il n’y a que la fréquence des atomes qui peut donner une explication physique ces facteurs de temps et de longueurs.
    Dans ces explications en reprenant ce que j’ai déjà dit, non seulement les longueurs sont infinies, mais le temps n’existe plus, car d’être assit sur un photon comme dans l’image de pensée de Einstein, la fréquence des atomes n’existe plus pouvant calculer ce qu’est le temps, car en fait il ne s’écoule plus, et les longueurs deviennent infinies. Comme cette vitesse est une borne limite, cela rejoint aussi les infinis de temps et de longueurs, donc ce pauvre Monsieur Einstein, ne verrait même pas ses pieds, mais deviendrait immortel, car le temps ne natterait plus, comme toutes les fréquences des atomes.
    Cette petite idée sur les variations des fréquences des atomes de structure fine et hyper-fine, je l’ai déjà donné à plusieurs personnes par mail ou par des sites, je vous donne donc mon adresse mail, si vous voulez me contacter
    jfp.pouliquen@hotmail.fr
    J’ai un petit PDF prêt à l’emploi que j’ai rédigé de deux à trois pages et que j’envoie quand je trouve des adresses.
    Pour comprendre facilement les effets de ces dérèglements de fréquences des atomes, il faut supposer que le vide cosmologique soit quelque chose de vrai, mais sans donner ce qu’il peut être vraiment, ainsi j’emploie cet ancien mot d’éther pour le définir. Quand on est en vitesse rapide, on traverse cet éther, et cela donne un déséquilibre des fréquences des atomes, car l’éther traversé n’est plus homogène, ceci pour la relativité retreinte de Einstein. Quand il y a des masses importantes, ces masses agissent sur cet éther en le rendant moins dense autour des masses, mais en contre partie, l’éther affecté donne un déséquilibre des fréquences d’atomes constituant ces masses, car l’éther n’est plus homogène, ceci pour s’approcher de la relativité générale. Dans les deux cas c’est l’éther non homogène qui affecte la fréquence des atomes, en réduisant leur période, et on comprend que redéfinir le temps fonction des fréquences des atomes, définira par la même les longueurs, car c’est à partir du temps que l’on définit les longueurs.
    Ce concept ne change en rien de ce qui est établi, mais permet de comprendre plus facilement pourquoi les horloges embarquées dans des fusées et en vitesse rapide non conventionnelle, permet de comprendre qu’elles ont pris du retard, car les fréquences des atomes à baissé, c’est ce que l’on nous dit, en disant que le temps c’est dilaté, mais en réalité chaque référentiel différent à son propre temps, et donc ces propres fréquences d’atomes, remettant en cause nos conventions sur le calcul du temps globalisé et généralisé à notre référentiel dans des conditions particulières. Comme il faille redéfinir le temps des référentiels, il semble évident de redéfinir les longueurs à partir de ce temps calculé.
    On comprend aussi que des temps biologiques soient remis en cause fonction des référentiels, et donc des fréquences plus faible d’atome donne un vieillissement moins rapide, car nos horloges internes dépendent de ces fréquences, et d’aller dans le futur n’a rien d’extraordinaire, mais le vrai problème est que l’on ne peut pas aller dans le passé, car le fait d’aller dans le futur est simplement de ralentir ses horloges biologiques internes dépendant des fréquences des atomes, et donc il n’y a pas de science fiction disant cela, car aller dans le futur c’est vieillir moins vite que les autres.
    Bien sûr ce concept ne remet aucune loi physique en cause, sauf que les expériences sur l’atome au niveau quantique, peut avoir des conséquences et je ne pense pas qu’il y ait des lois physiques sur ces fréquences d’atome, sinon sans doute que ces lois seraient remises en cause et remettrait en cause la relativité de Galilée...
    Il y a d’autres conséquences pour ce concept insignifiant, et il faut puiser dans les instruments eux-mêmes...
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Bonjour.
    Merci de vos retours.
    Monsieur Einstein avait commencé par dire que cet éther ne servait à rien, car pour lui la lumière n’avait pas besoin de cet éther support, et donc cet éther à été abandonné pour sa relativité restreinte, comme pour les physiciens qui le suivaient, mais même les génies reviennent sur leur décision et changent d’avis, car pour sa relativité générale, il admettait que cet éther soit une réalité, mais il transforme ce nom d’éther par une nouvelle appellation en lui donnant comme nouveau nom l’espace-temps, car le temps à une grande importance dans les relativités. Mais éther ou espace-temps, cela reste un mystère de savoir ce que sait vraiment...
    Pour moi l’éther dont je parle n’est pas le vide quantique, car cet éther vient à une échelle encore inférieure à la physique quantique. Il y a donc trois notions distinctes, que sont les relativités de Einstein, l’éther, et la physique quantique. Ce que décrit Einstein par ses relativités ce sont les équations d’effets utilisant les vitesses ou les masses et où cet éther est en jeu ou dit comme lui l’espace-temps et la déformation par rapport aux masses.
    La physique quantique et son vide est encore un autre monde qui est un autre vide que celui de l’éther, car cet éther joue sur les particules et les interactions du quantique, mais cet éther est indépendant et ne se fond pas avec le vide quantique, car ce denier subit cet éther. L’éther est donc une autre notion par rapport à la physique quantique, car il est encore à une échelle inférieure que ce celui du vide quantique, où des particules virtuelles chargées apparaissent et disparaissent et servent de transition aux particules réelles. Pourquoi l’éther et le vide quantique sont des mondes différents ? Eh bien cet éther ne possède pas de charge, tandis que le vide quantique possède des charges, et c’est la grosse différence entre ces deux notions ou mondes. Les masses ou les vitesses agissent sur l’éther, mais cet éther déformé agit sur les particules au niveau des fréquences des structures fines au hyper-fines des atomes, sans lien avec les charges. A la différence le vide quantique utilise les charges des particules, comme aussi les charges des particules virtuelles que sont les nuages de polarisation qui ne sont pas l’éther, il y a donc une sorte d’échange entre les particules réelles et les particules éphémères que sont les particules quantiques non maîtrisables.
    Je le redis, le vide quantique n’est pas l’éther, car l’éther qui est l’espace-temps pour Einstein ne joue pas avec les charges des entités, tandis que le vide quantique ne s’occupe que ou presque des charges et donne des effets particuliers entre le combat de ces charges et l’éther. Combat, car les charges sont une vraie force par le biais de l’électromagnétisme, et dans l’autre camp c’est une sorte de pression sans charge, L’énergie du vide ne vient pas du quantique, mais comme déjà dit vient d’un niveau en dessous, et donc de l’éther. Ce que j’ai donné comme petit concept au niveau des fréquences d’atome qui pourrait être considéré comme de la physique quantique, n’en est pas vraiment, car ces fréquences sont liées à des changements de niveaux des électrons, mais ces changements sont avant tous liés à l’éther qui donne une sorte de combat permanent entre l’électromagnétisme et une pression externe, ces vibrations d’atomes sont régulières car c’est un combat constant et régulier entre l’électromagnétisme et la pression de l’éther.
    Quand Monsieur Einstein dit que l’espace-temps se déforme, c’est simplement au niveau de la densité de cet éther qui change et est sans rapport avec la physique quantique et ses charges. Les relativités de Einstein sont en fait des pressions n’utilisant pas les charges, mais les pressions agissent forcément sur les particules chargées par le biais des particules vraies ou éphémères du quantique.
    Pour ma part le vide cosmologique n’est pas rempli de ces particules virtuelles, car il n’a pas de notion de charge, mais autour de la matière et ses atomes, il y a en permanence un vide quantique qui n’est pas celui du cosmos, car des nuages de polarisation accompagnent les particules élémentaires, où il y a des échanges permanents. Le vide quantique est une interface entre les particules et l’éther du cosmos, mais l’énergie du vide ne vient pas du vide quantique, mais vient du vide cosmologique qui est l’éther. Pour aller encore plus loin, c’est l’éther qui anime tout ce qui existe, et l’énergie du vide vient de l’éther, car il est une pression permanente, mais cet éther et sa pression joue sur les particules, et comme ces particules sont chargées, il y a un combat permanent entre pression et charges. Les vibrations des atomes est en sorte un combat par saccades ou périodes, où la pression prend le dessus, mais après c’est électromagnétisme qui reprend la main. C’est un peu comme si on poussait quelque chose de chargé électriquement et qu’au bout d’un moment c’est la force électromagnétique qui remet les choses en ordre et de distances...
    En reprenant vos phrases, il est certain que les propriétés de la matière sont émergentes du vide, mais la matière et la lumière ne se créer pas spontanément à partir du vide qui est l’éther. Maintenant à partir de cette interface qui est le vide quantique, la matière et la lumière peuvent surgirent. Je pense que la matière dont on parle de ses particules, n’est pas seule mais toujours accompagnée d’une interface qu’est le vide quantique, qui est une ressource ne s’étalant pas dans le cosmos. En isolant même les particules, chaque particule sera toujours accompagnée de résidus n’entrant pas dans la composition de la particule, mais ces résidus serviront à la particule à auto-changer de ses parties par des échanges entre la particule et les résidus polarisés.
    J’avais donné une image de pensée à une particule en disant que c’était comme un essaim d’abeilles, l’essaim est constitué d’un certain nombre d’abeilles, mais à la périphérie de cet essaim des abeilles libres volent autour de cet essaim, et si une abeille se pose sur l’essaim, forcément une abeille de l’essaim se détachera. Il faut voir que l’essaim est constitué de millier voir de milliard d’abeilles, et que si des abeilles libres viennent se poser sur l’essaim, il y aura forcément autant de départs que d’arrivées. C’est une image de pensée pour comprendre que la particule ne fait pas UN mais est un ensemble d’autres entités, mais que chaque entité est compté à l’unité pour faire un ensemble ne changeant pas de densité ni de charge. L’éther ne possède pas de charge, tandis que le vide quantique possède des charges, et c’est la grosse différence entre ces deux notions ou mondes. Les masses ou les vitesses agissent sur l’éther, mais cet éther déformé agit sur les particules au niveau des fréquences des structures fines au hyper-fines des atomes, sans lien avec les charges. A la différence de l’éther le vide quantique utilise les charges des particules, comme aussi les charges des particules virtuelles que sont les nuages de polarisation qui ne sont pas l’éther, il y a donc une sorte de combat permanent entre les particules dites réelles et les particules éphémères, et ces échanges se font parce que l’éther agit sur ces particules de tous genres.
    Je le redis, le vide quantique n’est pas l’éther, car l’éther qui est l’espace-temps pour Einstein ne joue pas avec les charges des entités, tandis que le vide quantique ne s’occupe que des charges et donne des effets particuliers entre le combat de ces charges et l’éther. L’énergie du vide ne vient pas du quantique, mais comme déjà dit vient d’un niveau en dessous. Ce que j’ai donné comme petit concept au niveau des fréquences d’atome qui pourrait être considéré comme de la physique quantique, n’en est pas vraiment, car ces fréquences sont liées à des changements de niveaux des électrons, mais ces changements sont avant tout liés à l’éther qui donne une sorte de combat en l’électromagnétisme et une pression externe, ces vibrations d’atomes sont régulières car c’est un combat constant et régulier entre l’électromagnétisme et la pression de l’éther.
    Quand Monsieur Einstein dit que l’espace-temps se déforme, c’est simplement au niveau de la densité de cet éther qui change et est sans rapport avec la physique quantique et ses charges. Les relativités de Einstein sont en fait des pressions n’utilisant pas les charges, mais les pressions agissent forcément sur les charges par le biais des particules vraies ou éphémères.
    Faire un pont entre les relativités et la physique quantique par le biais de ce petit principe sur les fréquences d’atome, est en réalité mauvais, car il y 3 acteurs, les vitesses et les masses agissent sur l’éther et dérèglent cet éther, mais en retour l’éther change les vibrations des atomes qui sont supposés être de la physique quantique. Il y a donc un pont entre vitesse/masses et éther, mais il y a un autre pont entre quantique et encore éther. L’éther est l’intermédiaire de deux notions différentes..
    Peut être que je me plante complètement mais c’est bon de se faire son propre monde. En tous cas je ne pense pas que la physique quantique puisse résoudre les relativités de Einstein, car il y a un intermédiaire dont nous ne savons pas ce qu’il est, qui est cet éther n’entrant pas directement en physique quantique.
    Je vous remercie pour le lien, mais je ne peux pas l’utiliser, car il faut encore accepter ce que nous demande ce géant de G..., et systématiquement je passe les sites qui nous demandent d’accepter des contraintes pour nous cibler, car fatigant ce monde de cinglés...
    Une remarque sur votre phrase où vous dites que le vide fabrique de la matière et/ou de la lumière, car je ne crois pas à cela, le vide transforme ce qui existe déjà, et complexifie ce qu’il y avait, mais ne créer pas, car pourquoi ces bulles de vide sans matière entourées de filaments de matière que sont les galaxies ? Ce sont les plus grandes structures de l’univers, et on peut se demander pourquoi le vide de ces bulles sans matière ne se transforme pas en lumière ou matière. Je pense que le vide n’est pas un créateur mais un modeleur. Il existe une substance initiale chargée négativement et positivement, et le vide de l’espace qui est l’éther l’a modelée et la structurée par sa pression, mais aussi par ses charges opposées. Mais chacun à le droit de croire son modèle.
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Même si Einstein est surtout connu pour avoir détruit l’idée d’éther, un milieu physique du vide, notamment à cause de la vitesse constante de la lumière dans le vide qui ferait qu’un mouvement mécanique de ce milieu serait imperceptible, il a également pensé possible de concevoir le vide comme un milieu réel :

      « L’éther pourrait être une réalité physique aussi bonne que la matière. »

      Einstein dans « Sur l’éther » (1924)

      Vide quantique et relativité d’Einstein sont-ils contradictoires ?

      Einstein, après avoir démoli la notion d’éther dans la relativité restreinte, reconnaît l’existence physique du vide dans la relativité généralisée dans son étude : « L’éther et la théorie de la relativité » :

      « Pour nous résumer, nous dirons donc que l’espace est, selon la théorie de la relativité générale, doté de qualités physiques et qu’en ce sens il existe un éther. D’après la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est impensable, car dans un tel espace non seulement la lumière ne pourrait se propager, mais aussi les règles et les horloges ne pourraient pas exister et il n’y aurait donc pas de distances spacio-temporelles au sens de la physique. Mais il ne faut pas s’imaginer cet éther comme doté de la propriété qui caractérise les milieux pondérables : être constitué de parties que l’on peut suivre au cours du temps ; on ne doit pas lui appliquer le concept de mouvement. »

      https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5176

      Le physicien Robert B. Laughlin dans « Un univers différent »

      Pour fonder sa théorie de la relativité, Einstein a proposé de se promener (seulement par la pensée, bien entendu) en accompagnant un photon lumineux. En effet, nous avons besoin pour voir l’univers de changer de poste d’observation. D’ordinaire, nous nous positionnons toujours comme une matière qui reçoit de la lumière et non comme un grain de lumière ! C’est ainsi qu’il a conçu le renversement d’image de l’espace-temps qui résulte de la constance de la vitesse de la lumière dans le vide. Il faut maintenant réaliser un nouveau renversement de vision consistant à cesser de regarder le vide depuis la matière pour examiner la matière depuis le … vide ! C’est la matière à petite échelle qui nous a permis de découvrir les propriétés du vide mais il faut maintenant montrer que les propriétés de la matière découlent historiquement de celles du vide, que le fonctionnement de la matière est en interaction permanente avec le vide.

      La première idée sur le vide est que, sans énergie et sans mouvement, il ne pouvait qu’être stable et figé. Il s’avère au contraire instable et plein de fluctuations d’énergie et, du coup, possédant des propriétés fondamentales pour la compréhension de la matière et de la lumière.

      « Les fluctuations du champ électromagnétique qui subsistent dans le vide ont des effets observables bien connus des physiciens. Un atome isolé dans le vide n’interagit qu’avec les fluctuations du vide et c’est cette interaction qui est responsable des processus d’émission spontanée qui font passer l’atome de ses niveaux d’énergie élevée vers son niveau fondamental. Dans ce niveau, l’atome est encore couplé au vide et ce couplage est accompagné d’effets tels que le déplacement de Lamb des fréquences d’absorption. Quand deux atomes sont couplés aux mêmes fluctuations du vide, l’interaction des atomes avec les fluctuations de champ induit une attraction entre eux, appelée force de Van der Waals. (...) Alors qu’il étudie ce problème, Casimir découvre en 1948 qu’une force s’exerce également entre deux miroirs placés dans le vide. Les fluctuations du vide sont modifiées par la présence de la cavité et leur énergie dépend de la distance entre les deux miroirs. Le vide exerce donc une force qui attire les deux miroirs l’un vers l’autre. Cette force de Casimir ne dépend que de deux constantes fondamentales, la vitesse de la lumière c et la constante de Planck h, de la distance et de facteurs numériques simples. (...) elle ne dépend pas en particulier de la charge de l’électron. »

      « L’existence des fluctuations quantiques joue un rôle central dans la description moderne de la structure de la matière. »

      « Fulling et Davies ont montré en 1976 qu’un miroir parfait en mouvement dans le vide émettait du rayonnement dès que ce mouvement correspondait à une accélération non uniforme. « écrivent Marc-Thierry Jaeckel, Astrid Lambrecht et Serge Reynaud dans « relativité du mouvement dans le vide », texte tiré de l’ouvrage collectif « Le vide ».

      Effet du miroir en mouvement dans le vide, effet Unruh, effet Casimir, effet Ahoronov-Böhm, fentes de Young, nuage de polarisation, etc, l’importance du vide ne peut plus être méconnue :

      • le vide fluctue en énergie • le vide est un milieu diélectrique qui polarise les particules • le vide est porteur des ondes • le vide permet les transitions de fermions par échanges de photons virtuels • le vide limite les trains d’ondes • le vide matérialise et dématérialise • le vide a une énergie, une température, une pression

      Loin d’être marqué par une immobilité parfaite comme on le pensait, le vide est le siège de l‘agitation bien plus instable que la matière. Le contenu du vide est très réel : des fluctuations d’énergie désordonnées en tous sens, désordonnées dans l’espace comme dans le temps. Nous trouvons dans le vide quelque chose qui ressemble à une particule matérielle ou à un photon (rayonnement), elle s’évanouit très rapidement. C’est si rapide que ce n’est pas perceptible à notre échelle. Nous disons qu’il s’agit d’objets « virtuels » qu’il conviendrait plutôt d’appeler éphémères relativement à la matière et hors du temps relativement au vide lui-même.

      « Au commencement était l’action. » d’après « Faust » de Goethe. Avec Planck, la physique a donné raison à Goethe en donnant comme base du réel le quantum d’action. Mais la question est : où sont les quanta réels qui interviennent en physique. Est-ce les particules matérielles ? Est-ce les photons du rayonnement ? Non. Ces « objets » sont d’énergie constante (c’est-à-dire une énergie divisée par un temps) donc ne sont pas une certaine quantité d’action. C’est le vide qui fournit des « objets » (particules et photons dits virtuels car éphémères) qui sont un quantum, deux, trois, ... quanta. Et au « commencement » était ... le vide. Attention, comme on l’a déjà dit, le vide de la physique n’est pas un lieu sans agitation et sans rien. La meilleure preuve de cette agitation (du type agitation thermodynamique des molécules) c’est la pression qu’elle exerce sur la matière. Ainsi, en rapprochant deux grandes plaques métalliques, on remarque que celles-ci sont collées par une pression extérieure … du vide. C’est l’effet Casimir ou la pression du vide .

      Quelles sont les propriétés de ce vide quantique ? Tout d’abord nous remarquons qu’il s’agit d’un autre monde que celui des particules de la même manière que nous avions remarqué que le monde des particules était très différent du monde à notre échelle (macroscopique) que nous voyons et où nous raisonnons. Que se passe-t-il de si étonnant dans ce monde du vide ? Tout d’abord nos notions de temps et de distance sont bouleversées car le temps peut être parcouru dans les deux sens, vers le passé comme vers le futur ! Ensuite les durées de vie sont bien plus courtes et les énergies bien plus grandes. Les constantes ne sont pas respectées : on peut se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière et on peut trouver des quantités inférieures à la constante de Planck. Cela provient du fait que ce monde infra-vitesse de la lumière et infra-Planck est plus vieux que ces deux transformations : libération de la lumière et création de particules durables déterminées par la relation durée de vie multipliée par bande d’énergie égale constante de Planck ou de multiples de celle-ci.

  • Bonjour.
    Merci de votre retour.
    D’après vous, Einstein en parlant de l’éther qui est son espace-temps, nous dit ceci : "Mais il ne faut pas s’imaginer cet éther comme doté de la propriété qui caractérise les milieux pondérables : être constitué de parties que l’on peut suivre au cours du temps ; on ne doit pas lui appliquer le concept de mouvement. ".
    Si Monsieur Einstein refuse que cet éther soit en mouvement, c’est pour des problèmes de régulation de vitesse, dont celle de la lumière qui est la principale cause pour lui, mais on peut très bien imaginer que cet éther soit en mouvement, et la notion de vitesse serait autre que ce que l’on a l’habitude de concevoir.
    Je suis d’accord avec le physicien Robert B. Laughlin, dont vous faites mention, mais la plupart des physiciens ont le même langage, en parlant du vide, car ils ne font pas de distinction entre un vide cosmologique, et ce vide quantique toujours proche de la matière. On ne peut pas tester un vide cosmologique, car même dans l’espace, les instruments emmènent avec eux, ce vide quantique qui est toujours présent aux alentours de la matière. Je l’ai déjà dit, le vide quantique est une interface entre le vide cosmologique lié à la gravitation, et la matière, car la matière ne se conçoit pas sans son vide quantique. Pour ma part le vide quantique sont des sortes de résidus de la matière, et résidus est mal choisi, car je ne sais pas trop comment employer un terme pour dire que la matière est issue de ce vide quantique, et que le reste de ce vide quantique n’est pas aggloméré à la matière. Il fut donc partir du vide quantique, pour créer la matière, mais le surplus de vide quantique ne fait pas partie de la matière, mais sert à faire des échanges avec ce reste. C’est comme si on avait une quantité de sable, et que l’on prenne une certaine quantité d ce sable pour créer une particule, les reste n’entrant pas dans la particule, mais serait en permanence relié indirectement à la particule. De plus ce sable ne se retrouve pas dans le vide cosmologique, et donc partout où il y avait des tas de sable, ces tas se sont transformé en particules diverses, mais où le sable n’est pas là, le vide quantique n’y est pas non plus.
    Quand on casse un neutron, il en sort un proton et un électron et aussi des entités complémentaires qui ne sont liées que par l’entourage du neutron qui est ce vide quantique, et donc il y a transformation d’une partie de ce vide quantique, en particules réelles. Pour ma part le vide cosmologique entre les galaxies ne créer strictement rien et ne se transforme pas en quelques entités, mais de vraie entités durables peuvent sortir de ce vide quantique qui entour les particules réelles et stables, bien que leur stabilité soit un échange permanent entre la particule elle-même et son environnement de vide quantique. Il faut voir une particule comme si elle avait en permanence une atmosphère autour d’elle qui est ce vide quantique, mais comme pour la terre, cette atmosphère ne rempli pas l’espace cosmologique, et on pourra dire que c’est son nuage de polarisation qui est aussi bien de charge négative que positive.
    Je vous avais déjà dit, que si le cosmos était rempli de ce vide quantique, les photons venant de très loin auraient forcément des interactions avec ce vide rempli, et que les images que nous devrions avoir seraient alors déformées. C’est pour l’une de cette raison, que je ne crois pas que le vide cosmologique, soit le même que celui proche de la matière qui est le vide quantique. On ne peut pas se débarrasser de ce vide quantique accompagnant systématiquement la matière, comme on ne peut pas se débarrasser du vide cosmologique qui est pour moi l’éther, et qui ne porte pas de charge. Ces deux vides sont différents, car l’un l’éther est sans charge, et l’autre le vide quantique possède forcément des charges. Dire que le neutron n’a pas de charge est une erreur pour moi, car sa durée de vie est assez courte de quelques minutes, et qu’en réalité il possède autant de charge positive que négative. La neutralité de certaines particules est sans doute un équilibre de charge.
    Cette notion où l’on nous dit que l’on peut aller dans le passé par le biais de particules, est en fait un concept de Feynman, et ses diagrammes. D’ailleurs ce physicien qui est l’un de vos maîtres, se plante un peu, car prendre la comparaison de la pluie qui tombe, et dire que l’on reçoit plus de gouttes dans le sens de notre mouvement que par derrière nous, est une vérité et une vraie logique, mais comparer cela à des particule ultra-fines qui est l’idée d’un certain Lesage, ne tient pas, car en allant à n’importe quelle vitesse, la vitesse de la lumière reste toujours la même dans toutes les directions, ce qui semble complètement illogique, mais pourtant une réalité, il faut donc comparer la pluie à la lumière pour pour que ce raisonnement soit faux, car c’est comme si on prenait plus de lumière par devant de notre mouvement, par rapport à l’arrière. La quantité de lumière reçue est la même indépendamment de nos mouvements.
    Le comble est que j’avais trouvé ce raisonnement sans savoir que cette notion existait déjà, et qui a été désapprouvée par ce grand physicien de Feynman. Donc Monsieur Feynman se plante un peu dans sa logique, car il prend la logique classique et non celle de la relativité, ce qui fait que remonter le passé est une gageure pour moi, car le temps est n’importe quel mécanisme régulier et perpétuel, et d’inverser son sens ne change rien, car c’est le cycle qui compte, et non le sens du cycle, car un cycle en fait n’a pas de sens.
    Pour l’effet Casimir on pourrait dire qu’il y a deux effets qui se conjuguent, qui est d’une part le vide quantique qui est une interface à la matière que sont les particules virtuelles du quantique, et d’autre part celui de l’éther lié à la gravitation qui est le vide cosmologique qui est une pression sur tout ce qui existe, même sur tous types de particules. Le vide quantique n’est pas celui du cosmos, car ce vide quantique se trouve où la matière est présente, et pour moi créer de la matière à partir de ce vide quantique n’a rien d’étonnant, par contre on ne peut rien créer à partir du vide cosmologique qui est l’éther et donc la gravitation qui est une pression sans charge.
    Pour revenir à ce que dit Monsieur Einstein, disant que l’éther est statique et non dynamique, cela voudrait dire que cette substance de vide peut changer de densité suivant les masses, sans pour autant avoir de grain. Cela me parait encore plus étrange que d’avoir un éther dynamique, même si la question de la vitesse lumière reste en suspend.
    La courbure de l’espace qui est une très belle notion et en même temps une notion très compliquée, mais n’est rien d’autre qu’une densité différente de cet éther s’approchant des masses. Le calcul de densité reviendrait strictement au même et serait aussi compliqué. La gravitation quantique, est toujours au raz des pâquerettes, même si nous avons cette nouvelle théorie de GQB qui est la gravitation quantique à boucles, car cette théorie, n’est qu’une image de représentation 3D des effets sur des bulles ou boucles représentant toujours les dimensions et temps de Planck. Que l’on remplace les boucles par des nœuds et des connexions, cela ne change en rien la théorie, car ce n’est toujours qu’une représentation de l’espace-temps vue autrement qui change ce drap élastique déformé par une masse. La gravitation quantique n’est toujours pas une existence réelle, car les penseurs théoriciens ne voient pas que la physique quantique n’expliquera jamais ce qu’est la gravitation, car ce sont des mondes opposés. L’un à grande échelle ne peut pas se voir à petite échelle tant cette fausse force est insignifiante à l’échelle de l’atome, et l’autre monde qu’est la physique quantique et ses charges sont sans rapport avec des pressions. C’est triste de confondre les deux notions...
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Une fois encore, je me permet d’extraire de toute votre intervention, dont je vous remercie, un tout petit passage :

    « la physique quantique n’expliquera jamais ce qu’est la gravitation ».

    Juste pour vous rappeler que sur cette question j’ai fait une proposition :

    http://www.matierevolution.fr/spip.php?article2632

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