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Qu’est-ce que l’expérience des fentes de Young et quelle en est la conséquence ?

mardi 28 février 2012, par Robert Paris

Même en arrivant un par un, les corpuscules reconstituent les figures d’interférence.

L’expérience des fentes de Young est un des fondements de la remise en cause de la physique dite classique et son remplacement par la physique quantique.

Dans la physique classique, la matière est corpusculaire et la lumière est ondulatoire.

L’expérience montre que les deux sont à la fois ondulatoire et corpusculaire.

Dans la physique classique, la mécanique est prédictive alors qu’en physique quantique on n’accède qu’à une probabilité.

L’avantage de la nouvelle physique est qu’elle permet de calculer les résultats obtenus dans des expériences de type de Young ; c’est-à-dire qui mettent en jeu le microscopique (corpuscules élémentaires de matière et de lumière).

L’inconvénient, pensent les scientifiques, c’est qu’elle introduit une contradiction dialectique : les éléments fondamentaux sont à la fois une chose et son contraire, onde et particule.

Je dis inconvénient par ironie, mais il est difficile d’imaginer à quel point c’est renversant pour toutes les croyances précédentes et même actuelles.

Essayons de montrer pourquoi de manière simple.

Tout d’abord, il faut voir que l’on assiste à ce que l’on appelle des interférences qui ressemblent à ce que l’on voit dans les ondes.

Mais, dans le cas des ondes qui traversent deux fentes, la même onde interfère avec elle-même et produit l’interférence c’est-à-dire une suite de hauts et de bas. Les différences entre les deux chemins passant par l’une et l’autre fente fait que les deux phénomènes sont additifs ou soustractifs.

Or, dans le cas de l’expérience de Young, on va réduire la puissance au point d’envoyer de la lumière en quantité minimale. A l’arrivée, on va s’assurer que ce qui arrive c’est des grains quantiques de lumière. On les capte par un phénomène photoélectrique typique des quanta.

Du coup, il est certain que le photon est passé par une fente ou par l’autre. Comment le photon peut-il interférer puisqu’il ne passe que par une fente et qu’on envoie les photons indépendamment, un par un ?

Par le calcul probabiliste qu’elles mettent en place, les premières théories quantiques vont mathématiquement retrouver les résultats mais renoncer à toute explication selon laquelle il se passe ceci, tel objet fait cela...

La seule manière d’interpréter est de reconnaitre que le photon ( ou l’électron puisqu’on peut faire l’expérience de Young avec des électrons) n’est pas seulement un corpuscule, qu’il est entouré d’une nuage du vide qui détermine les positions des particules et qui, lui, passe par les deux fentes...

Mais cela suppose que le monde matériel est pétri de contradictions dialectiques irréductibles :

 l’ordre est émergent (issu du désordre)

 le local et le non-local (étendu) sont inextricablement imbriqués

 le temps et l’espace sont issus d’un univers où espace et temps sont agités et, en particulier, l’écoulement du temps provient du vide où le temps est désordonné...

 il n’existe aucune image non contradictoire de l’univers matériel et il n’existe aucune image non dynamique non plus de la matière et de la lumière

 l’existence est inséparable de la destruction

 la base de la matière comme du vide est située dans le vide quantique constitué d’une contradiction fondamentale : des couples particule/antiparticule

Une des manières les plus claires de mettre en évidence la dualité onde-particule est l’expérience des fentes de Young. Cette expérience est connue depuis le XIXe siècle, où elle a d’abord mis clairement en évidence l’aspect purement ondulatoire de la lumière. Modifiée de manière adéquate, elle peut démontrer de manière spectaculaire la dualité onde-corpuscule non seulement de la lumière, mais aussi de tout autre objet quantique. Dans la description qui suit, il sera question de lumière et de photons mais il ne faut pas perdre de vue qu’elle est également applicable - du moins en principe - à toute autre particule (par exemple des électrons), et même à des atomes et à des molécules.

L’expérience consiste à éclairer par une source lumineuse un écran percé de deux fentes très fines et très rapprochées. Ces deux fentes se comportent comme deux sources secondaires d’émission lumineuse. Une plaque photographique placée derrière l’écran enregistre la lumière issue des deux fentes. Ces deux sources interfèrent et forment sur la plaque photographique ce que l’on appelle une figure d’interférence . Cette figure est caractéristique d’un comportement ondulatoire de la lumière. Si l’expérience en reste à ce niveau, l’aspect corpusculaire n’apparaît pas. En fait, il est possible de diminuer l’intensité lumineuse de la source primaire de manière à ce que la lumière soit émise photon par photon. Le comportement de la lumière devient alors inexplicable sans faire appel à la dualité onde-corpuscule.

En effet, si on remplace la source lumineuse par un canon qui tire des micro-billes à travers les deux fentes (par exemple), donc de "vraies" particules, on n’obtient aucune figure d’interférence, mais simplement une zone plus dense, en face des fentes. Or, dans le cas des photons, on retrouve la figure d’interférence reconstituée petit à petit, à mesure que les photons apparaissent sur la plaque photographique. On retrouve donc une figure d’interférence, caractéristique des ondes, en même temps qu’un aspect corpusculaire des impacts sur la plaque photographique. L’interprétation de cette expérience est difficile, car si on considère la lumière comme une onde, alors les points d’impacts sur la plaque photographique sont inexplicables ; on devrait voir dans ce cas très faiblement, dès les premiers instants, la figure d’interférence, puis de plus en plus intense. Au contraire, si on considère la lumière comme étant exclusivement composée de particules, alors les impacts sur la plaque photographique s’expliquent aisément, mais la figure d’interférence ne s’explique pas : comment et pourquoi certaines zones seraient privilégiées et d’autres interdites à ces particules ? Force est donc de constater une dualité onde-particule des photons (ou de tout autre objet quantique), qui présentent simultanément les deux aspects. Interprétation de la dualité

En mécanique quantique, la dualité onde-particule est expliquée comme ceci : tout système quantique et donc toute particule sont décrits par une fonction d’onde qui code la densité de probabilité de toute variable mesurable (nommées aussi observable). La position d’une particule est un exemple d’une de ces variables. Donc, avant qu’une observation soit faite, la position de la particule est décrite en termes d’ondes de probabilité. Les deux fentes peuvent être considérées comme deux sources secondaires pour ces ondes de probabilité : les deux ondes se propagent à partir de celles-ci et interfèrent. Sur la plaque photographique, il se produit ce que l’on appelle une réduction du paquet d’onde, ou une décohérence de la fonction d’onde : le photon se matérialise, avec une probabilité donnée par la fonction d’onde : élevée à certains endroits (frange brillante), faible ou nulle à d’autres (franges sombres). Cette expérience illustre également une caractéristique essentielle de la mécanique quantique. Jusqu’à ce qu’une observation soit faite, la position d’une particule est décrite en termes d’ondes de probabilité, mais après que la particule est observée (ou mesurée), elle est décrite par une valeur fixe.

INTERPRÉTATION MODERNE

Cette question a donné lieu aux plus grandes polémiques et elles ne sont pas éteintes.

Cependant, il semble que l’on puisse renoncer aux erreurs passées sur ce thème. Il ne s’agit pas là d’une limite de la connaissance humaine. il ne s’agit pas non plus du fait que c’est l’observation qui créerait la réalité. Ni encore

Non, seulement la réalité est bien différente de ce que nous imaginions.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Il n’y a pas d’objets matériels au sens où on l’entend et où ils apparaissent à notre échelle macroscopique : des choses indépendantes du milieu qui les entoure.

Michel Paty dans « Nouveaux voyages au pays des quanta » :

« L’électron interagit avec les « paires virtuelles » de son propre champ électromagnétique. (…) Le vide quantique contient de telles paires virtuelles et cet effet a été observé sous le nom de « polarisation du vide ». L’électron se trouve interagir avec la charge d’un des éléments de la paire virtuelle, en sorte qu’un électron quantique n’est jamais « nu » mais « habillé » d’un essaim ou nuage de paires virtuelles qui polarisent son environnement immédiat et modifient, par voie de conséquence, ses niveaux d’énergie. (…) La procédure dite de renormalisation considère que la masse et la charge physique de l’électron sont celles de l’électron « habillé » et non celles de l’électron « nu ». ce dernier n’existe pas réellement, puisqu’il est toujours impensable sans son champ. »

Louis de Broglie, dans « Le dualisme des ondes et des corpuscules dans l’œuvre d’Albert Einstein » :

« La continuité semblait régner dans le domaine du champ électromagnétique et du rayonnement tandis que la discontinuité granulaire s’introduisait, par ailleurs et assez arbitrairement, pour représenter l’existence certaine des sources quasi ponctuelles du champ électromagnétique liées à la matière électrisée. Cette dissymétrie donnait à la doctrine de Lorentz sur les électrons quelque chose qui n’était pas satisfaisant malgré la beauté du formalisme et le succès remarquable de certaines des prévisions obtenues. Si la dualité des ondes et des corpuscules paraissait expulsée depuis Fresnel de la théorie de la lumière par suite du triomphe de la conception exclusivement ondulatoire, on ne pouvait pas dire qu’il en était de même dans l’ensemble de notre représentation du monde physique. D’ailleurs, pour ceux qui connaissaient bien l’histoire des sciences, il y avait une autre raison, un peu oubliée sans doute, de penser qu’il existait une liaison cachée entre les concepts d’onde et de corpuscule dont ne rendait pas compte la Physique de 1900. Je fais allusion ici à cette belle théorie de Mécanique analytique qui fut développée, il y a quelque 120 ans, par Hamilton et par Jacobi et qui fait correspondre à un ensemble de mouvements de corpuscules dans un champ de force donnée la propagation d’une onde dans cette région de l’espace à l’approximation de l’Optique géométrique. Cette saisissante image permettait d’identifier les trajectoires des corpuscules associés à l’onde aux « rayons » de cette onde définis par l’optique géométrique comme les courbes orthogonales aux surfaces d’égale phase. Ainsi était apparue une correspondance, d’une nature très profonde, quoique limitée, il est vrai, au domaine de validité de l’optique géométrique, entre le mouvement d’un corpuscule et la propagation d’une onde et je pense que l’importance du lien ainsi établi ne saurait être surestimée… Mais à l’époque où écrivaient Hamilton et Jacobi et dans la période qui suivit, aucun sens physique précis n’avait été donné à cette représentation et l’onde introduite par leur théorie avait été considérée comme une onde fictive, simple artifice mathématique permettant de se représenter simultanément tout un ensemble de trajectoires possibles. La précieuse indication que le formalisme d’Hamilton-Jacobi pouvait fournir sur la véritable nature du dualisme onde-corpuscule avait été méconnue par les savants du XIX e siècle habitués, nous l’avons vu plus haut, à employer dans des domaines séparés les notions d’onde et de corpuscule. Mais bientôt, dans le domaine même du rayonnement d’où il paraissait exclu à jamais, cet étrange dualisme allait réapparaître sous une forme aussi inattendue qu’inquiétante pour les théoriciens.

La plus connue et la plus convaincante des expériences quantiques menant à renoncer à l’image classique de la physique est toujours l’expérience des fentes de Young. On se souvient qu’il s’agit de l’émission par une source qui est envoyé sur un écran en passent par deux fentes proches. On constate que les émissions lumineuses causent des impacts discrets (ponctuels) sur un écran, que les émissions de particules produisent des interférences sur l’écran. Et surtout, on remarque que, même si un corpuscule passe par une seule fente, il n’est pas équivalent de fermer ou pas l’autre fente. En effet, en la fermant, on empêche (dans le cas de fentes suffisamment étroites) le milieu agité par la présence du corpuscule avant les fentes de passer après les fentes. Du coup, le corpuscule est dispersé après le passage de la fente. La relation entre matière et vide est donc à la base de la compréhension des phénomènes quantiques. Remarquons qu’il y a bien longtemps, plusieurs expériences (comme la pression du vide sur la matière ou effet Casimir) d’action du vide sur la matière avaient déjà été mises en évidence. Cependant, on considérait toujours que le vide était le milieu qui ne perturbait pas le mouvement de la lumière (puisqu’on la considérait comme à rectiligne uniforme dans le vide) et le mouvement ou le changement de la matière. La conception selon laquelle matière et vide interagissent sans cesse au cours du processus fondamental de chaque particule est donc un renversement considérable de point de vue.

Comment concevoir qu’un corpuscule qui arrive comme un grain sur un écran (un par un et localisé) puisse dessiner une figure d’interférence si la source émet un grand nombre de corpuscules qui passent par deux fentes ouvertes alors qu’il n’y a pas d’interférence quand on ferme une fente ? Les corpuscules arrivant de façon discrète, un par un et indépendamment les uns des autres, il faut considérer que l’interférence a lieu pour un corpuscule seul. Le corpuscule ne peut interférer qu’avec lui-même en conséquence. Comment est-ce possible qu’il n’interfère avec lui-même que lorsque les deux fentes sont ouvertes ? C’est qu’il faut que quelque chose passe aussi par la deuxième fente. Rappelons nous que les expériences de fentes fonctionnent avec des fentes suffisamment étroites pour laisser passer le corpuscule sans laisser passer l’onde du corpuscule, agitation du vide qui entoure le corpuscule et se propage autour. C’est cette agitation qui parvient à passer par la deuxième fente si elle est ouverte puis rejoint le corpuscule derrière les fentes. L’expérience des fentes de Young nécessite que le corpuscule interfère avec le vide, tantôt destructivement tantôt constructivement. Cela signifie que, de façon très brève, le corpuscule est inhibé par le vide. Son agitation interne supprime la structure du corpuscule puis la reconstruit en un temps très court. C’est un processus de rétroaction (inhibition de l’inhibition). C’est ce processus qui est fondamental pour le photon. Le corpuscule lumineux n’est le sujet d’un processus périodique qu’à cause de la rétroaction du vide qui détruit périodiquement le corpuscule. C’est le seul processus qui permette de rendre compte à la fois des effets type grain du rayonnement (comme l’arrivée discrète et localisée sur un écran, l’effet Compton, l’effet photoélectrique [13], etc) et de des effets type onde (périodicité, phase, interférences destructives et constructives entre deux rayonnements, etc). Par exemple, un photon se transforme en couple éphémère électron antiélectron. D’autres particules d’interaction se transforment en proton antiproton. Ces couples se recomposent ensuite avec de la matière ou avec des particules et antiparticules éphémères du vide.

La particule matérielle ou l’atome sont eux aussi sujets au même caractère double (onde/corpuscule) dont la contradiction provient du fait que les effets sont apparemment logiquement opposés (localisé/étendu dans tout l’espace, interférence/pas d’interférence, etc). Ces phénomènes ne peuvent se produire que si la particule matérielle subit les mêmes interférences avec le vide sur un temps beaucoup plus court. Ces interférences entre particule et vide sont les ondes de Broglie. Bien d’autres phénomènes quantiques ne peuvent être interprétés que comme l’interaction entre le corpuscule et son milieu. C’est le cas du moment cinétique. L’électron isolé en a un qui n’est pas nul alors qu’en physique classique toute particule isolée a un moment cinétique nul. Cela signifie que l’électron n’est pas isolé mais en connexion avec le vide agité que représente son milieu, ce que l’on appelle son onde. Ondulatoire comme le corpuscule lumineux, il disparaît aussi mais dans un temps trop court pour être perçu. Par contre ses propriétés d’interférence avec le vide montrent que lui aussi disparaît puis réapparaît. En conclusion, le processus fondamental qui maintient la particule dans son état pendant un certain temps consiste en sa disparition et sa réapparition de façon permanente et très rapide. Cela explique également qu’il soit impossible de suivre un corpuscule de façon continue puisqu’il disparaît périodiquement et ne réapparaît pas exactement au même endroit. D’où le caractère flou à une petite échelle des corpuscules et des atomes qui a été l’une des découvertes étonnantes de la physique quantique. C’est en effet en contradiction avec les propriétés de l’atome à notre échelle, humaine. Quand on examine des atomes dans un grand groupe d’atomes, ils ne se comportent pas de façon floue, ils n’ont pas l’air ni d’apparaître ni de disparaître. Ils sont « classiques » et non « quantiques ». La séparation, qui a fait couler tant d’encre, entre classique et quantique (expérience de pensée du chat de Schrödinger par exemple) s’expliquerait donc par l’effet destructif et constructif du vide. Lorsque les atomes sont nombreux à proximité, les messages qu’ils échangent (photons) suppriment l’effet destructif de l’agitation du vide. Cette agitation interne permanente du vide a été longtemps ignorée. C’est elle qui est en cause dans les inégalités d’Heisenberg. Le vide agite la matière comme la lumière. A l’échelle d’un corpuscule, elle rend le mouvement et la présence du corpuscule flous. Elle empêche de connaître précisément les deux.

Lire ici

Certains affirment que les expériences quantiques sont soit ondulatoires soit corpusculaires, de manière exclusive et cela est faux. L’exemple des fentes de Young montre que l’aspect corpusculaire des impacts sur l’écran n’empêche pas l’aspect ondulatoire des interférences au bout d’un grand nombre d’impacts corpusculaires.

Richard Feynman dans son « Cours de Physique – Mécanique 1 » :

« Les choses que nous avions l’habitude de considérer comme des ondes se comportent aussi comme des particules et que les particules se comportent inversement comme des ondes ; en fait, tout se comporte de la même manière. Il n’y a pas de distinction entre une onde et une particule. Ainsi, la mécanique quantique unifie l’idée du champ et de ses ondes, et l’idée de particules, dans une seule et même idée. Cependant, il est vrai que lorsque la fréquence est basse, l’aspect ondulatoire du phénomène est plus évident ou plus utile comme description approchée en partant des expériences de tous les jours. Mais lorsque la fréquence augmente, les aspects particulaires du phénomène deviennent plus évidents avec l’équipement que nous utilisons habituellement pour faire les mesures. »

Messages

  • C’est l’un des phénomènes renversants de la physique quantique.

    On était à la recherche des particules élémentaires et on trouve des ondes.

    On était à la recherche des ondes et on trouve des particules d’interaction.

    On trouve que chacun a une double identité.

  • L’expérience des fentes de Young est un des fondements de la remise en cause de la physique dite classique et son remplacement par la physique quantique.

    Dans la physique classique, la matière est corpusculaire et la lumière est ondulatoire.

    L’expérience montre que les deux sont à la fois ondulatoire et corpusculaire.

    Dans la physique classique, la mécanique est prédictive alors qu’en physique quantique on n’accède qu’à une probabilité.

    L’avantage de la nouvelle physique est qu’elle permet de calculer les résultats obtenus dans des expériences de type de Young ; c’est-à-dire qui mettent en jeu le microscopique (corpuscules élémentaires de matière et de lumière).

    L’inconvénient, pensent les scientifiques, c’est qu’elle introduit une contradiction dialectique : les éléments fondamentaux sont à la fois une chose et son contraire, onde et particule.

    Je dis inconvénient par ironie, mais il est difficile d’imaginer à quel point c’est renversant pour toutes les croyances précédentes et même actuelles.

    Essayons de montrer pourquoi de manière simple.

    Tout d’abord, il faut voir que l’on assiste à ce que l’on appelle des interférences qui ressemblent à ce que l’on voit dans les ondes.

    Mais, dans le cas des ondes qui traversent deux fentes, la même onde interfère avec elle-même et produit l’interférence c’est-à-dire une suite de hauts et de bas. Les différences entre les deux chemins passant par l’une et l’autre fente fait que les deux phénomènes sont additifs ou soustractifs.

    Or, dans le cas de l’expérience de Young, on va réduire la puissance au point d’envoyer de la lumière en quantité minimale. A l’arrivée, on va s’assurer que ce qui arrive c’est des grains quantiques de lumière. On les capte par un phénomène photoélectrique typique des quanta.

    Du coup, il est certain que le photon est passé par une fente ou par l’autre. Comment le photon peut-il interférer puisqu’il ne passe que par une fente et qu’on envoie les photons indépendamment, un par un ?

    Par le calcul probabiliste qu’elles mettent en place, les premières théories quantiques vont mathématiquement retrouver les résultats mais renoncer à toute explication selon laquelle il se passe ceci, tel objet fait cela...

    La seule manière d’interpréter est de reconnaitre que le photon ( ou l’électron puisqu’on peut faire l’expérience de Young avec des électrons) n’est pas seulement un corpuscule, qu’il est entouré d’une nuage du vide qui détermine les positions des particules et qui, lui, passe par les deux fentes...

    Mais cela suppose que le monde matériel est pétri de contradictions dialectiques irréductibles :

    l’ordre est émergent (issu du désordre)

    le local et le non-local (étendu) sont inextricablement imbriqués

    le temps et l’espace sont issus d’un univers où espace et temps sont agités et, en particulier, l’écoulement du temps provient du vide où le temps est désordonné...

    il n’existe aucune image non contradictoire de l’univers matériel et il n’existe aucune image non dynamique non plus de la matière et de la lumière

    l’existence est inséparable de la destruction

    la base de la matière comme du vide est située dans le vide quantique constitué d’une contradiction fondamentale : des couples particule/antiparticule

  • "Je ne crois à aucune loi fixe du développement, obligeant tous les habitants d’une région à se modifier brusquement, ou simultanément, ou à un égal degré. (....) La variabilité de chaque espèce est tout à fait indépendante de celle des autres. L’accumulation par la sélection naturelle, à un degré plus ou moins prononcé, des variations qui peuvent surgir, produisant ainsi plus ou moins de modifications chez différentes espèces, dépend d’éventualités nombreuses et complexes, telles que la nature avantageuse des variations, la liberté des croisements, le taux de reproduction, les changements lents dans les conditions physiques de la contrée, et plus particulièrement de la nature des autres habitants avec lesquels l’espèce qui varie se trouve en concurrence. (...) Comme tous les êtres organisés, éteints et récents, qui ont vécu sur la Terre peuvent être tous classés ensemble, et ont tous été reliés les uns aux autres par une série de fines gradations, la meilleure classification, la seule possible d’ailleurs, si nos collections étaient complètes, serait la classification généalogique ; le lien caché que les naturalistes ont cherché sous le nom de système naturel n’est autre chose que la descendance."

    Darwin dans "L’origine des espèces"

  • Le problème, c’est qu’on remarque que le photon passe dans une seule des fentes et qu’en même temps le phénomène nous dit qu’il passerait dans les deux fentes en même temps !

  • Le photon n’est pas un simple corpuscule "nu". il est entouré de son nuage de particules et antiparticules virtuelles qui le guident. Le corpuscule passe par une seule des deux fentes mais celles-ci étant très proches l’une de l’autre, le nuage, lui, passe par les deux et il guide à l’extérieur le corpuscule en fonction d’une interférence entre les deux parties du nuage de polarisation, parties qui sont passées par chacune des fentes.

  • Ce qui est frappant c’est que les mêmes fentes de Young qui ont d’abord servi à démontrer le caractère ondulatoire de la lumière, à cause des interférences, ont servi à développer l’idée quantique de dualité onde/corpuscule puis de discuter du caractère quantique de la lumière, fondé sur les quanta du vide. Cela prouve que l’expérience est d’autant plus fondamentale qu’on l’interprète et que l’expérience ne parle pas d’elle-même !!!

  • Dans un premier temps, Young n’a démontré qu’une chose : la lumière est une onde puisqu’en passant par deux fentes, elle se recompose en formant des interférences comme le feraient des ondes dans l’eau passant par deux fentes.

    Dans un deuxième temps, Taylor a diminué la puissance de la lumière en la descendant au minimum, en fait en descendant au niveau d’un quanta de lumière. Résultat : il ne passe qu’un seul photon qui passe dans les deux fentes et reconstitue les interférences si on continue à faire passer pendant des heures des photons un par un.

    Cela signifie que les interférences ne sont pas celles d’une même onde matérielle mais des figures constituées statistiquement et que les interférences ont lieu en même temps que les impacts individuels, discrets et donc manifestations de corpuscules.

    La réalité est donc à la fois de type corpusculaire et ondulatoire, ce qui est pourtant contradictoire car ces deux images sont contraires.

    A moins de construire une image à un niveau hiérarchique inférieur de la réalité : celle du vide, de décrire la manifestation corpusculaire et la manifestation ondulatoire, tous les deux à partir des réalités du vide...

    A ce moment-là, on va remarquer que la particule habituelle est formée d’un nuage de particules inhabituelles (celles du vide, éphémères, et dites pour cela virtuelles car leur temps de vie est trop court pour être capté par des expériences à notre échelle) et que l’onde est formée également par ce nuage de particules et antiparticules virtuelles.

    Et on va pouvoir expliquer ce qui se passe : le corpuscule ne passe que par une fente mais le nuage virtuel passe par les deux et il guide le corpuscule à la sortie des fentes.

    J’essaie de décrire brièvement malgré la complexité.

    Comment le corpuscule et l’onde peuvent tous deux être des produits du nuage virtuel ?

    Le corpuscule parce que celui-ci n’est pas un objet fixe mais une propriété de masse qui passe d’une particule virtuelle à une autre via le boson de Higgs.

    L’onde parce qu’elle est issue des mouvements des particules virtuelles autour du corpuscule.

  • Qu’est-ce qui vous fait penser que le corpuscule et l’onde coexistent et interagissent dans la matière comme dans la lumière ?

  • Un exemple qui montre que les images « corpuscule » et « onde » ne sont présentes alternativement et séparément mais simultanément.

    « Tout ce qui se déplace possède certains aspects d’une onde et certains aspects d’une particule… Un aspect ondulatoire de la lumière est sa fréquence, le nombre de fois par seconde où elle oscille. Un aspect corpusculaire de la lumière est son énergie ; chaque particule de lumière transporte une certaine quantité d’énergie. En mécanique quantique, l’énergie dans la représentation corpusculaire est toujours proportionnelle à la fréquence dans la représentation ondulatoire. »

    Lee Smolin dans « La renaissance du temps »

    Rajoutons que la relation fondamentale de la physique quantique, énergie E=h fois la fréquence, relie énergie corpusculaire et fréquence, pour tous les quanta de matière comme de lumière.

    L’équation de Schrödinger également est une relation entre corpuscule et onde.

    L’inégalité d’Heisenberg, elle aussi, relie des paramètres ondulatoires et des paramètres corpusculaires.

    Cela montre que l’onde et le corpuscule ne sont pas mondes séparés, qui n’interagiraient pas, comme le pensait Bohr, pas plus que le monde classique et le monde quantique.

    Lee Smolin explique ainsi dans « La renaissance du temps » :

    « Einstein mit en lumière il y a longtemps que la mécanique quantique est incomplète parce qu’elle échoue à donner une description de ce qui se passe dans une expérience individuelle. Que fait au juste l’électron lorsqu’il saute d’un état d’énergie à un autre ? Comment des particules trop éloignées l’une de l’autre parviennent-elles à communiquer instantanément ? Comment semblent-elles apparaître en deux endroits à la fois ? La mécanique quantique ne fournit pas de réponse… La mécanique quantique est une théorie problématique pour trois raisons étroitement liées. La première est son échec à donner une image physique de ce qui se passe dans un processus ou une éxpérience individuels : contrairement aux théories physiques précédentes, le formalisme que nous utilisons en mécanique quantique ne peut pas être lu comme nous montrant ce qui se passe à chaque instant. Deuxièmement, dans la plupart des cas elle échoue à prédire le résultat précis d’une expérience ; plutôt que de nous dire ce qui va se passer, elle ne nouus donne que des probabilités pour les différentes choses susceptibles de se produire. La troisième et plus problématique caractéristique de la mécanique quantique est que les notions de mesure, d’observation ou d’information sont nécessaires pour exprimer la théorie. Elles peuvent être vues comme des notions primitives ; elles ne peuvent pas être expliquées en termes de processus quantiques fondamentaux… Si vous voulez décrire complètement un système en physique classique, vous répondez à toutes les questions, et ceci vous donne toutes les propriétés. Mais en physique quantique, le dispositif dont vous avez besoin pour poser une question peut vous empêcher de répondre aux autres questions. Par exemple, vous pouvez demander ce qu’est la position d’une particule, ou vous pouvez demander ce qu’est le moment, mais vous ne pouvez pas poser ces deux questions à la fois. C’est ce que Niels Bohr a appelé la complémentarité, et c’est aussi ce que les physiciens signifient lorsqu’ils parlent de « variables non-commutatives »… Il est une tradition – commençant avec Niels Bohr – d’affirmer que l’échec de la théorie quantique à donner une image de ce qui se passe au cours d’une expérience individuelle est l’une de ses vertus et non pas un défaut. Bohr a argumenté avec talent que le but de la physique n’est pas de fournir une telle image mais plutôt de créer un langage grâce auquel nous pouvons parler entre nous de notre préparation des expériences sur des systèmes atomiques et de ce que les résultats nous ont donné. Je trouve les écrits de Bohr fascinants mais peu convaincants. Je ressens la même chose à propos de certains théoriciens contemporains, qui disent que la mécanique quantique ne porte pas « sur » le monde physique, mais sur l’ « information » que nous avons sur le monde physique. Ces théoriciens avancent que l’état quantique ne correspond à aucune réalité physique ; il ne fait que coder l’information que nous, observateurs, avons sur un système… Après tout, quelque chose se passe lors d’une expérience individuelle. Quelque chose, et seulement ce quelque chose, est la réalité que nous dénommons électron ou photon. Ne devrions-nous pas être capables de saisir l’essence de l’électron individuel dans un langage conceptuel et un cadre mathématique ? … Alors je me range aux côtés d’Einstein. Je crois qu’il existe une réalité physique objective et que quelque chose qu’on peut décrire se produit quand un électron saute d’un état d’énergie dans un autre. Et je cherche une théorie qui en donne cette description. »

  • « Nous sommes forcés [de] conclure que les phénomènes constatés n’ont rien à voir avec l’effet de plusieurs photons, mais que c’est au contraire le photon unique qui explique aussi bien la capacité d’interférence des deux rayons que l’absorption en un endroit précis de l’un des deux rayons”. Comme l’indiquait Paul Dirac dès 1930 dans ses Principes de la mécanique quantique, et comme Max Born le rappelait dans un ouvrage de 1949 sur le hasard et la causalité, et dans son livre sur les Principes de l’Optique, ainsi que dans une lettre à Einstein, dans un phénomène d’interférence, le photon interfère avec lui-même - et il en va de même en ce qui concerne la particule quantique à laquelle ces propriétés du photon avaient été étendues par de Broglie, par Einstein lui-même, par Schrödinger, Max Born et d’autres… »

  • Je ne vois pas très bien ce qui est vraiment renversant dans l’expérience des fentes de Young, je dis bien renversant parce que toutes les experiences nouvelles sont toujours intéressantes et donc un tout petit peu étonnantes, non ?

  • Vous avez parfaitement raison : une expérience physique n’a d’interêt que si elle nous apprend quelque chose, soit qu’elle confirme, soit qu’elle approfondit, soit qu’elle infirme ce qu’on savait. Dans tous les cas, si l’expérience donne un argument nouveau c’est qu’elle nous étonne un peu…

    Eh bien là, on peut dire que l’expérience de Young a été, plusieurs fois dans l’histoire de la science, très intéressante et même plusieurs fois renversante…

    Elle a été l’expérience qui a démontré le caractère à la fois ondulatoire et corpusculaire, ce qui est contradictoire, de la matière et de la lumière. Les interférences semblaient donner raison à l’ondulatoire mais sur l’écran d’arrivée, on ne détecte que des corpuscules, et ils ne forment des ondes que comme image finale au bout d’un grand nombre de corpuscules émis.

    Vous me direz : l’étonnement a une fin et maintenant personne ne considère plus comme renversant la dualité onde/corpuscule devenue un dogme reconnu en physique quantique.

    Et pourtant, vous avez tort : c’est renversant !

    Les corpuscules arrivent à l’écran de manière aléatoire et pourtant ils savent qu’il y a des zones où il ne faut pas aller, d’autres zones où il faut moins aller et des zones où il faut beaucoup aller. Chaque corpuscule cependant va presque n’importe où et l’ensemble des corpuscules (de matière comme de lumière) émis successivement et de manière indépendante sans interaction possible finit par respecter ces probabilités de présence, eh bien si, c’est renversant… Il est nécessaire pour le comprendre d’admettre d’abord que chaque corpsucule interfère avec lui-même ce qui nécessite que ce qui interfère soit passé par les deux trous or il est certain que le corpuscule lui-même n’est passé que par un trou !!! Donc il y a une nature de dualité onde/corpuscule dans laquelle la dualité est toujours conservée, mais l’onde passe par deux trous et le corpuscule par un. Pas étonnant, disiez-vous ?!!!

    Richard Feynman, pourtant capable de comprendre bien des choses, donnait sa langue au chat (pas celui de Schrödinger) :

    “…a phenomenon which is impossible, absolutely impossible, to explain in any classical way, and which has in it the heart of quantum mechanics. In reality, it contains the only mystery.”

    Traduction : « Un phénomène qu’il est impossible, absolument impossible, d’expliquer d’une manière classique, et qui a en lui le cœur de la mécanique quantique. En réalité, il contient le seul mystère. »

    « Impossible » répète-t-il : impossible à expliquer en termes classiques disait Feynman qui y voyait le grand mystère de la physique quantique…

    Et pourtant…

    Pourtant, dès que l’on interprète la dualité onde/corpuscule en termes de nuage de particules et d’antiparticules virtuelles et la particule dite réelle (le corpuscule de matière ou de lumière) en termes d’une particule virtuelle ayant reçu un boson de Higgs, le mystère disparaît de lui-même….

    En effet, si le corpuscule n’est pas un objet unique mais une myriade de corpuscules virtuels (un nuage) et que la propriété de « réalité » saute d’un corpuscule virtuel à un autre, les choses semblent s’éclairer…

    Le phénomène des fentes de Young ne se comprend pas de manière classique mais quantique. Par contre, il s’agit du vide quantique et on peut avoir une description du type « quest-ce qui se passe quand » avec des particules virtuelles.

    Le meilleur moyen de comprendre qu’il s’agit d’une propriété du vide quantique est une version un peu plus complexe de l’expérience des fentes de Young, lorsqu’on rajoute au dispositif un solénoïde entre les deux fentes et l’écran. C’est ce que l’on appelle l’expérience de Aharonov-Böhm. Le résultat est à nouveau des franges d’interférence mais elles sont décalées.

    C’est encore un résultat renversant puisque le solénoïde est disposé sans gêner le passage des corpuscules par les fentes, que les corpuscules ne traversent pas le solénoïde et qu’un solénoïde ne produit pas de champ magnétique dans la zone qui lui est extérieure.

    C’est une propriété du vide quantique qui permet ce phénomène : le vide n’est pas soumis à un champ magnétique par le solénoïde mais il est sensible à ce dernier par le biais d’un potentiel magnétique et cela suffit à décaler les franges d’interférence.

    Bien sûr, l’étonnement s’arrête un jour, quand on s’est habitué !

    Nous ne sommes pas très forts pour savoir clairement de quoi il faudrait s’étonner.

    L’eau qui remonte dans les filtres à café ne nous étonne pas plus que l’eau qui ne tombe pas des nuages !

    Nous ne sommes pas, comme Einstein, étonnés de ce que pourraient être les lois de la physique si on se déplace dans un photon lumineux, à la vitesse de la lumière. Car il faut d’abord être capable de voir que poser la question, c’est déjà renversant !

    Einstein, lui, s’interrogeait là-dessus quand il avait seize ans mais il a poursuivi ses questionnements de l’univers et à continué à en discuter avec les moyens du scientifique adulte !!! C’est plus rare encore.

    Si, comme on le croyait, la lumière était une vibration électromagnétique dans l’éther semblable aux ondes sonores vibrant dans un milieu matériel, l’air, la lumière se propagerait avec une vitesse relative par rapport au vide, une vitesse de 300.000kilomètres par seconde. Mais une telle image, celle des ondes sonores par exemple, entraînerait des bizarreries impossibles. Ainsi, on ne pourrait pas regarder l’image de ce photon lumineux en déplacement dans un miroir. Pour aller au miroir, la lumière devrait aller à la même vitesse que le photon et elle ne pourrait pas être réfléchie. On ne peut pas raisonner sur quelque chose se déplaçant à la vitesse de la lumière comme on raisonne sur un objet, sur une chose. Cela rejoint d’ailleurs un peu les leçons que l’on peut tirer de l’expérience de Young : on ne peut pas raisonner sur les corpuscules de matière et de lumière comme s’ils s’agissait d’une chose, unique, précise, toujours identique à elle-même.

    Or parler de corpuscule sans que ce soit un objet, c’est renversant !!!

  • A la question posée par les fentes de Young, la réponse de De Broglie-Bohm : lire ici

  • bonjour, je suis un peu bête en sciences, mais cette experience me fascine.
    Je me pose cependant une question pourquoi s’être limité qu’à 2 fentes et ne pas
    avoir poursuivit l’expérience avec d’autres parametres comme 3 ou 4 fentes pour voir
    comment ces particules se comportaient ? car j’imagine que l’eau elle se décuple dans les
    fentes pour se comporter en onde qu’elle est et forme plus de bandes sur le mur de reception.
    En variant aussi la matiere et la grandeur des fentes les résultats varient comment ? Cela n’a pas d’incidence pour la compréhension du phénomene ? si ils l’ont fait cela serait bien d’en connaitre les resultats .

  • JFP¦¦15092019¦¦Nous faisons des sauts d’article en article, comme exactement des sauts quantiques, pour arriver à cet article, sachant que nous sommes parti des articles [Y a-t-il des sciences exactes ?] nous recommandant d’aller voir [Ce que nous apprend l’expérience des fentes de Young] où ce dernier article nous renvoie sur celui-là ¦¦Nous mettons des phrases que nous ne comprenons pas et entourées de crochets, avec après nos commentaires.
    ▬[Du coup, il est certain que le photon est passé par une fente ou par l’autre. Comment le photon peut-il interférer
    puisqu’il ne passe que par une fente et qu’on envoie les photons indépendamment, un par un ?]
    ▬Avant d’arriver à cette phase commençant pas "Du Coup", il n’y aucune démonstration comme quoi la lumière passe par une seule fente par rapport aux deux fentes, et on ne comprend pas cette certitude et affirmation de dire que le photon passe QUE par une fente , car on n’en sait rien ‼‼ Comment se représenter le corpuscule du photon physiquement Ɂ Est-il une sphère Ɂ Un point ponctuel qui est une aberration physique Ɂ Ou encore une autre forme géométrique, mais laquelle Ɂ
    ▬Dans ces explications, on ne parle pas des largeurs de fente, et de quelle distance ces fentes sont séparées, comme on ne parle pas de la fréquence des photons donnant une longueur d’onde et part la même une amplitude de l’onde ‼‼ Dans ces explications synthétisées on ne nous donne absolument pas des valeurs et des caractéristiques des expériences réalisées, c’est dommage ‼‼
    ▬[La seule manière d’interpréter est de reconnaître que le photon ( ou l’électron puisqu’on peut faire l’expérience de Young avec des électrons) n’est pas seulement un corpuscule, qu’il est entouré d’une nuage du vide qui détermine les positions des particules et qui, lui, passe par les deux fentes...]
    ▬Difficile à comprendre ce qu’est un nuage de vide entourant la particule car après ce nuage c’est encore du vide ‼‼ Donc quelle distinction entre le nuage de vide entourant la particule, et le reste de vide Ɂ Comment différencier les deux vides Ɂ On suppose que ce nuage de vide suit la particule qui est le photon ou l’électron, ce qui veut dire que ce nuage va à la vitesse de la lumière, mais est-ce que cela est vraie comme possibilité et explication Ɂ
    ▬[ la base de la matière comme du vide est située dans le vide quantique constitué d’une contradiction fondamentale : des couples particule/antiparticule]
    ▬Quelle différence entre le vide et le vide quantique Ɂ Car on nous dit que le vide est situé dans le vide quantique ‼‼Mais qu-est -ce qu’une particule et qu’une anti-particule si ce n’est que leur contraire en charge. Pourquoi parler toujours de cette façon quand on veut exprimer des charges opposées, c’est à dire positives et négatives sans pour autant parler de particules. L’anti-particule nous fait penser à un autre monde, car notre monde n’est constitué que de particules, alors pourquoi parler sous cette forme d’autant que ce ne sont que les charges qui sont utiles Ɂ
    ▬[Ces deux sources interfèrent et forment sur la plaque photographique ce que l’on appelle une figure d’interférence. Cette figure est caractéristique d’un comportement ondulatoire de la lumière.]
    ▬Qu’il y ait des franges résultat sur l’écran ne nous donnent aucunes explications physiques de ces franges ‼‼ Cela est un constat de voir ces franges par le procédé qu’il y a deux fentes où peut passer la lumière, mais il n’y a pas d’explication physique du comment et du pourquoi, et donc la cause de ces franges...
    ▬[L’interprétation de cette expérience est difficile, car si on considère la lumière comme une onde, alors les points d’impacts sur la plaque photographique sont inexplicables ; on devrait voir dans ce cas très faiblement, dès les premiers instants, la figure d’interférence, puis de plus en plus intense.]
    ▬Normalement une onde peut se diviser, car dans le cas des vagues d’eau reprenant les mêmes expériences il y a bien interférence entre les vagues passées par les fentes, et du coup hauteur comme creux résultats sont réduit et peuvent s’additionner ou se soustraire. Nous ne comprenons pas pourquoi on appelles des photons des ondes et de plus des ondes électromagnétiques ‼‼ Ces photons ne sont pas des ondes mais ils oscillent, et ce n’est pas parce que il y a oscillation, et donc fréquence que ces entités soient des ondes ‼‼ D’ailleurs à chaque fois que l’on essaie de comprendre ce qu’est un photon, et bien toutes les explications ne nous donnent pas vraiment d’image. On a des représentations avec des sinusoïdes représentant la charge et perpendiculairement d’autres sinusoïdes représentant le magnétisme, mais ces représentation ne sont que des inventions, car nous pensons que l’on ne peut pas tester les photons longitudinalement dans leur sens de parcours...
    ▬[Le vide quantique contient de telles paires virtuelles et cet effet a été observé sous le nom de « polarisation du vide ».L’électron se trouve interagir avec la charge d’un des éléments de la paire virtuelle, en sorte qu’un électron quantique n’est jamais « nu » mais « habillé » d’un essaim ou nuage de paires virtuelles qui polarisent son environnement immédiat et modifient, par voie de conséquence, ses niveaux d’énergie. (…) La procédure dite de renormalisation considère que la masse et la charge physique de l’électron sont celles de l’électron « habillé » et non celles de l’électron « nu ». ce dernier n’existe pas réellement, puisqu’il est toujours impensable sans son champ. »]
    ▬Nous ne pensons pas que le vide quantique puisse être tester hors de particules élémentaires, car le vide que l’on teste est celui proche des particules, ce qui est totalement différent, car après tout on ne sais pas si les particules peuvent avoir des extensions, car une particule n’est pas un objet bien fini mais justement très flou. Ce que l’on teste est alors l’approche de la particule mais pas vraiment le vide, car cette approche peut aussi appartenir à la particule et non au vide ‼‼ Tester les abeilles libres d’un essaim ce n’est pas tester l’espace où ces abeilles volent ‼‼ Sans essaim et donc sans abeilles on ne peut pas tester l’espace ‼‼ Si on pouvait tester le vide sans particule, cela voudrait dire que le vide est orienté, et donc que l’espace est orienté, et nous ne croyons pas que l’espace soit orienté ‼‼ Nous ne croyons pas à pouvoir tester la polarisation du vide comme il est dit, car ce que l’on teste c’est toujours ce vide mais dans l’approche d’une particule chargée positivement ou négativement, ce qui fait que l’on teste la dispersion de cette particule et non le vide lui-même. Il est curieux que tu utilises le mot essaim que tu nous refusais il y a quelque temps, et pourtant cette image d’essaim est plus parlante qu’un nuage, car quelle est la constitution à donner pour un nuage Ɂ De parler d’électron nu ou habillé nous parait curieux, car sait t-on isoler un électron pour qu’il soit nu Ɂ D’après tes explications toute particule est dans le vide, mais un vide spécial car il est plein. Isoler un électron pour qu’il soit nu, il faudrait vider ce vide plein, mais nous pensons que nous ne savons pas le faire, et donc de vider le vide de ce qu’il contient est impossible. Donc de parler d’électron nu ou habillé n’est pas clair.Par contre il peut y avoir des différences entre un électron isolé, et un électron associé à son noyau, car dans l’environnement de son noyau, ses caractéristiques changent certainement, et là le vide entre noyau et électron n’est pas le même que celui sans particule, et le vide proche et externe est encore un autre vide. Tu parles de champs de l’électron et tu parles aussi de nuage de polarisation, mais cela nous semble la même chose, ce qui veut bien dire que l’électron qui est pris comme exemple à une extension dans l’espace et champ ou nuage de polarisation c’est toujours lui l’électron et cela lui appartient, même si il y a des échanges avec cette extension dit de champ, ce champ lui appartenant. L’électron n’est pas un corpuscule limité, mais justement flou et déformable et s’étalant, et donc ce que l’on teste n’est pas le vide, mais son extension ‼‼ Il est dit dans le texte, que l’électron sans son champ est impensable, on se demande alors pourquoi parler d’électron nu si cela n’est pas réalisable, car c’est comme si on parlait d’une galaxie sans ses étoiles ‼‼ Et le rapprochement d’image, malgré des échelles totalement différentes est une bonne représentation de similitude entre ces deux objets complètement différents. L’atome est ses électrons en correspondance avec un système solaire avec ses planètes, est bien loin d’un galaxie représentant un seul électron ‼‼
    ▬[Rappelons nous que les expériences de fentes fonctionnent avec des fentes suffisamment étroites pour laisser passer le corpuscule sans laisser passer l’onde du corpuscule, agitation du vide qui entoure le corpuscule et se propage autour.
    ▬Il aurait été bon de donner des dimensions dans ces explications, car laisser passer le corpuscule sans laisser passer l’onde nous sommes légère comme explication. Quelle fréquence à l’onde et donc quelle amplitude elle a Ɂ Pour le corpuscule de l’onde, nous croyons connaître ses dimensions, car en fait il n’en a pas, car il est dit qu’il est un point ponctuel, auquel nous ne croyons pas d’ailleurs, car le point est une aberration physique ‼‼ Une question, si toutefois on peut y répondre¦¦Si on tire des électrons ou photons se trouvant juste à coté des fentes ou entre les fentes, et donc buttant sur la plaque ou sont les fentes, est-ce que ces particules passent quand même par les fentes Ɂ Et puis est-ce que l’espacement des fentes fait varier les dimensions des franges Ɂ Jusqu’à quelle dimension minimum on peut rapprocher ces fentes Ɂ Est-ce que le fait de faire deux trous au lieu des fentes, aurait changé au niveau des interférences Ɂ De dire que l’onde ne passe pas mais que le corpuscule passe, au travers de la ou des fentes, cela sous-entent que l’amplitude de l’onde est plus grande que la largeur d’une fente, mais cela sous-entend aussi que le corpuscule se trouve dans la direction et l’axe de la fente. Si cette direction est légèrement décalée, cela fait que le corpuscule devrait buter à coté de la fente, mais les particules passent t-elles alors ou pas Ɂ Dans cette interrogation de décalage de visée, il faut considérer que l’amplitude de l’onde englobe quand même la fente. Si nous tirons des électrons ou des photons exactement entre les deux fentes, et que l’amplitude de l’onde couvre bien les deux fentes, que se passe t-il Ɂ
    ▬[ La mécanique quantique est une théorie problématique pour trois raisons étroitement liées. La première est son échec à donner une image physique de ce qui se passe dans un processus ou une expérience individuels : contrairement aux théories physiques précédentes, le formalisme que nous utilisons en mécanique quantique ne peut pas être lu comme nous montrant ce qui se passe à chaque instant. Deuxièmement, dans la plupart des cas elle échoue à prédire le résultat précis d’une expérience ; plutôt que de nous dire ce qui va se passer, elle ne nous donne que des probabilités pour les différentes choses susceptibles de se produire. La troisième et plus problématique caractéristique de la mécanique quantique est que les notions de mesure, d’observation ou d’information sont nécessaires pour exprimer la théorie.
    ▬Il n’est pas étonnant que nous ne comprenons rien dans cette physique quantique, si les représentations n’existent pas. On peut même se demander comment ces physiciens font pour comprendre cette quantique si tout est abstrait ‼‼
    ▬[Alors je me range aux côtés d’Einstein. Je crois qu’il existe une réalité physique objective et que quelque chose qu’on peut décrire se produit quand un électron saute d’un état d’énergie dans un autre. Et je cherche une théorie qui en donne cette description. »
    ▬Et bien nous nous rangeons également du même coté que toi ou vous, car essayer de comprendre l’abstrait nous est chose impossible, car derrière des descriptions non linéaires de bouts de quantiques, il y a forcément un fil conducteur que l’on ne connaît pas, et c’est bien ce fil qui manque pour comprendre cette physique, car les actions ou événements décrits par cette quantique sont toujours discontinus sans fil conducteur.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦09102019¦¦Nous croyons que nos concepts vont dans le sens de ces particules virtuelles qui existent même éphémèrement et nous voulons les constituer par quelque chose, c’est à dire les remplir par une notion.¦¦Comme tu n’apprécies pas ce terme de grains élémentaires que nous avons donné, nous pourrions alors dire des miettes de particules élémentaires, des miettes de corpuscules, des miettes de particules virtuelles. Ou alors encore des bouts, des portions, des bribes, des débris, des lambeaux, des tronçons, des tranches, des fragments, des fractions, des extrais, des morceaux, des granules, des pilules, des boulettes, des granulés, des graines, et toujours de particules élémentaires comme de virtuelles ou encore de corpuscules. Mais nous pensons que cela serait plus difficile en écriture, et pas plus compréhensif en lecture. Alors on dira des trucs, des machins, des bidules... Qui aurait-il comme mots pour décrire la constitution de particules élémentaires ou virtuelles même éphémères ou changeant d’état Ɂ
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦11102019¦¦Une particule virtuelle est constituée de quoi ?
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦11102019¦¦Super car une réponse simple sur une question simple mais virtuelle. Donc le virtuel serait constitué de "virtuel de virtuel", et nous supposons alors que le "virtuel de virtuel" serait composé de "virtuel de virtuel de virtuel ", et ainsi de suite. Cela voudrait dire que les emboîtements (avec un chapeau sur le I) sont sans fin, et que tout ce que nous connaissons et même de ce que nous ne connaissons pas est et serait discontinu, car le continu ne peut pas exister, à moins d’avoir une échelle limite, mais alors quelle échelle limite Ɂ Dans ces dialogues et questionnements un peu philosophiques, où s’arrête les emboîtements, si ils s’arrêtent Ɂ Si cela ne s’arrête jamais dans l’infiniment petit, on se demanderait pourquoi l’infiniment grand s’arrêterait également Ɂ D’ailleurs le terme "infini" veut bien dire que c’est sans fin. Si dans d’échelle du très petit imaginable qui est totalement concevable où cela ne s’arrête jamais, dans l’échelle du très grand par contre il y a un vrai problème de fond, car notre univers est soit disant en expansion ‼‼ On voit très mal une expansion dans un univers infini, car par la définition même, l’infini ne peut pas grandir ‼‼ Nous dirons alors que l’expansion de l’univers est un leurre, et pourtant cela à commencé il y a plus de 100 ans ‼‼ Si il y a d’autres univers que le notre, comment alors appeler l’ensemble de tous les univers possibles Ɂ D’après votre philosophie cela serait alors "l’univers de l’univers", c’est à dire l’ensemble de tous les univers, sachant que cet ensemble est infini, et qu’il n’est nul besoin de concevoir "l’univers de l’univers de l’univers" et ainsi de suite. La vraie question est alors pourquoi les emboîtements s’arrêtent aux grandes échelles et non aux très petites échelles Ɂ Nous pensons savoir pourquoi les imbrications s’arrêtent à grandes échelles qui est que ces mêmes imbrications ne s’arrêtent pas à petites échelles. Nous ne connaissons même pas vraiment notre vrai univers, car ce que nous détectons, est fonction d’une limite visible ou détectable, où d’ailleurs les calculs de densités ou autres s’adressent forcément que sur ce que nous voyons et détectons, car le juste après est en fait le néant, mais un faux néant car c’est le point d’interrogation, même si on sait que cela est totalement faux e cette fausse limite. Nous avons un modèle qui est la diversité des galaxies, et aussi des emplacements particuliers de ces galaxies réparties sur des filaments englobant des bulles de vide sans matière, avec des croisements de filaments où la densité des galaxies est plus grande, et ce modèle peut se retrouver hors de notre portée de détection sans savoir si ces bulles et galaxies diminueront, ou encore s’étalera à l’infini. Si ce modèle se dilue dans l’espace, cela veut dire que notre univers est fini, même si il est flou, et donc que d’autres univers peuvent exister, sur un modèle de grandeur que nous ne pouvons pas connaître. Ces grandeurs extrêmes nous ne intéressent pas trop, car ce que nous scrutons de l’espace galactique, ce sont les différents objets qui y sont. Donc l’infini du grand ne nous intéresse pas, parce que cela est plus philosophique que physique, et il n’y a que les objets particuliers de cet espace galactique qui nous intéresse. Dans cette physique quantique, c’est justement l’inverse de cette physique cosmologique ou autres, car nous voulons comprendre ce qu’est la matière par laquelle nous sommes constituée, et aussi ce vide qui s’y rattache. En descendant dans ces profondeurs d’échelles de l’infiniment petit, les comportements et les lois n’ont plus rien avoir avec celles du macroscopique. C’est une sorte de dichotomie à rechercher toujours plus bas ce qui est et savoir ce que c’est. Partant de cet atome soit disant insécable, ce dernier à été divisé par deux, car d’un coté le noyau atomique, et de l’autre coté les électrons. Le noyau peut encore se diviser en deux notions d’éléments que sont proton et neutron, et de ces derniers on peut encore diviser par deux mais surtout par trois que sont les quarks. Nous arrivons donc à ces quarks et ces électrons, et on nous dit encore qu’ils peuvent être divisé par deux, car constitués de paires de particules virtuelles de charges opposées. Donc d’après ce que nous avons compris des lectures de ces articles de "Matière et Révolution", des paires de particules virtuelles sont la base des constitutions des particules élémentaires. Ce que nous n’avons pas compris c’est qu’il existe des électrons virtuels, comme des quarks virtuels comme encore des photons virtuels, comme toutes les particules élémentaires en virtuel, et ces entités disparaissent et réapparaissent sans savoir si ce sont les mêmes d’ailleurs. Nos questions étaient de savoir de quoi sont constituées ces paires de particules virtuelles, et la réponse est de ’virtuel de virtuel". Voilà une grande avancée pour bien nous dire que tout est emboîté, mais on ne sait pas si ces emboîtements sont sans fin., car où s’arrête ces emboîtements et donc y a t-il une vraie fin d’imbrication Ɂ Nous pensons, et cela ne sont que nos idées, que cela s’arrête à une certaine échelle, et donc qu’il puisse y avoir des entités en continu qui seraient la fin des emboîtements. Nous avions commencé par utiliser cette expression de poussières d’atome ou poussières de particules élémentaires, définissant la composition des quarks , des électrons, des photons... mais ce terme de poussière ne plaît pas, alors nous sommes passé au mot de grain, mais le grain n’est guère plus apprécié. Nous pensons parler et comprendre les mêmes choses et avoir les mêmes conceptions, mais avec des mots différents qui n’ont rien de scientifiques. Pourtant ce mot particulier de granulaire revient souvent dans vos articles, définissant du coup une discontinuité systématique, et veut bien dire que la chose est formée de grains. Si une entité est granulaire, c’est que forcément elle est constituée de grains et peu importe de quel grain. Dans cet esprit de grains il y a même des mots inventés dans vos articles, mais ne venant pas forcément de vous, ainsi AGRAINDISSEMENT au lieu de agrandissement, et ce mot de AGRAINDISSEMENT revient dans plusieurs de vos articles. Nous avons du mal avec ces mots inventé ayant une correspondance en anglais, car on ne les retrouvent pas dans des définitions françaises. Nos mots sont simples et même rudimentaires, et cela ne nous empêche pas de concevoir des notions de bas niveau, et nous préférons de loin utilisé grain positif ou grain négatif, que particule virtuelle et anti-particule virtuelle car déjà que veut dire l’anti de quelque chose si ce n’est que la charge opposée. C’est comme si la réalité était POSITIVE et son contraire NÉGATIF. C’est une façon de concevoir qui nous gênes car la réalité est aussi bien POSITIVE que NÉGATIVE. En considérant un noyau atomique de charge négative et des éléments autour de charge positive, POSIF et NÉGATIF constituent aussi bien l’anti-matière que la matière, car dans les deux cas on retrouve toujours les mêmes charges opposée, mais placées différemment... Donc de parler d’anti-particule virtuelle n’est pas clair, dans la mesure où on ne donne pas de référence contraire du type de particule réelle à laquelle on fait référence. Pour nous parler du "virtuel de virtuel" utilisé pour la constitution des particules virtuelles ou des grains formant des tas non spécifiques, et bien cela veut dire strictement la même chose, sauf que l’on ne fait pas de copie du réel en le transformant en virtuel et supprimant les masses... Que ces grains se regroupent par paire par couple et de charge opposées cela ne change rien à la conception de ce monde de Mécanique quantique, où le grain remplace le virtuel. Nous pensons que cette notion de virtuelle s’est amplifiée depuis les début de cette physique quantique, et que le langage est de moins en moins compréhensif. Le constat ressenti est que nous gênons par notre simplicité, où dans ce monde de la physique il y a plus de branches d’entités. Effectivement si chaque entité dit particule possède un vrai nom, cette même particule est aussi associée à une branche de division, une classe, un genre, un type.... Ainsi partant d’un tronc commun, deux branches arrivent, et chaque branche se divise encore en deux, et ainsi de suite pour arriver à un nom de particule. La particule possède donc un vrai nom, mais elle possède aussi des noms de ses branches dont elle est issue, et on parlera de groupe, de classe, de genre, de type... et tout ceci n’apporte strictement rien à la compréhension de ces particules, d’autant si elles sont toutes constituées de grains pour être simple ou encore de virtuel de virtuel pour être un peu plus compliqué.
    ▬Nous pensons que nous décrivons et concevons presque la même chose, mais nous utilisons des mots ordinaires qui ne sont pas scientifiques, et donc que la crédibilité ne peut pas être au rendez vous. On osera quand de vous demander de quoi est constitué le "virtuel de virtuel" et nous pensons connaître déjà la réponse. Voici une vraie question ¦¦Et-ce que lé "virtuel de virtuel" possède des charges différentes Ɂ Nous somme désolé de vous ennuyer.
    ▬Nous ne sommes pas écarté du sujet principal de l’article qui est¦¦les fentes de Young, car la question reste toujours en suspend qui est pourquoi avec deux fentes des interférences se créer avec un seul corpuscule ou une seule particule, et de savoir comment cette entité procède pour passer au travers de deux fentes. Pour vous c’est le nuage de polarisation de l’entité qui se divise en deux et qui passe au travers des fentes, et que ce dernier est rattaché à l’entité, et que cette entité ne passe que par une seule fente. Pour nous l’entité est malléable et se déforme comme se divise, et passe donc à travers les deux fentes, car le nuage dont vous parlez fait partie intégrante de la particule, et donc que le corpuscule ou particule est le nuage sans plus de corpuscule ou de particule. Dans votre concept il y a deux objets d’instincts, alors que dans le notre il n’y a qu’un seul objet. Maintenant démontrer pourquoi ces interférences et donc ces franges est une autre affaire, où nous avons pourtant déjà donné des possibilités. Votre nuage de polarisation se divisant par deux et passant donc par les fentes, ne donne pas plus d’explication sur ces franges. Nous ne voulons pas contrecarrer vos concepts, nous avons seulement des idées différentes sur ce qu’est une particule élémentaire. Si vous considérez qu’une particule réelle et composée de virtuel, on se demande pourquoi une partie supplémentaire qui est votre nuage serait aussi des particules virtuelles, car si l’ensemble sont des particules virtuelles, pourquoi alors faire de distinguo entre objet et nuage si les entité de composition sont les mêmes ‼‼ Nous vous remercions de vos retours même si les nôtres sont quelques fois filtrés.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

    • Agraindissement, « Nous avons du mal avec ces mots inventés » dites vous...

      Inventés effectivement par les physiciens, quelle que soit leur langue !!!

      Dans « Le quark et le jaguar », le physicien Murray Gell-Mann écrit :

      « Jusqu’à quel niveau de détail faut-il compter ? (…) Lorsque l’on définit la complexité, il est toujours nécessaire de spécifier un niveau de détail où l’on s’arrête dans la description du système, ignorant les détails les plus fins. Les physiciens appellent cela l’ « agraindissement ». L’image qui a inspiré cette expression est probablement celle du grain en photographie. Lorsque le détail d’une photographie est si petit qu’il nécessite un très fort agrandissement pour être identifié, l’agrandissement peut faire apparaître les grains individuels qui composent la photographie. Au lieu d’une image claire du détail, on ne verra que quelques points n’en donnant qu’une représentation grossière. (…) Une fois établie l’importance de l’agraindissement, nous restons confrontés à la question de savoir comment définir la complexité du système à l’étude. (…) Au moins une manière de définir la complexité d’un système revient à utiliser la longueur de sa description. »

  • JFP¦¦12102019¦¦Merci de vos retours qui ne sont liés qu’à nos dérives sur un sujet principal¦¦"Les fentes de Young". Réponses à vos retours de nos dérives et non de nos délires¦¦Pour le mot AGRAINDISSEMENT¦¦Si des personnes reconnus (physiciens ou non d’ailleurs) inventent des mots, et que d’autres personnes les suivent, cela ne reste que des mots inventés non reconnus par l’académie française, et donc non répertoriés comme des mots non reconnus. Il est vrai pour que cette académie puisse enrichir et reconnaître la validité de certains mots, il faille faire des écrits employant ces mots par d’autres personnes qu’eux mêmes. Une langue évolue tout le temps et dans chaque pays. Ce mot de AGRAINDISSEMENT est sûrement l’invention de GELL-MANN paru dans son livre "Le quark et le jaguar où nous supposons qu’il a été édité vers les années 1998, et donc cela fait plus de plus de 20 ans. Si cette académie française, même assez lente, n’a pas introduit et reconnu ce nouveau mot de AGRAINDISSEMENT, c’est qu’elle le refuse. Il y a sûrement une grande similitude et ressemblance phonétique entre AGRANDISSEMENT et AGRAINDISSEMENT, mais quel rapport entre agrandir quelque chose et les GRAINS ‼‼ Ɂ Et bien pas grand chose dans le sens du mot GRAIN ou GRAINE ‼‼ L’invention de mots, ne donne pas de droit de validité, car il y a un respect des racines des mots, et leurs histoire. Ce mot de AGRAINDISSEMENT n’est pas plus reconnu par le dictionnaire du scrabble, même si cela vous semble ridicule comme argumentation. Nous utilisons ce dictionnaire, car c’est sûrement le seul dictionnaire répertoriant le plus de mots. Quand vous ne connaissez pas un mot, et bien vous essayez de le rechercher par le biais d’outils internet, et il s’avère que ce mot ne soit pas répertorié, même si il est employé dans certains ouvrages, dont vos articles d’ailleurs. Cette recherche devient frustrante quand elle n’aboutit pas. Écrire un article à partir d’un mot inventé non reconnu, nous parait curieux comme démarche, mais on comprend aussi que le sens du mot puisse être un vrai sujet, malgré ne pas pouvoir mettre une vrai étiquette de définition sur le mot. D’ailleurs AGRAINDISSEMENT n’est sûrement pas le mot origine, car sans doute lié à une traduction...
    ▬Merci encore pour votre renvoi sur un article qui est une brève de votre site sur la notion du vide. Nous allons lire cet article. Ce que nous ne comprenons pas c’est pourquoi certains articles sont accessibles et classés d’une certaine façon, et une autre notion de brève classée autrement. Pourquoi distinguer deux notions, et nous avons eu aussi à faire à la notion de MOT qui est encore autre chose, et qui n’est pas classé et répertorié. Pour nous, article, brève, note, mot... sont les mêmes choses qui sont des blocs de texte ayant des sujets spécifiques, et on ne voit pas pourquoi faire des distinguo sur l’ensemble de ces notes Ɂ
    ▬Comme il n’y a pas de retour sur le sujet principal qui est¦¦"Les fentes de Young", nous allons reformuler autrement nos réflexions et les vôtres, mais sans dérives, car si les retours sont liés qu’aux dérives, cela noie le poisson. D’ailleurs nous avons déjà remarqué que vos retours s’adressent que sur un point soulevé, et non à l’ensemble des questions et des points soulevés par les utilisateurs-lecteurs. Il faudrait donc envoyer nos questionnements sur un point précis et non sur des regroupements de points divergents. Mais cela oblige à envoyer plus de messages, et est-ce la bonne solution Ɂ
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦13102019¦¦En reprenant vos mots¦¦Ce qui me chante c’est l’étonnement qu’avec seulement 8 notes de musique, on puisse avoir autant de mélodies, et aussi tant de musiques, bien plus que la matière et ses atomes constituant des tas de matériaux, et que presque tous les jours des nouvelles chansons naissent du néant maquillées par des hommes et des femmes de tous ages, et avec des rythmes, pauses et cadences, plus nombreux que les fréquences des photons.
    ▬Nous venons de lire¦¦[Finalement, qu’est-ce que le vide et qu’est-ce que la matière, que sont leurs interactions ?], et finalement, car tout a une fin, je viens de rédiger 36 questions sur vos phrases de cet article, et donc soit je découpe pour envoyer une question pas jour, soit j’envoie d’un bloc ma rédaction en une seule fois, si cela passe évidement, car même en minimisant mes phrases et ne faisant pas de dérive, le texte final est assez conséquent. Bien sûr envoyer au compte goutte serait sûrement préférable pour vous, mais envoyer ces gouttes sur plus d’un mois serait inadéquat pour ma part, car je n’ai pas d’outils enclenchant à une heure précise des envois. Donc un travail absurde et non constructif. Je me réserve donc ce travail sans trop savoir comment vous l’envoyer, et nous verrons plus tard. Si vous avez d’autres articles aussi passionnant que ce dernier article que vous m’avez conseillé, et que je n’aurais pas trouvé pour être bref sur ces brèves, donnez moi alors des renvois sur des articles à lire en priorité, concernant ce vide et ce virtuel de virtuel. Ceci évitera sans doute de vous envoyer toutes mes réflexions et mes questions. Nous vous remercions d’avance.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Un conseil de méthode simple de recherche sur nos deux sites : vous ouvrez les deux plans de sites et vous cliquez sur la fonction « rechercher » avec le mot VIDE

    Plan un

    Plan deux

  • JFP¦¦13102019¦¦Nous vous remercions pour les bons plans de recherche d’après des mots clés, mais nous avons déjà utilisé ce type de recherche qui nous semble trop difficile et inadéquate pour rechercher sur des petites chaînes de caractères. D’une part on ne peut pas diriger la recherche QUE sur les titres des articles ou rubriques ou autre, car cette recherche s’effectue aussi bien dans les titres que dans les contenus des articles. Et donc rechercher des articles où le mot VIDE est utilisé nous donnerait des tas d’articles, sans que le sujet principale soit le vide. On ne peut donc pas rechercher ces articles par les titres des articles, car avec les contenus non aurions des centaines d’articles, et on passerait notre temps à filtrer. D’autres part un train peut en cacher un autre, et dans ce sens, un article trouvé par une recherche élimine les articles possédant des renvois sur d’autres articles, et cela ne nous donne pas alors de liste exhaustive, car un article peut en cacher d’autres, et même sans renvoi d’ailleurs, car vos articles sont en binômes, c’est à dire mariant deux bases, et si un article est sur une base, l’autre article en binôme ne sera pas donné. Ce n’est pas que nous sommes pointu et difficile, mais cette possibilité de rechercher nous parait inadéquat pour un petit groupe de mots. Si cela n’est qu’un seul mot, et d’autant plus courant, alors la recherche ne sert à rien, car cela serait essayer de trouver l’aiguille dans une botte de foin, où d’ailleurs il manque des brins de foin effaçant une partie de l’aiguille, à cause des renvois et des binômes, ne nous donnant pas ces articles. La meilleurs façon de rechercher des articles est d’avoir un certain nombre de mots et de plus encadré entre double guillemets, mais faut-il connaître cette série de mots pour rechercher quelque chose. Si le mot est très peu utilisé par les articles, et bien cela est parfait comme recherche.
    ▬Nous allons lire les articles externes de votre site que vous nous proposez, sur cette notion de virtuel e virtuel en espérant éliminer nos questions su ce même article, et du coup moins vous solliciter. Nous essayons d’épurer nos questions évitant du coup de vous solliciter.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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