Contribution au débat sur la philosophie dialectique du mode de formation et de transformation de la matière, de la vie, de l’homme et de la société
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Préface de Molière à « Le Tartuffe » :
« Si l’emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes, je ne vois pas par quelle raison il y en aura de privilégiés. »
Molière dans « Le Misanthrope » :
« Qui n’a pas le don de cacher ce qu’il pense doit faire en ce pays fort peu de résidence. »
Un jour l’entourage du roi refusa d’admettre Molière au souper d’étiquette. Louis XIV alors, l’invitant à se placer à ses côtés, le fit manger avec lui, en disant à haute voix aux courtisans (...)
Heinrich Heine et la révolution
Amoureux de la vie, elle ne l’a pas gâté
Poète allemand, l’Allemagne l’a rejeté
Grand poète Juif d’Allemagne, les Juifs d’Allemagne et du monde l’ont oublié
Mais poète révolutionnaire, il a été aimé des révolutionnaires du monde dont ses amis personnels Marx et Engels…
« Il se disait le fils et l’amant de la Révolution Française sous laquelle il aurait été certainement guillotiné, lui l’oiseau libre et impertinent. Comme un papillon épris de (...)
“Nous sommes enclins, malgré nous, à nous pénétrer de ce sentiment à l’égard de ceux qui dissertent beaucoup trop et trop aisément, par exemple, sur la « culture prolétarienne » : il nous suffirait pour commencer d’avoir une véritable culture bourgeoise ; il nous suffirait pour commencer de nous passer des types particulièrement invétérés de cultures prébourgeoises, c’est‑à‑dire bureaucratique ou féodale, etc. En cette matière, la précipitation et la surenchère sont le plus nuisibles. (...)
Le faubourg des coups-de-trique de Alain Gerber (extraits) :
Les gens du faubourg n’étaient pas des gens qui comptent. Mais ce n’était pas n’importe qui : c’était nous. On avait notre façon d’être et de considérer les choses. On parlait à notre manière. On avait nos idées. Ce qui n’allait pas, c’est qu’on avait honte de nous-mêmes. On ne pouvait pas s’en empêcher. Entre nous, bien sûr, on faisait les fiers ; il ne fallait pas trop nous chercher. Mais dans son for intérieur, chacun savait (...)
Goethe et la révolution
Goethe : "Le philistin est un boyau vide, rempli de peur et d’espoir que Dieu le prendra en pitié."
Extrait de « Faust » :
MÉPHISTOPHÉLÈS
« Je suis l’esprit qui toujours nie ; et c’est avec justice : car tout ce qui existe est digne d’être détruit… Mon bon ami, toute théorie est sèche, et l’arbre précieux de la vie est fleuri. »
MÉPHISTOPHÉLÈS. Ou l’argent
« Méprise bien la raison et la science, suprême force de l’humanité. Laisse-toi désarmer par les (...)
Doris Lessing laisse une œuvre immortelle
Qui était Doris Lessing
Des romans de Balzac
Lafargue :
Balzac se réclame de Geoffroy Saint-Hilaire, l’élève et le successeur de Lamarck, le représentant génial de la théorie du milieu, théorie qui met en lumière l’action du monde extérieur sur les êtres qui se développent dans son sein ; il est partisan de la loi de corrélation des organes, à laquelle se ralliait également Goethe. Chaque changement du monde extérieur trouve pour ainsi dire un écho dans une modification correspondante chez les animaux et les (...)
Quoi de neuf au théâtre en octobre 2013 ?
Théâtre de l’Epée de Bois – Cartoucherie de Vincennes
Le code noir
Jusqu’au 28 octobre
Tel 01 48 08 39 74
Théâtre Gérard Philipe (Saint-Denis)
Le triomphe de l’amour
Jusqu’au 20 octobre
Tel 01 48 13 70 00
La Colline (Paris)
Des arbres à abattre
et
Perturbation
Jusqu’au 25 octobre
Vers Wanda
Du 4 au 26 octobre
Tel 01 44 62 52 52
Les Gémeaux (Sceaux)
Azimut
Jusqu’au 20 octobre
Tel 01 46 61 36 67
Théâtre de la (...)
Les souffrances du jeune Werther de Goethe
La ferme des animaux d’Orwell