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Est-ce que la Physique étudie une réalité objective ou seulement une interaction objet/observateur ?

jeudi 21 octobre 2021, par Robert Paris

Est-ce que la Physique étudie une réalité objective ou seulement une interaction objet/observateur ?

Avant la Physique quantique, c’est-à-dire avant les années 1900, la réponse allait de soi : la physique étudie la réalité et son but est de décrire le mode d’action de la matière et de la lumière. Certes, elle le fait en utilisant le langage particulier des mathématiques mais son but est clairement la connaissance d’un monde objectif qui existe indépendamment de l’observateur et que ce dernier n’influence pas par son observation. Comme aurait dit Einstein, je veux croire que la lune existe même quand je ne l’observe pas et de la même manière que si je ne l’observe pas.

D’ailleurs, pour ce type là d’observation, les physiciens sont toujours d’accord que l’on peut croire dans une réalité objective et dans le fait que la lune n’est pas affectée par notre observation. Les plus durs des physiciens agnostiques diraient que « tout se passe comme si la lune existait objectivement mais rien ne le prouve directement à part nos sens qui peuvent toujours être trompés. »

Et ces physiciens se fondent sur la physique qui s’est développée à partir de l’étude du monde microscopique, matériel comme lumineux. Car cette étude a au moins montré que nos sens nous trompaient sur bien des points. Non seulement, la « réalité » n’est plus apparue de la même manière depuis les développements de la physique quantique mais il est apparu des expériences dans lesquelles c’est le choix de l’observation qui guide le type de réponse de la matière. En simple, on peut dire que, si on met en place un appareillage pour détecter des ondes, on trouve que « la matière, c’est des ondes » et que, si on met en place un appareillage pour détecter des corpuscules, on trouve que « la matière, c’est des corpuscules ». Et il en va exactement de même pour la lumière. On appelle ici, en gros, « matière » tous les fermions et « lumière » tous les bosons.

En fait, avant même les développements de la physique quantique, on avait des doutes sur nos capacités à dire « ce qui se passe quand ».

Ainsi, un rayon lumineux change de direction en traversant en oblique un nouveau milieu. C’est la réfraction. Il est assez difficile de concevoir un tel comportement si on considère que la lumière est portée par des corpuscules. Cela est plus facile si on la considère comme portée par des ondes. Dans le cas de la réflexion d’un rayon lumineux par un miroir, c’est le même problème : difficile d’interpréter ce qui arrive aux corpuscules pour qu’ils entrent un tout petit peu dans le miroir avant d’être réfléchis…

Voici donc des expériences qui nous disent, semble-t-il, que la lumière, c’est des ondes.

Mais l’arrachement des électrons d’un corps par la lumière nous disent exactement l’inverse.

Mais, en physique quantique, il existe des expériences, comme celle des fentes de Young, où ce type de situation, où c’est la manière dont on mèle l’expérience qui décide, onde ou corpuscule, est encore plus marqué.

Notamment, on peut remarquer, dans cette expérience de Young qui met en évidence à la fois le caractère ondulatoire et le caractère corpusculaire de la matière (ou de la lumière), qu’en changeant les conditions de l’expérience, on va favoriser une réponse ou l’autre. La réception des particules sur les écrans indiquent par exemple le caractère corpusculaire (localisé, ponctuel, discontinu) et la répartition des arrivées multiples sur un grand écran indique des interférences, c’est-à-dire le caractère ondulatoire. Si on cherche à savoir ce qui se passe à l’une des fentes, et donc à vérifier qu’un corpuscule y est bien passé, alors les interférences cessent.

Et ce n’est qu’un exemple d’expérience de type quantique. Tous les phénomènes quantiques montrent ce caractère double, à la fois ondulatoire et corpusculaire et tous vont favoriser l’un des caractère si l’expérimentateur cherche à le faire apparaitre.

Un autre aspect troublant de la physique quantique dans sa version de Copenhague : elle semble ne donner que des résultats probabilistes sans donner la physique sous-jacente. Un peu comme une thermodynamique ou une dynamique des fluides sans la physique des molécules… C’est ce qui amenait Einstein à discuter avec la physique de Copenhague en réclamant « la physique sous-jacente ».

Bien des physiciens-philosophes en ont déduit soit une philosophie agnostique (« je ne peux pas connaitre la réalité »), soit une philosophie idéaliste (« ma pensée détermine la réalité que je perçois »), soit une philosophie positiviste (« je me contente de décrire le résultat de mes expériences, je n’ai pas à philosopher plus avant sur une réalité hypothétique et je n’ai pas de moyens de trancher sur son existence ou son inexistence, ou sur son fonctionnement, sans tomber dans la métaphysique »).

Plusieurs types de physiciens-philosophes se sont opposés à ces points de vue, tout en convenant que la physique quantique était une avancée de la science. Ils défendaient une conception réaliste ou matérialiste, en tout cas la pensée qu’existe une réalité objective et que le but des sciences est de la connaitre et aussi la pensée qu’il n’y a aucun obstacle absolu à la connaissance de la réalité et de son fonctionnement.

L’école de Copenhague de la Physique a longtemps fait dominer le point de vue inverse : pas de connaissance de la réalité, seulement des descriptions d’expériences dans des conditions déterminées et pas de philosophie du réel tirée de la physique.

Einstein a longuement défendu une thèse inverse, celle du réalisme. Il a seulement affaibli la position de l’école de Copenhague mais sans remettre en question les découvertes du caractère quantique de la matière/lumière, c’est-à-dire les particularités du niveau quantique (un quanta ou un petit nombre de quanta au niveau microscopique) qui le rendent étonnant par rapport à notre monde habituel (un très grand nombre de quanta, au niveau dit macroscopique).

Cela ne signifie pas que le point de vue de l’école de Copenhague l’ait réellement emporté et nombre de physiciens ne le pensent pas. C’est l’interprétation de la signification des expériences, comme celle de Young ou des expériences de pensée comme celle des EPR ou du chat de Schrödinger qui est en cause.

D’autre part, ce qui a changé la donne, c’est l’étude quantique du vide et cela permet d’interpréter de manière réaliste (avec une réalité de ce que l’on croyait uniquement virtuel) : par les particules et antiparticules éphémères du vide que l’on disait « virtuelles ». Ces dernières s’avèrent non seulement réelles mais la véritable réalité fondamentale du monde matière/lumière. Et elles expliquent les phénomènes quantiques les plus étonnants et renversants. A commencer par le caractère double des particules : à la fois onde et corpuscule. Elle explique que le changement des types d’expériences donne des réponses différentes : quand on interroge la matière/lumière avec des capteurs de corpuscule, on les trouve et quand on cherche les moyens de détecter des ondes, on les trouve également.

En effet, le vide quantique n’est pas vide. Il est plein de particules dites virtuelles qui ont la capacité d’apparaitre et de disparaitre. Elles ont la propriété d’être éphémères et de ne pas être perceptibles directement par nos expériences parce qu’elles existent à un niveau de structure de la matière inférieure.

Mais, direz-vous, si elles ne sont pas perceptibles, elles n’ont pas de réalité objective ?

Eh bien, il ne nous semble pas que la réalité objective doive dépendre des sens humains ou même des expériences humaines mais de la vaste expérience que représente le monde matériel (au sens large, comprenant matière, lumière et vide quantique).

La matière (microscopique) se perçoit elle-même et perçoit la lumière sans passer par des expériences mises en place par l’homme et qui sont à une grande échelle (macroscopique).

Le fonctionnement microscopique que nous pouvons imaginer (physique quantique des champs de type corpusculaire) doit expliquer les phénomènes qui se déroulent dans les expériences par un fonctionnement que les expériences humaines ne peuvent pas réaliser.

A lire sur cette question

Le monde matériel existe-t-il objectivement, en dehors de nos pensées ?

La thèse de l’école de Copenhague

Le point de vue réaliste d’Einstein

Physique, positivisme et agnosticisme

Physique et réalité

Réalité du monde virtuel du vide

Un exemple : les fentes de Young

D’autres textes à lire sur Physique et Réalité objective

Messages

  • ▬JFP¦¦24102021¦¦Bonjour. Voici votre titre d’article : "Est-ce que la Physique étudie une réalité objective ou seulement une interaction objet/observateur ?"
    ▬A cette question posée qui est le titre de cet article, entre deux choix possibles, je dirai que les physiques essaient de faire les deux choix en même temps, car simplement le monde du quantique, n’est pas visible ou détectable, et ce sont quelques expériences qui nous donne des indices et de l’imagination à répondre de ce que peut être ce monde dit quantique. Cependant on a le droit d’imaginer ce que l’on veux par philosophie sans tomber dans la métaphysique.
    ▬Voici un article vrai, qui nous dit bien que l’on ne sait pas grand chose de cette physique quantique, car ce sont des interprétations reprises par un grand nombre de physiciens reconnus, donnant une certaine orientation de vision avec des explications de phénomènes, mais cela ne reste que de l’imagination et de l’interprétation, qui peuvent exactement être le contraire de ce que l’on nous dit.
    ▬Qu’est-ce qu’une onde, qu’est-ce qu’un corpuscule sont toujours des questions fondamentales, car attribuer un spin à une particule, n’est pas une donnée de la particule, mais simplement une attribution d’un comportement de la particule. Ce spin sert aux équations quantiques, mais ce spin n’est pas une vraie donnée de la particule, mais simplement un attribut de son comportement, et donc une attribution relative par les spécialistes, pour utiliser les équations quantiques. Le spin ne définit pas une vraie rotation ou une fraction de rotation, mais une notion pour dire qu’un emplacement ou une position dans l’espace peut être partagé ou non. Les spins de valeurs entières définissent des bosons, où ces bosons peuvent utiliser la même position dans l’espace, comme si ces particules n’avaient pas de volume et pouvaient se confondent en un point de l’espace. Le cas inverse est le spin non entier qui définit un type de particule que sont les fermions, où c’est exactement le contraire, c’est à dire que pour un fermion donné, sa position est unique et n’est pas partagée par d’autres fermions. Ceci veut dire que les masses et les charges sont sans rapport avec le spin définissant deux types de comportements, ou deux types de possibilités qu’a une particule, car pour les bosons ou spin entier, c’est la possibilité d’utiliser la même place dans l’espace et donc d’avoir des particules confondues à un même endroit de l’espace, et pour les fermions c’est l’inverse où chaque particule à une position de l’espace non partagée.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    ▬Voici quelques bosons définis par leurs caractéristiques techniques, qui sont des données prises dans Wikipédia :

    ▬Le fameux graviton inventé de toute pièce, car hypothétique, et jamais utilisé même dans cette physique quantique, qui est une particule imaginaire possède un spin 2, et possède une masse théorique de 0, mais par expérience déductive posséderait une masse de ≤ 6,76× 10−23eV/c2. Ce graviton est un boson de jauge d’une durée de vie stable.
    ♠JFP¦¦Ce que l’on ne nous dit pas, c’est si ce graviton est statique ou dynamique, car il est recensé pour la gravitation mais aucun comportement n’est donné. Dans la physique des particules et quantique, ce graviton n’est pas exploité. Les effets gravitationnels sont pour moi ces gravitons, et non liés aux particules virtuelles du vide quantiques.

    ▬Le boson de Higgs tant recherché depuis des années et trouvé en 2012/2013, possède un spin 0, et possède une masse de 125,38 ± 0,14 GeV (CMS 2020). Sa durée de vie est de 1,56 × 10−22s. Ce boson de Higgs est normalement le quantum du champ de Higgs électrofaible, c’est à dire le grain de ce champ, mais il est pris aussi comme si il était un paquet de bosons de Higgs attribuant une masse à une particule élémentaire. Mais la valeur de cette masse n’est liée qu’aux expériences de collisions de proton-proton, réalisée des milliards de fois, avec toujours les mêmes collisions. Mais a t-on le droit de dire que ce boson a une masse d’environ 125 Gev, car pour relever ces bosons, le type d’expérience utilise toujours les mêmes éléments d’entré que sont les collisions de protons.
    ♠JFP¦¦Ce que l’on ne nous dit pas, c’est la mécanique de ce boson de Higgs donnant une masse aux particules élémentaires, de plus il y a confusion ou définitions différentes, car ce boson est en même temps le quantum du champ de Higgs, et est aussi interprété comme la particule donnant une masse aux particules élémentaires, sachant que les particules élémentaires ont des masses différentes. Personnellement ce boson de Higgs est en fait un paquet de bosons lié à la particule élémentaire, et donc ces paquets ou ces seuils de bosons regroupés, sont variables suivant la particule élémentaire à laquelle ce paquet s’associe.

    ▬Le photon est soit disant une onde électromagnétique, au spin 1 et est aussi un boson de jauge. Sa masse théorique est de 0, mais expérimentalement il serait de < 10−54 kg (< 5 × 10−19 eV/c2) . Cette particule de photon est liée à la vitesse de la lumière, car peut importe les valeurs que porte le photon, sa vitesse dans l’espace vide est constante, et sert de seuil maximum de vitesse possible. On nous dit que les photons sont des paquets d’énergie élémentaires ou quanta, échangés avec la matière par absorption ou émission.
    ♠JFP¦¦Bien que les photons soient perceptibles par nos yeux à notre échelle macroscopique, ces particules hyper connues sont encore mal comprises, car on ne sait pas vraiment définir ce que sont les photons, d’autant que l’on peut les considérer comme des corpuscules suivant les expériences, et que l’onde électromagnétique qu’ils sont aussi est aussi difficile à expliquer. Que la matière soit issue de la lumière est fort possible, mais on ne sait toujours pas expliquer en quoi est composé le photon qui est le grain élémentaire des ondes électromagnétiques. On sait qu’il faut un certain nombre de photons confondus pour définir les quanta d’actions minimum, mais le photon unitaire est quoi exactement et constitué de quoi ? Comme l’énergie pure n’existe pas, le photon est forcément massique mais il est impossible de déterminer sa masse.

    ▬Les boson W+ et W- sont des bosons de jauge dit de la force électrofaible, et possèdent une masse identique de 80,403 (29) GeV.c-2, mais leur charge sont opposée, et cette charge électrique est la base en électron-volt comme l’électron ou le positron. Le spin 1 des bosons W est comme le photon ou boson Z0 !
    ♠JFP¦¦De détecter ces particules de force électrofaible, ne nous dit pas la mécanique qu’ils engendrent. Sont-ils statiques ou dynamiques, sont-ils toujours associés aux particules de matière ? On trouve de nouvelles particules, mais on ne sait pas expliquer leur comportement, d’autant que ces bosons peuvent se confondent en un même endroit de l’espace. De nous dire que ces bosons W sont des médiateurs de la force faible, cela n’explique pas pour autant la mécanique qu’il engendrent avec les particules élémentaires des fermions que sont la matière.

    ▬Le boson Z0 est un boson de jauge dit de la force électrofaible avec les deux bosons W, et possède une masse de 91,187 6(21) GeV.c-2 soit plus de 80 fois la masse d’un proton. Son spin 1 est identique au photon et aux bons W. La durée de vie est 3×10-25 s. Le boson Z0 ne possède pas de charge comme le photon, il est donc neutre.
    ♠JFP¦¦Ce qui est curieux c’est que des collisions électron-positron, permettent d’affiner la mesure de la masse de ces particules de boson Z0, mais que ces collisions ne permettent pas de définir une masse des bosons de Higgs. Le comportement de cette particule Z0 est aussi à être imaginé, car on ne sait pas comment fonctionne l’attachement avec les deux W aux particules élémentaires. De dire que les bosons sont des particules d’interaction est un peu léger comme définition, car aucune mécanique n’est donnée, et cela donne aussi ce sentiment que nous ne connaissons qu’une petite partie de la composition de notre univers.

    ▬Les gluons sont des bosons de jauge dit de la force forte, et ne possèdent pas de masse ni de charge comme les photons. Mais ils ont un attribut inventé qui est une charge de couleur comme les quarks. Spin 1, donc un entier, définissant qu’ils peuvent se positionner à plusieurs à un même endroit de l’espace, et sont la colle des quarks. Il y a 8 sortes de gluons fonction des liens avec les quarks qui ont eux mêmes des charges de couleur. Ces charges de couleurs des quarks et des gluons correspondent à la théorie chromodynamique quantique. Les charges électriques portées par les quarks sont des fractions en tiers de la charge initiale de l’électron ou du positron. On a donc comme charges possibles +1/3, +2/3, -1/3, -2/3.
    ♠JFP¦¦Personnellement je ne crois pas du tout que l’on puisse avoir des fractions des charges de base de l’électron et/ou du positron, et donc cette théorie de la chromodynamique quantique me semble non convenable. Et puis certains assemblages de quarks et/ou anti-quarks ont une durée de vie de l’ordre de -24s, ce qui fait que ces assemblages ne peuvent pas exister réellement, sauf contrains par les expériences de collisions. Le nombre de quarks pour un proton ou un neutron, n’est pour moi pas forcément ce nombre de 3 ou 2, car cela peut être aussi 4, 6 , 9, 12, 17, 18... et où la charge sera quand même respectée pour le proton et le neutron.
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    ♠JFP¦¦Réflexions :
    ♠JFP¦¦Personnellement le Boson de Higgs n’agit que sur un couple de particule de base dites virtuelles, aussi bien du vide quantique que d’une partie d’une particule de masse, ce qui fait, que la particule de masse est un ensemble de couples où chaque couple de la particule élémentaire à son boson de Higgs, et les sauts quantiques ne s’adressent pas à la particule de masse entière mais à des parties de la particule de masse que sont ces couples. Ainsi chaque particule élémentaire est constituée de couples de charges opposées, mais la différence entre ces particules élémentaires est le nombre de couples, qui donne forcément des masses différentes. Ce sont les bosons de Higgs qui se regroupent par paquet et donne des seuils d’assemblages différents générant des particules élémentaires différentes. Dans ce champ de Higgs existent des paquets de bosons de Higgs ayant des seuils d’assemblages différents, et forcément ces paquets sont associés à ces couples qui ne sont plus virtuels, mais deviennent la particule élémentaire spécifique. Si la particule de masse est chargée positivement, alors une particule non couplée fait partie du paquet et est un PLUS, et inversement pour le cas inverse. Ce qui fait que les masses sont sans rapport avec les charges, car il suffit d’une seule particule non couplée pour donner la charge à la particule élémentaire. Dans cette vision, la particule élémentaire ne saute pas complètement par ces sauts quantiques, mais ce sont des parties d’elle-même qui sautent, et donc cela donne une certaine vibration ou d’instabilité à la particule de masse, sans pour autant que la masse change comme sa charge d’ailleurs. Dans ces explications, le boson de Higgs est pris comme le quantum du champ de Higgs, qui ne s’adresse que pour un couple de particules de base de charges opposées, et quand on parle du boson de Higgs cela est pris souvent comme un ensemble, il devient alors un paquet de quantum, et ce paquet peut varier en nombre suivant la particule élémentaire qu’il définit. Quand on dit qu’une particule se désintègre, c’est en fait que ces couples dont elle est constituée, est redonnés au vide de l’espace proche dissociant les bosons de Higgs de ces couples, mais ces bosons se reconstituent en paquet et viendront utiliser à nouveau des couples pour reformer autre chose que les particules initiales se cognant par collision. La désintégration du boson de Higgs comme il est dit se transformant en autre chose, n’est qu’un regroupement de Higgs proche en paquet, reformant avec des couples à proximité d’autres types de particules. La notion de désintégration, n’est que le fait que l’on décompose ce qui était composé, mais la nature ou plus exactement un autre vide (virtuel de virtuel) reconstruit autre chose avec les décompositions de base, mais en nombre différent.
    ♠JFP¦¦Pour le redire encore, les couples de particules virtuelles ne se trouvent pas dans tout l’univers, mais seulement à des endroits précis où la matière s’est formée. Il en va donc aussi pour ce champs de Higgs où soit disant il remplit l’univers, est sûrement une erreur de concept, car il est comme les particules du vide quantique à des endroits où la matière s’est formée. Donc le vide inter-galactique ne contient ni particules virtuelles ni boson de Higgs, car il est encore un autre type de vide qui n’est pas celui du quantique. Pour tester ce vide intergalactique indépendant du vide quantique, cela ne peut ce faire que par réflexions, car le moindre instrument de mesure amène avec lui son vide quantique, car simplement on ne sait pas dissocier le vide quantique de la matière ou inversement...
    ♠JFP¦¦Ce boson de Higgs attendu et plus ou moins trouvé, car on ne sait pas vraiment ce qui a été trouvé, est une conséquence de la recherche par les collisions de proton-proton, mais ce Higgs n’est pas la seule découverte à cette même période 2012, car les bosons W+, et W- sont aussi des découvertes majeures non attendues. Ainsi ces W ont une charge et une masse, et ne sont pas du tout ces photons de lumière construisant soit disant la matière... Plus on avance moins on comprend, car cela devient que des idées d’interprétation et d’imagination communes données par des spécialistes reconnus.
    ♠JFP¦¦Qu’est-ce qu’un corpuscule ? Un corpuscule est pour moi un assemblage de couples virtuels du quantique, mais possédant pour chaque couple un boson de Higgs. C’est la quantité de couples qui définit avant tout les particules élémentaires différentes. C’est un concept pas plus idiot qu’un autre, car quand on parle de corpuscule, on ne parle jamais de sa constitution, car c’est comme si le corpuscule ne faisait qu’un, et donc serait une sorte de substance continue, ne pouvant pas vraiment exister, car dans la nature tout est discontinu. Les couples de la particule de masse, ont des liens entre eux formant l’ensemble, mais des liens sont cassés pour donner d’autres liens à des couples proches libres, par ces sauts quantiques du boson de Higgs. Les couples libres sont ceux du vide quantique, mais ce vide quantique ne remplit pas l’univers, car il est proche des couples ayant reçu une masse par les bosons de Higgs. La distribution de la matière dans l’univers, n’est autre que la distribution de ces couples, qui avant tout sont des particules virtuelles séparées et opposées en charges. Un corpuscule n’est ni un point, ni un corps, mais une structure malléable de couples de charges opposées se déformant et ne pouvant pas être vraiment identifié. Cette structure à la possibilité d’être considérée comme une onde, car ce n’est pas un bloc compacte, mais un nuage flou pouvant se diviser et se regrouper. L’électron est le parfait exemple, car il prend plusieurs formes et on ne connaît toujours pas sa trajectoire par rapport à son noyau. Donc l’électron n’est ni une onde ni un corpuscule, mais une structure formée de couples de charges opposées, et possédant une particule virtuelle non couplée de charge négative, et c’est cette seule particule non couplée qui donne la charge globale à l’électron, bien que l’électron possède une multitude de charges opposées. Cela revient à une asymétrie dans l’ensemble de la structure de l’électron, ce qui donne sa stabilité dans le temps. Une particule neutre est chargée positivement et négativement par l’ensemble des couples la constituant, mais cette symétrie de charge est instable, et il suffit de voir le neutron isolé sans charge apparente, pour savoir que sa durée de vie n’est pas très longue, et il en va aussi de ces neutrinos sans charge apparente, et où leur stabilité est aussi à remettre en cause, car ces derniers mutent en d’autres types de neutrinos. La symétrie en charge, n’est justement pas un gage de longévité des fermions, c’est justement l’asymétrie en charge qui donne une longévité grande à la particule. On pourrait imaginer qu’il faille un centre en charge, pour que les couples de particules de la particule élémentaire, trouvent un centre d’intérêt d’organisation et de stabilité. On peut aussi considérer que les photons sont aussi des couples de charges opposées équilibrés en nombre, mais que la stabilité des photons, n’est liée que par leur trajectoire et leur mouvement, ainsi que leur structure d’organisation. Dire alors que la matière vient de la lumière est aussi vrai que faux, car ce qui change sont les tailles des paquets de couples en nombre, et aussi les liens des couples entre eux.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦25102026¦¦Bonjour. La seule mesure précise du temps que nous avons actuellement, n’est que la vibration des atomes et suivant les types d’atomes donnant des fréquences différentes mais très régulières et précises. Comment voulez-vous mesurer le temps avec des particules et anti-particules virtuelles du vide quantique, car elles ne sont pas décelables mais seulement imaginaires.
    ▬Je n’ai jamais écris ceci : "Le temps n’est pas associé à une entité ou deux entités du couple virtuel, car le temps est indépendant de ces associations."
    ▬Pour ma part et pour le redire encore, le temps n’est qu’un mécanisme régulier à très grande fréquence par rapport à notre échelle humaine, et bien sûr ce temps existe dans tout l’univers, même aux endroits où le vide quantique est absent, car en dessous de cette échelle du vide quantique, il y a encore un autre vide pour justement animer le quantique et son vide. Ces sauts quantiques font partie de l’animation de phénomènes d’une échelle encore inférieure au vide quantique. Je ne crois absolument pas à certains diagrammes de Feynman où il y a un axe du temps, et où cet axe permet de remonter le temps. Le temps ne peut que s’écouler, car il n’est qu’un mécanisme à une échelle encore inférieure au vide quantique. D’ailleurs ce grand Feynman a dit aussi d’autres bêtises, car recevoir plus de gouttes d’eau sur le visage que par derrière quand on cours sous la pluie pour dénoncer la théorie de Le Sage et son mécanisme pour expliquer la gravitation, est incompréhensif, car je vous ai posé la question pour un objet fixe ou en mouvement, si il voyait la vitesse de la lumière identique dans toutes les directions, et vous m’avez répondu OUI, car je le redis la vitesse de la lumière n’est pas une vraie vitesse. Pour aller à la vitesse de la lumière, il faudrait utiliser le même mécanisme qui n’est pas une vraie vitesse, et c’est ce que font certaines autres particules comme les neutrinos. Réfuter une théorie en utilisant une physique classique pour démontrer que cela ne peut pas fonctionner, est assez léger pour un grand physicien comme Feynman et d’autres. La vitesse de la lumière n’appartient pas à la physique classique, et pas plus à la physique quantique, mais faut-il se pencher sur les relativités de Einstein, pour comprendre que certains physiciens même renommés, disent de grosses âneries. Ces sauts quantiques spontanées sortent de quel chapeau de magicien ? L’énergie du vide n’appartient pas à la physique quantique !!!
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Cher Mr Pouliquen, vous écrivez « même aux endroits où le vide quantique est absent ». Auriez-vous connaissance de la localisation de tels endroits ?

  • ▬JFP¦¦26102021¦¦RE Bonjour. Savoir où se trouve la matière dans l’univers est relativement très simple, car elle est alignée sur les plus grandes structures de l’univers, en forme de filaments contenant les galaxies. Ces filaments donne une géométrie du boules ou bulles qui ne renferment pas du vide quantique. Et ces filaments de galaxies ou matière et de vide quantique forment des bulles de vide sans matière. Hors ces filaments, le vide quantique n’existe pas, car il se trouve dans ces filament où naturellement se trouve la matière. Quand on regarde la distribution de la matière à très grande échelle, celle-ci est regroupée en fils ou en filaments, et en dehors de ces fils et filaments la matière est absente. Le vide quantique et toutes ces particules imaginaires ou réelles est aussi présent dans ces filaments, et en dehors de ces filament à très grande structures, c’est un autre vide qui n’est pas celui du quantique, mais ce vide renferme autre chose que le virtuel du vide quantique. Toutes ces apparitions ou disparitions de particules ou de couples quantiques font parti de ces filaments de matières, où des croisements possibles de ces filaments donnent des amas de galaxies. Il faut donc imaginer que le vide quantique suit ces filaments, et pour le dire plus simplement le vide quantique ce trouve où la matière se trouve, et n’épouse pas pas tout l’univers. Maintenant dissocier ce vide quantique de la matière est impossible, car il se trouve toujours ou la matière se situe. Les galaxies qui sont donc de la matière, ne sont pas éparpillées au hasard de l’espace, rendant cet espace homogène et régulier mais sont structurées en filaments où en dehors de ces fils, le vide quantique est absent. Seulement ce qui remplit tout l’univers est ce que vous appelez le virtuel du virtuel, qui lui anime le vide quantique proche de la matière. Si on prend comme exemple la terre, celle-ci possède une atmosphère que l’on ne voit pas, et ce volume est assez important par rapport à la taille de la terre. Plus on s’éloigne de la terre et plus cette atmosphère se raréfie, et il faut prendre comme image pour le vide quantique cette atmosphère entourant la terre, mais bien sûr cela n’est qu’une image de pensée, car il existe d’autres planètes sans atmosphère.
    ▬Le vide quantique est aussi absent de ces objets que sont les trous noirs, car un trou noir n’ai pas composé de particules et encore moins d’atomes, et sa constitution est donc la composition des particules élémentaires que sont les particules et couples virtuels du quantique, à la différence près que ces entités sont tellement confinées, que la notion du vide quantique n’a plus lieu d’être, et le pire est que le virtuel du virtuel est aussi absent de ces objets.
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • pourriez-vous, cher Mr Pouliquen, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il n’y a pas de vide quantique quelque part dans l’Univers ?

  • ▬JFP¦¦26102021¦¦Bonsoir. Pour continuer ce dialogue, il en va aussi pour ce boson de Higgs qui remplit aussi tout l’univers, d’après ce que j’ai lu, mais comment prouver cette façon de voir les choses ? En fait les physiciens cherchaient ce boson, et il a été trouvé quelque chose en utilisant des collisions de particules composées lourdes comme les protons et anti-protons, mais a t-on des résultats avec des collisions d’électrons ? NON !!! Ceci est une chose, mais a t-on le droit de dire que ce champ de Higgs épouse tout l’espace de l’univers ? Absolument pas, car ce sont des idées émises non prouvées, et il en va aussi de ce vide quantique, où en partant d’indices et de testes avec la matière, pour dire aussi que ce vide quantique épouse tout l’univers, mais là encore qu’en savons nous, et pouvons-nous le prouver ?
    ▬Je vous retournerai la question, en vous disant, pourriez-vous, cher Mr Paris, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers, même sans utiliser la matière ?
    ▬Je pense que vous ne pourriez pas répondre, car ce vide quantique est déduit des phénomènes liés à la matière, et quand la matière est absente, et bien on ne sait rien prouver, et c’est bien le problème de cette physique, où beaucoup de notions sont données et avalées comme si c’était la normalité...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Citer "un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers" me mettez-vous au défi !

    Eh bien, la propagation des photons dans l’espace. On ne la connait que dans le vide quantique...

  • ▬JFP¦¦28102021¦¦Bonjour Je ne vous mets pas du tout en défi, mais je n’ai jamais rien lu de telles choses sur la propagation des photons. Je suppose que ce que vous avancez et affirmez est un de vos concepts, comme pour la gravitation quantique où vous avez aussi une thèse. Je ne réfute pas vos thèses, mais avez vous des sites web ou articles où on peut lire, ce que vous donnez ? Bien sûr sans que cela soit vos articles de votre site.
    ▬Personnellement le photon reste toujours un interrogation scientifique sur ce qu’est cette particule, car plus de 100 ans de recherche sans vraiment avoir des avancées décisives, et il en est de même pour l’électron. Je comprends parfaitement que je vous dérange, car pour vous le vide quantique, vous sert de support des ondes et même des mécanismes pour la gravitation. Mais je considère qu’il ne faut pas mélanger ces particules virtuelles qui se trouvent dans un certain vide proche de la matière, et le vide général entre les objets massiques. Pouvez-vous me donner des articles ou sites autres que les vôtres, où on peut lire ce que vous avancez ?
    ▬Je ne suis qu’un amateur, mais je ne prends pas tout en bloc de ce qui est donné comme scientifique, car souvent ce sont des reprises en prose changeante, sans même que ces articles soient fondés sur de vrais tests scientifiques. Tout le monde ou presque devient journaliste scientifique, mettant à chaque fois son grain de sel différent de ce qui est vraiment. Cela devient même de la désinformation, car n’importe qui peut créer un site et dire ce qu’il veut sur les sciences ou autres. Monde soit disant ouvert qui vous enferme dans la tricherie de l’information...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦28102021¦¦Bonsoir. Ce n’est même pas gênant ce que je suis par rapport à vous Mr Paris, mais c’est carrément même très nuisible, car cela casse vos concepts, mais ceci est involontaire de ma part, mais je ne cherche pas à vous contrecarrer, car j’ai simplement d’autres idées et concepts, qui ne vont pas du tout dans le sens des vôtres, et c’est bien dommage. C’est sans doute pour cela que vous ne me comprenez pas, et que vous ne voulez pas vraiment utiliser des dialogues d’échanges normaux, car sur des points fondamentaux, nous divergeons complètement.
    ▬Je vous demandais où je pouvais trouver des articles autres que les vôtres, sur ce que vous affirmez, mais cela est inutile et impossible, car ce sont vos concepts et non ceux d’autres personnes.
    ▬Pour continuer ce faux dialogue, il en va aussi pour ce boson de Higgs qui remplit soit disant aussi tout l’univers, d’après ce que j’ai lu, mais comment prouver le contraire de cette façon de voir les choses ? En fait les physiciens cherchaient ce boson, et il a été trouvé quelque chose en utilisant des collisions de particules composées lourdes comme les protons et anti-protons, mais a t-on des résultats avec des collisions d’électrons ? NON !!! Ceci est une chose, mais a t-on le droit de dire que ce champ de Higgs épouse tout l’espace de l’univers ? Absolument pas, car ce sont des idées émises non prouvées, et il en va aussi de ce vide quantique, où en partant d’indices et de testes avec la matière, que ce vide quantique épouse tout l’univers, mais là encore qu’en savons nous, et pouvez-vous le prouver ?
    ▬Je vous retournerai la question, en vous disant, pourriez-vous, cher Mr Paris, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers, même sans utiliser la matière ?
    ▬Je pense que vous ne pourriez pas répondre, car ce vide quantique est déduit des phénomènes liés à la matière, et quand la matière est absente, et bien on ne sait rien prouver, et c’est bien le problème de cette physique, où beaucoup de notions sont données comme si c’était la normalité et donc une évidence, mais il n’y a aucune évidence...
    Amicalement.
    JFP Jean-François Pouliquen
    jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Désaccord certes !
    Vous écrivez à nouveau :

    « pourriez-vous, cher Mr Paris, m’indiquer un seul phénomène physique connu qui permet de savoir qu’il a du vide quantique partout dans l’Univers, même sans utiliser la matière ? »

    Il me semblait vous avoir déjà répondu à cette question, à savoir que la propagation de la lumière sur des distances phénoménales de l’Univers sans rencontrer de matière prouve que le vide quantique est partout étant donné que nous ne connaissons aucune manière de la lumière de se propager ainsi sauf das le vide quantique, c’est-à-dire en se servant des couples particule/antiparticule virtuels du vide quantique.

  • L’existence ou pas de scientifiques qui soutiennent mes thèses vous importe peu puisque vous doutez de l’existence de bosons de Higgs alors que cette thèse est généralement reconnue de la plupart des physiciens.

  • ▬JFP¦¦07042022¦¦Bonjour Mr Paris et merci d’avoir publié notre concept, nous le reformulons sans dénonciation.
    ▬Pourquoi nous ne comprenons rien sur la relativité restreinte, où on en découle le paradoxe des jumeaux ? C’est relativement très simple, car il a été pris comme notions, le temps et l’espace, qui se déforment sous l’effet des vitesses. Cette notion d’espace-temps, peut s’expliquer autrement, sans utiliser la dilatation du temps et les contractions des longueurs, sachant que les longueurs en question, ne sont que les longueurs du référentiel dans lequel il y a des modifications, par les facteurs de Lorentz, et non pas les distances hors du référentiel. C’est donc le référentiel qui porte en lui ces types de modification de temps et de longueurs. Au lieu de prendre ces deux notions de temps et de longueur, il est plus simple et possible de ne prendre que les valeurs d’oscillation des atomes, c’est à dire, si on peut le dire comme cela leurs fréquences. C’est justement à partir des fréquences d’atomes que l’on calcule, un laps de temps que l’on dit universel qui est la seconde. Ce césium et ses 9192631770 périodes d’oscillations est une donnée figée du SI (Système International) définissant la seconde, mais cette valeur n’est valable que pour un référentiel donné, qui est celui mesuré sur terre au niveau de la mer, en considérant une vitesse lumière c dans le vide, et considérant ce césium à zéro degré kelvin. Dès que l’on s’éloigne de la terre, sans même parler de vitesse, cette valeur est déjà fausse, et la raison de cette modification de fréquence du césium 133, est que simplement la gravitation change, mais nous parlons de relativité restreinte, alors continuons sans tenir compte des masses et donc de la gravitation. D’après les facteurs de Lorentz repris par Einstein pour la relativité restreinte, plus nous allons vite, plus il y a déformation du temps dont on dit qu’il se dilate, et naturellement pour garder une vitesse lumière constante,, on nous dit que les distances se contractent, mais que deviennent les fréquences des atomes dans ce cas ? Hé bien ces fréquences changent aussi en réduisant les oscillations des atomes, et ainsi l’interrogation d’avoir des horloges atomiques ayant pris du retard suivant des vitesses inhabituelles, ne devient plus un phénomène curieux, car dilater le temps et contracter les longueurs est en réalité de réduire les fréquences d’atomes. Dingue non ?
    ▬Le temps est une notion inventée, car la notion de temps n’existe pas !!! Seules les durées existent qui sont des laps de temps mesurés par différents mécanismes naturels. Parler de temps, c’est en réalité parler de durées, et généraliser l’espace et le temps comme espace-temps de Einstein est trompeur, car le temps est une notion abstraite. Mais on ne peut plus reculer sur cette notion inventée d’espace-temps, car le temps est devenu une sorte d’objet invisible et réel dont on ne sait plus se passer. La première définition de la seconde par l’atome date de 1967, et Einstein n’était plus là.
    ▬Si on applique la formule de Lorentz, qui était avant celle d’un certain Larmor (inconnu), sur les fréquences d’atomes, cela revient strictement au même que d’appliquer des facteurs sur le temps et les longueurs. De toutes façons la longueur est définie par le temps, et on peut dire que le temps est défini par la fréquence du césium 133. Donc modifier la fréquence des atomes du césium 133, revient à modifier le temps et les longueurs, mais il est plus simple à comprendre, que modifier par un coefficient la fréquence du césium 133, donnera un autre laps de temps différent. Donc le temps est bien une notion abstraite, qui dépend de la mesure de la fréquence du césium 133, et si cette fréquence change, et bien temps et longueur changent. Actuellement la réalité du temps est celle de la fréquence d’un type d’atome spécifique ayant un nombre entier de périodes, mais forcément si ce type d’atome prend des vitesses inhabituelles, cela donnera un ralentissement de sa fréquence.
    ▬Pour revenir au paradoxe des jumeaux, et bien ce paradoxe s’envole, car ce qui change en réalité c’est la fréquence des atomes qui baisse quand ceux-ci vont à grande vitesse. Maintenant est-ce que dans le domaine du vivant, même pour les végétaux, baisser la fréquence des atomes est-il possible, sans endommager le vivant ?
    ▬Je pense que nos horloges biologiques sont des systèmes utilisant les fréquences d’atomes. Dans cette image de pensée de Langevin de deux jumeaux dont l’un part dans une fusée et ne revient que quelques années après, celui-ci aura vieillit moins vite que son frère jumeau resté sur terre, car on nous dit que le temps ce sera dilaté pendant le voyage, mais en réalité c’est la fréquences des atomes qui changent en baissant de régime plus on va vite, c’est à dire que les atomes de la fusée, comme ceux de jumeau, auront vibrer moins vite. C’est cette vibration ou oscillation des atomes qui baissent en régime, quand les vitesses sont importantes, et comme on se fit à ce standard de césium 133 et ses 9192631770 périodes d’oscillations, hé bien il y a erreur d’interprétation des données venant des horloges atomiques, car ce césium comme tous les atomes de la fusée auront vibrés moins vite. Comme on se fit sur cette valeur de nombre de périodes de ce césium, l’erreur vient de ne pas appliquer le facteur de Lorentz sur ce césium. Donc ce qui se dilate, n’est pas vraiment le temps, mais la fréquence des atomes en vibrant moins vite, et donnant une fausse seconde.
    ▬Je pense aussi que si la fusée faisait un très grand cercle complet dans l’espace, et tangent à la terre au départ et à l’arrivée, il n’y aurait alors pas de vrai demi tour, et les résultats seraient les mêmes, bien que la trajectoire ne soit pas rectiligne, car c’est bien la vitesse qui compte et non l’accélération. D’ailleurs les expériences de ce Larmor inconnu, dont l’équation principale est la même que Lorentz, sont bien des rotations d’objets qui ne sont pas des trajectoires rectilignes uniformes, et cela date avant Lorentz.
    ▬Dire que plus on va vite plus les fréquences des atomes baissent en fréquence est relativement simple comme conception, et de là forcément le calcul de la seconde ne peut pas être cette valeur fixée par la SI de 9192631770 périodes, car il faut appliquer un facteur plus petit que UN, pour avoir moins de périodes par seconde. Donc le temps comme les longueurs ne se déforment pas, mais c’est la mesure du temps qui est faussée, car on s’appuie sur une valeur d’oscillation que l’on croit immuable, alors que cette valeur d’oscillation doit changer fonction des vitesses. Pourquoi ce césium plutôt qu’un autre matériau définissant la seconde ? La réponse est relativement très simple, c’est que le nombre de périodes en une seconde est un nombre entier et non un nombre décimal. C’est aussi cela la physique et les poids et mesures...
    ▬J’ai envoyé à des centaines de physiciens ce petit concept, et apparemment cela ne les intéresse pas, pourtant derrière ce concept se cache une grandeur qui remet en cause la relativité des lois physiques de Einstein et même celles de Galilée. Ce commentaire n’est pas un scoop, car déjà distribué à des centaines de personnes scientifiques !!! Mais pourquoi dire que ce petit concept est plus grand qu’il n’y parait ? Et bien dans quelques temps, des nouvelles lois physiques sur l’atome apparaîtront et remettront en cause la relativité des lois physiques. Ce concept enlève aussi ces représentations de voir les déformations dans l’axe du mouvement, et non répertoriées dans les axes qui sont perpendiculaires au mouvement. On peut aussi remettre en cause les déformations par les ondes gravitationnelles, car ces ondes ne font que faire varier les fréquences des atomes, et ces fréquences sont homogènes dans toutes les directions de l’atome.. C’est une déformation sphérique et non aplatie dans le sens du mouvement, car quand l’électron saute d’un niveau à un autre il le fait sphériquement, et c’est ce que l’on appelle la structure de niveau hyper fin. L’atome par déformation de fréquence n’a pas une enveloppe autour de son noyau en ballon d rugby allongé !!!
    ▬Une fréquence dilatée veut dire que le battement des atomes (structure fine ou hyperfine) par périodes est moindre, ainsi le temps dont on dit qui bat la mesure est faux, car le temps ne bat aucune mesure, ce sont des mécanismes cycliques réguliers et perpétuels qui battent la mesure, et donnent des fréquences pour pouvoir mesurer le temps. Mais justement les mécanismes réguliers que l’on utilise, par le biais de l’atome, pour mesurer le temps, peuvent se dérégler en battant moins ou plus vite par leur fréquence habituelle suivant les référentiels utilisés. Donc on se fie à l’atome pour mesurer le temps, mais ces atomes peuvent changer de fréquences suivant les référentiels. On est donc obligé de réadapter des fréquences que l’on croyait immuables fonction d’autres référentiels. Notre référentiel sur terre, est un référentiel comme tous les autres, mais spécifique à notre environnement de masse de la terre et de sa rotation comme de sa révolution, et aussi des astres autour, et c’est à partir de cela, que l’on fixe des valeurs et même des constantes dites universelles, mais en montant en altitude de quelques mètres, notre référentiel de référence, n’est déjà plus le même. On comprend alors les difficultés à définir des constantes que l’on dit universelles et fiables, car en réalité certaines constantes sont faussées, car c’est l’environnement qui doit être reproduit et respecté pour avoir une définition du temps. Peu importe les matériaux utilisés et leurs fréquences, car le vrai problème est de définir les caractéristiques de l’environnement définissant un référentiel de référence. En réalité il n’y a pas de référentiel spécifique pour calculer le temps, car chaque référentiel possède ses fréquences d’atomes et donc son temps. Je pense que les organismes des poids et mesures ont du pain sur la planche, car cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz du césium 133, qui est un beau nombre entier, n’est valable que dans des conditions particulières sur terre. Donc de fixer une fréquence de référence n’est pas suffisant, car il faille fixer aussi son environnement. En montant en altitude par rapport à la surface de la terre, la fréquence de ce césium 133 devrait battre plus rapidement, car on échappe à la gravitation de la terre, mais il faut tenir compte aussi de la vitesse d’échappement qui elle réduit la fréquence de ce même matériau. Les satellites géostationnaires à une certaine altitude, le césium 133 devrait battre plus rapidement, car même si la vitesse de rotation est plus grande qu’à la surface de la terre, il y a aussi une diminution de la gravitation qui est plus importante que la vitesse. Quand je dis que le temps n’est qu’un mécanisme cyclique simple et régulier, on comprend facilement que la simplicité n’y est pas du tout, car il faille des tas de paramètres pour évaluer d’autres fréquences suivant d’autres référentiels, comme ces simples satellites autour de la terre. Si on peut comprendre que le temps est une notion très simple à comprendre par des mécanismes cycliques réguliers, l’ajuster est d’une grandeur extrême. ▬Ce petit concept remet plus de choses en cause que l’on croit, car ces beaux instruments que sont les interféromètres, ne mesurent pas vraiment le temps comme les longueurs, mais la fréquence des atomes par le biais de la lumière. Cela est quand même assez curieux, de construire des instruments très sophistiqués et performants pour mesurer les ondes gravitationnelles, et de nous montrer des déformations de longueurs sur des objets imaginaires, alors que les dimensions seront exactement les mêmes, car ces instruments destinés à mesurer les déformations du temps et aussi de longueurs, mesurent en réalité les fréquences des atomes dont ils sont constitués. Bien sûr on pourrait dire que le temps est quand même déformé, mais cela est une totale erreur, car ce qui se déforme ce sont bien les fréquences des atomes donnant la mesure du temps. Donc pour généraliser, la mesure du temps est propre à chaque référentiel, c’est ce qui est donné par les relativités de Einstein, mais il faille attribuer des modifications de fréquences d’atomes adaptés à la définition de la seconde.
    ▬Merci encore Mr Paris d’avoir publié ce même concept sur un autre article.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • ▬JFP¦¦20220410¦¦Bonjour Mr Paris , un petit retour sur vos deux commentaires du mois d’octobre 2021 de cet article.
    ▬Je ne doute pas de l’existence de ce boson de Higgs qui existe vraiment, mais ces champs de Higgs sont proches de la matière, comme si ils étaient un complément à la matière, au même titre que le vide quantique qui est aussi un complément à la matière, et où se font des échanges constants entre particules dites de matière et particules virtuelles. Jusqu’à quelle distance de la matière ce vide quantique existe, je n’en sais strictement rien, mais j’ai la conviction que ce vide quantique n’épouse pas tout l’espace de l’univers, et donc que pour moi il y a au moins deux types de vides, qui sont le vide quantique et le vide cosmologique. Je pense que le vide cosmologique n’est pas électrisé ni magnétisé, mais neutre et donc sans charge électrique. Dans la relativité restreinte de Einstein, celui-ci disait que la lumière n’avait pas besoin de support pour se propager, mais il revient en arrière pour sa relativité générale pour construire cette nouvelle notion d’espace-temps qui est en réalité la même notion qu’un éther à l’ancienne, mais ce mot éther à été bannit des physiciens de l’époque. J’adore personnellement ce mot d’éther, car il signifiait bien la notion de vide de l’espace non vide, mais fallait-il parler d’éther pour la cosmologie et d’un autre éther proche de la matière qui est celui du vide quantique. En réalité Monsieur Einstein à eu tord de supprimer cet éther, car il aurait dû mettre les ingrédients nécessaires pour qu’il soit différent de ce qu’il était à l’époque. Si la gravitation à besoin d’un éther qui a été donné comme espace-temps, la physique quantique à aussi besoin d’un autre éther pour définir son vide quantique. C’est deux éthers sont différents et se mélangent proche de la matière, mais l’espace-temps de Einstein est pour ma part un l’éther cosmologique sans rapport avec l’éther de celui du vide quantique, et c’est cet éther cosmologique qui est celui qui porte les ondes électromagnétiques, comme encore ces neutrinos qui pourtant non pas de charge apparente, mais vont exactement à la même vitesse lumière. Les neutrinos ne sont pas les seuls particules de masse à aller à la vitesse lumière, car les rayons cosmiques sont aussi des particules secondaires allant à cette vitesse lumière, et la variété de particules que portent ces rayons cosmiques sont important. Comme ces objets que sont les ondes électromagnétiques, les neutrinos, les rayons cosmiques ont un lien commun qui est cette vitesse lumière, je pense qu’il y ait charge ou pas de charge pour les particules portées à cette vitesse, la propagation de ces objets ne sont pas liée aux charges virtuelles du quantique, mais à autre chose que les particules virtuelles du quantiques. Pour moi cette vitesse lumière n’est pas une vitesse continue, mais une vitesse discontinue, donc une vitesse non conventionnelle, et cette vitesse lumière est indépendante des charges. Je respecte néanmoins vos thèses comme celles de Mr David Louapre, avec ses mousses de spin à la sauce des boucles quantiques, mais la gravitation quantique reste toujours une recherche d’esprit et de vérité, et je ne crois pas que la physique quantique, puisse définir cette gravitation quantique, car la raison à cela, est que ces sauts quantiques spontanés ne sortent pas du chapeau d’un magicien. Si il y a des sauts quantiques, c’est qu’il y a une force qui pousse à faire ces sauts quantiques, et cette force ne vient pas des charges électriques ou magnétiques, mais de force cinétique, qui est sans rapport avec les forces de la physique quantique. D’ailleurs les échanges qui se font entre le monde réel et le monde virtuel, sont liés à une force cinétique, mais orientée et contrariée par des forces électromagnétiques qui contrarient cette force cinétique. L’énergie du vide ne veut rien dire, car de quel vide ou de quel éther parle t-on ? L’animation de l’éther quantique avec les polarités, vient d’une force cinétique, sans rapport avec les forces électromagnétiques de ces nuages quantiques. D’ailleurs si le mot nuage est exprimé dans cette physique quantique, cela veut bien dire que ce sont des portions d’espaces et non de l’espace entier de l’univers, et quelque fois les termes employés sont d’autant révélateurs que ce que l’on veut exprimer.
    ▬Le plus grande difficulté à comprendre cette physique quantique est cette notion d’intrication de particules, où soit disant si on change l’état d’une particule intriquée, l’autre particule est aussi changée SANS laps de temps de parcours, et donc instantanément et indépendamment de la distance qui les sépare. Les tests de Monsieur Alain Aspect s’étalent dans un environnement de quelques mètres de volume, et toujours dans un espace de vide quantique, car dans un local. Je pense que si des tests étaient effectués d’une distance terre-lune, et utilisant ce satellite naturel comme moyen de test de distance, l’intrication ne fonctionnerait plus, et la raison est qu’il y aurait rupture du vide quantique entre terre et lune. La science nous le dira plus tard...
    ▬Voici un petit commentaire que j’avais envoyé à Mr David Louapre sur le sujet de l’énergie du vide et non publié : https://scienceetonnante.com/2015/06/01/lenergie-du-vide-la-plus-grosse-erreur-de-toute-lhistoire-de-la-physique-video/

    ▬JFP¦¦20220202¦¦Bonjour Monsieur David LOUAPE et à vos lecteurs.
    ▬Épuration de mon article, car il faut traiter sujet par sujet. J’ai mes propres idées sur le vide et sur son énergie et de l’erreur que l’on fait sur l’énergie du vide, que je vais donner et exposer ;
    ▬D’après vos explications l’énergie du vide cosmologique vaut 10e-13 J/cm3, mais d’après la mécanique quantique cette valeur passe à 10e107 J/cm3, et donc la valeur trouvée par la mécanique quantique est de 10e120 trop grosse par rapport à la valeur calculée de l’énergie du vide cosmologique.
    ▬A t-on besoin d’une théorie du tout pour résoudre et comprendre cette totale incohérence d’énergie du vide ? Non !!!
    ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    ▬Réflexions :
    ▬Peut-on tester le vide cosmologique sans matière ? OUI !!!
    ▬Peut-on tester le vide quantique sans matière ? NON !!!
    ▬ Ces deux réflexions donnent déjà une vraie réponse et une vraie solution, car de quel vide parle t-on ?
    ▬ Le vide cosmologique est un certain vide avec sa gravitation dégressive plus on s’éloigne de masse, et celui de la physique quantique est totalement différent, car dans ce dernier on est forcément lié à la matière. Il n’y a donc pas un vide, mais des vides !!! Le vide quantique ne peut-être que rattaché à la matière, et ce vide quantique ne peut pas être isolé, car toujours rattaché à la matière, comme peut l’être l’atmosphère de notre planète la terre, indépendamment de sa vitesse dans l’espace. Chaque objet ou instrument envoyé dans l’espace cosmologique amène son vide quantique qui lui est associé. On ne sait pas séparer le vide quantique de la matière, car c’est un complément indispensable et inséparable de la matière. On peut même dire que le vide quantique est le complément de la matière.
    ▬On nous dit que le champ de Higgs est partout dans l’espace de l’univers, mais est-ce que cette certitude est vraie ?
    ▬Bien sûr je ne crois pas à cette fausse vérité, car on cherche un truc pour faire correspondre aux intuitions des physiciens ou chercheurs, et ou trouve quelque chose, mais pour autant ce champ de Higgs est-il partout dans l’univers ? Je n’y crois pas du tout. J’ai pris comme image de pensée l’atmosphère de la terre en comparaison au vide quantique, eh bien on ne sait pas supprimer cette atmosphère de la terre, et on ne sait pas supprimer le vide quantique qui entoure la matière.. Le vide quantique est comme un complément à la matière où se font des échanges permanents entre matière et vide quantique, mais quand la matière est absente, le vide quantique l’est aussi, et cela change toute la donne, car ces particules virtuelles éphémères du vide quantique ne remplissent pas l’univers, car ces particules virtuelles se trouvent où la matière se trouve. A partir de ce principe, comment évaluer le vide général et son énergie, sachant qu’il existe au moins deux vides différents ?
    ▬ Le vide à l’intérieur des quarks des protons et des neutrons, des électrons n’est pas le même que le vide du proton ou neutron eux mêmes qui forment le noyau atomique !!! Le vide proche des électrons, loin du noyau, est encore un autre vide. Maintenant ces vides sont ceux de la physique quantique, et sont sans rapport avec le vide de l’espace-temps de Einstein qui est celui des relativités, où ces particules virtuelles comme le champ de Higgs sont absents. Le vide cosmologique fait partie du subquantique qui est encore un niveau inférieur au vide quantique. On comprend alors l’énormité en parlant d’un vide généralisé et de son énergie, qui justement ne peut pas être généralisé. Il y a donc une très grande déférence d’énergie entre le vide cosmologique et le vide quantique, car là ou la matière est absente, le vide quantique n’existe pas. L’énormité et la plus grosse erreur est de mettre ces deux notions de vide, sous une même notion. La gravitation est une notion subquantique qui est partout dans l’univers, même sans matière. Le vide cosmologique n’a pas de charge et donc non électrifié ni magnétisé, mais c’est justement ces deux notions réunies qui est l"électromagnétisme qui fait que la matière et son environnement ont un vide plus énergétique que le vide cosmologique, et où ces deux vides ne sont pas comparables. Car le vide quantique est forcément chargé, même si l’on dit que certaines particules élémentaires sont neutres, car la neutralité revient à dire une égalité de charges positive et de négative, et n’est qu’une fausse apparence, mais le vide cosmologique est lui sans charge. Ce n’est pas la matière qui donne une charge à son environnement, qui est le nuage de polarisation accompagnant les particules, car ces particules virtuelles ont aussi des charges opposées, mais le vide cosmologique n’a pas de charge. La gravitation portée par le graviton théorique, n’a jamais été décrit, car cette particule n’est pas testable au niveau quantique, mais seulement au niveau de grandes masses déformant ainsi l’espace-temps.
    ▬L’énormité est que l’on s’adresse à deux vides différents, mais que l’on considère comme un seul, car on suppose que ces particules virtuelles et donc ce vide quantique épouse tout l’espace de l’univers, ce qui est totalement faux. Ce qui remplit tout l’espace-temps à toutes les échelles est la gravitation et donc ces gravions, mais tout le reste des autres particules sont toujours localisées, même si elles voyagent comme les photons ou les neutrinos. Par ce concept où le vide quantique n’épouse pas l’espace de l’univers, forcément les énergies de vide quantique et du vide cosmologique ne peuvent qu’être totalement différents. L’énormité ne vient pas des énergies des vides, mais de généraliser les vides.
    ▬En revenant au sujet, de la plus grosse erreur physique, on ne peut pas dire que c’est une erreur physique, car chaque domaine de physique a raison, mais le problème posé, comme la plupart des paradoxes, est mal posé.
    LE VIDE GÉNÉRALISÉ est une erreur très grossière. Pour la physique quantique, le vide a été généralisé à l’espace-temps de l’univers, c’est là l’erreur, et elle est simple mais aussi énorme. Les particules virtuelles éphémères comme le champ de Higgs comme d’autres particules de la physique quantique, n’épousent pas l’espace de l’univers, et c’est tout !!! Et pour le redire encore, la physique quantique n’appartient pas au cosmos, mais simplement où la matière se trouve. C’est une solution fort possible, même si cela n’est peut être pas entièrement la vérité, mais c’est une vraie solution, car la vérité on ne sait pas ce que c’est !!!
    Ce n’est pas le vide quantique qui fait avancer les photons, ce n’est pas le vide quantique qui fait avancer les neutrinos, ce n’est pas le vide quantique qui fait avancer les muons... Le vide quantique se trouve où la matière est présente, et comme la matière n’épouse pas tout l’espace de l’univers, le vide quantique est forcément localisé où la matière se trouve... On a simplement mis du vide quantique où il n’y en avait pas !!! C’est cela l’erreur !!!
    ▬Réflexion drôle ; Y a t-il du vide dans les trous noirs ? Oui mais il n’est ni quantique ni cosmologique !!!
    En espérant un retour de votre part

    ▬Je défend mes idées et c’est normal, car actuellement elles peuvent être fausses comme vraies, car rien n’est prouvé, à moins que vous me démontrez le contraire Mr Paris, car je ne suis qu’un amateur ne connaissant pas grand chose. La science est aussi un combat d’idées et de convictions, mais un faux combat tant que l’on ne peut rien prouver. Ne reste alors que des concepts vrais ou faux, tant que l’on ne peut démontrer quoi que ce soit...
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Vous dites :

    « le vide quantique qui est aussi un complément à la matière »

    Mais le vide quantique, c’est... la matière !

    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1324

  • ▬JFP¦¦20220411¦¦Bonjour Mr Paris. Effectivement vous avez totalement raison Mr Paris, car on peut le dire aussi comme cela, qui est que le vide quantique EST AUSSI la matière, ou encore que la matière C’EST AUSSI le vide quantique.C’est deux notions sont complémentaires et indissociables, et ne font qu’un, car on ne sait pas extraire le vide quantique de la matière, comme on ne sait pas extraire la matière de ce vide quantique... C’est un peu comme ces quarks confinés définissant le noyau atomique que sont le cœur des protons ou neutrons car isolé un quark n’est pas viable, et c’est avec la combinaison d’autres quarks que le proton ou neutron existent. Cependant on peut se poser la question, pourquoi la matière et son vide quantique sont distribués dans l’espace d’une certaine façon. Les plus gros objets visibles de l’univers sont les galaxies, et celles-ci se regroupent en filaments entourant des volumes de vide très grands, comme des bulles de savons, où l’enveloppe de la bulle de savon, est remplacée par des filaments définissant les plus grandes structures de l’univers. Donc pourquoi ces trous de vide, même si pour vous ce sont des trous de vide quantique ? Je pense que dans quelques temps nous auront des cartes en 3D, de cette répartition des galaxies, car des recherches sont faites dans ce sens. Quand on regarde de belles images de ces galaxies, il y a un peu de tricherie, car les galaxies sont de différentes profondeurs de champ, et on mélange différents niveaux et de distances. Les galaxies ne sont parsemées au hasard, car elles sont regroupées suivant une structure de mousse, où cette mousse est défini par des filaments de galaxies. Pourquoi cette structure ?
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN jfp.pouliquen@hotmail.fr

  • Nous ne sommes pas tout à fait d’accord : le dit "virtuel" se passe du dit "réel" et pas l’inverse. Cela signifie que pour avoir une particule réelle il faut avoir une particule virtuelle à laquelle on donne un boson de Higgs ou toute énergie équivalente, c’est-à-dire qui double l’énergie de la particule virtuelle. Par contre, pour avoir une particule virtuelle, il n’est pas nécessaire d’avoir une particule réelle.

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