Evolution et Révolution de l’homme en tant qu’espèce
Du nouveau sur l’histoire de l’apparition de l’homme ?
Ian Tattersall et la théorie de l’évolution des espèces
L’homme se caractérise-t-il par la fabrication et l’utilisation d’outils ?
Paléontologie et Théorie de l’évolution
Charles Darwin - La Descendance de l’homme et la sélection sexuelle
Charles Malato - Les Classes sociales au point de vue de l’évolution zoologique
Henry de Lumley – L’homme premier
[Luca (…)
Accueil > Mots-clés > Matières > évolution des espèces
évolution des espèces
Articles
-
Evolution et Révolution de l’homme en tant qu’espèce
20 mars 2022, par Robert Paris -
Les arbres sentent-ils et communiquent-ils ?
21 décembre 2014, par Robert ParisAvertissement : l’article qui suit ne procède nullement d’une vision spiritualiste, idéaliste ni mystique de la nature ou de l’arbre. Il n’est nullement question d’attribuer un esprit aux arbres ou de les transformer en modes d’expression d’un quelconque "esprit supérieur"... Pas question ici d’"esprit" de l’arbre, d’"aura" de l’arbre, de volonté de l’arbre, d’âme de l’arbre, etc. Il n’est nullement besoin d’attribuer des propriétés humaines à l’arbre pour le concevoir comme un sujet et pas (…)
-
Les révolutions qui ont donné naissance aux mousses, aux plantes et aux arbres
28 mai 2013, par Robert Paris« J’ai toujours placé les plantes très haut sur l’échelle des êtres organisés. »
Darwin dans son Autobiographie
Des algues aux mousses, aux plantes et aux arbres
Le plus vieil arbre, le ginkgo biloba de Chine
Les révolutions qui ont donné naissance aux mousses, aux plantes et aux arbres
Si l’homme est né en Afrique, l’arbre est né en Chine. Mais surtout il est une véritable naissance, une nouveauté, une discontinuité brutale et même un aboutissement d’une série de discontinuités : (…) -
Que sont les chaînons manquants ?
12 janvier 2017, par Robert ParisQue sont les chaînons manquants ?
Ce sont, au sein d’une évolution des espèces censée être continu, les espèces intermédiaires dont on ne trouve pas trace : Entre procaryotes et eucaryotes : voir ici Entre hippopotames et leurs ancêtres : voir ici Entre Australopithèque et Homo : voir ici Entre plantes et animaux : voir ici Entre oiseaux et dinosaures : voir ici Entre homme et singe : voir ici
voir aussi ici
Découverte du chaînon, prétexte à une manipulation
- Entre inerte et vivant (…) -
Burgess, Ediacara, deux des plus grandes révolutions des espèces vivantes
13 mars 2016, par Robert ParisLes nouveautés de la faune d’Ediacara (entre 635 et 541 Millions d’années) :
Les nouveautés de la faune de Burgess (entre 542 et 530 Millions d’années) :
Marella
Hallucigenia
Opabinia
Anomalocaris
Sanctacaris
Waptia
Pikaia
Yohoia
Odaraia
Leanchoilia
Aysheaia
Nectocaris
Dinomischus
Odontogriphu
Les révolutions des espèces de Burgess et d’Ediacara, des transformations brutales et radicales, avec apparitions par saut, non seulement de nouvelles classes, de (…) -
La nature (et notamment la vie) n’a pas de but, pas de plan, pas de dessein
25 décembre 2017, par Robert ParisLa nature (et notamment la vie) n’a pas de but, pas de projet, pas de programme, pas de dessein intelligent, pas de principe directeur, pas de plan, pas de finalité, pas d’architecte, pas de prédestination, pas de téléologie ni de téléonomie, pas de schéma préexistant, pas de pouvoir au-dessus d’elle, pas d’objectif prédéterminé, pas de direction imposée, pas de causes finales, pas de tendance dirigée, pas de morale, pas de sens (ni destructif, ni constructif) et même pas de tendance au (…)
-
La sélection naturelle des espèces, ou transformation darwinienne du vivant, est-elle évolutive, adaptative, prédictible, productrice de progrès, de complexification ou d’amélioration ?
25 avril 2016, par Robert ParisDarwin écrit au biologiste américain Alpheus Hyatt en 1872 : « Après mûre réflexion, je me suis déterminé à penser que l’évolution n’a pas intrinsèquement tendance au progrès.", par opposition au philosophe Herbert Spencer, inventeur de l’expression "la survie du plus apte" qui écrivait : "Le progrès n’est pas accidentel, c’est une nécessité. »
Stephen Jay Gould, lui, écrit :
« L’idée de progrès est une idée pernicieuse, ancrée dans la culture, impossible à tester, inopérante, il faut la (…) -
« Sapiens », ouvrage de Yuval Noah Harari, un point de vue idéaliste sur l’évolution de l’homme à comparer au point de vue matérialiste
27 août 2022, par Robert ParisComparons un point de vue idéaliste et un point de vue matérialiste sur l’évolution de l’homme
Nous allons prendre Marx/Engels comme exemple de point de vue matérialiste et Yuval Noah Harari (bouddhiste et professeur d’histoire israélien, auteur de « Sapiens ») comme exemple de point de vue idéaliste
Le point de vue idéaliste de Yuval Noah Harari dans « Sapiens » :
Comment la thèse étonnante de l’ouvrage « Sapiens, une brève histoire de l’humanité » selon laquelle le capitalisme ne (…) -
Quelle est la validité scientifique des thèses du « Dessein intelligent » ou intelligent design ?
20 juin 2020, par Robert ParisQuelle est la validité scientifique des thèses du « Dessein intelligent » ou intelligent design ?
L’Univers obéit-il à un but imposé par une intelligence, qu’elle soit ou pas supramatérielle, voilà la question posée par les tenants de la thèse du « Dessein intelligent » que ses détracteurs appellent « la main de Dieu ». Il va de soi en effet que supposer que toute l’histoire de l’Univers soit piloté nécessite un pilote supérieurement intelligent, que l’on l’appelle dieu ou diable. La thèse (…) -
Pourquoi les hommes n’ont pas envie de reconnaître que leur cerveau est un produit aléatoire de l’évolution…
15 août 2018, par Robert ParisPourquoi les hommes n’ont pas envie de reconnaître que leur cerveau est un produit aléatoire de l’évolution…
Stephen Jay Gould dans « La vie est belle » :
« Pour les spécialistes, l’évolution est une adaptation aux conditions changeantes de l’environnement et non pas un progrès. »
Stephen Jay Gould dans « Le pouce du panda » :
« J’espère que personne ne tenterait de nos jours de classer les races et les sexes par la taille moyenne des cerveaux. Mais la fascination qu’exerce sur nous (…)